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Accueil qu'il en reçoit, 205. Affaire qui lui arrive avec un conseiller du parlement de Metz, 207. Il va trouver à Paris M. Arnauld son père, qui l'oblige à ratifier le contrat de vente de sa terre d'Andilly, 208. Ses liaisons avec les dames de Chau mont, 209. Singulier ordre de chevalerie qu'une d'elles institue, 210. Comment il parvient à obtenir audience de M. des Noyers, 211. Il est témoin de la force et de l'agilité des Irlandais, 212. Il est envoyé à la cour avec des lettres pour la Reine et les nouveaux ministres, 215. Va rendre visite avec M. Arnauld au maréc. de Vitry, remis en liberté, 217. Va joindre avec lui M. le prince devant Thionville, 218. Prend la résolution de quitter le service pour embrasser l'état ecclésiastique, 220. Il se rend auprès de l'abbé de S.Nicolas, 221. L'accompagne en Ita lie; détails sur leur voyage, 222. Ils arrivent à Gênes; description de cette ville, 226. Se rendent à Plaisance; fète qui leur est donnée, 228; à Modène; comment ils y sont reçus par le card. d'Est et le duc son frère, 229. L'abbé Arnauld est invité à danser dans un bal, 230. Suite de leur itinéraire, 231. Leur arrivée à Rome; détails sur leur séjour dans cette ville, 233. Exemples de fermeté de quelques ambassadeurs français, 235. Il se rend avec l'abbé de S.-Nicolas aux bains de S.-Cachan, 244. Leur séjour à Radicofani, 245. Ils rendent visite au prince Casimir de Pologne, 246. Vont à Florence auprès du grand dac, 247. Soins extraordinaires de ce prince pour sa santé, 248. Regrets de l'abbé Arnauld en quittant Rome, 270. Il reçoit un tableau d'un grand prix de l'abbé Capponi, 271. Son séjour à Lorette, 272; à Florence; diamant du grand duc, bague de la reine d'Angleterre, 273. Aventure remarquable arrivée à une fille de cette reine, 274. Suite de l'itinéraire de l'abbé Arnauld, 276. Il se retire pendant les troubles à Port-Royal des Champs, 280. Se

rend à la terre de Pomponne, où il tombe malade, 282. Va trouver le duc de Rohan, pour se plaindre de l'indigne traitement qu'il a fait à l'évêque d'Angers, 297. Se rend à Brissac; retourne à Angers auprès de M. de Rohan; sa fermeté, 298. Sort secrètement d'Angers pour se rendre à Sautraye, 301. Fait connoissance de mad. de Marans et de madem. de Montalais; portrait de ces dames, 303. Se lie à Angers avec M. et mad. de Fourilles, 305. Se rend à Paris; fait connoissance de mad. de Sévigné; son éloge, 314. Donne presque tout son bien à son frère pour le marier, 315. Une dame vient lui faire part des mécontentemens qu'elle a de son mari; histoire de cette dame, 322. Il fait un voyage à Paris, 328. Y tient une de ses nieces sur les fonts, 33o. Il va avec son frère et sa belle-sœur porter à M. de Sacy l'ordre pour sa liberté; éloge de M. de Sacy, 332. Se lie avec M. Ribeyre, intendant de la Touraine, 333. Obtient, par le moyen de M. de Pomponne, des lettres patentes pour introduire dans l'abbaye de S.-Nicolas des pères de la congrégation de S.-Maur, 342. Ce qui lui arrive avec mad. la duchesse de Brissac, 344. Il fait un voyage à Versailles, y retrouve d'anciennes connoissances, entre autres M. de Montausier; éloge de ce seigneur, 350. Eloge de madem. Ladvocat, 351. Est invité, à son retour, d'aller à Basville; son séjour en cet endroit; éloge du prem. président et de ses fils, 352. Son séjour chez M. de Valentiné, 354. Son voyage à Bourbon, 355. Est nommé à l'abbaye de Chaumes; va remercier le Roi, 357. Il retourne à Bourbon; rencontres qu'il y fait, 364 et suiv. (Mém. de l'ab. Arnauld.)

ARNAULD (Isaac), fils aîné d'Isaac Arnauld, intend. des finances, rend le château de Philisbourg; est retenu prisonnier malgré la capitulation, et envoyé à Eslingen, XXVIII, 220. Est renvoyé en France et mis à la Bastille pour n'avoir pas bien dé

fendu la place; obtient sa liberté après s'être justifie; est réintégré dans ses emplois, 222. (Mem. de Richelieu.)-Voir, pour plus de détails, XXXIII, 349 et suiv. Il prend d'assaut Ager en Catalogne; ordre qu'il fait observer dans la prise de cette ville, 356. (Mém. d'Arn. d'Andilly.) L, 81; LVI, 405. Comment il se sauve de sa prison d'Eslingen, XXXIV, 131 et suiv. Rend visite au maréchal de Vitry, mis en liberté, 217. Reçoit ordre de mener ses troupes à Thionville, 218. Est blessé en duel, 219. S'attache au parti de M. le prince; son habileté dans l'astrologie judiciaire, 285. Evite la prison en se mariant, 287. Comment il fait tenir une épée à M. le prince dans sa prison, 288. Essaie de le détourner de s'engager dans une guerre civile, 289. Se rend pour lui à Dijon, y meurt; son éloge, 290. (L'abbé Arnauld.)-Instruit du mécontentement du coadjuteur contre Mazarin, il va le trouver pour l'engager dans le parti des princes, L, 255. ( Moniglat.) · Voulant être ou paroître l'auteur de la liberté des princes, invente une infinité de projets, qu'il communique aux personnes les mieux intentionnées, LIV, 46. ( Mém. de Lenet.)

ARNAULD (Ant.), second fils de La Mothe-Arnauld, succède à son père dans la charge de procureur général de Catherine de Médicis; il se donne tout entier au barreau; son mariage, ses alliances, XXXIII, 308. Il signale son zèle pour le scrvice du Roi par des écrits éloquens; répond à un manifeste de M. du Maine par l'Anti-Espagnol; danger auquel l'expose cet écrit, 309. Autres écrits, 310. Il fait lever aux dépens de la ville d'Amiens un régiment de 1200 hommes; reçoit, de La reconnoissance du Roi, une pension de 400 écus; plaide une cause importante dans le parlement en présence du Roi et du duc de Savoie, 311. Divers traits de la force de son éloquence, 312. Raisons qui lui font

refuser la place d'avocat général, 315. Son amitié et sa confiance pour son fils Arnauld d'Andilly, 317. Sa mort; son éloge, 318. Vers faits à sa mémoire, 319.

ARNAULD (Isaac), troisième fils de La Mothe-Arnauld, est fait intendant des finances du Roi; son éloge, XXXIII, 320. Marques de confiance qu'il reçoit du Roi et de la Reine, 321. Henri iv, au moment de sa mort, veut le faire surintendant des finances, 322.

ARNAULD (David), quatrième fils de La Mothe-Arnauld, contrôleur général des restes, se distingue par son savoir, son éloquence et son extérieur, XXXIII, 322.

ARNAULD (Benjamin), cinquième fils de La Mothe-Arnauld, est tué au siége de Gergeau, XXXIII, 323.

ARNAULD (Claude), sixième fils de La Mothe-Arnauld, trésorier général de France, commande une batterie au siége de Montmélian; meurt à l'âge de 27 ans, XXXIII, 324.

ARNAULD (Louis), septième fils de La Mothe-Arnauld, secrétaire du Roi et contrôleur général des restes, est taxé à 40,000 liv. par la chambre de justice de 1625; à la recommandation de son neveu, il est déchargé de cette taxe, XXXIII, 324. (Mem. d'Arn. d'Andilly.) — Est tué dans un combat devant Verdun, XXXIV, 186. (L'abbé Arnauld.)

ARNAULD (Angélique), fille du célèbre avocat de ce nom, est nommée abbesse de Port-Royal par Henri iv; entreprend la réforme de sa communauté et d'autres couyens du même ordre; son caractère ferme et élevé, opposé à la modération de sa sœur Agnès, XXXIII, 9. La mère Angélique fixe l'attention de plusieurs évêques, entre autres de François de Sales, qui visite Port-Royal; ce grand nombre de religieuses qu'el le attire lui fait établir une succursale dans le faub. S.-Jacques, 10. Cette succursale prend le nom de Port-Royal de Paris; la mère Angélique obtient de Marie de Médicis et d'Urbain vin qu'elle ne dépendra

plus de l'abbé de Citeaux, et sera soumise à la juridiction de l'archev. de Paris, 11. Elle obtient en outre que l'abbaye sera élective et triennale; accueille avec ardeur le projet d'un ordre de religieuses destiné à l'adoration perpétuelle du saint-sacrement; compose avec sa sœur Agnès un Chapelet secret du SaintSacrement, qui est attaqué par les jésuites, et défendu par S.-Cyran, 12. Le Chapelet est supprimé par le Pape; elles protestent contre cette suppression, prennent part aux affaires, jouent un rôle dans la société, 13. La mère Angélique veut faire passer Vincent de Paule pour un homme simple et sans esprit; elle entre dans les conseils les plus secrets da parti janséniste, 72. Visite les solitaires de Port-Royal des Champs; comment elle y est reçue; se lie intimement avec la princ. Marie de Gonzague; lui recommande le livre de la frequente Communion, 73. Elle écrit à la Reine mère une lettre éloquente, dans laquelle elle soutient que ses religieuses ne s'occupent d'aucune discussion théologique, et qu'elles n'ont pas même lu le livre de la fréquente Communion, 158. Sensation que fait cette lettre dans le monde; elle meurt avec courage au milieu de ses souffrances morales et physiques, 159. ARNHEIM, général suédois, bat les Impériaux près de Lignitz, XXVIII, 106.

ARNOLFINI, moine bernardin, envoyé du comte de Fuensaldagne, se présente au parlement sous le nom de don Joseph de Illescas, XLIV, 334. Il y est admis; son discours, 344. (Mem. de Retz.)-Sc présente au parlement en qualité de heraut de l'archiduc; y fait des offres d'une paix générale, XLVII, 59. (Guy Joly.

ÁRPAJON (le vicomte d') prend Consarbruck, et va mettre le siége devant Trèves, XXVII, 141.

ARPAJON (le vicomte d'), sollicité par les promesses de Mazarin de soutenir le parti du Roi, de

mande l'érection de sa terre en du

ché-pairie, le bâton de maréchal, et l'argent nécessaire pour payer la lieutenance de roi de Guienne, LIII, 365.

ARPAJON (le marq. d') se signale en Espagne par la prise d'Arens, de Venasque et de Castel-Léon, LXXIII, 94.

ARQUIEN (M. d') obtient le gouvernem. de Calais, pour apaiser les plaintes qu'il fait de la violence du duc d'Epernon envers lui, XVI, 208.

ARQUIEN (madem. d'), fille du colonel des cent-suisses de Monsicur, passe en Pologne; son portrait, LIX, 3. Est mariée avec le chancelier Zamoski, puis à Jean Sobieski; fait venir son père auprès d'elle. (Mém. de M. de ***. ) — Pourquoi elle ne peut parvenir à le faire élever en France à la dignité de duc, LXIII, 421 à 428. Ecrit à Monsieur une lettre pleine de reproches et de menaces, parce que ce prince empêche le marq. d'Arquien son père de toucher l'argent de la vente de sa charge, 496. Conduite de Monsieur après avoir In cette lettre, 497. Elle force le Roi son mari à licencier les troupes que le marq. de Béthune son beau-frère lève en Pologne, 498. ( Mém. de Choisy.)- Veuve de Jean Sobieski, elle vient se retirer à Blois, LXXVI, 168. (Duclos.)

ARRAS (la ville d') est assiégée par La Meilleraye et Châtillon, et forcée de se rendre par capitulation, XLIX, 269 à 284. Est assiégée par le prince de Condé et par l'archiduc d'Autriche; détails sur ce siége, L, 443 et suiv. Turenne, La Ferté et d'Hocquincourt font lever ce siége en battant l'armée espagnole, 447.

ARSCOT (le duc d'), gouvern. de Mons, reçoit dans cette ville mademoiselle de Montpensier, XLIII, 320. Honneurs qu'il lui rend, 322.

ARTAGNAN (M. d') rend compte à madem. de Montpensier de l'état où il a laissé à Pignerol M. de Lauzun, qu'il a été chargé d'y con

duire, XLIII, 341 et suiv. Est tué au siége de Maestricht, 359.

ARTAGNAN (Ch. de Baats) est chargé par le Roi d'arrêter le surintendant Fouquet, XL, 140.

ARTIGNY (madem. ), fille d'honneur de Madame, et confidente du Roi et de madem. de La Vallière, est mariée au comte Du Roule, et richement dotée par le Roi, XL, 274. ARUNDEL (le comte d') est envoyé de la part du roi d'Angleterre à la diète de Francfort, pour demander la restitution du Palatinat à son neveu, XXIX, 89. A quelles conditions cette restitution est promise, 90.

ASFELD (le baron d'), commandant de Bonn, est blessé au siége de cette place, LIX, 231. Sort de la place tambours battant, enseignes déployées, 232. Meurt de sa blessure, 233.

ASFELD (le chev.) assiége Xativa dans le royaume de Valence, et s'en rend maitre après une résistance opiniàtre de la part des habitans, LXVI, 99. Débarque dans l'ile de Majorque, et la soumet, 218. Se rend maître de Philisbourg après la mort du maréchal de Berwick, 316. ASSENTAR (le marq. d'), général de la cavalerie espagnole, est tué à la bataille de Senef, LXV, 196.

AUBAIS (le sieur d') secourt la ville de S.-Afrique, assiégée par le prince de Condé, XVIII, 367.

AUBIGEON (le comte d'), gouverneur de Montpellier, est condamné pour un duel, et perd son gouvernement, XLII, 129. Il se retire à Blois chez Monsieur, qui ne peut le protéger, 130.

AUBIGNÉ (Théodore-Agrippa d') s'éloigne de Henri IV à l'époque de la conversion de ce prince; son caractère satirique, III, 160. (ОEconom. royales.) Connu par ses écrits et son zèle pour la religion protestante; son caractère; son attachement pour Henri Iv; ses enfans, LXVI, 362. Il va s'établir en Amérique; sa mort, 363. (Souv. de Caylus.)

AUBIGNY (M. d') contribue beaucoup à la bonne réception qui est faite en Angleterre au card. de Retz, XLVII, 437.

AUBRI, fils d'un conseiller d'Etat, meurt des blessures qu'il a reçues au siége d'Arras, XLIX, 272.

AUBRY ( le présid.) fait échouer par son éloquence et sa fermeté la proposition faite au parlement, par Condé, de liguer toutes les grandes villes contre Mazarin, XXXV, 246. (Introduct.) - Conseille à l'hôtelde-ville de penser à la paix, XLIV, 327. Dans une assemblée générale tenue à l'hôtel-de-ville, demande qu'on fasse au Roi des remontrances pour obtenir l'éloignement de Mazarin, XLVI, 78. (Mém. de Retz.) -Fort goutteux, et âgé de 78 ans, se sauve de l'émeute de l'hôtel-deville, et s'en retourne chez lui à pied, quoiqu'il ne pût auparavant faire un pas, et qu'il se fit toujours porter dans une chaise, XLVIII, 150. (Mém. de Conrart.)

AUBUSSON (Georges d'), archev. d'Embrun, second président de l'assemblée du clergé, présente à la Reine des remontrances au nom de cette assemblée sur la détention des princes, XLVII, 488.

AUMALE (le duc d') reçoit des Seize l'autorité suprême à Paris, à la nouvelle de la mort du duc de Guise, I, 109.

AUMALE (M. d') s'attache à l'hôtel de Chevreuse, XLV, 183. Ne pouvant supplanter le coadjuteur, il tente de le faire assassiner, 186.

AUMONT (le maréch. duc d'), auparavant marq. de Villequier, donne à la Reine régente une preuve de sa fidélité, en acceptant le bâton de capitaine des gardes lors du retour des princes à Paris, XXXIV, 478. (Mem. de la duch. de Nemours.)

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prince, dont il se disoit auparavant serviteur, XXXIX, 2. ( Mém. de Motteville.) · Est fait prisonnier dans une entreprise sur Ostende, XLII, 312. Se bat en duel avec M. d'Elbeuf; à quelle occasion, 331. Est condamné par le parlement, et contraint d'aller en Hollande, 332. Prend Courtray, XLIII, 112. (Madem. de Montpensier.) -Passe un marais avec un corps d'armée, malgré l'artillerie espagnole, L, 14. Est fait lieutenant général, 15. Attaque et défait 600 chevaux espagnols, et enlève un grand convoi; investit Lens, qui se rend, 72. Est fait maréchal de France, et prend le nom de maréchal d'Aumont, 264. Marche au secours de Furnes; en vient aux mains avec l'archiduc, 297. Comment son entreprise sur Ostende échoue; il y est fait prisonnier de guerre, LI, 50. Met le siége devant BerguesSaint-Vinox, qu'il prend en deux jours; se saisit d'Armentières, investit Tournay, qui se rend au Roi, 141. Assiége Courtray, 142. Reçoit la place à composition; entre dans Menéene, Comines, Deinse et Thiels, 143. (Mém. de Mont glat.)

AUMONT (le marq. d') s'empare de Germershein et de Spire, XLIX, 442. Assiége Landau, où il est blessé à mort, 444.

AURIA, maréchal de camp, tente une entreprise sur S.-Jean-d'Angely, XVIII, 186.

AURILLOT, gentilh. de Champagne, du parti des princes, pille et brûle le village de Bonnecourt, XXXI, 259. Il est fait prisonnier, 263. Condamné à Chaumont à avoir le coa coupé, 264. Est conduit à Paris, où il en appelle, 266. Il y est condamné à la même peine, et exécaté en place de Grève, 272.

AUTORITÉ ROYALE en France. Comment elle fat toujours tempérée par des coutumes reçues, XLIV, 180. Autorité absolue introduite par Richelieu, 181. Portrait de ce cardinal, 184. Portrait de Mazarin, 186.

Différence dans leur conduite et dans leurs moyens, 188.

AUVERGNE (le prince d'), autrement chevalier de Bouillon, reçoit 6,000 livres de pension pour avoir donné l'idée des bals de l'Opéra, LXXVI, 215.

AVAUX (Cl. de Mesmes, comte d'), ambassadeur de France à Venise, travaille auprès de la République à l'engager à venir au secours des Grisons, XIX, 21. Fait part à la cour de France du peu de dispositions qu'il voit à la République, 23. ( Mem. de Rohan.) Est envoyé en Danemarck, Suède et Pologne, pour travailler à une paix générale, XXVIII, 148. Fait conclure une trève de 26 ans entre ces deux dernières puissances, 257. Conclut un nouveau traité avec Salvius, ambassadeur de Suède, pour trois ans ; quelles en sont les conditions, XXX, 240. Le roi de Hongrie fait de vains efforts pour empêcher le renouvellement de cette alliance, 241. (Richelieu). Le comte d'Avaux est disgracié par Mazarin; pourquoi, XXXVII, 536. ( Mém. de Motteville). - Conseille à Monsieur de dépècher à l'archiduc pour lui proposer la manière de traiter de la paix générale, XLV, 143. Se lie avec le coadjuteur, 145. (Mem. de Retz.)

AVEIN (la bat. d'), gagnée par les maréch. de Brezé et de Châtillon sur le prince Thomas de Savoie; détails, XXVIII, 312. Noms des capitaines espagnols qui y sont faits prisonniers, 315; XXXII, 212; XLIX, 90 et suiv.

AVERNES (le marq. d') est tué au passage du ruisseau de Wiesloch, LXVIII, 426.

AVILA (Alvarès d'), amiral espagnol, après un combat naval de 8 heures, soutenu contre les Hollandais, est tué; plusieurs de ses vaisseaux sont coulés à fond, ou brûlés, VII, 237.

AVRIGNY (le père d') essaie de démontrer què les Mémoires de Pontis ne sont qu'un roman, XXXI,

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