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au parlement de s'assembler pour délibérer sur les affaires publiques, L, 118. Reçoit le parlement en corps, qui vient lui demander la liberté de Broussel et de Blancménil, 128. Refuse d'abord cette liberté; comment elle est ensuite forcée de l'accorder; à quelle condition, 129 et suiv. Outrée des prétentions nouvelles du parlement, elle quitte Paris avec le Roi, et se rend à Ruel, 133. Revient à Paris après la déclaration du 24 octobre, 135. Consulte souvent M. le duc d'Orléans, le prince de Condé, les maréch. de La Meilleraye et de Villeroy, pour trouver un moyen de rétablir l'autorité royale, 137. Sort de Paris avec le Roi, les princes, et se rend à S.-Germain, 141. Adresse des lettres au prevôt des marchands et aux échevins, par lesquelles elle leur fait connoltre la cause de ce départ, et les exhorte à s'unir pour le maintien de l'autorité royale; envoie une déclaration du Roi, qui transfère le parlement à Montargis, 142. Refuse de recevoir les députés du parlement tant qu'il sera à Paris, 144. Fait publier unc déclaration du Roi qui supprime les charges de ceux du parlement qui n'iront point à Montargis; déclare criminels de lèse-majesté les princes et gentilshommes qui suivront le parti du parlement; ordonne aux présidiaux de juger souverainement, 149 et suiv. Consent à ouvrir des conférences pour traiter de la paix, 164. Refuse de retourner à Paris après la conclusion du traité de Ruel; se rend à Compiègne, 175. Revient à Paris avec le Roi, non sans répugnance, 190. Joie des Parisiens, 191. Embarras de la Reine à l'égard du prince de Condé, 204. Piége qu'elle lui tend, 214. Mène le Roi en Normandie, 218. Met ordre aux provinces menacées de révolte; rend les sceaux à Châteauneuf, 222. Se rend avec le Roi en Bourgogne, 223, Soumet cette province, 224. Se rend en Guicane, 238. Sa réponse aux députés du parlement de Bordeaux, 239. Irritée de l'audace du duc de

T. 78.

Bouillon, elle fait faire le siége de Bordeaux, 240. Conclut un traité par la médiation des frondeurs, 242. Entre à Bordeaux; tombe malade en s'en retournant à Paris, 243. Sa réponse aux députés du parlement qui lui demandent la liberté des princes, 265. Envoie le maréchal de Gramont au Havre pour traiter avec le prince de Condé de sa liberté, 269. Son dépit de se voir assiégée dans Paris, et abandonnée de tout le monde, 278 et suiv. Signe l'ordre de l'élargissement des princes, 280. Accorde la convocation des Etats à l'assemblée de la noblesse, qui se sépare, 283. Cherche à gagner le prince de Condé, et à l'obliger à consentir au retour du cardinal; lui donne le gouvernement de Guienne, 284. Entre en négociation avec la duch. de Chevreuse, pour ramener à son service le duc de Beaufort et le coadjuteur, 288. Rejette avec horreur la proposition que lui font le comte d'Harcourt et le maréchal d'Hocquincourt de tuer M. le prince; envoie chercher secrètement le coadjuteur, 289. Sur les instances de Monsieur, renvoie Servien, Le Tellier et Lyonne; fait exhorter le prince de Condé à revenir à Paris, 291. Refuse l'expédient que lui propose Monsieur de mêler ses troupes avec celles des princes, 297. Fait décider le Roi à partir pour la Guienne, afin de prévenir les princes rebelles, 305.Conférences qui se tiennent chez elle pour le retour de Mazarin, 314. Empêche le succès de toutes les négociations qui ont pour objet le rétablissement de la paix, moyennant l'éloignement de Mazarin, 338. Dégoûte le Roi de l'empressement qu'il montre pour la princesse de Savoie, LI, 74. Son entrevue avec le roi d'Espagne dans l'ile des Faisans, 102. Marie son second fils Monsieur avec la fille du roi d'Angleterre, 108. Se console aisément de la mort de Mazarin, dont elle commençoit à se lasser; pourquoi, 111 et suiv. Est attaquée d'un cancer, 134. Ses efforts pour empêcher une rupture entre la

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France et l'Espagne; sa mort, 136. (Mem. de Montglat.)-Témoigne s'intéresser au traitement que M. de Beaufort reçoit du Roi; lui parle avec une grande familiarité, 185. Son ressentiment contre les ministres du Roi, qu'elle regarde comme les auteurs de la déclaration concernant la régence, 193. Se décharge de beaucoup d'affaires sur l'évêq. de Beauvais; incapacité de ce ministre, 194. Par qui et comment elle est amenée à confier les rênes de l'Etat à Mazarin, 200 et suiv. Commence à se dégoûter de M. de Beauvais, 202. S'accorde avec Monsieur et M. le prince à faire casser par le parlement la déclaration concern. la régence; se rend au parlement, et y fait tout ce qu'elle désire, 207. Déclare Mazarin chef de son conseil; étonnement que cause cette résolution aux ennemis du cardinal; sa réponse à M. de Beauvais à ce sujet, 209. L'éloignement qu'elle a pour M. de Châteauneuf établit entièrement auprès d'elle Mazarin, 214. Causes du changement opéré dans son esprit, 216. Pourquoi elle ôte la suriutend, des finances à M. de Bouthillier, 17. Fait publier une déclaration du Roi qui annulle la démission du maréchal de Bassompierre comme ayant été forcée, et lui rend sa charge de colonel géné ral des Suisses, 251. (La Châtre.)

Caractère d'Anne d'Autriche, 338. Fait demander pardon au Roi de tout ce qui a pu lui déplaire, 369. Presse le duc de La Rochefoucauld de se lier avec M. de Beaufort, et de voir Mazarin, 373. Hésite long temps à déclarer ses sentimens à l'egard de l'un et de l'autre; est déclarée régente; nomme Mazarin chef de son conseil, 375. ( Mém. de La Rochefoucauld.) — Songe à se lier d'intérêt avec Monsieur aussitôt après la mort du Roi; dans quelle intention, LVIII, 11. Son irrésolution à l'égard des propositions que lui font les ministres, 12. Comment elle gagne S. A. R. et M. le prince, 13. Se rend au parlement,

où elle est déclarée régente; envoie proposer à Mazarin la place de chef de son conseil; ménage l'évêq. de Beauvais et le duc de Beaufort, 14. Songe à raccommoder la duch. de Chevreuse avec Mazarin, 17. Envoie ordre à cette dame de se retirer à Rochefort; à quelle occasion; exile à Tours madame de Montbazon; pourquoi, 23. Fait arrêter M. de Beaufort; éloigne Châteauneuf, S.Ibar, et l'évêque de Beauvais, 25. Pourquoi elle maintient le cardinal, 57. Elle ouvre enfin les yeux sur les conséquences des assemblées du parlement, 73. Envoie les maréch, La Meilleraye et L'Hôpital apaiser le tumulte dans Paris, 75. Reçoit avec fermeté les remontrances du parlement, et refuse de remettre Broussel en liberté, 77. Se voit forcée de souscrire à sa demande, 79. Sort de Paris avec le Roi, et se rend à S.-Germain,97. Son traité avec M. le prince après qu'il est sorti de la prison du Havre, 200. Elle négocie avec le coadjuteur pour travailler de concert à la ruine de M. le prince, 207. Sa haine contre lui augmente en proportion du crédit qu'il acquiert, 213. (M. de ***.) — Elle assiste incognito à S.-Denis aux funérailles de Madame; bruit des méchans à ce sujet, LIX, 303. Ses inquiétudes à l'occasion de la détention de milord Montaigu, 305. Cherche tous les moyens d'obliger le duc de Lorraine, 308. Envoie faire ses plaintes au cardinal des opinions que le Roi a d'elle, 330. Sa rencontre avec le cardinal, qui veut faire arrêter la voiture de la princesse, 331. Va voir S. Em. malade à Ruel; y est reçue magnifiquement; son dépit à cette occasion, 332. Elle cherche des consolations dans une correspondance avec le roi d'Espagne, etc., 334. Moyens secrets employés pour cette correspondance, 335. Elle s'aperçoit qu'elle est espionnée, 336. Est interrogée au Val-de-Grâce par le chancelier sur ses correspondances, 357. Etat où elle se trouve à Chantilly, 358. Fait savoir ses peines et

ses inquiétudes à mad. d'Hautefort, 368. Est contrainte de demander pardon, et de promettre de ne plus écrire; signe cette promesse, 379. Revient à Paris avec le Roi; devient enceinte, 381. Sa réponse à mad. d'Hautefort concern. Mazarin, 400. Le chagrin que lui causent les censures qu'on fait de ses actions lui donne la jaunisse, 405. Sa réponse à La Porte sur le désir de Mademoiselle d'être mariée au Roi, 425. (Mém. de La Porte.) - Fait des protestations par écrit contre la déclaration du Roi conten. ses der nières volontés relativement à la régence, LX, 236. Se rend avec le jeune Roi au parlement, 243. Mande au Palais-Royal les présidens du parlement et les gens du Roi, pour leur faire entendre sa volonté sur les propositions enseignées par le père Ayreau, et sur l'envoi d'Arnauld à Rome, pour qu'il y explique la doctrine renfermée dans son livre de la fréquente Communion, 280. Discussion agitée devant la Reine sur cet envoi entre messieurs du parlement et les ministres de S.M., 281 et suiv. Reçoit à Ruel les remontrances du parlement sur le toisé, 323. Rejette sur messieurs des enquêtes la sédition qui se fait à Paris, 325. Son avis donné à Mazarin et au chancelier sur la manière d'attaquer la bulle du Pape concern. les Barberin, 470. Fait un réquisitoire à la grand'chambre contre cette bulle, 472. Refuse de donner au duc d'Enghien l'office de surintendant de la marine et de gouverneur de Brouage, LXI, 42. Les retient pour elle-même, 43. Refuse à mad. de Chevreuse le chapeau de cardinal pour le coadjuteur, LXII, 117. Omer Talon.)

ANNE, princesse de Danemarck, fille de Jacques 11, est déclarée reine sans opposition, après la mort du pr. d'Orange, LXV, 409. (Mém. de Berwick.)- Abat le parti des wighs, et fait des changemens considér, dans les charges de l'Etat et de la cour, LXVIÏÏ, 7 et 23. Re

tire ses faveurs à la duch. de Marlborough, 9. Les coups portés aux wighs se font sentir en Hollande autant qu'en Angleterre, 14. (Mém. de Torcy.)

ANNE D'EST, duchesse de Guise, demande au Roi vengeance de la mort de son mari, dont elle accuse l'amiral, I, 48.

ANNE-MARIE-Christine-VictoiRE, fille de l'électeur de Bavière, est mariée au Dauphin, XLIII, 391. Détails sur son arrivée, et sur la cérémonie de son mariage, 393.

ANNEJOWANOWNA, fille de Jean 11, succède à Pierre 11; elle traite les Dolgorouski avec la même sévérité que les Menzikoff l'ont été, LXXVII, 72. Continue à faire rendre à Eudoxic les honneurs dus à une veuve et aïeule de czars, 73.

ANNEVOUX (le baron d') vient secourir la place d'Héricourt, et force les Impériaux à abandonner le siége, XXIX, 420.

ANSON, amiral anglais. Ses expéditions sur les côtes de France, LXXVII, 160 et suiv.

ANTIN (le marq. d'), fils légitime de mad. de Montespan, se produit à la cour; ses qualités, LXIII, 343. Son mariage avec madem. d'Uzès, petite-fille de M de Montausier, 344.

ANTOINE DE BOURBON, roi de Navarre, reçoit le titre de lieut. génér. du royaume à l'avénement de Charles ix, I, 32. Se déclare hautement pour l'ancienne religion, 42. Met le siége devant Rouen, 45. Y est blessé; meurt quelque temps après, 46.

ANTOINE, prieur de Crato, est élu roi de Portugal par les Etats assemblés; est pris au dépourvu par le duc d'Albe, et forcé de quitter Lisbonne, XLIX, 344.

ANTOINE (le capit.) attaque et coule à fond vers S.-Tropez un vaisseau ture qui a pris une des barques du Roi chargée de blé, XXV, 379.

ANTONIO DE CORDOUE (don), lieuten. gen. de la cavaleric espagnole,

est fait prisonnier au siége de Lille, XLIII, 118.

APLEINCOURT, lieuten. des gcndarmes de M. d'Enghien, est blessé au siége de Fontarabie, XXX, 291. AQUILLES (Onuphre), bourgeois de Barcelone, devient l'amant de la baronne d'Alby, et la seconde avec ardeur dans sa conspirat., XXXV, 42. Est arrêté; sa fermeté inébranlable dans les tourmens de la question; il fait connoître à son confesseur tous les ressorts de la conjuration, 45.

AQUINO (le card. d') est porté par le marq. de Cœuvres pour succéder à Paul v; son caractère, XVI, 363. Meurt en entrant au conclave, 368.

ARBOUZE (la mère d') est faite abbesse du Val-de-Grâce, où elle met la réforme, XXXVI, 362.

ARCOS (le duc d') demande la vice-royauté de Naples en faveur de don Juan d'Autriche, LVI, I.

ARCOS (le comte d') est fait prisonnier au siége de Philisbourg, LXV, 21.

ARENNES (M. d'), lieuten. génér., assiége et prend la ville et le château de Mequinença en Espagne, LXVI, 102. Fait le siége de Denia, qu'il est obligé de lever, 103. Prend Morella, 108.

ARGELAIS (le sieur d'), fait prisonnier à Philisbourg contre la capitulation accordée à la garnison de cette place, est tué par des cavaliers impériaux, XXVIII, 221.

ARGENCOURT (le sieur d') somme le château de Rochefort, près de Leucate, de se rendre, et le reçoit à composition, XXX, 172.

ARGENSON (M. d') reprend l'administration des finances, LXX, 42. Rend les sceaux, et va s'enfermer an couvent de la Madeleine, 43. ( Mém. de Villars.) — Lieutenant de police, est mis à la tête de l'adminis tration des finances, et nommé à la garde des sceaux: son caractère, LXXVI, 299. Obtient le tabouret pour sa femme, 302. (Duclos.)

ARGENTEUIL, gentilh. du comte

de Soissons, rend compte au coadjuteur des dispositions de la cour contre lui, XLIV, 224. Charge les Suisses, en tue une vingtaine, et dissipe le reste, 230. Sauve la vie au coadjuteur, XLV, 402. ( Mém. de Retz.)-Fait et dit tout ce qu'il peut pour insinuer que l'entreprise tentée sur Guy Joly vient de la part de la cour, XLVII, 84. Sauve la vie au coadjuteur, 178. Conférences tenues chez lui par les amis du card. de Retz, 265. Les résolutions qui y sont prises en sa faveur ne peuvent s'exécuter, 266. (Guy Joly.)

ARGILLEMONT, condamné le par parlem. de Bordeaux à avoir la tète tranchée, est exécuté, XX, 206.

ARGYLE (le duc d'), général des troupes du roi Georges, est battu à Auchtérader par le comte de Marr, LXVI, 249. Šoumet toute l'Ecosse, 258.

ARGYLE (le comte d'), un des plus puissans seigneurs d'Ecosse, s'avise de changer le serment du test; il est poursuivi devant la cour souveraine de justice, et déclaré coupable de haute trahison; le Roi, pour le ramener, use de clémence envers lui; le comte trouve moyen de sortir de prison, LIX, 174. S'abouche avec les factieux de Londres; forme une ligue avec le comte de Shaftsbury et ses complices; propose de faire soulever l'Ecosse; passe en Hollande, d'où il entretient correspondance avec les conjurés, 175. Revient en Ecosse avec des troupes; est battu et décapité, 179. (Mem. de M. de ***.) — Sert le parti du duc de Monmouth; est battu et fait prisonnier, puis décapité, LXV, 312. (Berwick.)

ARIAS, présid. de Castille, et le cardin. PORTO-CARRERO, cherchent à se rendre maîtres des conseils de Philippe v; particularités qui le prouvent, LXXII, 62 et suiv.

ARIAT DE MONTAUBAN (le sieur) écrit à M. de Rosny une longue lettre sur ce qui s'est passé au siége de Villemur, sur les projets du duc

d'Epernon, et sur la mort de Scipion de Joyeuse; texte de cette let tre, II, 328.

ARLINGTON (milord), secrétaire et ministre d'Etat, passe en Hollande, LXIV, 8o. Causes et but de ce voyage, 81. Son entrevue avec le chev. Temple, 83. Peu de succès de ses entreprises auprès du prince d'Orange, 87. Propositions faites à ce prince, qui sont d'abord rejetées, mais qui produisent plus tard de grands événemens, 89. Discrédit dans lequel tombe le lord, 90.

ARMAGNAC (mad. d') est chassée de la cour pour avoir écrit à la Reine une lettre qui l'avertit que le Roi est amoureux de mad. de Montespan, XLIII, 121.

ARMINIUS, hollandais. Sa naissance; ses opinions sur la prédestination se propagent, et jettent la division dans les Pays-Bas, XXII,

316.

ARNAUD, l'un des secrétaires de Sully, est envoyé auprès de Concini; entretien qu'il a avec lui, VIII, 403. Son ingratitude envers Sully, 425.

ARNAULD (Pierre), command. da Fort-Louis, refuse de le démolir, sur les instances des Rochellois et l'invitation des ministres, XXII, 238. ( Mém. de Richelieu.) Sa science et son expérience dans la guerre, XXXI, 425. Action de générosité envers des soldats, 431; et envers un capitaine qui lui a désobéi, 432. ( Mém. de Pontis.)-I .(. va en Livonie, où il gagne l'estime particulière de Gustave; revient en France, où il fait partie du carrousel de 1612; est pourvu de la charge de mestre de camp général des carabins de France, XXXIII, 327. Est blessé au siége du château de Caen, 328. Avec 400 hommes il traverse le canal de La Rochelle, et va brûler un vaisseau qui s'est échoué, 329. Sa conduite dans le gouvernement de Fort-Louis, 330. Son habileté dans les ordres de la guerre, 332. Le Roi envoie auprès de lui M. de Pontis pour s'instruire; Ar

nauld invente un nouveau modèle d'armes qui est adopté par Sa Majesté, 333. Il demande le rétablissement de La Condamine, qui a perdu sa compagnie pour lui avoir désobéi, 334. Conduite héroïque qu'il tient envers cette compagnie, 335. Dessein qu'il forme pour prendre La Rochelle; pourquoi ce dessein échoue, 337. La douleur qu'en conçoit Arnauld lui cause la mort, 338. Epitaphe latine faite pour lui par le père Joseph, 340. Il est un de ceux que le Roi choisit pour combattre auprès de lui à Riez contre le duc de Soubise, 403. (Arn. d'Andilly.)

ARNAULD D'ANDILLY est reçu à Port Royal avec enthousiasine, XXXIII, 76. Son portrait, son caractère, son humilité apparente; il prend le titre de surintendant des jardins, 77. Il commence à PortRoyal les ouvrages qui lui ont valu un rang distingué dans les lettres, 78. Il est autorisé par son parti à faire auprès de Fabert les démarches nécessaires pour obtenir que son fils Simon de Pomponne soit placé comme chancelier auprès du frère de Louis XIV; réponse de Mazarin au maréch. Fabertà ce sujet, 144. Après la nomination de son fils au minis-. tère, il est présenté au Roi; détails sur cette présentation, 207. Il en dresse une relation, qu'il fait circuler parmi ses partisans, 208. Sa mort, 212. Ses manières douces et aimables tempéroient l'austérité de la secte, 213. (Notice sur Port-Royal.)- Sa naissance, ses qualités extérieures; il se marie à mademois. de La Boderie, 285. Paroît à la cour; se lie avec les Luynes; se distingue dans un emploi qu'il obtient auprès du surintendant des finances; se passionne pour les doctrines de l'abbé de S.-Cyran, 286. Refuse d'accepter une place de secrétaire d'Etat, moins qu'elle ne lui soit donnée en pur don; cultive la faveur du frère du Roi, 287. Est nommé intendant de sa maison par le crédit de Richelieu; éprouve deux disgrâces, 288.

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