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BODERIE (le sieur de La), ambassadeur du Roi en Angleterre, écrit à Jeannin quelles sont les dispositions des esprits dans ce pays, et celles du Roi pour la paix, XII, 118. Annonce à Jeannin la réception qui a été faite à Londres aux députés des Pays-Bas, 228. L'intention du conseil du roi d'Angleterre d'envoyer deux commissaires pour traiter de leurs affaires, de concert avec ceux du roi de France, 230. Annonce de nouveau le traite ment honorable fait aux députés, et l'envoi de deux commissaires, 254. Fait part à Jeannin des raisons qui lui rendent suspecte la sincérité des Anglais dans les négociations relatives aux Pays-Bas, 512. Annonce à Jeannin que le roi d'Angleterre et le comte de Salisbury consentent à traiter d'une ligue defensive, après que la paix sera conclue entre l'Espagne et les Pays-Bas, 536; qu'ils ont trouvé la ratification du roi d'Espagne insuffisante, 537. Ecrit de nouveau à Jeannin qu'il a appris que l'Angleterre entrera au traité de ligue avec les Etats, et non avec la France, dont elle redoute le crédit auprès d'eux, XIII, 21. Annonce que le roi d'Espagne a retenu, non sans quelque grand dessein, tout ce qui est venu par la dernière flotte, 22. Attribue la conduite équivoque de l'Angleterre à la crainte d'irriter l'Espagne; s'étonne de ce que les députés anglais pressent le projet de ligue offensive, 59. Explique le peu de sincérité et de franchise du gouvernement anglais par la crainte qu'a le Roi d'irriter l'Espagne, et par son goût pour le repos, 139. Fait connoître le mécontentement de ce prince pour la conduite que tiennent les Etats, disant qu'ils font tout contre sa volonté, et qu'il veut qu'ils lui rendent ce qu'ils lui doivent, 141. Mande à Jeannin l'impression qu'a faite en Angleterre la nouvelle du traité de la ligue; lui rend compte d'un souper auquel il a été invité, et de la manière pleine d'égards avec laquelle

il y a été traité; fait sentir que les Anglais ont plus besoin de la France que la France des Anglais, 214. Pense qu'un double mariage pourroit éteindre les restes de l'inimitié qui a toujours régné entre les deux nations, 414. Annonce à Jeannin qu'il a trouvé le roi et la reine d'Angleterre assez disposés à ce que la Reine soit commère du Roi pour le baptême du petit duc d'Anjou, ce qui pourroit être le commencement d'une alliance, XIV, 45. Annonce encore que le roi d'Espagne a fait passer beaucoup d'argent à son ambassadeur à Londres, ce qu'il ne fait pas sans en attendre une grande utilité, 46. Fait part à Jeannin des dispositions de l'Angleterre à l'égard des propositions qu'il a faites, 112; de l'incertitude et de la défiance qu'elle montre, et de sa résolution d'attendre l'issue des négociations, 217; du changement qui s'est opéré tout-à-coup dans ses dispositions, en apprenant que la France ne veut pas la guerre plus qu'elle, 219. Annonce à Jeannin l'arrivée à Londres d'un certain Fernando Giron, qui se dit porteur des intentions du roi d'Espagne concernant la trève, XV, 35. Pense qu'il y a peu d'utilité à tirer de l'amitié du roi d'Angleterre avec le roi de France, 36. Écrit à Jeannin qu'on se défend à outrance à Londres d'avoir fait proposer une trève pure et simple; que Fernando Giron a eu une audience du Roi, mais qu'on se hâte de le renvoyer, 87. (Negociat. de Jeannin.)-Preuve d'estime que lui donne le roi Jacques 1; preuve de la confiance que Henri iv avoit en lui, XXXIII, 361. ( Arn. d'Andilly.)

BODIN, procur. du Roi au siége présidial de Périgueux, informe les pères Ithier et Berthod qu'il y a un parti formé dans cette ville pour la faire revenir à l'obéissance du Roi; travaille lui-même efficacement à faire réussir ce parti, XLVIII, 448. Chasse de la ville la garnison du sieur Chanlot, 450. Fait prêter un

nouveau serment de fidélité aux habitans et aux magistrats, 451.

BOESSE (M. de), command. de Bourg-en-Bresse, refuse de recevoir le grand écuyer, qui se rend à son gouvernem. de Bourgogne; détails sur cette affaire, XVI, 449 et 451. Reçoit 300,000 liv. en récompense de sa charge de gouvern. de Bourg, 461. (Pontchartrain.)- Entre dans Monheur; est tué en allant à Gensac, XXII, 152. (Richelieu.)

BOHEME. La succession au trône de Bohème, après la mort de Mathias, devient la cause d'une guerre qui dure 28 ans; historique de cette guerre, L, 91 et suiv. Elle est terminée par le traité de Munster; quel est ce traité, 93 et suiv.

BOILEAU (Nicolas) reste neutre au milieu des disputes sur le jansenisme, et conserve des amis dans les deux partis, XXXIII, 217.

BOIS-DAUPHIN (le maréchal de), nommé command. de l'armée royale contre les princes, marche à leur rencontre, XVI, 295. Empêche M. le prince de prendre Sens, 296. Est blamé de n'avoir pas livré bataille aux princes, 297, (Mem. de d Estrées.) Passe la Marne à Meaux; empêche le prince de Condé de rien entreprendre, et couvre Paris, XVII, 106. Enlève le quartier de M. de Luxembourg à Mérysur-Seine, 110. Est blàmé de n'avoir pas empêché le passage de la Loire à M. le prince, 111. (Pontchartrain.) XX, 79; Rassemble son armée autour de Dammartin, XXI bis, 271. Est blâme de n'avoir pas empêché le prince de Condé de passer la Loire, 277. (Mém. de Richelieu.)

BOIS-DAUPHIN (le chev. de) plaît à la marq. de Coaslin, qui l'épouse publiquement, sans qu'aucun de ses proches en sache rien, XXXVII, 135. Son ambition depuis qu'il est riche, 136.

Bois-DU-LYS (le sieur) est chargé de l'artillerie à la bataille de Coutras, I, 397. Est loué par le roi de Navarre pour l'avoir bien servic,398.

BOISGUÉRIN (le sieur) vient à BelleIle rendre compte au card. de Retz, et à ceux qui ont favorisé sa fuite, de l'effet que cette fuite a produit à Paris, XLVII, 324.

Bois-Rozé surprend le fort de Fécamp; détails sur cette entreprise hardie, II, 149. Se rend au Roi, et lui demande du secours contre M. de Villars, 152. Sa rencontre avec M. de Rosny, 214. Comment il est attaché à son service, 217.

BOISSAC (le sieur de) est pris et repris à la bataille du Tésin, XXIX, 150. Il contribue au succès de la bataille de Leucate, XXX, 179.

BOISSELOT, capit. aux gardes françaises, passe à travers l'armée espagnole sans être connu, et entre dans Dunkerque, L, 378.(Mém. de Montglat.)-Il soutient un long siége à Limerick, et en sort avec honneur, LXV, 261. (La Fare.)

BOISSE-PARDAILLAN est fait colonel d'infanterie des rebelles en Guienne, XVII, 101.

BOISSIZE (le sieur de) est envoyé en Allemagne pour traiter du projet de la confédération européenne, VIII, 219. (OEconom. royales.)— Envoyé par le Roi auprès des princes retirés à Soissons, il conclut un accommodement avec eux, XVII, 168. (Mem. de Pontchartrain.)

BOLINGBROCKE (lord) se sauve en France; reçoit du jeune roi Jacques les sceaux de secrétaire d'Etat, LXVI, 228. Fait de vives instances auprès de la cour de France pour obtenir un secours d'hommes, 234. Est décrié auprès du Régent par des femmes qui veulent régler les affaires d'Angleterre, 254. Est congédié par le roi Jacques d'une manière offensante, 259. Sa justification, 260.

BONGARS (le sieur), agent du Roi vers les princes d'Allemagne, envoie à M. de Rosny copie du testament de Philippe n, roi d'Espagne, et lui donne des détails sur la maladie et la mort de ce prince, III, 245. Adresse au Roi deux discours sur la succession de Clèves, VIII, 171. II expose les raisons qui peuvent en

gager le Roi à s'intéresser dans les affaires de cette succession, 177. Est chargé de traiter du projet de la confédération européenne, 219.

BONNAC (le marq. de) est nommé ambassad. extraordin. en Espagne; instructions dont il est chargé, LXXIII, 72. Succès de ses négociations, 77. Son rapport à la cour de France sur le caractère du roi et de la reine d'Espagne, et sur la cour de Madrid, So. En quoi sa commission devient plus épineuse, 83 et suiv.

BONNET (le père), grand dévot et grand frondeur, fait imprimer la relation de ce qui s'est passé en l'ile S.-Georges; cette relation est dans des termes si pleins de chaleur, que Lenet empêche autant qu'il peut les impressions de ce genre, pour ne pas irriter la cour, LIII, 360.

BONNEUIL (le capit.) est tué au siége de Tonneins, XXXI, 338.

BONTEMPS, valet de chambre du Roi. Son caractère, LXIII, 289. BORDAGE (Le), maréchal de camp, est tué au siége de Philisbourg, LXV, 22.

BORDEAUX. Trois partis se forment dans cette ville pour le service du Roi, et pour la délivrer du joug de l'Ormée; noms et moyens des chefs de ces partis, XLVIII, 398. Les jeunes gens de la ville se déclarent pour le Roi, et battent les ormistes, 423. Présentent au prince de Conti une requête pour le rétablissement de la paix, 424. Vont offrir à M. de Vendôme de le faire entrer dans la ville quand il voudra; délivrent le père Ithier, 426. Le traité de paix entre les députés de la ville et les généraux du Roi est signé à Lormont, 432. Articles du traité, 433. La déclaration du Roi portant une amnistie générale est publiée; noms de ceux qui sont exceptés de l'amnistie, 435. Remontrances du parlement sur cette amnistie, 436. (Mem. de Berthod.) —— Troubles de Bordeaux, L, 395. Comment cette ville rentre d'elle-même sous l'obéissance du Roi, malgré les ormistes et le parti du prince de Condé,

408 et suiv. (Montglat.) — Troubles dans cette ville après l'arrivée de la princ. de Condé et de son fils, LII, 32 et suiv. Préparatifs de défense des Bordelais contre l'armée royale, 39. Attaque du faub. S.-Surin par le maréchal de La Meilleraye; noms de ceux qui y sont blessés ou faits prisonniers, 41. Le parlem. de Bordeaux envoie traiter de la paix; à quelles conditions elle se fait, 43. Des partis qui divisent cette ville, 130. La division du prince de Conti et de mad. de Longueville y augmente les troubles, 133. (La Rochefoucauld.) - Précis de ce qui se passe à Bordeaux pendant que la princ. de Condé et les ducs de Bouillon et de La Rochefoucauld sont dans cette ville pour soutenir le parti de M. le prince, LVIII, 187. Division des Bordelais pendant le séjour qu'y font le prince de Conti et mad. de Longueville, 223. (Mém. de M. de ***.)

BORGHESE (le cardinal), neveu de Paul v. Son portrait; il jette les yeux sur le card. Campora pour le faire succéder à son oncle, XVI, 360. S'appuie à cet effet des Espagnols; cardinaux qui favorisent son projet, 361. La confiance qu'il montre lui devient nuisible, 366. Comment il se trouve engagé par le card. Caponi à choisir pour pape le card. Ludovisio, 376.

BORGIA (le card.) s'élève avec violence dans le conclave contre le traité fait entre le roi de France et le roi de Suède ; il demande au S.-Siége un secours d'argent pour l'Espagne, et une croisade contre ces princes, XXVII, 26. Le Pape lui ordonne de sortir de Rome, 29.

BORMISKI (le prince de), grand maréchal et staroste de Cracovie, assemble une armée de 20,000 mécontens, et s'approche de Varsovie, où la diète est assemblée, LVIII, 461. Est condamné par la diète; se retire en Silésie sur les terres de l'Empereur, 462. Entre dans la Volhinie. où il lève des troupes, 464. Marche contre le vaivode de Cracovie, 465

Sa mort fait cesser les troubles, 471. BORRACH (le colonel), lieutenant général de l'armée anglaise, est tué l'ile de Ré, XXIII, 371. BORRI (le marq. de), ambassad. du grand duc de Toscane, jette les premières paroles d'un double mariage entre les deux princes et les deux princesses de France et d'Espagne, XXXVI, 334. Carrousel donné à Paris à l'occasion de ces propositions, 335.

BORROMEO (le père), feuillant, par ses remontrances et ses discours détourne MM. de Pontis et S.-Preuil d'un duel qu'ils méditent depuis long-temps, XXXII, 300.

Bossu (le comte), flamand, meurt des blessures qu'il reçoit à l'attaque du faubourg S.-Antoine, XLI, 269. (Madem. de Montpensier.) — Est fait prisonnier à la bataille de Rethel, XLV, 205. (Mém. de Retz.) BOSSUET, évêque de Meaux, a plusieurs conférences avec les religieuses de Port-Royal, pour les ramener à l'obeissance qu'elles doivent à leurs supérieurs légitimes, XXXIII, 162. Est chargé de rédiger la déclaration du clergé de France de 1682; sa prévoyance sur ce sujet, 229.

BOTELERIE (le chev. de La), aidede-camp du duc de Guise, envoyé par lui pour savoir ce qui se passe dans Naples, vient, non sans courir un grand danger, annoncer au duc que les Espagnols sont maîtres de la ville, LVI, 151.

BOTLER, colonel, tue le général Walstein, XXVIII, 99.

BOTSKAY, gentilh. de Transylvanie, soulève les protestans de ce pays; force l'Empereur de les laisser libres en leur conscience, et obtient pour lui-même la propriété et la seigneurie dudit pays, VII, 157.

BOUCAUT (mad. de) agit pendant trois mois à Bordeaux en faveur du Roi avec une vigueur et une générosité singulière, XLVIII, 419.

BOUCHAIN (le comte de) assiége et prend la villede Krems et celle de Cronenbourg, L, 32.

BOUCHE (le sieur de), command. T. 78.

de l'ile de Ré, fait dire à la princ. de Condé qu'il est hors d'état de lui témoigner sa reconnoissance pour les obligations qu'il a au feu duc de Breze son frère; mais qu'il la rendra maîtresse de l'ile quand elle pourra lui envoyer des gens pour la pouvoir défendre, LIII, 344.

BOUCHERAT Succède dans la charge de chancelier à Michel Le Tellier; son mérite, LXIII, 288.

BOUCHERAT, notaire, apporte des longueurs à dresser le mariage de madem. de Montpensier avec M. de Lauzun, XLIII, 284. Ses représentations sur l'abandon total qu'elle veut faire de ses biens, 285.

BOUCHET (le sieur de) remet entre les mains du Roi le fort de Brescou, après l'avoir long-temps gardé et défendu, XVII, 261.

BOUFFLERS (le maréchal duc de) prend Kaiserslautern dans la Lorraine allemande, LXV, 17. Se saisit de Mayence; ravage les terres de l'électeur de Trèves, 31. (Mem. de la cour de France.) - Defend Namur, qu'il est forcé de rendre, 390. Est fait prisonnier, et conduit à Maëstricht, 391. Est blâme de n'avoir pas attaqué le comte de Tilly à Santen, 410. Bat le comte d'Athlone sous les murs de Nimègue, 413. Embarras où il se trouve en présence de Marlborough, 423. Bat les ennemis à Eckeren, 432. Se couvre de gloire par la défense de Lille, qu'il est obligé de rendre, LXVI, 141. (Berwick.)

BOUGEANT (le père). Son opinion sur les Mémoires du marq. de Montglat, XLIX, 9.

BOUHOURS (le père), jésuite, prend la défense de l'archev. d'Embrun dans l'affaire du formulaire, XXXIII, 191. Comment il est injustement maltraité par Nicole, 192.

BOUILLON (le duc de), vicomte de Turenne, se bat en duel avec MM. de Duras et Rozan; est blessé de plusieurs coups, I, 285. Reprend la ville de Figeac, surprise par les catholiques, 286. Est fait prisonnier devant Cambray, 317. Nourrit l'espoir d'être élu chef absolu dans quel5

que province; est contraint de lever le siége de Sarlat, 402. Reprend Castillon, 405. Son mariage avec Charl. de La Marck; motifs qui engagent le Roi à le faire, II, 68. Sa lettre au Roi, par laquelle il lui annonce la mort de sa femme, 266. Comment il reçoit M. de Rosny, que le Roi lui envoie, 276. Ses entretiens avec lui, 277. Projets de guerre avec les Pays-Bas et l'Espagne, 280. Projets de ligue entre tous les protestans, 286. Défait dans le Luxembourg huit à dix corps de cavalerie du comte de Mansfeld, 361. Est mis en déroute dans une attaque qu'il dirige contre les Espagnols devant Dourlens, 379. Sa réponse au Roi, qui sonde ses dispositions à l'égard de la fermentation excitée dans quelques provinces, IV, 137. Refuse de se rendre auprès du Roi, 157. Sa conversation avec Rosny, dans laquelle il lui développe ses projets à son égard, 158. Pardonne au baron de Lux, 163. Rend un édit pour le surhaussement de prix des espèces d'or et d'argent, 168; une ordonnance pour compter par livres au lieu d'écus; un autre édit contre les banqueroutiers; fait un réglement sur les mines, 169. Rend un édit contre les duels, 170. Ses lettres à M. de Rosny, avec les réponses concernant le duc de Biron, 225. Nouveaux sujets de mécontentement qu'il donne au Roi, 454. Sa promesse d'association avec M. de Biron et M. le comte d'Auvergne est remise au Roi par ce dernier, V, 336. Il envoie offrir ses services au Roi dans une assemblée de plusieurs princes d'Allemagne, VI, 203. Ecrit à M. de S.-Germain pour animer les protestans contre le Roi, 213. Adresse S. M. une lettre de soumission, 283. Répond à une lettre du duc de Sully qu'il est prêt à se soumettre au Roi, moyennant qu'il soit remis en ses bonnes grâces, VII, 48. Fait son traité de soumission, et vient trouver le Roi, 81. Entre avec lui dans Paris; est remis dans les bonnes grâces du Roi, 85. Obtient par le

à

moyen de Concini l'affranchissement des droits imposés près de Sedan, et un don de 200,000 liv., 423. Par quel moyen il se fait rechercher de la Reine mère, IX, 348. Erouille de nouveau et essaie de rallier le prince de Condé et tous les grands du royaume contre la cour, 355. Après le traité de Loudun, il prétend entrer dans la direction des affaires, 370. Rallie à lui M. de Guise, ses frères, et M. de Nevers; excite la haine du peuple et du Roi contre le maréchal d'Ancre, 371. Projette de le faire tuer, 372. Ses artifices pour engager M. de Guise à se faire chef de parti, 374. Essaie de faire des levées à Sedan, 375. (OEconom. royales. ) - Ecrit à Jeannin pour se plaindre que les promesses faites aux Etats-généraux ne sont point remplies, pour s'excuser de ce qu'il fait des levées d'hommes, et se plaindre encore de ce qu'on ne le charge pas du commandem. de celles qu'on fait en France au nom du Roi, XVI, 32. ( OEuv. mél. de Jeannin.) -Se plaint de n'avoir pas été choisi pour commander l'armée destinée pour Juliers, 193. Se joint au duc de Sully et au prince de Condé, 195. Recherche le marq. de Cœuvres (d'Estrées), 196. Son entretien avec lui, 198. Se rend à l'assemblée des protestans à Saumur, et par sa conduite y rend un service signalé à l'Etat, 224. Reçoit de la Reine l'hôtel de Bouillon, 239. Fait de vains efforts pour rétablir la bonne intelligence entre la Reine et le comte de Soissons, 240. Approuve le projet de mariage de la fille du marquis d'Ancre avec le marq. de Villeroy, 270. Son habileté dans la campagne que fait l'armée des princes, 297. Assiste aux conférences de Loudun, 299. Se rend à Paris sur un ordre de la Reine mère, 303. Trouve avec le duc du Maine occasion de rentrer dans de nouvelles cabales; projette la ruine du maréch. d'Ancre, 304. Approuve et seconde l'entreprise du duc de Longueville contre lui, 306. Dispose M.lc

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