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wy; enlève un convoi, L, 40. Défait dans un grand combat le comte de Ligneville; reprend Ligny, 232. Est fait maréchal de France, 264. Prend Mirecourt et Chaté-sur-laMoselle, 298. Reprend Chauny et Coucy, 382. Assiege Befort, et s'en rend maître par capitulation, 437. Contribue à la levée du siége d'Arras, 444 et suiv. Investit Clermont, qui se rend par capitulation, 449. Est défait devant Valenciennes et fait prisonnier, LI, 7. Fait le siége de Montmédy, 27. Reçoit la place à composition, 32. Investit Gravelines, 59. Prend la place par composition, 61. (Montglat.) Bat Ligneville entre Ste.-Menehould et Verdun; prend le château de Ligny, où il est blessé, LVII, 337. (Ďu Plessis-Praslin. )

FEUILLADE (La) et le prince de Marsillac sont blessés au siége de Mardick, LII, 219.

FEUILLADE (La), parent de Puylaurens, fait des levées pour Monsieur, frère de Louis XII, XXVI, 467. Est tué à la bataille de Castelnaudary, XXVII, 184.

FEUILLADE (le maréch. de La) reçoit beaucoup de gràces de la libéralité du Roi, son caractère, sa manière de vivre; il fait faire la figure du Roi qui depuis a été à la place des Victoires, LII, 488. (Gourville.) Anecdote plaisante à son sujet, LXIII, 304. (Mem. de Choisy.)· Son caractère; comment il fait sa fortune, LXV, 185. Statues érigées par lui à Louis XIV, 188. (La Fare.) FEUILLADE (le duc de La), au siége de Turin, s'oppose à ce que le duc d'Orléans sorte des lignes pour attaquer le pr. Eugène, LXXVI, 54. FEUILLADE (le comte de La) est tué au siége de Lens; ses paroles en mourant, XXXVII, 291. ( Mém. de Motteville.) S'empare de Merville, L, 16. Est tué au siége de Lens, 72. (Montglat.)

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FEUILLADE (le chevalier de La), le capitaine SALIS, suisse, et autres, sont tués au siége du fort de Mardick, L, 38 et suiv.

FEUQUIERES (le sieur de) attaque Thionville; soutient avec fermeté divers combats; pourquoi il ne peut obtenir d'avantages, XI,319. (Succ. Narrat.)-Assiége Thionville, XXI, 408. Est blessé et fait prisonnier, 409. (Mém. de Bassompierre.) — Est fait prisonnier dans une embuscade par les Rochellois, XXIV, 59. Se distingue au combat livré aux Espagnols devant le pont de Carignan, XXVI, 231. Est nommé lieutenant général dans le gouvernement des trois évêchés de Metz, Toul, Verdun, XXVII, 1. Est envoyé ambassad. extraordinaire vers les princes protestans d'Allemagne et les chefs des Suédois, pour les porter à se réunir afin de remettre l'Empire dans sa première liberté; ses instructions à ce sujet, 278. Il se rend à l'assemblée d'Heilbronn; propose aux princes et Etats protestans de s'unir étroitement, 336. Parle dans l'assemblée, et lui fait sentir la nécessité de choisir promptement un chef qui ait la direction des affaires communes, 339. Travaille à faire élire le chancelier Oxenstiern, et à mettre des modifications à son pouvoir, 340. Traite avec lui du renouvellement de l'alliance faite entre S. M. et le feu roi de Suède, 341. Présente à l'assemblée cette alliance, l'exhortant à vouloir s'y joindre, 343. Se rend à Dresde auprès du duc de Saxe; l'invite à entrer dans l'alliance renouvelée entre le Roi et la couronne de Suède, 344. Fait les mêmes propositions à l'électeur de Brandebourg, 345; au landgrave de Hesse-Cassel; assiste à l'assemblée de Francfort; y représente qu'il est de l'intérêt commun des princes confédérés de ne pas donner lieu de croire qu'ils font une guerre de religion, 346. Fait mettre bas les armes à 500 Espagnols devant la place de Damvilliers, XXIX, 480. Met en faite les troupes du duc de Savelly près de Richecourt-le-Château, XXX, 334. Se rend maître de cette place, 335. Défait de nouveau le duc de Savelly, 339. (Richelieu.)—

Est blessé au siége de Thionville, XXXII, 277. (Mem. de Pontis.)XXXIII, 348. Il garantit du feu des ennemis le pont construit sur le Rhin par les Français, XXXIV, 64. Favorise leur retraite par une action d'éclat, 67. Se distingue dans cette retraite, 69. (Arn. d'Andilly.) Travaux qu'il fait faire dev. Thionville, qu'il est chargé d'assiéger, 174. Il est blessé dans un combat, 180. Fait prisonnier, et conduit à Thionville, 182. Sa mort; son éloge, 192. (Lab. Arnauld.) XLIX, 232 et suiv, FEUQUIÈRES (de), fils du précédent, est envoyé en Suède, où il conclut et fait exécuter le traité d'alliance offensive, XXXIV, 341. FEUQUIERES (l'abbé de). Son caractere; acte de générosité envers son frère, XXXIV, 358.

FEUQUIERES (le comte de Pas-) se marie à une riche héritière des PaysBas par une aventure extraordinaire, XXXIV, 360.

FERDEAU (Matthieu), vicaire de S.-Mery, travaille, sous la direction des chefs du parti janséniste, à un catéchisme sur la grâce, qui est condamné à Rome, XXXIII, 79.

FIENNE (mad. de) est chassée de la cour, XLII, 326. Caractère de cette dame; cause de sa disgrâce, 328. (Mém. de Montpensier.) — Elle est chassée de la cour; pourquoi, LI, 57. (Montglat.)

FIESQUE (Jean-Louis de), comte de Lavagne, forme le dessein d'abattre la puissance des Doria; son caractère, sa naissance, XLVI, 481 et suiv. Il est sollicité à ce dessein par le roi de France et par le card. Augustin Trivulce, 483. Il hésite quelque temps sur les offres qui lui sont faites; l'insolence du comte de Fiesque hâte sa résolution, 485. Il consulte trois de ses amis, 486. Persiste dans son dessein; sa conduite, ses qualités, 502. Acte de libéralité qui fui gagne les fileurs de soie, 503. Il cherche à gagner la confiance des gens de guerre, 504. Sa dissimulation envers les Doria; il achète quatre galères du duc de Plaisance; fait

entrer des troupes dans Gênes, 505. Gagne avec ses trois amis plus de 10,000 hommes; rejette deux ouvertures qui lui sont faites pour l'exécution de son dessein, 506. Comment il prépare cette exécution; son discours aux conjurés, 507. Les prières ni les larmes de sa femme ne peuvent ébranler sa résolution, 510. Mesures prises pour l'exécution, 511. Comment elle a lieu, 513. Fiesque tombe dans la mer, 514. Découragemens parmi ses conjurés; son corps retrouvé reste quelques jours sans sépulture, puis est jeté à la mer, 5:6. Son palais est rasé; ses frères sont condamnés à mort avec les principaux de sa faction, 517. Réflexions sur les fautes cominises de part et d'autre dans l'exécution de l'entreprise du comte de Fiesque, 518.

FIESQUE (Hiérôme), parent du comte Jean-Louis, prétend profiter du succès de sa conjuration, et demande au sénat qu'on lui remette le palais, XLVI, 515. Signe un accord avec le sénat par la persuasion de Pansa, 516. Refuse de rendre la forteresse de Montabio, qui est assiégée, et forcée de se rendre à discrétion, 517.

FIESQUE, écuyer de la Reine, donne un gîte au fils du maréch, d'Ancre, âgé de 13 ans, dans une méchante chambre du Louvre, et le sauve de la fureur du peuple, XVII, 224.

FIESQUE (le comte de) est blessé et meurt au siége de Montauban, XX, 281.

FIESQUE (Charles- Léon, comte de), est deux fois exilé par Mazarin, XXXVII, 261. ( Mém. de Motteville.)-Est envoyé par Monsieur à Orléans pour assurer cette ville à son parti, XLI, 163. (Madem. de Montpensier.)

FIESQUE (la comtesse de) accompagne Mademoiselle à Orléans, et entre dans cette ville avec elle, XLI, 168 et suiv.

FIESQUE (la comtesse de), fille de la précédente. Sa conduite indécente

envers Mademoiselle, XLI, 491. (Voir l'art. Mademoiselle.)

FILHOT, trésorier de France, et DUSSAUT, conseiller au parlement, forment le dessein de faire ce que le père Ithier et le père Berthod ont manqué par la trahison de Villars, XLVIII, 418. Filhot est découvert, arrêté, et mis à la question, 419. Dussaut est aussi fait prisonnier, 420. Filhot est remis en liberté, 424. FILLES D'HONNEUR de mad. la Dauphine; leur caractère, LXVI, 422. FILSGEAN, domestique du pr. de Condé, est choisi par la princesse son épouse pour aller, avec les députés du parlem. de Bordeaux, traiter de la paix avec la cour, LIV, 89. Est chargé d'une ample instruction à cet égard, 91. Revient de la cour fort mal satisfait des difficultés qu'on lui a faites, 96. Est renvoyé, avec ordre d'insister sur tous les articles dont il est chargé, 97. Revient en colère contre Villeroy, Servien et La Vrillière, qui ne veulent pas l'admettre aux conférences avec les députés de Paris et de Bordeaux, 101. Est renvoyé avec les députés de Paris et de Bordeaux pour faire redresser les articles de la paix concernant la princesse, le duc, et MM. de Bouillon et de La Rochefoucauld, 106. Ecrit au duc de Bouillon que les choses commencent à s'adoucir à son égard, et qu'il a bonne espérance que ce qui concerne la princesse s'accommodera, 110.

FLAMARINS (le sieur de), du parti de la Fronde, est tué à l'attaque du faub. S.-Antoine, XXXIV, 531. Mem. de Nemours.) XXXIX, 341; XLI, 273.- Se lie avec La Rochefoucauld pour servir l'abbé de La Rivière, XLIV, 367. ( Mém. de Retz.)

FLAVIE (la mère) répond au lit de mort à une lettre que lui a écrite Catherine de S.-Paul, nièce du docteur Arnauld, et religieuse de PortRoyal des Champs, pour la presser de rétracter la soumission qu'elle a rendue à ses supérieures légitimes, XXXIII, 204.

FLÉCHINE (mad. de) recueille à Blois et cache soigneusement un des fils de la duch. de Bouillon, XXXV, 159.

FLEURUS (bataille de), livrée en 1690. Les Français y sont vainqueurs, LIX, 243 et suiv.

FLEURY (de), évêque de Fréjus, succède dans le ministère à M. le duc, qu'il est venu à bout de renverser, LXX, 260. Premier usage qu'il fait de sa puissance, 261. Changemens opérés dans l'administration, 263. Il est promo cardinal, 268. Est nommé premier plénipotentiaire au congrès de Cambray, 320. Ses efforts secrets pour éloigner la guerre qui est résolue entre l'Espagne, la France, l'Angleterre et la Hollande, contre l'Allemagne et l'Italie, 444. Il présente un mémoire par lequel la France manque réellement au traité de Séville; paroles du maréch. de Villars à ce sujet, 445. Le cardinal se plaint du marquis de Spinola, 453. Le désir de la paix, où du moins d'éloigner la guerre, lui fait préférer tous les partis foibles, 463. Il est très-piqué contre la reine d'Espagne et coutre l'Angleterre; pourquoi, 471. Il vent, à quelque prix que ce soit, éviter la guerre, 479. Avone dans le conseil ce qu'il avoit toujours nié, que le comte de Sinzendorff avoit promis d'acheter l'amitié du Roi, pourvu que l'on voulût garantir la succession, 494. Il propose de traiter avec l'Empereur, puisque, selon les apparences, l'Angleterre traite avec ce prince, LXXI, 2. Il paroit fort irrité contre la reine d'Espagne, 14. Sa foiblesse augmente les divisions relativement aux affaires de religion, 16. Quoique résolu à la guerre, il ne peut prendre un parti décisif, 126. Son irrésolution sur les moyens de commencer la guerre, 129. (Mem. de Villars.) — Il supplante le dec de Bourbon, et se rend maître de l'autorité; termine la brouillerieavec l'Espagne; idée générale de son administration, LXXIII, 194. Partia lité de l'abbé de Montgon à son

égard, 195. Fleury ménage la paix entre les cours de Madrid et de Vienne, 197. Forme une ligue avec les rois d'Espagne et de Sardaigne contre l'Empereur, 204. Résiste inutilement aux conseils du maréchal et du comte de Belle-Ile, qui sont d'avis qu'on fasse la guerre pour soutenir l'électeur de Bavière, 281. Sa lettre à la mère du maréchal de Noailles, pour lui annoncer que son fils est nommé commandant de l'armée destinée à défendre la frontière, 287. Sa mort, 293. Ses lettres au feld-maréchal de Koenigseck, LXXIV, 183. (Mém. de Noailles.) -11 refuse l'archevêché de Reims; motif de ce refus, LXXVI, 457. Accepte l'abbaye de S.-Etienne de Caen, 458. Pense au chapeau de cardinal, ce qui l'empêche de té moigner sa reconnoissance à la maison de Castries, 459. Se retire un moment de la cour, à la nouvelle que le maréchal de Villeroy est arrété, 508. Revient auprès du Roi, 509. Motif de sa retraite, 510. Il procure le ministère à M. le duc, LXXVII, 20. Ses raisons secrètes en le faisant; son origine, son élévation, 25. Sa conduite avec M. le duc, 26. Il devient maître de la feuille des bénéfices, 27. Annonce au Roi, par une lettre, qu'il va finir ses jours dans la retraite; est rappelé par ordre du Roi, 79. Fait renvoyer M. le duc et exiler mad. de Prie, 81. Fait supprimer le titre de prem. ministre, et change toute l'administration de M. le duc, 83. Supprime le cinquantième; établit l'ordre et l'économie dans les finances; son désintéressement, 84. Il laisse tomber la marine, 85. Est nommé cardinal, 86. Comment il dissipe la conjuration des Marmousets, 88. Il seconde le grand chancel. de l'Empire pour étouffer l'aventure de magie de l'abbé Sinzendorff et du duc de Richelieu, 89 et suiv. S'occupe du soin de conserver la paix entre toutes les puissances de l'Europe, 92. (Duclos.)

FLEX (le comte de) est tué au

T. 78.

siége de Mardick, XXXVII, 184. FLORES D'AVILA (le marq. de) remet par capitulation la ville et citadelle de Perpignan à Schomberg et à La Meilleraye, XLIX, 366.

Fox (l'abbé de), mêlé dans toutes les intrigues de la cour, est conduit à la Bastille, XXVI, 466.

Foix (le chev. de) est tué dans un grand combat de cavalerie livré entre le comte de Grandpré et Montal, LI, 36.

FONCEMAGNE (M. de) prouve, dans sa lettre sur le Testament politique de Richelieu, que l'Histoire de la Mère et du Fils est l'ouvrage du cardinal, et le commencement de ses Mémoires, X, 6. Découvre le manuscrit de ces Mémoires, 8.

FONTAINE (le comte de), général des troupes espagnoles, est tué à la bataille de Rocroy, XLIX, 424.

FONTAINE (Jacques), dit Laroche, rédacteur d'une feuille périodique consacrée au jansenisme, est poursuivi pour son fanatisme; son audace, sa retraite; précautions prises pour imprimer sa feuille, XXXIII, 278. Ses successeurs dans la rédaction; époque où la feuille cesse entièrement de paroître, 280.

FONTAINE-CHANDRÉ, lieuten. aux gardes, est tué à la prise de S.-Denis, XLI, 236.

FONTAINE-FRANÇAISE (combat de). Details sur ce combat, envoyés à M. de Rosny par le sieur Balthazar, attaché à son service, II, 380.

FONTANGES (mad. de), maîtresse de Louis xiv. Sa beauté, son peu d'esprit; ses idées romanesques, son amour pour le Roi; sa mort, LXVI, 376 et suiv.

FONTENAY (le sieur de) défend la ville de Magny contre les Espagnols, XXIX, 219.

FONTENAY (M. de) conseille au card. de Retz d'aller à Compiègne, à la tête de son clergé, demander au Roi son retour dans sa capitale, et le remercier de l'éloignement de Mazarin, XLVI, 150.

FONTENAY-COUP-d'épée, lieuten

12

colonel de Navarre, est tué au siége de S-Omer, XLIX, 201. FONTENAY-HOTMAN (le sieur de), intendant de l'Anjou, fait une justice exemplaire des séditieux d'Angers, XXXIV, 313.

FONTENAY-MAREUIL (le marquis de), envoyé en qualité d'ambassad. extraordin. à Rome, s'y lie étroitement avec l'abbé de S.-Nicolas; s'éloigne ensuite de lui par jalousie, et lui rend toutes sortes de mauvais offices, XXXIV, 257. Intercepte les ordres du Roi qui lui sont adressés, 261.

FONTENELLES (Guy - Eden de), gouvern. de l'ile de Tristan, a la tête tranchée pour avoir voulu livrer cette île aux Espagnols, IV, 233.

FONTERAILLES, gouvern. de Lectoure, ayant quitté le parti des réformés, est tiré de cette place, et reçoit du Roi 50,000 écus, XX, 206. FONTETTE (M. de) découvre au dépôt des affaires étrangères le manuscrit des Mémoires de Richelieu,

X, 9.

FONTRAILLES (le marq. de) fait avec l'Espagne un traité, de la part de Monsieur, du duc de Bouillon et de Cinq - Mars; il devine la découverte du complot, et se sauve en Espagne, XXXVI, 407. Il évite par la fuite la prison où Mazarin veut le faire enfermer, XXXVIII, 53. S'offre de ménager l'union de Monsieur avec le duc de Bouillon et CinqMars, 376. Va en Espagne pour traiter au nom de ces princes, 373. Revient en France avec un traité conclu au nom du roi d'Espagne, 382. Conscille à Cinq-Mars de quitter la cour, et de se retirer à Sedan; part pour l'Angleterre, 383. ( Mém. de Motteville.)-Sa naissance; il suit le parti des princes, et se jette dans les intrigues de la fin du règne de Louis xi, et au milieu des troubles de la Fronde, LIV, 405. Le parlement rend un arrêt contre lui; est excepté de l'amnistie que le Roi accorde à ses peuples, 406. Est envoyé en Espagne par Gaston, pour conclure un traité qui met les trou

pes et les trésors du roi Catholique à la disposition de ce prince; se réfugie en Angleterre; après la mort de Louis XII, obtient des lettres d'abolition; époque de sa mort, 407. Il a laissé une relation intéressante des choses qui se sont passées à la cour pendant la faveur de CinqMars, 408. (Notice.)-Pourquoi il s'attache à ce dernier, 415. Appelé par lui, il se rend à Paris; voit en passant Monsieur à Blois; lui promet d'employer tous ses soins envers M. le grand pour l'attacher à ses intérêts, 418. Arrive à la cour après la mort du comte de Soissons, 419. Ses conseils à M. le grand; il cherche à l'attacher à Monsieur, 420. Dit à ce prince que s'il veut y donner son consentement, il se trouvera des gens qui se déferont du cardinal en sa presence, 423. A son grand étonnement, il est chargé par MM. de Bouillon et le grand d'aller traiter en Espagne, 429. Il part pour ce pays avec un projet de traité, et des blancs signés de Monsieur, 431. Arrive à Madrid; ses conférences avec le comte duc d'Olivarès, 432. Revient en France avec le traité signé; se rend à Toulouse, où il trouve M. le grand, 436. Le prie de trouver bon qu'il se retire en Angleterre; pourquoi, 437. Se rend à Chambord auprès de Monsieur, pour lui représenter le péril où il est, 441. Retourne à Perpignan; exhorte M. le grand à ne pas hasarder sa vie pour une bienséance, 442. S'embarque pour l'Angleterre, 443. Revient à Paris après la mort da cardinal et du Roi; conseille à Monsieur de faire condamner la mémoire du cardinal, afin de se tirer honorablement de la honteuse déclaration que Richelieu avoit fait rendre dans le parlement et publier contre lui, 444. Texte de cette déclaration, 445. Articles du traité fait entre le comte-duc pour le roi d'Espagne, et M. de Fontrailles pour et au nom de Monsieur, 446. Fontrailles.)

FORBIN (le chev.) est blessé lors

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