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veu, 387. Apprend la triste nouvelle de la prise de ce neveu au combat de Brisach, 398; et de la saisie d'une belle tapisserie qui lui appartient, 399. Autres déplaisirs, 400. Un de ses neveux va loger avec une compagnie de chevau-légers à son château d'Harouel, qu'il pille et ravage, 403. Autres désagrémens, 413. Divers événemens domestiques heureux et malheureux, 421. L'Empereur déclare que la maison de Bassompierre descend en droite ligne masculine d'Ulric, comte de Ravensperg, 428. (Mém. de Bassompierre.) - Il est envoyé en Suisse en ambassade extraordinaire; instructions dont il est chargé, XXII, 484. Est envoyé en ambassade en Angleterre, XXIII, 180. Instructions dont il est chargé, 209 et suiv. Comment il est reçu en Angleterre, 231. Sa première audience du Roi, 232. Il détruit les accusations portées contre les Français, et sollicite une réponse précise à ce qu'il a demandé de la part du Roi son maître, 235. Passe un écrit avec les commissaires du Roi sur les demandes qu'il a faites, 236. Revient en France, 237. Essaie de persuader au Roi de recevoir le duc. de Buckingham comme ambassad. extraordinaire, 273. Est envoyé en Suisse pour y faire une levée de 6,000 hommes, XXV, 286. Son discours à la diète helvétique, XXVI, 11. Il obtient la levée de 6,000 Suisses, 17. Rend compte au cardinal des bonnes dispositions des Suisses, 70. Est conduit à la Bastille, 466. (Mém. de Richelieu.)-Veut, en sortant de la Bastille, être rétabli dans sa charge de colonel général des Suisses; changement opéré dans son air et dans ses manières, XXXIV, 215. (L'abbé Arnauld.)—Sa mort ; pourquoi il est peu regretté des jeunes gens à la mode, XXXVII, 197. (Mem. de Motteville.)

auprès de l'un et de l'autre; reçoit des présens du Roi, 282. Est instruit par d'Epernon des changemens arrivés à la cour, et du projet formé de les arrêter tous deux, ainsi que le maréchal de Créqui, 283. Refuse les offres et rejette les conseils de d'Epernon, 284. Se rend auprès du Roi à Senlis, en est bien reçu, 287. Est arrêté le lendemain, et conduit à la Bastille, 288. Y reçoit des consolations de la part du Roi; y tombe malade, 289. On lui donne de fausses espérances de recouvrer sa liberté, 293. On lui ôte ses appointemens, 299. Ceux de colonel des Suisses lui sont aussi supprimés, 301. Le Roi ordonne qu'ils lui seront payés; mais, par les pratiques de ses ennemis, ils lui sont refusés pour la seconde fois, 306. Il consent à résigner sa charge de colonel des Suisses; à quelles conditions, 308. Nouvel espoir de recouvrer sa liberté trompé, 310. Il envoie quit tance générale de 400,000 fr. pour la remise de sa charge de colonel général des Suisses; on lui promet de nouveau sa liberté, 314. Prétextes qui la retardent de jour en jour, 315. Nouvelles promesses encore manquées, 319. On lui demande de la part du cardinal des mémoires Sur le plan de campagne de :635; il en envoie qui ne sont pas suivis, 323. Les nouvelles affligeantes qu'il reçoit le font tomber dans la mélancolie, 330. Il écrit au cardinal, qui lui a demandé sa maison de Chaillot pour y loger quelque temps, 334. Nouvelles pertes qu'il éprouve, 344. Il prête au cardinal sa maison de Chaillot, 354. Désagrémens qui lui arrivent, entre autres à cause des notes marginales qu'il a faites à l'ouvrage d'un nommé Dupleix, 356. Il avertit Chavigny du projet de son neveu d'aller au service de l'Empereur, 361. Fait faire de nouvelles démarches inutiles pour obtenir sa liberté, 363. Est volé par une perSonne à qui il a fait beaucoup de bien, 369. Nouveau désagrément relatif à l'élargissement de son ne

BASTE (Georges), génér. de l'Empereur, défait les vaivodes Battori et Michel, IV, 93. Fait punir ceux des siens qui ont violé la capitulation de Bistrilh, 174.

BATTEVILLE, franc- comtois, et sujet du roi d'Espagne, est envoyé au secours du prince de Condé avec 13 vaisseaux, de l'argent et des troupes, XXXIX, 302.

BATTORI (Gabriel) est massacré par ordre de l'Empereur, XXI bis,

182.

BATTORI (Sigismond), prince de Transylvanie, devient victime de sa confiance envers l'Empereur, XXI bis, 173.

BAUGY (le sieur de), ambassad, en Hollande, éprouve de grandes difficultés pour engager les Etats-généraux dans un traité avec le Roi contre les Espagnols, XXVI, 22.

BAUSME DE PILLE, cap. de galère, est tué au siége de Porto-Longone, LVII, 247.

BAUTRU (le sieur) est envoyé en Angleterre de la part du duc de Chevreuse, pour réparer le mal que le duc y a fait à l'égard de l'ambassadeur Blainville; succès de sa mission, XXII, 513. Est envoyé en Espagne, chargé d'instructions pour traiter avec le comte d'Olivarès, XXIV, 199. Propositions qu'il doit lui faire au sujet des affaires d'Italie, 209. Conférence entre Bautru et le comte d'Olivarès, 215. Seconde conférence, 223. Autres conférences, dans lesquelles Bautru demande inutilement son congé, 227. Nouvelles conférences avec le comte et avec les nonces du Pape; sa résistance aux propositions qui lui sont faites, 307. Il obtient enfin son congé, et part, 318. Rapporte de la part du comte un papier tout contraire aux propositions faites par la France, 319. Est envoyé ambassad, extraordin. à Bruxelles, XXV, 337. Rend compte de la terreur qu'a causée dans les PaysBas la nouvelle du départ du Roi pour se mettre à la tête de ses armées, 338. Ses entretiens avec le marq. de Mirabel à ce sujet, 339. Est envoyé de nouveau en Espagne avec des instructions pour se plaindre de la conduite du gouvernem., XXVII, 219. Sa conférence avec le comte d'Olivares sur la mort de

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M. de Montmorency, 222. Sa re ponse au comte sur les plaintes qu'il lui fait de l'électeur de Trèves, 372. Son entretien avec le même sur la situation du duc de Lorraine, 481; et sur la vente de Pignerol, faite au Roi par le duc de Savoie, 490. A son retour en France, il rapporte au Roi le peu d'inclination et de bonne volonté du gouvernem. espagnol à faire une paix générale, 518.

BAVES, de Lille, tuc à coups de couteau sa nièce, dont il est éperdument amoureux; détails sur lui; est arrêté et exécuté, XLVIII, 247 et suiv.

BAVIÈRE (l'élect. de) assiége Belgrade et la prend d'assaut, LIX, 228.

BAY (le marq. de) surprend Alcantara, LXVI, 86. (Mem. de Berwick.)-Laisse passer l'Ebre au genéral Staremberg; est battu près de Saragosse, LXXIII, 11. (Noailles.

BEAUCHESNE, au service du cardinal de Retz lors de l'évasion de son maître de la prison de Nantes, contribue à le sauver, et se sauve lui-même par son courage et sa presence d'esprit, XLVI, 265.

BEAUFORT (le sieur de), command. d'un corps de troupes du duc de Rohan, fait entrer 900 hommes dans Montauban, puis est fait prisonnier, XVIII, 194. (Mém. de Ro han.) XX, 308. XXII, 151. Décapité à Toulouse avec Auros, gouvern. de Mazères, XXIV, 22. (Mém. de Richelieu.) XXXI, 316.

BEAUFORT, gentilh. du cardinal duc, brûle le moulin du Fouillot, tue 60 ennemis, et brûle quantité de farines, XXIX, 243.

BEAUFORT (François, duc de), prend parti dans la Fronde; pourquoi, XXXIV, 403. Comment il acquiert le titre de roi des halles, 404. Ne veut entendre à aucun traite avec la cour, 425. Cherche tous les moyens d'empêcher la paix, 427. Consent à tout ce que la cour vent de lui, 431. Comment il est trompé par le coadjuteur sur le projet d'arrêter M. le prince; son refroidisse

ment pour lai, 450. Il tue en duel M. de Nemours, 532. Est fait gouverneur de Paris, 536. (Mem. de la duch. de Nemours.)-Son caractère, XXXV, 13. Il offre à la Reine le secours de la maison de Vendome, 25. Furieux de l'éloignement de sa maîtresse, il se fait chef de la cabale des importans; est arrêté, et enfermé à Vincennes, 34. Dissipe un attroupement formé en faveur da prince de Condé, 180. (Introduct.)-Il cabale contre Mazarin avec la demois. de S.-Louis; est arrêté par ordre de la Reine, XXXVI, 103. (Mém. de Brienne. -Son caractère, XXXVII, 24. Il est accusé d'avoir voulu faire assassiner Mazarin, 46. Vient au Louvre, où il est arrêté, 47. Est conduit a Vincennes, 50. S'échappe de sa prison, 367. Par quel moyen, 368. Il vient à Paris pour soutenir le parti de la Fronde, XXXVIII, 161. Est absous par le parlement, sans autre preuve de son innocence que celle d'être ennemi du ministre, 164. Sort de Paris à la tête de 5 à 6,000 hommes, pour aller attaquer Corbeil; revient sans avoir rien fait, 17: Va au devant d'un convoi de blé et de bétail, qu'il amène à Paris après avoir couru de grands dangers, 186. Est contraint d'aller apaiser le tumulte auquel il a contribué, 226. Fait demander par le parlement le renvoi de Mazarin, 262. Refuse de consentir au mariage da dac de Mercœur avec l'aînée Mancini, 281. L'intérêt que le peuple témoigne pour lui dans une maladie dont il est atteint achève de le rendre irréconciliable avec le ministre, 282. Sa querelle avec le duc de Candale, 291 et suiv. Il va s'offrir au prince de Condé, malgré I opposition qu'il a toujours eue à sa famille, 353. Est décrété d'ajournement personnel, 418. Se rend au parlement; demande à être juge, 19. Récuse le prince de Condé comme sa partie; puis demande à étre jage et justifié sur l'heure, 426. Il se promène à cheval dans les rues T. 78

de Paris, la nuit qui suit l'emprisonnement du prince de Condé, XXXIX, 7. Appelé en duel par Bouteville, il refuse le combat, 12. Obtient la survivance de l'amirauté, 38; et son raccommodement avec le ministre, 427. ( Mém. de Motteville.) Ecrit à Mademoiselle pendant la première guerre de la Fronde; lui témoigne toujours beaucoup de confiance et d'affection, XLI, 50. Est regardé comme le bon parti à qui toutes les princesses en veulent; ses galanteries pour mesdem. de Longueville et de Chevreuse, 57. Il attaque mal à propos la ville de Gergeau, 187. Sa querelle avec M. de Nemours, 192. Il est exilé, 373. ( Madem, de Montpensier.)-Sa conduite envers la Reine et Mazarin, dans les premiers temps de la régence, XLIV, 151. Forme une cabale connue sous le nom des importans, 152. Est arrêté, 153. Son portrait, 310. Il vient à Paris; son entrevue avec le coadjuteur, 317. Il présente requête au parlement, 319. Essaie d'animer cette compagnie contre la cour; promet de déboucher tous les passages, si elle veut prendre la ferme résolution de ne plus se laisser amuser par des promesses trompeuses, 379. Il sort du parlement pour haranguer la popuface, et la calme un moment, 430. Son opinion tendante à chasser le parlement, et à faire avancer l'armée d'Espagne, XLV, 4. Va trouver le coadjuteur pour lui dire que le parti est perdu, 71. Va au Palais, où il conclut sur la nécessité d'assembler de suite le parlement, 87. Repousse, avec les gardes de Monsieur, Bourdet et ses officiers, et les renverse sur les degrés du Palais, 135. S'emporte contre le cardinal dans une assemblée chez Monsieur, 142. S'engage à faire tous ses efforts pour persuader Monsieur à prendre la protection des princes, 193. Chanson faite sur lui, 209. Paroît chez Monsieur abandonner le parti de la Fronde, 260. Est ébranlé par les conseils de mesd. de Nemours et de

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Montbazon, 261. Veut se ménager entre M. le prince et la Reine, et se rend ridicule, 406. Amasse 4 à15,000 gueux sur la place Royale, et les ha rangue, XLVI, 121. Reçoit ordre de quitter Paris, 206. (Mem. de Retz.) Il entretient depuis longtemps une intelligence secrète avec un de ceux qui le gardent; sort de Vincennes par son moyen, XLVII, 15. Se rend en Anjou, où il demeure quelque temps caché, 16. Vient à Paris, où il est reçu avec de grandes acclamations, 51. Favorise l'entrée d'un grand convoi, et se mêle avec les troupes du Roi, 54. Monte la nuit à cheval avec quantité de flambeaux pour se montrer au peuple, qui le croit arrêté, 99. (Mém. de Guy Joly.) Fait redemander des filous qui ont été arrêtés, en disant qu'ils sont de ses gens, et entend qu'ils gardent ce qu'ils ont pris, XLVIII, 46. Sa réponse à une pauvre femme qui lui demande assistance dans ses misères, 49. Son propos galant à la duch. de Châtillon, 58. Il harangue la populace à la place Royale, et l'excite à la sédition, 95. Dans quel but, 99. Sa galanterie ridicule avec la duch. de Montbazon, 100. Il vient à la porte S.-Antoine demander du secours aux bourgeois, 108. Tue en duel le duc de Nemours; détails sur ce duel, 173. Opinions diverses sur sa conduite dans cette affaire, 179. (Conrart.) - De concert avec Broussel, il assemble le corps de ville, et met en délibération de taxer les communautés ecclésiastiques comme on a fait les hourgeois, 317. Traite de séditieux les six corps des marchands; réponse ferme qu'il en reçoit, 325. Se présente à la porte S.-Bernard pour faire passer un chariot de bagages et de vivres ; est arrêté par le lieutenant de la colonelle, et forcé de ramener son chariot dans sa maison, 340. (Mém. de Berthod.) - Devient chef de la cabale des importans; noms des principaux de cette cabale, XLIX, 411. Quel est leur but, 412. Le duc est arrêté, et

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conduit à Vincennes, 419. Se sauve du château et va se cacher chez ses amis, L, 115. Se rend à Paris pour servir le parti du parlement, 150. Est absous par le parlement de l'accusation faite contre lui par Mazarin; y prend sa place de duc et pair, 153. Sort de Paris pour attaquer Corbeil; rentre en diligence dans la capitale, 156. Sort de Paris pour favoriser l'entrée d'un convoi; alarme des Parisiens à son sujet, 159. Sa querelle avec Jarzé, 188 et suiv. De l'avis du présid. Bellièvre, il va voir le prince de Condé, et lui offrir ses services, 210. Cherche à se justifier dans l'affaire de l'attentat médité contre la vie de M. le prince, 211. Ses démêlés avec le duc de Nemours, 328. Il tue ce duc en duel, 357. Accepte l'amnistie du Roi, et sort de Paris, 376. (Mém. de Montglat.) Est rappelé à la cour; reçoit du Roi des marques d'amitié, et des preuves d'estime de la Reine, LI, 185. Se fait des ennemis puissans, 186. Prie les ministres de faire au Roi mourant la demande du rappel de son père, 194. Est chargé de la garde des Enfans de France au moment de la mort du Roi, 198. Refuse la charge de grand écuyer; rompt son traité avec Montrésor, 205. Sujet de sa brouillerie avec M. le prince, 206. Sa conduite imprudente le jette dans le précipice, 229. Pourquoi il est arrêté, 237 et suiv. (La Chatre.) - Projette avec les duch. de Chevreuse et de Montbazon de se défaire de Mazarin, 257. Communique ce projet à Henri Campion, cherche avec lui les moyens de l'exécuter; détails à ce sujet, 258 et suiv. Le projet échoue quatre fois, et le duc est arrêté, 263 et suiv. (Extrait des Mem. de Campion.)-Son portrait, 372. Son crédit auprès de la Reine, 373 et 417. Il est arrêté, 388. Se sauve de pri

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LVIII, 12. Est arrêté, et envoyé à Vincennes; pourquoi, 24. Son portrait, son caractère, 64. Se sauve de prison, et devient chef des frondeurs, 83. Vient offrir ses services au parlement; est déclaré innocent, reçu duc et pair, et nommé un de ses généraux, 101. (Mem. de M. de***) Comment il est arrêté, LIX, 405. (La Porte.) — Est attaqué par 10 ou 12 personnes de la rue S.-Honoré, LXII, 110. Travaille en vain pour empêcher l'exécution de la sentence rendue contre ceux qui l'ont attaqué, 111. Son duel avec M. de Nemours, 437. (Mem. de Talon.) — Il est tué au siége de Candie, LXIII, 157. (Choisy.)

BEAUJEU, lieuten. des chevaulégers d'Enghien, est tué au siége de Fontarabie, XXX, 291.

BEAUJEU, Command. d'Ypres, remet cette place à l'archiduc Léopold, L, 176. Est tué au siége d'Arras, 443.

BEAUMARCHAIS, riche financier, bean-père de La Vieuville, est fait prisonnier et envoyé à Amboise, XVIII, 250. (Mem. de Rohan.)Dénonce au Roi le prétendu mauvais état des finances, administrées par Schomberg, XXI, 2. (Bassompierre.) Se sauve dans l'ile de Noirmoutier; est condamné par la chambre de justice, et exécuté en effigie, XXIÍ, 356. ( Mém. de Richelieu.)

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BEAUMONT (mademois. de) reçoit l'ordre de ne plus voir la Reine; causes de sa disgrâce, XXXVII, 172. BEAUMONT (le sieur de), ambassad. en Angleterre, rend compte au Roi de ce qui s'est passé touchant le traité conclu par M. de Rosny avec le roi d'Angleterre, V, 15. Ses lettres à M. de Rosny sur sa négociation, 34, 45.

BEAUMONT (l'abbé de), docteur en theologie, est nommé précepteur du Roi, comment il est gêné dans cette fonct. par Mazarin, XXXVII, 169; LIX, 414.

BEAUMONT (le sieur de), confident de Toiras, chargé d'argent

pour l'approvisionnement de l'ile de Ré, met tant de négligence à le faire, qu'il n'y porte aucun secours, XXIII, 348.

BEAUMONT (le sieur de) est tué au siége de Dôle, XXIX, 195.

BEAUMONT (Christ. de), archev. de Paris, est exposé aux fureurs des jansenistes et aux attaques des philosophes, XXXIII, 275.

BEAUPUI, guidon des gendarmes du Roi, sort du royaume, et va à Rome, où il est enfermé au château S.-Ange; pourquoi, XLIX, 419. (Mém. de Montglat.) — Entre avec Alex. de Campion dans le projet formé par le duc de Beaufort et les duch. de Chevreuse et de Montbazon de se défaire de Mazarin, LI, 257. Détails à ce sujet, 258 et suiv. (Extr. des Mém. de Campion.)

BEAUREGARD-CHAMPROND (le sieur) est blessé à la bataille d'Avein, XXVIII, 316.

BEAUREGARD (le sieur de) est envoyé vers les électeurs de Saxe et de Brandebourg, pour les engager à s'unir aux autres princes d'Allemagne, et à rompre son traité particulier avec l'Empereur, XXVIII, 236. Est envoyé auprès du gén. Banier pour détourner les Suédois de faire séparément la paix avec l'Empereur, XXIX, 399.

BEAUTIRAN, jurat de Bordeaux, à la tête d'une troupe de bourgeois, parvient à délivrer le parlement assiégé par une troupe de séditieux, LIII, 386, 391. Est menacé par le peuple d'être poignardé et d'avoir sa maison brûlée, s'il accepte la députation vers le Roi, 416.

BEAUTOU, avocat au conseil, accusé d'être l'auteur d'une brochure offensante pour M. le prince, est arrêté, XLVII, 67.

BEAUVAIS (mad. de), première femme de chambre de la Reine, offre au marq. de Jarzé d'être la confidente de son amour pour la Reine, L, 202. Est éloignée de la cour, puis rappelée, 203.

BEC (le marq. Du), gouvern. de La Capelle, malgré son habileté dans

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