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après l'avoir vaillamment défendue; est bien reçu du Roi, et pourvu du gouvernem. de Charleville et MontOlympe, XLIX, 329.

AIGUEBERRE (le sieur d'), aide des camps et armées du Roi, envoyé à Liége pour y faire des levées, est attaqué près de Maestricht par Piccolomini, blessé et fait prisonnier, XXX, 326.

AIGUEBONNE ( le sieur d'), gouvern. de Haguenau, assiégé par Gallas, maintient les habitans de cette ville en retenant comme otages les principaux d'entre eux, XXIX, 178.

AIGUEFELD (le sieur) surprend un parti d'ennemis, et le fait prisonnier, XXIX, 509.

AIGUILLON (le duc d'), fils du duc du Maine, attaque avec une forte escorte le sieur de Balagny presque seul, VII, 381. Reconnoit qu'il est fort redevable à M. de Sully, pour avoir calmé le ressentiment du Roi à cet égard, 382.

AIGUILLON (la duch. d'), nièce du card. de Richelieu, conseille à la Reine de faire arrêter le prince de Condé, XXXV, 148. (Introd.)-Envoie un courrier au Havre, pour empêcher que son neveu le duc d'Aiguillon y soit reçu, XXXVIII, 424. Comment elle parvient à inspirer de la defiance au duc d'Orléans contre l'abbé de La Rivière, et contribue par ses conseils à l'emprisonnement du prince de Condé, 432. Paroit touchée de son infortune depuis qu'il est transféré au Havre, XXXIX, 88. (Mem. de Matteville.) — Va se plaindre à la Reine du mariage que le prince de Condé a fait du jeune duc de Richelieu avec mad. de Pons; lui conseille de faire arrêter M. le prince, L, 205. (Montglat.) - La douleur qu'elle ressent du mariage de son neveu la porte à se venger de M. le prince, qui l'a approuvé, LIII, 73. ( Mém. de Lenet.)

AILLOT (Pierre), médecin de Barle-Duc, est appelé pour guérir le cancer dont est attaquée Anne d'Au

triche; effet que produisent ses remèdes, XL, 261.

AIRE (siége d'). Détails sur les opérations de ce siége; noms de ceux qui y périssent, XLIX, 307 à 315.

AIX-LA-CHAPELLE (traité d'), conclu en 1668. Acquisitions que fait la France par ce traité; le renouvellement de la ligue entre les Suédois, les Anglais et les Hollandais en est la suite, LI, 159.

ALAIS (le comte d') enlève deux quartiers des régim. du duc de Lorraine en decà de la Meuse, XXVII, 110. Fait arrêter en Provence le prince Casimir de Pologne, XXX, 457. (Mem. de Richelieu.) - Veut s'assurer de la ville d'Aix; est arrêté par le présid. d'Oppède, qui s'est mis à la tête des mutins, L, 153.Prend le titre de duc d'Angoulême après la mort de son père, 243. Cherche à se maintenir de force dans son gouvernement, 391. Accepte l'amnistie, et vient trouver le Roi, 392. (Mem. de Montglat.)

ALBE (Ferd. Alvarez de Tolède, duc d'), envoyé en Flandre à la tête de 10,000 hommes, y déploie une sévérité qui soulève tous les esprits, XI, 410. Etablit un tribunal destiné à faire le procès à ceux qui ont contribué, soit directement, soit indirectement, aux troubles; fait condamner les comtes d'Egmont et de Horn, 411. Ses paroles au sujet de leur exécution, 412. Il entre triomphant à Bruxelles; fait périr par la main du bourreau tous les prisonniers faits dans les combats, 413. Monument d'orgueil érigé en signe de sa victoire; il devient en horreur aux habitans des Pays-Bas, 414. Demande et obtient son rappel, 415. (Précis de l'hist. des Pays-Bas.)

Entre dans le Portugal, et force Antoine, nouveau roi, de sortir de Lisbonne, XLIX, 344. ( Mém. de Montglat.)

ALBERONI (le cardinal) est ôté du ministère, et chassé d'Espagne; les Génois lui refusent un asyle; son génie et ses talens pour le gouver

nement, LXX, 36. Comment il empèche le roi d'Espagne de se livrer à l'armée de France, 37. (Mem. de Villars.) — Envoyé extraordinaire du duc de Parme en Espagne, excite la jalousie de Philippe v contre le duc d'Orléans, régent de France, LXXIII, 144. Trompe la cour de Rome, et reçoit le chapeau de cardinal, 158. Ses projets de changer la face de l'Europe; il fait déclarer la guerre contre l'Empereur, 160. Ses entreprises, 171. Il est l'ame du complot qui a pour but d'oter la régence au duc d'Orléans, 174. Il fait déclarer la guerre à la France; va finir ses jours dans sa patrie, 187. (Mém. de Noailles. )· Sa naissance obscure; comment if plait au dac de Vendôme, LXXVI, 226. Est envoyé à Madrid en qualité de résident du duc de Parme, 227. Comment il empêche que Louville, envoyé extraordinaire en Espagne, parle au Roi, 246; comment il se débarrasse du grand inquisiteur, cardinal del Judice, 248. Ses efforts pour parvenir au cardinalat; il cherche à écarter les Parmésans qui voudroient venir à Madrid voir la Reine, 249. Par quelle intrigue il se délivre d'inquiétude du côté de la France, 250 et suiv. Obtient le chapeau de cardinal; son plan politique, 287. Il engage son maitre dans une guerre ruineuse, 288. Reçoit des coups de canne du marquis de Villena; à quelle occasion, 290. Quoique haï du peuple et méprisé des grands, il n'en montre pas moins d'assurance à toutes les puissances étrangères, 292. Ne traite dans ses manifestes l'Empereur que d'archiduc, 305. Conditions qu'il exige de ce prince, 306. Nommé à l'archevêché de Tolède, et ne pouvant obtenir ses bulles du Pape, il s'empare et jouit des revenus des églises de Séville et de Malaga; furieux du traité de la quadruple alliance, il cherche tous les moyens d'exciter des troubles en France, 307. La nourrice de la reine d'Espagne parvient à le rendre odieux, 384. Il reçoit ordre

de sortir de l'Espagne, 385. Passe en France, où il est interrogé par le chevalier de Marcieu; ses déclarations, 387. Il se rend à Parme; ́ est errant pendant un an; assiste au conclave, 389. La congrégation nommée pour lui faire son procès tire l'affaire en longueur; d'après quel principe, 449. Après l'élection du Pape, Alberoni prend un palais à Rome, est envoyé légat à Ferrare; sa mort, 450. (Mém. de Duclos.)

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Ecrit

ALBERT, archiduc, cardinal, et archev. de Tolède, est envoyé pour gouverner les Provinces-Unies; conditions que lui offre le roi d'Espagne s'il parvient à les soumettre, XI, 434. Il fait part aux Etats-généraux de la résignation que fait Philippe 11, en faveur de sa fille, de la souveraineté de ses Etats de Flandre, 436. Il détermine le Roi à faire des ouvertures de paix, 438. (Précis de l'hist. des Pays-Bas.) aux ambassad. de France et d'Angleterre qu'ils doivent prendre créance à ce que leur a écrit et ce que leur écrit encore le présid. Richardot; les remercie de leurs bons offices dans la négociation avec les Etats des Provinces-Unies, XIV, 462. Reçoit une lettre des ambassad, de France et d'Angleterre, qui lui annoncent que les Etats ont résolu de traiter de la trève proposée, et le prient de lui faire connoitre son intention sur le lieu où ils doivent se rendre pour traiter avec ses députés, XV, 102. Répond aux ambassad. que ses députés vont se rendre à Anvers, 134. Reçoit de leur part une lettre de remercimens pour l'honneur et la courtoisie qu'ils ont reçus à Anvers, avec prière d'achever par sa prudence l'œuvre de la paix, 278. Réponse de l'archiduc, 280. (Negociat. de Jeannin.) — II se rend maître de plusieurs places du Palatinat, XXII, 116. ( Mém. de Richelieu.) Investit La Capelle, et s'en empare, XLIX, 124. Emporte le Catelet, 125. Passe la Somme, 126. S'empare de Roye, 127; de Corbie, 128. Vient atta

quer Maubeuge, 158, qu'il est forcé d'abandonner, 159. Attaque Ruremonde, et s'en rend maître; prend Vanloo, marche sur Maubeuge, 163. Tombe malade dans son camp devant Aire, et meurt, 329. (Mem. de Montglat.)

ALBY (l'évêque d') est dégradé de tout caractère sacerdotal et de tout privilége clérical, pour avoir été le principal auteur de la révolte du Languedoc, XXVIII, 200.

ALBY (Hippolyte d'Arragon, baronne d'), forme le projet d'enlever la Catalogne aux Français, XXXV, 42. Elle est arrêtée; étonne ses juges par son courage et son sang-froid, 45.

ALDOBRANDIN (le card.) est envoyé par le Pape pour traiter de la paix entre le Roi et le duc de Savoie, III, 384. Négociations, 397. Son entretien avec M. de Rosny, 401. Tous deux concluent la paix, 402. ALDRINGHER (le sieur), command. l'armée impériale, attaque et prend Mantouc par capitulation, XXVI, 191. Est blessé dans la bataille livrée au roi de Suède sur le Lech, XXVII, 55.

ALEGRE (le marq. d') fait une très-belle défense à Bonn, LXV, 427.

ALENÇON (le duc d'), frère de Henri II, est reconnu chef des politiques, I, 64. Est envoyé auprès du roi de Navarre; s'accorde avec lui sur les conditions d'une nouvelle paix, 73. Est reçu dans les Pays-Bas, nommé duc de Brabant, puis forcé de revenir en France, où il meurt de mélancolie, 74. (Introduct.) S'enfuit de la cour travesti, et se retire à Dreux, 257. Est gagué par la cour, et devient le plus contraire au roi de Navarre et au prince de Condé, 262. Appelé par les révoltés des Pays-Bas, il fait de grandes levées d'hommes, 304. Est reçu dans Cambray, 317. Assiége et prend Cateau-Cambresis, 318. Moyen perfide dont il se sert pour enlever le gouvernem. de Cambray au sieur d'Inchy, 320. Passe en An

gleterre ; revient en Flandre, 323. Est reçu avec joie à Anvers; y est couronné duc de Brabant; danger qu'il y court par suite de l'assassinat du prince d'Orange, 324. Sa perfidie envers les Flamands, 326.(ÕEconom. roy.)-Est couronné à Anvers duc de Flandre et de Brabant ; paroles qu'il prononce en recevant la couronne, XI, 423. Comment il la perd, 424. (Précis de l'hist. des Pays-Bas.)

ALEXANDRE VII (le pape) confirme par une bulle les dispositions prises par l'archev. de Péréfixe contre les religieuses de Port-Royal de Paris. Cette bulle est enregistrée au parlement, et reçue de tous les évêques de France, hors quatre, XXXIII, 173. Il ordonne, par un bref, à ces évêques de retirer leurs mandemens, sous peine d'interdiction; désigne neuf prélats pour faire leur procès, 188. (Voy. aussi l'art. Chigi.)

ALEXANDRE, fils bâtard de Henri iv, est reçu dans l'ordre des cheval. de Malte, V, 400.

ALFESTON, natif de Châlons, est condamné par le parlem. de Metz à être rompu vif, pour avoir voulu attenter à la vie du card. de Richelieu; ses déclarations, XXVII, 446.

ALGAY DE MARTIGNAC, premier éditeur des Mémoires du duc d'Orléans, paroît aussi en être le rédacteur, XXXI, 34.

ALIBERT (le sieur d'), fils du surintend. de Monsieur, se vante d'ètre chargé par ce prince d'une mission à Rome auprès du card. de Retz ; il est arrêté; Monsieur désavoue son propos, et sa mission prétendue, XLII, 173.

ALIGRE (le sieur d') est nommé garde des sceaux; il devient ami de Bassompierre, XXI, 5.

ALINCOURT (le sieur d'), fils de M. de Villeroy, élève des prétentions touchant le rachat du domaine du Lyonnais, VIII, 466. Opposition qu'il rencontre de la part de M. de Sully, 467. Comment il réussit, 471. (OEconom. royales.)-Ennemi du

duc de Sully, travaille à le faire renvoyer du ministère, XXI bis, 84. (Mem. de Richelieu.)

ALINCOURT (le chev. d') est tué au combat livré dans Turin, XLIX, 250.

ALLIMES (le chev. des) est député par le duc de Savoie auprès de M. de Rosny pour le gagner; son entretien avec lui; présens qu'il lui offre, III,

325.

ALLUYE (le marq. d') est tué au siége de Renti, XLIX, 203.

ALMANZA (bataille d'), en Espagne, gagnée par le maréch. de Berwick; morts, blessés et prisonniers, LXVI, 96. Suites de cette bataille,

97.

ALPHONSE VI, roi de Portugal, se marie avec Marie-Elisabeth-Françoise de Savoie; conclut une ligue avec la France contre la maison d'Autriche, LVIII, 407. Ses succès contre les Espagnols, 408. Sou indifférence pour la Reine; à quoi elle est attribuée, 409. Il est déposé par une résolution de l'assemblée des Etats; on lui accorde le duché de Bragance, avec un revenu de 50,000 cruzades, 412. Son mariage est déclare nul, 413. Est conduit à la Tercère, puis renfermé au château Cintra, 415.

ALUMBRADOS (los), confrérie formée en Espagne, dont l'Eglise condamne les maximes et punit les actions, XXII, 282.

ALVIMAR (le sieur d'), envoyé à Bordeaux par Mazarin pour remettre des ordres du Roi au parlement et aux jurats de la ville, court risque d'être mis en pièces par le peuple; est mené devant la princesse de Condé, LIII, 286 et suiv. Est sauvé par elle, et gardé par le marq. de Lusignan, contre lequel il portoit des ordres, 289. Son entretien avec Lenet; conseils qu'il lui donne au sujet de la princesse, 306.

AMBOISE (Jacq. d'), recteur de l'Université de Paris, publie un décret par lequel cette compagnie proteste de sa fidélité à Henri IV, I, 182. AMBRES (le marq. d') défait, à la

bataille de Leucate, la troupe commandée par Terrasse, XXX, 178.

217.

AMELOT, prem. présid. de la cour des aides, dit ouvertement à M. le prince qu'il s'étonne de voir sur les fleurs de lis un prince qui, après avoir si souvent triomphé des ennemis de l'Etat, vient de s'unir à eux, XLVI, 87. (Mem. de Retz.) XLVII, Son discours dans la séance de la cour des aides, le 23 avril 1652, en réponse au duc d'Orléans et au prince de Condé, XLVIII, 35. Il se plaint d'avoir été interrompu; sa fermeté envers M. le prince, 36. Accepte avec peine d'être député auprès du Roi pour l'expulsion du cardinal, 39. (Mem. de Conrart.)

AMELOT (Michel), marquis de Gournay, envoyé ambassadeur en Suisse, maintient par un traité ce pays dans l'amitié et l'alliance avec la France, LXV, 91. ( Mém. de la cour de France.)-Est nommé ambassad. en Espagne, LXXII, 348. Il reconnoît que les opérations d'Orry sont le seul remède aux besoins pressans de l'Etat; il réfute fortem. les difficultés des ministres d'Espagne, 350. Ce qu'il pense du Roi et de la Reine, 351. Il découvre un complot tramé contre eux, 352. Opinion qu'il se forme à l'égard des grands, 354. Attend avec impatience la princesse des Ursins, 355. Ses conseils dans une querelle de cérémonial sont suivis, 358. Il répond aux griefs des grands, 365. Remet à la décision de Louis XIV le plan de la princ. des Ursins sur la formation d'un conseil, 367. Rend compte au Roi d'une révolte populaire et sanglante excitée à Saragosse contre les troupes françaises, 368. Soutient un travail immense au milieu des malheurs de l'Espagne, 398. Il répond aux questions que lui a faites Louis xiv sur les dispositions où sont les Espagnols à l'égard de Philippe, 434 et suiv. Réfute avec chaleur les sophismes du nonce du Pape, concernant le titre de roi catholique donné à l'archiduc, reconnu roi de Naples, 439. Ecrit avec force à Louis xiv contre

les articles préliminaires de paix, 443. Demande son rappel; pour quoi, 447. Il l'obtient, 450. Ecrit au Roi pour qu'il laisse en Espagne une vingtaine de bataillons de troupes françaises, 453. Réponse du Roi, 454.

AMONTOT (M. d') demande au cardinal infant, de la part du Roi, la restitution de Trèves et la liberté de l'électeur, XLIX, 73.

AMORE (Matheo d') est tué en combattant pour le duc de Guise, LVI, 150.

AMORETI (l'abbé d'), envoyé par mad. de Savoie auprès du Roi, vient le complimenter à Dijon de sa part, et lui témoigne la joie qu'elle et son fils ont de l'espérance de le voir bientôt, XLII, 347. Il complimente aussi Mademoiselle, 348.

ANCEL (le sieur d') est envoyé en Allemagne pour traiter du projet de la confédération européenne, VIII, 219.

ANCRE (le maréchal d'). Voyez l'art. Concini.

ANDELOT (d') déclare à Henri 11 qu'il aime mieux mourir que d'aller à la messe, I, 25.

ANDELOT (Ch. de Coligny, marq. d'), l'un des fils de l'amiral, prétend avoir en ses mains la cornette blanche de Lorraine, remise par le sieur de Sigongne au baron de Rosny pendant la bataille d'Ivry, I, 444 et 446. Il se range, par dépit, du côté de la Ligue, 454.

ANDOUINS (le sieur d') conduit trente pinasses de Bayonne à S.-Martin de Ré, XXXI,79. Le conseil qu'il donne pour secourir le fort est jugé le meilleur par l'événement, 81.

ANDREA Vincenzo d'), provéditeur général, trahit avec beaucoup d'adresse la cause du peuple napolitain, LV, 109. Moyen qu'il emploie dans cette vue, 121. Tend un piége au duc de Guise, 331. Oblige Gennaro à donner toujours des soupçons du duc de Guise, pour l'empêcher d'être assisté, LVI, 19. Sa conduite artificieuse et pleine de malice est mise au grand jour par le

duc, 65 et suiv. Il devient suspect à tout le monde, 68. Cherche à soulever le peuple contre le duc, 88. S'enfuit à son aspect, 91. Manque d'être tué d'un coup de pistolet par le chevalier de Forbin, 94.

ANDREA (le duc d2) est nommé par la noblesse napolitaine pour convenir avec le duc de Guise du réglement du quartier entre leurs troupes; noms des cavaliers qui l'accompagnent, LV, 279. Sa conférence avec le duc, 282. Comment il devient suspect aux Espagnols, qui le font assassiner, 421.

ANDRINOPLE. Description de cette ville, LIX, 131.

ANGÉLIQUE DE S.-JEAN (la mère), fille ainée d'Arnauld d'Andilly, est transférée de Port-Royal de Paris aux Annonciades; publie une relation de sa captivité, XXXIII, 173. Ses connoissances profondes et variées; son opiniâtreté; sa conduite aux Annonciades, 174. L'archev. de Paris fait un dernier effort pour la fléchir, 177. Elle lui demande plusieurs fois la permission d'approcher des sacremens, 178. Offre à la supérieure d'être prisonnière sur parole, l'obtient, et s'en repent bientôt, 179. Est réunie avec les autres à PortRoyal des Champs, 180. Meurt abbesse du monastère; traits de son caractère, 232.

ANGLETERRE. Description physique et politique de ce pays, LVIII, 119 et suiv. Causes de la révolte des Anglais contre leur prince légitime, 126. Suites de la révolte, 130 et suiv. L'Angleterre est déclarée république après la mort de Charles 1, 162. (Mem. de M. de ***)- Etat de ce pays depuis la mort de Cromwell, LXIII, 273. Charles 11 rétablit les seigneurs et les évêques; son caractère, 274. Mem. de Choisy.)

ANGOULEME (le duc d'), auparav. comte d'Auvergne, complice du duc de Biron, est mis en liberté, IV, 156. Ses trahisons découvertes, V, 255. Conjectures sur sa conjuration, 304. Entretien du Roi avec M. de Rosny sur le caractère et la con

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