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187. Sur quoi reposent ses assertions, 188.

AYAMONTE (le marq. d') a la tête tranchée comme coupable de la conspiration formée contre le roi d'Espagne, XXXVIII, 69.

AYDIE (le comte d') et FOUCAULT DE MAGNY, complices du prince de Cellamare, se sauvent en prenant la fuite, LXXVI, 341.

AYEN (le comte d') et VIVANS sont tués à la bataille de Rocroy, XLIX, 425.

AYEN (le comte d'), depuis duc de Noailles. Son caractère, ses talens, ses défauts, LXXII, 371. Mad. de Maintenon le consulte sur les moyens d'inspirer le goût de la lecture à la duchesse de Bourgogne; ses vues à cet égard, 373. Mesures qu'il prend pour acquitter ses dettes, 374. Ses correspondances littéraires, 375. Son ardeur guerrière, 376. Comment il devient maréchal de camp, 377. Quelles mesures il prend pour conserver Roses, 378. Il delivre Bascara; son amour pour la discipline, 379. Sa conduite au siége de Barcelone, 383, 385. Accompagne le roid'Espagne à Perpignan, où il lui procure 50,000 livres; est fait lieutenant général, 387. Met Roses en sûreté, 396. Communique au ministre ses idées sur les affaires d'Espagne, 397. Il entre en Catalogne avec quelques troupes ; misérable etat de cette province; conseils que lui donne Chamillard pour s'y maintenir, 406. Il pénètre dans le Lampourdan; prend et rase le château de Calabouch; jette du secours dans Roses, 408. Fortifie les postes de Puycerda et de Belver, 411. Rentre dans le Lampourdan, où il fait une diversion utile, 422. Le Roi lui annonce la mort de son père, 431. Mad. de Maintenon lui fait connottre la disposition des esprits, depuis que le Roi est décidé à rejeter les conditions honteuses proposées par les alliés, 451. Le duc emprunte sur ses propres billets pour payer ses troupes, 465. Il entre en Catalogne, 466. Défait la garnison de Figuieres,

467. Il démontre au ministre de France que le siége de Girone peat s'exécuter d'une manière peu onereuse pour l'Etat, 468. Il surprend le camp des ennemis près de Toroella, 470. Reconnoit Girone; prévient les suites d'une inondation subite de la Fluvia, 471. Son expédition contre les Anglais, qu'il force à se rembarquer à Cette, LXXIII, 12 et suiv. Marques honorables d'approbation qu'il en reçoit de la part du Roi, 14. Il propose de nouveau au ministre l'expédition de Girone, 17. Il s'abouche avec le duc de Vendôme à Bayonne, 18. Est envoyé à Madrid auprès du roi Philippe; instructions dont il est charge, 19. Va trouver ce prince à Valladolid, où il s'est retiré; assiste au conseil qui s'y tient, y prouve l'impossibilité et même l'inutilité du prompt secours qu'on désire de la part da roi de France, 23. Raisons qu'il fait valoir auprès du roi et de la reine d'Espagne pour les porter à une renonciation à la couronne de ce pays, 24. Raisons qu'on lui oppose, 26. Va rendre compte au Roi de l'état des affaires; ranime ses espérances; fait décider le siége de Girone, 34. Retourne en Roussillon; prépare tout pour ce siége, 35. Investit la place, 36. Détails sur ce siége, 41 et suiv. Girone capitule, 43. Lettre du Roi au duc pour le féliciter de sa conquête, 44. Philippe v lui témoigne sa reconnoissance par l'offre de la grandesse, 46. Leduc répond à Vendome sur le projet qu'il a formé d'assiéger Barcelone, 47. Rend compte au Roi de l'état de l'Espagne à l'époque de la mort de l'emper. Joseph, 64. Retourne en France, 73. Réponse du duc à mad. de Maintenon au sujet de son oncle le card. de Noailles, 104. Il obtient du Roi des notes, mémoires et morceaux de sa composition sur la guerre ou la politique, 107. Est nommé par le Régent président du conseil des finances, 125. Sa conduite; son travail dans cette place, 128. Preside aussi un conseil de commerce; fait

supprimer plusieurs droits onéreux, 138. Sort du ministère; son rapport sur les finances au conseil de régence, 176. Est exilé, 190; puis rappelé, 191. Son goût pour la littérature, 197 Il ne peut obtenir du cardinal de Fleury une pension pour la princesse d'Armagnac sa fille, 199. Son commerce épistolaire avec ce ministre; traits plaisans, 200. Il sert sous les ordres de Berwick en Allemagne, 205. Est chargé de l'attaque des lignes d'Ettingen, 206. Comment il s'en rend maître, 207. Est chargé de faire des reconnoissances, 209. Est fait maréchal de France, 211. Sa conduite au siége de Philisbourg, 212. Il contribue à la reddition de cette place, 213. Sa correspondance avec le ministre de la guerre; quel en est l'objet, 214 et suiv. Trait de modestie de sa part, 220. Il explique au ministre l'erreur des calculs du comte de Belle-Ile, 222. Ses plaintes sur le relâchement de la discipline, 228. Il est nommé pour aller commander en Italie, 229. Sa lettre au roi de Sardaigne, 231. Réponse du Roi, 232. Le maréchal arrive à Turin; accueil qu'il y reçoit, 233. Il présente à ce prince un mémoire particulier sur les opérations de la campagne, 234. Etat déplorable de l'armée française, 237. Comment il y remédie, 239. Son entrevue avec le duc de Montemar, 240. Il gagne la confiance et l'amitie du roi de Sardaigne et de son ministre, 241. Trait de sévérité du maréchal qui rétablit la discipline dans l'armée, 245. Sa prudence à l'égard des prétentions du duc de Montemar, 247. Par ses sages dispositions, il s'empare du poste le plus important, et force les Impériaux à quitter le Pô, 250. Il passe l'Oglio, fait investir et prendre Goito, 252. Sa modération envers le comte de Maillebois, 254. Il force les ennemis à quitter l'Italie, 255. Son mémoire sur la situation de la guerre, 259. Il pénètre dans l'Etat de Venise; son entrevue avec le duc de Montemar, 264. Embarras ex

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trême où il se trouve, 265. Il s'occupe de la sûreté des Espagnols, 269. Ses négociations avec le général allemand au sujet de l'armistice, 270. Il fait son possible pour arrêter les brigandages des Impériaux sur les terres du S.-Siége, 274. Ses lettres au ministre, 275. Son séjour en Italie après la paix est prolongé par mille difficultés, 276. Le card. de Fleury lui prescrit ce qu'il doit faire pour assurer le paiement de ce qui est dû par les alliés, 278. Le maréchal réussit dans cette affaire avant d'avoir reçu ses instructions; il quitte l'Italie, 280. Recommande ses deux fils au ministre, 281. Discute par écrit les avantages et les inconvéniens du projet communiqué par le marq, de Fénelon, et prouve qu'on peut le tenter, 286. Est nommé command. de l'armée destinée à défendre la frontière de Flandre, 287. Comment il remplit cet objet; il propose de fortifier Dunkerque, 288. Sa correspondance avec le Roi sur les desseins des Anglais, et sur la guerre, 289. Lettre du Roi au maréchal, 291. Celui-ci, après la mort du card. de Fleury, conseille au Roi de gouverner par lui-même, 294. Il entre au conseil ; est d'avis qu'on fasse de nouveaux retranchemens à la ville de Dunkerque; qu'on rétablisse les troupes revenues de Prague, 301. Est nommé pour commander en Allemagne; instruction que lui donne le ministre de la guerre d'Argenson, 302. Il se justifie auprès du Roi d'avoir révélé un secret du conseil, 304. Ses opérations militaires, 306. Le Roi lui donne des marques de confiance et de bonté, 308. Par ses manœuvres savantes, il réduit l'ennemi à une disette extrême de subsistances, 310. Il fait de vains efforts pour réparer la faute du duc de Gramont à la bataille de Dettingen, 311. Fait sa retraite en présence des ennemis vainqueurs, qui n'osent le poursuivre, 312. Son humanité envers les ennemis, 313. Lettre qu'il reçoit du Roi sur la bataille de Dettingen, 314. Il va trou

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ver l'empereur bavarois, le console, l'encourage, lui fait toucher 40,000 écus, 316. Ordonne le départ de ses troupes, et abandonne l'Empereur à regret, 318. Ecrit au Roi sur la mauvaise administration du royaume; réponses du Roi, 320. Le maréchal désigne au Roi le comte Maurice de Saxe, pour le mettre à la tête de ses armées, 322. Ses lettres an comte, 323. Leur entrevue, 324. N essaie de dissiper les préventions du Roi contre Maurice, 326. Le maréchal de Coigny dérange entièrement ses projets d'opérations militaires, 328. Il essuie des dégoûts et des censures, dont les lettres du Roi le consolent, 331. S. M. lui annonce l'intention où elle est d'aller se mettre à la tête de ses armées, 332. Le maréchal soutient le Roi dans cette idée, et lui envoie un mémoire sur les questions qui lui ont été proposées, 334 et suiv. Sa lettre au card. de Tencin sur les cabales de cour, 339. Il s'efforce de garantir le Roi de l'esprit d'intrigue, 340. Lui présente des réflexions générales sur les sources des malheurs qu'on a essuyés, lui propose ses vues, et à force d'instances et de représentations donne un peu de nerf au gouvernement, 344 et suiv. Lettre du maréchal au roi de Prusse, touchant la négociation dont il est chargé auprès de ce prince, 357. Réponse de Frédéric, 358. Il met tous ses soins à faciliter au Roi la prise d'Ypres, 364. Défait les ennemis près d'Augueheim, 377. Ecrit au roi de Prusse pour se justifier des accusations du maréchal Schmetteau, 379. Envoie à ce prince le brigadier Dumenil, pour lui rendre compte des opérations qu'on vient d'exécuter, 381. Met sous les yeux du Roi les lettres et mémoires de Schmetteau contre les généraux et ministres de France, et réfute ses allégations, 388. Le roi de Prusse lui écrit à cette occasion d'une manière satisfaisante, 389. Ses occupations politiques, 391. Ses lettres à M. de Chavigny sur les fansses démarches

de Charles VII, 393. Ses lettres an même après la mort de ce prince, 394. Il représente en vain les inconvéniens de vouloir exclure le grand duc du trône impérial, 397. Il conscille au Roi de n'agir offensivement que d'un côté, et de se mettre en état de défense ailleurs, 398. Sert de premier aide-de-camp au maréchal de Saxe à la bataille de Fontenoy, 400. Démontre au Roi, par écrit, les inconvéniens de l'alliance proposée par le comte de Bonneval entre les Turcs et les Bourbons, 410. Offre au Roi d'aller à Madrid disposer la cour aux vues de la France, 422. Part avec de nouvelles instructions que la rupture du traité de Turin a motivées, 429. Accueil qu'il reçoit à Madrid, 430. Ses dépêches au Roi sur les difficultés qu'il rencontre dans sa mission, 432. Conduite qu'il y tient, 434. Sa lettre au comte d'Argenson sur la vivacité que le maréchal de Maillebois et d'Argenson apportent dans leurs lettres et leurs discours, 437. Il réussit dans sa négociation au-delà de ses espérances; son plan de guerre est adopté, 438. Son fils reçoit l'ordre de la Toison d'or; le maréchal quitte Madrid; lettre lui écrit que le dauphin Louis pendant son sejour en Espagne, 445. Réponse du maréchal, 447. Il adresse au Roi un mémoire sur les fautes du ministère, LXXIV, 4. Communique au marq. de Puisieux, nouveau ministre de la guerre, ses lumières et ses avis, 6. Ecrit au maréchal de Saxe pour le détourner de bloquer le château de Namur, 8; et de se faire recevoir de l'Académie française, 11. Présente à la cour d'Espagne un mémoire pour l'engager à continuer la guerre, 12. Aide de ses lumières et de ses conseils le maréchal de Belle-Ile, 15. Est chargé par le conseil du Roi d'écrire à ce maréchal les raisons propres à lui faire changer son système d'attaque en Italie, 18. Détourne le maréchal de Saxe de mettre en son propre nom des vaisseaux en mer, 20. Lui trace un plan de cam

pagne qui est exécuté, 22. Ecrit au
Roi sur la mort de sa mère; réponse
du Roi, 28. Adresse au Roi deux
mémoires sur les colonies, 31 et
suiv. Lui présente ses observations
sur le mémoire du ministre des af-
faires étrangères concernant l'élec-
tion d'un roi des Romains, 35. En-
tretient une correspondance suivie
sur les affaires avec le duc de Duras,
ambassadeur en Espagne, 41. Lui
adresse des observations très-sages
sur le traité de Fontainebleau, 43.
Travaille efficacement avec ce duc
à réconcilier l'infant duc de Parme
avec la cour d'Espagne, 45. Essaie
de ranimer le courage de l'ambassa-
deur et de l'aider de ses conseils,
après la disgrâce du ministre Las-
Encenadas, 49. Travaille à un long
mémoire que Louis xv doit envoyer
au roi d'Espagne, pour le détrom-
per des fausses prétentions qu'on
cherche à lui donner, 50. Dresse un
mémoire dans lequel il développe
le système politique des Anglais,
55. Sa lettre au duc de Duras sur
l'imprévoyance des ministres, 57.
Il adresse au Roi de nouveaux mé-
moires sur la situation de la France
par rapport à l'Angleterre, 60. Sa
lettre au Roi sur les désordres pu-
blics, 62. Autre lettre au Roi en se
retirant du conseil, 66. Réponse du
Roi; il demande la charge de capi-
taine des gardes pour le duc d'Ayen
son fils, et la survivance pour son
petit-fils le comte d'Ayen, 68. Ré-
pouse du Roi, 69. Instruction du
marechal pour le comte d'Ayen, 71.
Son avis au Roi sur les moyens de
calmer la fermentation causée par la
querelle entre le clergé et la magis-
trature, 80. Ses occupations dans sa
retraite, 83. Ses vertus domestiques;
sa mort, 84. Lettres du duc de Bour-
gogne au duc de Noailles, 135 et
suiv. Lettres du duc de Noailles an
cardinal son oncle, 155. Instruction

pour le duc de Noailles, rédigée par le marquis de Torcy après la bataille de Saragosse, 158 et suiv. Lettre du duc au marquis de Torcy, 171; de la duchesse de Bourgogne au duc de Noailles, 173; du duc de Noailles à l'évêque de Châlons, 181. Le comte de Stairs au maréchal, 187; le maréchal au Roi, 189; le comte d'Argenson au maréchal, 195. Autre lettre du maréchal au roi et à la reine d'Espagne, 198; au maréchal de Saxe, 202. Mémoire pour la campagne de 1748, 204. (Mém. de Noailles.)- Le comte d'Ayen donne sa confiance à Rouillé-Ducoudray, lorsqu'il est président du conseil de finances; caractère et génie du maréchal, LXXVI, 212. (Duclos.)

AYREAU (le père), jésuite. Plaintes faites au parlement par le recteur de l'Université, contre la doctrine dangereuse qu'il enseigne, LX, 378. Suites de cette affaire, 379 et suiv.

AYTONNE (le marq. d') est nommé gouverneur et capitaine général des Pays-Bas et de Bourgogne; premiers actes de son gouvernement, XXVIII, 107. Se rend maître des châteaux d'Argenteau et de Lintz; investit Maestricht, 121. (Mém. de Richelieu.)-Oblige le lieut. génér. Straquembourg à abandonner le poste qu'il occupoit au-dessous de Maeseyck, LIV, 246. Après la mort de l'Infante, il va assurer Monsieur et Madame que ce funeste événement n'apportera aucun changement à leurs intérêts; la principale administration des provinces lui est déférée, 251. Fait arrêter ceux qui se sont engagés dans les projets de Carondelet, 254. Proteste à Monsieur que l'assassinat tenté sur Puylaurens ne restera pas impuni; cependant les perquisitions demeurent sans effet, 258. ( Montrésor. )

BAAS aîné (le capit.) est chargé par Lenet d'aller proposer au major de Persan un projet pour arrêter Mazarin, occupé du siége de Bellegarde, LIII, 123. Revient dire à Lenet comment le projet a manqué, 128. Arrive à Montrond avec son frère, un grand nombre d'officiers, de sergens, et 500 soldats, pour offrir ses services à la princesse de Condé, 206.

BACHAUMONT, fils du présid. Le Coigneux, compare le parlement aux enfans du peuple qui s'amusent avec des frondes dans les fossés de Paris de là le nom de frondeurs donné aux ennemis du ministère, XXXV, 67.

:

BAILLEUL (le présid.) répond à M. le prince, au nom du parlement, que cette compagnie recevra toujours à honneur de le voir dans sa place; mais qu'elle ne peut lui dissimuler la douleur qu'elle a de lui voir les mains teintes du sang des gens du Roi tués à Bleneau, XLVI, 74. (Mem. de Retz.) — Représente à la Reine à quelle extrémité le peuple pousse son insolence, et la prie d'accorder la liberté de Broussel et de Blancménil, L, 129. (Montglat.) BALAGNY (le sieur de ) perd son honneur, sa femme et sa souveraineté par sa faute, et s'y montre insensible, II, 391.

BALAGNY, fils du précédent, est attaqué étant presque seul par le duc d'Aiguillon, fort accompagné, VII, 381.

BALBIEN (le caval.) rend la ville de Saluces aux Français, et est fait prisonnier de guerre, XXVI, 187. BALTHASAR DE CAPOUE (don), prince de la Roque Romaine, défait le Papone, et reprend tous les lieux qu'il a occupés, LV, 455.

BALTHAZAR traite avec M. de Candale, et se remet au service du Roi, XLVIII, 434.

B

BAMBERG (le comte de), gouvern. de Philisbourg, rend cette place aux Français par capitulation, LVI, 360.

BANIER, général suédois, reprend la ville de Magdebourg sur Pappeinheim, XXVI, 561. Prend le château de Lunebourg; gagne la bataille de Vistoc, XXIX, 17. Se rend maître de la ville d'Erfurth et de Torgau, 382. Présente la bataille aux Impériaux, qui la refusent, 383. Sa belle retraite en Pomeranie; it défait l'avant-garde de Maracini, 385. Opère sa jonction avec Wrangel auprès de Neustadt, 386. Reprend sur les Impériaux la ville et château de Wolgast, la ville de Gratz, la place de Demmin, et plusicurs autres, XXX, 343.

BANIER (le maréch.) va au secours de Magdebourg, qui est pris par l'électeur de Saxe, XLIX, 113. Entre dans le pays de Brunswick et dans la Basse-Saxe, où il assiége Friedberg; est blessé; s'empare des villes de Leutmeritz et Brandeis, 221. Veut troubler la diète de Ratisbonne; est forcé de se retirer dans la Bohême, 305. Va fortifier le blocus de Wolfenbutel; tombe malade et meurt, 306.

BAR (le sieur de), envoyé par la Reine pour se saisir du Havre, persuade au duc de Richelieu de garder cette place au Roi, XXXVIII, 425.

BARABAS, mot fort en vogue parmi les partisans du prince de Condé; explication diverse de ce mot, XX, 108, note.

BARADAS, favori du Roi, commet une infidélité envers lui; à quelle occasion; il entre dans une cabale contre Richelieu, XXIII, 102. Perd en un moment toutes ses charges, 217. Sa haine contre le cardinal; ses prétentions, 218. Preuves moltipliées de sa vanité et de son ambi

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