Abbildungen der Seite
PDF
EPUB

Consacre ses loisirs à propager les nouvelles doctrines; est nommé intendant de l'armée d'Allemagne; y joue un rôle important, 289. Sa prédilection pour son fils Simon Arnauld, 290. Se retire à Port-Royal des Champs; continue d'avoir des relations habituelles dans le monde, 291. S'occupe de plusieurs ouvrages; son opposition ouverte au gouvernement, 292. A la sollicitation de son fils le marquis de Pomponne, il écrit ses Mémoires, 293. Ses préventions contre son fils aîné, 294. Il paroît à la cour après une longue absence; sa mort; époque de la publication de ses Mémoires, 295. Avis sur ses Mémoires par l'abbé Goujet; idée qu'il en donne, ainsi que de leur auteur, 296. Calomnies répandues contre Árnauld, et réfutées par lui-même, 298; et par le père Bougeret, 300. (Notice sur Arnauld.)—Origine des ancêtres d'Arnauld, 301. Ses alliances, 309. Amitié et confiance réciproque entre son père et lui, 317. Il intéresse d'Epernon pour le rétablissement de La Condamine, 335. Son éducation; il partage son temps entre son père et un de ses oncles, 358. A l'âge de 16 ans, il exerce auprès d'un de ses oncles, intendant des finances, sa première commission, 359. Entre dans le conseil des finances, où il prend connoissance des affaires, 360. Est marié avec madem. de La Boderie, 364. Ecrit en vers la vie de son beau-père; reçoit ses derniers soupirs, 366. Il fait toutes les lettres et expéditions du petit conseil de finances; reste à Paris pendant le voyage du Roi en Guienne, 367. Reçoit de la Reine mère un brevet de pension; se lie avec MM. de Luynes, 368. Reçoit de son oncle l'intendant une démission en sa faveur de sa charge des finances, 369. Est chargé de travailler à l'état général des finances pour 1617, et à tous les états de l'épargne, 370; et de la vérification du compte de 1608 pour les Suisses, par lequel compte il montre le moyen d'épargner au Roi près de 100,000 écus par

an, 371. Le Roi lui accorde la place d'intendant des finances, vacan te par la mort de son oncle, 372. Comment le connétable de Luynes em`pêche qu'il ne l'ait, 374. Est nommé l'un des trois conseillers d'Etat choi sis pour examiner Barbin, accusé d'avoir entrepris de faire sortir la Reine de Blois, 375. Intégrité qu'il met dans cette commission, 376. Est chargé de faire la réponse du Roi à une grande lettre de M. de Bouillon à Deageant, 378. Est envoyé par le Roi auprès de ce prince, 379. Son entretien avec lui, 380. Compte qu'il en rend au Roi, 382. Comment il rompt avec le connétable de Luynes, 383. Il refuse, ainsi que son père, la charge de secrétaire du cabinet, 386. Il suit le Roi à Tours; est invité à la table du maréch. de Bassompierre; description de cette table, 387. Anecdote touchant une lettre du Roi à la Reine mère, faite par Arnauld d'Andilly, 388. Il plaide pour M. Deageant, dont il a tout sujet de mécontentement, et tire de M. de Luynes parole de lui conserver 15,000 liv. par an de gratification, 39o. Accepte le principal emploi auprès de M. de Schomberg, nommé surintendant des finances, 391. Salue le premier le colonel d'Ornano en qualité de gouverneur de Monsieur, charge dont il lui a dressé lui-même les provisions, 393. II fait connoissance et se lie avec S.Cyran, 394. M. d'Epernon recherche son amitié, 397. Il assiste au siége de Montauban, 398. Réponse qu'il fait au connétable de Luynes, 399. Attaqué du pourpre, il doit le rétablissement de sa santé aux soins particuliers de Lemire; est visité par le cardinal de La Valette, 400. Empêche le Roi de rayer plusieurs pensions; en obtient de lui de nouvelles pour différentes personnes de mérite, 401. Refuse la charge de secrétaire d'Etat, ne pouvant en payer la finance qu'on lui demande, 403. Conseil qu'il donne à Schomberg pour se faire des amis, 406. Comment il est à la cour; la mort lui enlève des

amis chers, 407. Il est nommé exécuteur testamentaire de Schonberg, 410. Demande au Roi, pour le marquis de Ragny, l'exercice par commission des charges du marquis de Senecey, décédé, 412. Comment il oblige le marq. de Ragny à rapporter ces commissions à mad. de Senecey, 414; et fait accorder une pension de 2,000 écus aux enfans de cette dame, 415. Il communie à Lyon des mains de S. François de Sales, 416. Schomberg disgracié lui remet, par ordre du Roi, tous les papiers, en regrettant de n'avoir pas suivi ses conseils, XXXIV, 1. Arnauld d'Andilly rend au Roi un témoignage hardi de la probité de Schomberg, 3. Il le défend aussi auprès de Bassompierre, 4. Sa conduite envers d'Epernon, qui a changé de manière d'être avec lui, 6. Quelle part il a dans la disgrâce d'Ornano, 8. Il travaille de tout son pouvoir à entretenir dans l'esprit de Monsieur l'affection qu'il a pour ce colonel, 9. Il va au devant de Schomberg et d'Ornano lorsqu'ils rentrent en faveur, 10. Manière libre dont il parle au Roi au sujet des charges de son oncle Arnauld, qu'il a demandées à S. M. pour M. de Feuquières, 11; et à l'occasion des duels, 13. Dans quelles dispositions sont pour lui le Roi, la Reine mère, Monsieur, Richelieu et d'Ornano, 15. Dans quelles dispositions ces personnages sont entre eux, 16. Il est honoré de leur confiance; cherche à les maintenir ensemble; sa liberté avec le cardinal; ses entretiens avec Monsieur, 17. Il est nommé intend. génér. de la maison de ce prince, 19. Confiance que lui témoigne d'Ornano, malgré la jalousie de la marquise de Montlaur sa femme, 23. Refuse la place de contrôleur général des finances; y fait nommer M. Marion, son oncle maternel, 24. Affection que lui témoigne Richelieu, 25. La marq. de Montlaur éloigne de lui Monsieur et d'Ornano, 26. Il obtient de Richelieu que le colonel sera fait maréchal de France, 28. Est chargé,

de la part de Monsieur, de faire des instances auprès du cardinal pour qu'il soit remis en liberté,30. Moyens employés pour l'éloigner de Monsieur, 32. Il reçoit ordre du prince de se retirer; ses paroles à celui qui est chargé de cet ordre, 36. Témoignage d'amitié que lui fait donner le duc de Montmorency, 39. Il est nommé intendant de l'armée du Rhin, 40. Il se rend à l'armée, 41. Son entrevue avec le maréch. de Brezé; confiance qui s'établit entre eux, 43. Comment il pourvoit à la subsistance de l'armée, 46. Reçoit à cet égard des témoignages de satisfaction du cardinal, 47. Soins qu'il prend pour les blessés et les malades, 49. Preuves d'affection qu'il reçoit des soldats et de Brezé, 51. Acte de déférence pour ce dernier, par lequel il se concilie de plus en plus son attachement et celui des soldats, 53. Mandé auprès du Roi, il reçoit du cardinal des éloges sur sa conduite, 56. Il se lie d'une étroite amitié avec mad. S.-Ange, 58. Se rend à Clermont; demande son congé, 59. Reçoit ordre de servir dans l'armée commandée par le cardin. de La Valette, 61. Comment il anime les soldats au combat devant Mayence, 62. Assiste à la prise de Bingen, 63. Empêche par son conseil la perte d'une partie considérable de l'armée, 65. Remet sa charge d'intendant, pour cause de maladie, à M. de Thou 70. Retourne à Paris; va voir Richelieu, pour lequel il fait une relation de la campagne du Rhin, 71. Lie une amitié étroite avec Fabert; éloge de ce guerrier, 72. Douleur de M. Arnauld à la mort de sa femme, et lors de l'emprisonnement de l'abbé de S.-Cyran, 73. Bienfaits qu'il reçoit de Monsieur, de la Reine sa mère, et d'Anne d'Autriche, 74. Il obtient de cette dernière le rappel de M. de Servien, 77; et l'abbaye de S.-Cyran pour M. de Barcos, 78. Il se retire à PortRoyal des Champs; audiences de congé qu'il obtient de la Régente, de Mazarin, de M. le prince, St. II

fait imprimer un volume de ses lettres; à quelle occasion, 83. Il fait signer à son parti et aux jésuites une promesse de ne plus écrire sur les affaires du jansénisme, 86. Dénonce à Mazarin des vers latins faits en contravention à cette promesse, 87. Il reçoit ordre de quitter Port-Royal; sa correspondance avec le cardin. à ce sujet, 89. Son séjour à Fresnes; éloge de M. et de mad. Du Plessis, 92. Il retourne à Port-Royal; lettre que lui écrit le cardinal à cette occasion, 93. Miracle opéré par la sainte épine à Port-Royal de Paris, 94. Détails sur l'enlèvement de douze religieuses de Port - Royal, 95. Il se retire à Port-Royal des Champs, d'où il est bientôt obligé de sortir pour se rendre à Pomponne, 97. Quelques détails sur sa famille, 100, et sur quatre personnes qui l'ont le plus aimé, 102. (Mém. & Arn. d'Andilly.)- Comment il contribue à la nomination de M. Pavillon à l'évêché d'Aleth, 321. Sa visite au Roi à Versailles, 338. (L'abbé Arnauld.)

ARNAULD (Ant.), frère d'Arnauld d'Andilly, est conduit à Vincennes, où l'abbé de S.-Cyran le gagne à son parti; ses succès en Sorbonne, son état dans le monde, XXXIII, 59. Son caractère, 60. Il prend la dé fense de la doctrine de Jansenius; incident qui l'y décide, 66. Succès qu'obtient le livre de la fréquente Communion, 68. Il reçoit l'ordre d'aller à Rome rendre compte de sa doctrine, et se cache; compose dans sa retraite et publie un grand nombre d'écrits, 71. Va s'établir à PortRoyal; occupations auxquelles il s'y livre avec les autres solitaires, 81. Soutient dans un écrit que les cinq propositions extraites de Jansenius, et condamnées par le Pape, ne se trouvent pas dans le livre; d'où naît la distinction du droit et du fait, qui donne lieu à des disputes interminables, 115. Opinions de Bossuet et de Fleury à ce sujet, 116. Jugement de 38 évêques, confirmé par un bref du Pape; ascendant d'Ar

naald sur l'esprit de Nicole, 117. Ils composent avec Le Maître une Lettre d'un docteur de Sorbonne à une personne de condition, sur ce qui est arrivé depuis peu dans une paroisse de Paris, puis une autre sur le même sujet; vive sensation qu'elles produisent; contradiction singulière d'Arnauld, 118. Déféré à la Sorbonne, il se cache; jugemens qui interviennent dans cette affaire, 120. Il fait avec Nicole une nouvelle circulaire pour le cardin. de Retz, dans laquelle il menace l'Eglise de Paris d'un interdit, 147. Compose l'apologie de Port-Royal, 163. Prend avec chaleur la défense des 4 évêques opposans au formulaire, 188. Rédige avec Nicole et La Lane une requête qui est présentée au Roi; effet qu'elle produit pour le parti, 190. Rédige la lettre de prétendue soumission que les 4 évêques adressent au Pape, à la suite des conférences tenues chez mad. de Longueville, 194. Il est présenté au Roi après la pacification, 197. On accourt de toutes parts à Paris pour le voir, 198. Il fait avec Nicole de fréquentes visites à Port-Royal des Champs, 203. Compose avec lui le livre de la Perpétuité de la Foi; fait un voyage à Angers; prend un grand empire sur son neveu Pomponne; dirige la conscience du cardin. de Retz, 209. Reçoit ordre de s'établir dans un quartier moins isolé de Paris; se retire à Mons, puis à Bruxelles, 223. Visite avec Nicole les diocèses d'Utrecht, d'Harlem et de Deventer, qui pratiquent les doctrines du jansenisme, et se sont entièrement séparés du Saint-Siége; accueil honorable qu'il y reçoit, admiration dont il se sent frappé pour leur régime ecclésiastique, 224. Il compose son Apologie des catholiques d'Angleterre, 225; et d'autres ouvrages; effets qu'ils produisent en France, 226. Menace d'être arrêté, il se fixe à Bruxelles, où il est protégé par le gouverneur espagnol, 227. Lui et ses amis imaginent de se faire comprendre dans la

trève avec l'Empire et l'Espagne, 233. Il est obligé de sortir de Bruxelles; il y revient en secret, y meurt d'une hydropisie de poitrine; engouement général pour lui, 242. (Notice.) — Auteur du livre intitulé de la fréquente Communion, il reçoit ordre de la Reine d'aller à Rome pour y faire entendre sa doctrine, et avoir le jugement du Pape sur les questions nouvelles qu'il a élevées, LX, 279. (Mem. de Talon.) ARNAULD (Henri), frère d'Arnauld d'Andilly, et connu sous le nom d'abbé de S.-Nicolas, est nommé àl'évêché d'Angers; sa conduite à Rome avant cette noinination; sa conduite après; il devient un des apôtres les plus ardens du jansenisme, XXXIII, 88. Il appuie les réclamations du parti contre le formulaire, 156. Il se met à persécuter ceux des ecclésiastiques de son diocèse qui sont restés fidèles aux doctrines de l'Eglise, 213. (Not. sur Port-Royal.)-Le card. Bentivoglio l'emmène avec lui en Italie, 342. Il est nommé abbé de S.-Nicolas, 343. De retour en France, est élu doyen da chap. de Toul; refuse de prendre le titre d'évêque de cette ville, 344. Est envoyé par le Roi en mission à Rome; négocie avec beaucoup d'adresse le rétablissement de la maison Barberine, 345. Contribue à la prise de Portolongone; mérite la satisfaction du Roi par ses services, 346. Est nommé évêque d'Angers, 347. (Mém. d' Arn. d'Andilly-Il ost choisi pour aller à Rome prendre soin des affaires de France, XXXIV, 221. Ses connoissances en histoire, et dans les généalogies des princes, 232. Il se rend à Aix; indiscrète civilité de l'archevêque de cette ville envers lui, 223. Difficultés qu'il éprouve dans ses négociations auprès du Pape, 242. Il se rend aux bains de S.-Cachan, sur les frontières des Etats de Florence, 244. Va trouver le grand duc, 247. Il retourne à Rome après la prise de Portolongone par La Meilleraye; trouve le Pape radouci pour les Barberin,

248. Traite secrètement avec quelques Napolitains qui désirent M. le prince pour leur roi, 251. Ses liaisons à Rome avec le duc de Guise, 253. Il reçoit ordre de se rendre à Naples, 263. On lui permet de voir le duc de Bouillon, 264. Il le raccommode avec la cour de France, 265. Demande et obtient son congé; retourne en France, 269. Chute dangereuse qu'il fait à Lorette, 272. II se retire pendant les troubles à PortRoyal des Champs, 280. Est nommé évêque d'Angers, 281. Empêche le maréch. de Brezé de saccager cette ville, 283. Est sacré évêque, et se rend à Angers, 292. Fait un voyage à Poitiers; ne peut rentrer dans la ville d'Angers, 296. Se rend à Saumur auprès du Roi, 299. Retourne à Angers après la réduction de cette ville; calme la colère de La Meilleraye, 306. Revient à Saumur pour célébrer le service de mad. Servien; dangers qu'il court en retournant à Angers, 307. Intercède pour le docteur Voisin, 309. Est persécuté pour cause de jansénisme, 320. Comment il soutient la persécution, 322. (L'abbe Arnauld.)

ARNAULD (Ant.), abbé, fils aîné d'Arn. d'Andilly. Son éducation, ses premières inclinations, son caractère, XXXIV, 109. Il entre comme cadet dans un régiment des gardes; fait avec son oncle la campagne de 1636; obtient une compagnie dans le régiment du comte Pas de Feuquières; assiste au siége de Thionville, 110. Quitte la carrière des armes; embrasse l'état ecclésiastique; s'attache à son oncle l'abbé de S.-Nicolas; le suit à Rome, puis à Port-Royal des Champs, 111. Devient janseniste comme malgré lui; est lié avec plusieurs femmes aimables et même galantes, 112. Son enthousiasme pour mad. de Sévigné; reçoit l'abbaye de Chaumes; se retire auprès de l'évêq. d'Angers; sa mort, ses Mémoires, 113. Ses opinions en opposition avec sa morale facile et indulgente; époque de la publication de ses Mémoires,

114. Ce qu'ils contiennent; quel en est le style, 116. (Notice.) — Mad. de Brissac à l'abbé Arnauld, 118. (Lettre.) L'auteur expose quel a été son but en écrivant ses Mémoires, et les sujets qu'il y traite, 119. (Avertissement.)- Son éducation est confiée aux soins de M. de Barcos, neveu de S.-Cyran; il est mis ensuite au college de Lizieux, 124. Hy gagne la petite vérole; tendresse de sa mère pour lui; il empêche deux fois son frère de se noyer, 125. Il retient un vers d'Horace, que M. de Rohan lui applique agréablement; son père le destine à l'état ecclésiastique, sa mère à la carrière militaire, 126. Aventure plaisante arrivée au château de Pomponne, 128. Sa mère, du consentement de son père, lui laisse le choix d'un état ; il embrasse le parti des armes, 129. Est envoyé à l'académie pour faire ses exercices, 130. Entre au régiment des gardes, 134. Se rend à Metz chez M. de Feuquières, lieuten. de roi, 133. Y fait connoissance de ses nièces, 136. Se fait recevoir de l'ordre des Egyptiens, dont l'aînée de ses demoiselles est la reine, 137. Se rend à DeuxPonts avec le fils du duc; ennui qu'il y éprouve, 138. Va rejoindre son père auprès de Mayence, 139. Détails sur la retraite de Mayence, 140. Arnauld demande à son père 10,000 liv. pour la charge d'enseigne de sa compagnie; le refus qu'il éprouve le fait tomber dangereusement malade, 144. Joie de sa mère en le revoyant, 146. Il va servir en qualité de volontaire auprès de M. Arnauld, mestre de camp génér. des carabins, 147. Se lie d'amitié avec Daurat, conseiller de la grand'chambre, 150. Va faire une visite à mad. la marquise de Rambouillet avec M. Arnauld, 151. Y joue la comédie, 152. Aventure plaisante qui lui arrive en retournant à Paris, 154. Obtient une des premières compagnies d'un régiment d'infanterie; se rend à Verdun, anecdote curieuse au sujet d'une carmélite de celle

ville, 155. Fait la campagne avec M. de Feuquières; assiste au siége d'Yvoy, 156. Entretien remarqua ble de M. de Feuquières avec Îni, 157. Danger qu'il court au siége de Damvilliers, 159. Sa douleur à la mort de sa mère; perte qu'il fait en la perdant, 160. Action de bravoure d'un officier lorrain, command. da chateau de Fontenay, 161. Comment M. Arnauld apprend la naissance de Louis XIV, 162. Danger qu'il court par suite de la haine de deux chevaux, 163. Anecdote concern. un partisan de la garnison de Luxembourg, 164. Rencontre fàcheuse qui lui arrive un soir à Verdun, 167. Il refuse un mariage que mad. de Feuquières lui propose, 170. Se rend à Ste.-Menehould auprès de M. de Feuquières; aventure plaisante qui lui arrive en chemin, 173. Est envoyé auprès de M. des Noyers; revient à Thionville, dont M. de Feuquières est chargé de faire le siége, 174. Détails sur la bataille de Thionville, dans laquelle il manque d'être fait prisonnier, 177. Il se retire à Metz, 181; puis à Verdun avec la cavalerie; accompagne madame de Feuquières à Ste.-Menehould, 183. Se lie à Verdun avec le comte de Noailles, 185. Repousse les ennemis de devant cette place, 186. Aven

ture chez une dane de Verdun avec le marq. de Mauny et Bussy-Rabutin, 188. Sa douleur de la mort du marq, de Feuquières, 194. Il assiste au siége de Charlemont; deux plaisantes aventures dont il est témoin à propos du jeu, 195. Assiste à la prise d'Arras et du fort Rantzan, 197. Tombe malade à Amiens; retourne auprès de son père, 198. Se trouve engagé dans une mauvaise affaire, 200. Retourne à Verdun à sa compagnie; se trouve présent à une rencontre assez plaisante, 202. Récit étrange que lui fait un des commis de M. des Noyers, 203. Il est charge par M. de Feuquières d'aller complimenter le duc de Lorraine sur son rétablissem, dans ses Etats, 204

« ZurückWeiter »