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64. S'en va en Bourgogne, 67. Ses vrais sujets de mécontentement contre Mazarin, 71. Il paroît se rapprocher des frondeurs; s'accommode tout-à-coup avec le cardinal, 73. S'attire par là la haine des frondeurs, 74. Comment il est trompé par Mazarin, 95; puis arrêté avec le pr. de Conti et le duc de Longueville, et conduit à Vincennes, 96. Est remis en liberté au Havre par Mazarin; est mené chez la Reine avec le pr. de Conti et M. de Longueville par Monsieur; se rend au parlement pour remercier la compagnie de ses bons offices, 138. Ses sentimens et sa conduite à l'égard de Mazarin, 140. Comment on lui persuade d'aller à l'assemblée de la noblesse pour l'inviter à se séparer, 143. Comment on parvient à le faire renoncer au mariage de madem. de Chevreuse avec le prince de Conti, 145 et suiv. Son raccommodement avec la cour, 149. Averti qu'on veut l'arrêter une seconde fois, il se retire à S.-Maur, 154. Refuse de se désister de ses demandes touchant l'éloignement de Servien, Le Tellier et Lyonne, 159. Il reparoit à Paris avec une grande escorte; se rend au parlement; refuse d'aller chez le Roi, 164. Sa réponse au premier président, qui lui reproche sa rencontre au Cours avec S. M., qu'il n'a pas été saluer, 165. Il va enfin rendre ses respects à LL. MM., 166. Tâche de se maintenir dans Paris; prend des mesures au dedans et au dehors du royaume pour former un parti qui puisse retenir le cardinal dans le respect, 168. Répond aux accusations dont il est chargé, surtout à celle du coadjuteur, qu'il traite de calomniateur, 169. Présente deux écrits au parlement pour sa justification, 170. Se rend au parlement avec une escorte très-nom brense, 175. Prend le parti de se retirer à Bordeaux, après avoir écrit une lettre au Roi pour s'excuser; par qui il est déterminé à prendre ce parti, 184. Il arrive à Bordeaux; quels sont ceux qui se joignent à T. 78.

lui, 187. Donne des ordres pour lever des gens de guerre de tous côtés; publie un manifeste, 188. Mauvais état de ses affaires à Bordeaux et à Paris, 198. Il fait présenter requête au parlement pour demander surséance à la déclaration donnée contre lui jusqu'à l'entière exécution des arrêts rendus contre le cardinal, 204. Ses partisans font plusieurs tentatives pour engager les compagnies souveraines dans une union semblable à celle de 1648, 206. Le prince revient à Paris, après avoir enlevé quelques quartiers de l'armée du Roi sur la Loire, 214. Se rend au parlement; discours qu'il y tient, 215. Va à la chambre des comptes, à la cour des aides et à l'hôtel-de-ville réitérer la déclaration qu'il a faite au Palais, 216. Envoie avec le duc d'Orléans des députés à la cour, pour conférer des moyens de parvenir à la paix, 217. Comment ils sont reçus, 218. Essaie de faire prendre les armes aux bourgeois de Paris; se rend maître de S.-Denis, 221. Après s'être avancé au secours du duc de Lorraine, il se voit obligé de revenir sur ses pas, 222. Fait rentrer dans Paris un grand nombre d'officiers et de soldats qui se mêlent avec le peuple; comment il devient la cause du mas sacre et de l'incendie de l'hôtel-deville, 227; ce qui nuit à ses affaires, et lui aliene tous les Parisiens, 230. Accepte la qualité de commandant des armées sous l'autorité de S. A. R., que lui donne le parlement, 235. Dépêche des circulaires à tous les gouverneurs de province, 236. Se retire vers la Flandre après avoir inutilement tenté de s'accommoder avec la cour, 242. Ses prétentions, 243.(Guy Joly.)-Il est arrêté au Palais-Royal, et conduit à Vincennes avec le pr. de Conti et le duc de Longueville, 485. Suites de cette détention, 487. Il est rendu à la liberté; vient à Paris saluer le Roi, 491. Retrouve à Vincennes, dans la chambre, où il a été détenu, les 2 plumes qu'il y a laissées, 494. Comment lui et

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les deux princes correspondoient au dehors pendant leur prison, 495. (Cl. Joly.) Il indique, à la populace rassemblée sous les fenêtres du palais d'Orléans, le duc de Damville comme franc mazarin, XLVIII, 57. Réponse que lui fait Bautru à cette occasion, 58. Il enrégimente 15,000 bourgeois de Paris; s'empare de S.-Denis, 62. Veut être plénipotentiaire pour le Roi, pour traiter de la paix générale, 70. Sa réponse fière au présid. de Novion et à Camus de Pontcarré, 73. Ses dispositions militaires après le départ du duc de Lorraine, 88. Sa question brusque à un homme du peuple qui crie la paix! la paix! 93. Il veut se rendre maitre du pont de Charenton, 107. Vient à la porte S.-Antoine, 108. Combat dans lequel il s'expose plus que dans aucun autre; se fait désarmer et débotter, et va sc rouler nu dans un pré pour se délasser, et retourner ensuite au combat, 112. Va à S.-Denis avec 300 cavaliers allemands, pour en ramener les députés du parlement, ce qu'il n'exécute que quelques jours après, 156. Se trouve mal en sortant du Palais, 158. Sa colère contre des officiers des troupes de M. d'Orléans qui sont alles garder le card. de Retz; il presse Monsieur de les casser 163. Sur les plaintes continuelles des faubourgs S.-Marceau et S.-Victor, il donne des ordres très-rigoureux pour faire cesser les dégâts que font ses soldats, 171. Ordonne que l'on pourvoie à la sûreté de la sépulture du duc de Nemours, tué en duel, 177. Voyant un changement soudain opéré dans le peuple, il remue toutes sortes de machines pour empêcher qu'on abandonne son parti, 316. L'importunité du peuple l'oblige à faire retirer ses troupes de Suresne et de S.-Cloud, 318. Il reçoit 100,000 écus du roi d'Espagne et 20,000 des frondeurs; lève des troupes dans Paris, 322. A la suite d'une conversation pleine d'aigreur avec M. d'Orléans, il tombe malade, 341. Dans son dé

pit, il jure que dans peu de jours il sera tout espagnol ou tout mazarin, 346. Commençant à désespérer de pouvoir empêcher de faire la paix, il prend la résolution de sortir de Paris, 360. Part en protestant qu'il se vengera contre les bourgeois, 363. (Mem. de Conrart.)

Il fait ses premières armes au siége d'Arras, XLIX, 284. Est nomme général de l'armée de Picardie, 422. Gagne la bataille de Rocroy, 423 et suiv. S'empare de Maubeuge et de Binch, 425. Prend Vireton, assiége Thionville, 427, qu'il force à capituler; se rend maître de Zirc; s'avance en Allemagne, 428. Porte du secours à Guébriant, 429. Réuni à Turenne, il se rend maître, par trois journées de combats, des bords du Rhin, 440 et suiv. Ássiége Philisbourg, 442, qu'il force à capituler; s'empare de Worms; entre dans Mayence, 443. Passe le Rhin; se porte sur les rives du Danube, L, 7. Prend Rotembourg, 8. Livre la bataille de Nordlingen, et la gagne, 9. Prend la ville de ce nom; investit Heilbronn; tombe malade, et revient en France, 10. Sa hauteur; son emportement envers un exempt des gardes de Monsieur, 28. Il repousse l'épée à la main la garnison du fort de Mardick, 38. Est blessé à ce siége, 39. Projette d'assiéger Dunkerque, 40. Attaque et prend Furnes, 41. Prend Dunkerque par composition, 42. Ses démêlés avec Gassion, 43. Il est envoyé en Catalogne en qualité de vice-roi; assiege Lérida, 79. Se décide à lever le siége, 80. Investit Ypres, 96. S'en rend maître par capitulation, 97 Gagne la bataille de Lens, 99 et suiv. Est blessé au siége de Furnes; prend cette place par composition, 102. Ecoute d'abord les proposi tions qui lui sont faites de la part des frondeurs; puis les rejette pour s'unir à la Reine, 136. Est d'avis au conseil qu'on fasse venir l'armée sur Paris, et qu'on la fasse entrer, pour réduire le parlement et soumettre le peuple, 138. Son retour à S.-Ger

main rend le courage et l'espérance à la cour; ses railleries sur le prince de Conti son frère, 149. Il attaque Charenton avec le duc d'Orléans, et s'en rend maître après avoir passé au fil de l'épée 9 régimens parlementaires, 158. Fait des reproches à Mazarin sur le mariage qui se traite entre sa nièce et le duc de Mercœur, 184. Le traite avec mépris quand il contrarie ses désirs, 192. Le presse de donner Pontde-l'Arche au duc de Longueville; sur son refus, le quitte pour ne plus le voir; reçoit à bras ouverts le duc de Beaufort et le coadjuteur, 200. Se réconcilie avec le cardinal par la médiation de Gramont et du duc de Rohan-Chabot, 201. Entreprend en vain de rétablir Jarzé à la cour, 203. Marie le jeune duc de Richelieu avec mad. de Pons; dans quel dessein, 204. Va se plaindre à la Reine de la conspiration faite contre sa vie, 208. Est arrêté au PalaisRoyal avec le pr. de Conti et le duc de Longueville, 215. Est conduit au donjon de Vincennes, 216. Est transféré à Marcoussis avec ses frères, 247; puis au Havre, 251. Est mis en liberté avec ses frères; est présenté à la Reine; soupe chez Monsieur avec le duc de Beaufort et le coadjuteur; se rend au parlement, 281. Entre en négociation avec Servien et Lyonne pour le retour du cardinal, 284. A quelles conditions il y consent, 285. Comment il s'attire le ressentiment de la Fronde, 287. Ne peut obtenir le gouvernem. de Blaye, qu'il demande; cesse d'aller à la cour, 288. Echappe au danger d'être arrêté une seconde fois; persuade au duc d'Orléans de demander l'éloignement de Servien, Le Tellier et Lyonne, 290. Sort de Paris, et se retire à S.-Maur; écrit à Monsieur et au parlement sur le sujet de sa retraite, 291. Ecrit au Roi pour s'excuser de ne l'avoir pas accompagné à la cérémonie de la déclaration de sa majorité, 294. Ne voulant point mêler ses troupes avec celles du Roi, il fait nommer

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Tavannes pour les commander, 296. S'en va en Guienne, 305. Fait déclarer Bordeaux pour lui, 308. Traite avec l'Espagne; prend Saintes, investit Cognac, 309. Se retire de devant cette place, 310. Chasse de Bordeaux le prem. président, et une grande partie du parlement; battu à Tonnay-Charente par le comte d'Harcourt, 312. Se décide à tenter une négociation; dans quel but, 313. Attaque et bat S.-Luc, lieuten. du Roi en Guienne, 319. Part d'Agen, traverse inconnu le Gâtinais, et arrive à Lorris, 330. Envoie sommer Montargis, qui se rend à lui, 332. Enlève les quartiers de d'Hocquincourt, et le défait à Bleneau, 333. Se rend à Paris, 336. Paroît au parlement, quoiqu'il y ait été déclaré criminel de lèse-majesté, 337. Attaque et prend S.-Denis, 341. Loge ses troupes à Charenton, 348. Fait admirer son courage et sa présence d'esprit au combat de S.Antoine, 350. Entre dans Paris avec ses troupes, 352. Maltraite Chavigny de paroles, 371. Sort de Paris, et va joindre l'armée des ducs de Lorraine et de Wittemberg, 372. Prend Rethel et Ste. -Menehould, 382. Se rend à Bruxelles, 383. Assiége et prend Noyon, 414. Ses reproches au comte de Fuensaldagne; réglement du roi d'Espagne relativem. au mot d'ordre, fort glorieux pour le pr. de Condé, 416. Il est condamné à mort par arrêt du parlement, et déchu de toutes charges, dignités et honneurs, 430, Entreprend le siége d'Arras avec l'archiduc, 441. Est forcé à la retraite, 447. Est repoussé près de Neuville, 463. Ecrit à ce sujet trois lettres contre Turenne, 464. Renvoie au lieut. génér. de Montpezat des drapeaux français pris par les Espagnols, 465. Sa hauteur avec les Espagnols; comment il en use avec don Juan, LI, 5. Secourt Valenciennes; défait l'infanterie du maréch. de La Ferté, 7. Court au secours de Cambray; entre dans la place, 25. Cette action augmente sa réputation dans les

Pays-Bas, 26. Après la signature de la paix, il vient trouver le Roi à Aix, et lui demande pardon de ce qu'il a fait contre son service; revient ensuite à Paris, 97. Est nommé général de l'armée rassemblée en Bourgogne, 150. Amuseles Francs-Comtois, 152. Se présente devant Besançon, qui se rend; investit Dôle; va à l'attaque de cette place, tenant par la main le duc d'Enghien son fils, 153. Prend la ville par capitulation, 154. Oblige le marq. d'Yenne à conseiller aux habitans de Gray de se rendre, 155. Regagne les bonnes grâces du Roi par la conquête de la Franche-Comté, 156. ( Mém. de Montglat. )· Force le poste de Charenton, commandé par Clanleu, 407 et 465. Sa réponse à Monsieur, au sujet des offres que ce prince lui fait faire, 451. Il est recherché par la cour; sur les représentations du maréchal de Gramont et de Le Tellier, il prend parti pour elle, et se déclare contre les frondeurs, 456 et suiv. Sa conduite au parlem. change l'estime publiq. en haine contre lui, 458. Il se décidé à assiéger Paris, 459. En fait le blocus, 461. Réconcilié avec mad. de Longueville, il ne garde plus de mesures avec le cardinal, 477. Rallie auprès de lui le pr. de Conti, les ducs de Nemours et de Candale, et Turenne, 480. Va dans son gouvernement de Bourgogne; fait dire à Mazarin qu'il ne peut être de ses amis s'il pense au mariage de sa nièce avec le duc de Mercœur, 481. Précède le Roi à Paris, l'y ramène ensuite, LII, 2. Motifs de sa désunion avec le cardinal, 3. Pourquoi il se rapproche des frondeurs, 4. Prend un prétexte pour éclater contre le cardinal; se racconimode bientôt avec lui, 6. Se voit abandonné de tout ce qui s'est joint à lui contre le cardinal, excepté de sa famille, Prend les intérêts de la cour dans la querelle entre M. de Beaufort et Jarze, 8. S'oppose ouvertement au mariage du duc de Mercœur avec la nièce du cardinal, 11. Ferme l'orcille aux justifications des frondeurs,

qu'il accuse d'avoir voulu le faire assassiner, 16. Fait sa plainte au Palais dans les formes ordinaires, 17. Il est arrêté au Louvre avec le pr. de Conti et le duc de Longueville, 23. Sort de prison au bout de 13 mois; vient à Paris, 58. Comment il est reçu par le peuple, et par le Roi et la Reine, 59. Il consent à traiter secrètement avec la Reine du retour du cardinal, 62. Contribue avec le doc d'Orléans à faire séparer l'assemblée de la noblesse, 65. Détourne le pr. de Conti d'épouser madem. de Chevreuse, 69. Par les conseils de Chavigny, il rompt son traité avec la Reine, 70. Envoie le marq. de Sillery en Flandre pour prendre des mesures avec Fuensaldagne, 73. Se réconcilie avec mad. de Longueville et avec La Rochefoucauld; quitte Paris pour se mettre en sûreté, 75. Ses incertitudes sur le parti qu'il doit prendre, 76. Il refuse de retourner à la cour, 78. Retourne à Paris; fait partir la princesse et son fils pour Montrond; se prépare à la guerre, essaie inutilement d'engager Turenne et le duc de Bouillon dans ses intérêts, 83. Se décide à ne plus aller au Palais sans être accompagné de tous ses partisans, 85. Prend le parti de se retirer dans ses gouvernemens, 95. Se rend à Montrond, puis à Bordeaux, 96. Prend les revenus du Roi, et fait des levées, 97. Refuse les propositions qui lui sont faites par la cour et par le duc de Bouillon, 100. Prend la résolution de faire enlever le coadjuteur dans Paris; charge Gourville de cette commission, 101. Entreprend de se rendre maître de Cognac, 103. Se présente devant cette ville, d'où il est forcé de se retirer, 105. Passe la Charente, et se retire à La Bergerie, 107. S'emporte contre Bouillon et Tarenne, qui ne veulent pas s'engager dans son parti, 109. Sa réponse aux ouvertures que lui fait faire le duc d'Orléans par Fontrailles, 110. Il prend la résolution de se fortifier dans la Guienne, 115. Entreprend le siége de Miradoux, après avoir

forcé à la retraite le marq. de S.Luc, 118 et suiv. Lève le siége, et se retire à Staffort, 122; puis à Agen, 124. Comment il y apaise une sédition, 125. Motifs qui le décident à quitter la Guienne, 127 et suiv. Difficultés de cette entreprise; départ du prince; détails sur son voyage, 134. Il arrive à Lorris, où est son armée, 138. Entre dans Montargis, et va à Château-Renard, 139. Défait d'Hocquincourt à Bleneau, 141. Livre combat à Turenne, qui se retire à Gien, en sauvant son armée et la cour, 143. Se rend à Paris, 145. S'empare de S.-Denis, 147. Charge Gourville d'une instruction pour négocier avec la cour; copie de cette instruction, 150. Obstacles qui s'opposent au succès de la négociation, 153. Sort de Paris pour aller rejoindre son armée; l'amène à S.-Cloud, 161. Motifs qui concourent à l'éloigner de la paix, 162. Il quitte S.-Cloud pour aller prendre poste à Charenton, 163. Estattaqué au faub. S.-Antoine, 164. Détails sur ce combat, où sa conduite et sa valeur sont admirées des deux partis, 165 et suiv. Les désordres arrivés à l'hôtel-de-ville lui font perdre tous les avantages que la journée de S.-Antoine lui a apportés, 171. Comment, après la mort du duc de Nemours, il est entraîné, par les Espagnols et par les amis de mad. de Longueville, à rejeter la paix, 172. Mauvais état de ses affaires, 173. Il perd Montrond, et plusieurs autres villes de la Guienne, 174. Sa maladie, 175. Il prend des mesures pour se retirer en Lorraine, 177. Refuse les propositions que lui fait faire le cardinal par Langlade, secrétaire du cabinet; part pour la Flandre, 178. (La Rochefoucauld.) -Sa belle retraite de devant Arras le fait admirer en France, et traiter de mieux en mieux en Espagne, 290. Il gagne la bataille de Senef; détails à ce sujet, 463 et suiv. Tombe malade à Fontainebleau, 496. Ecrit une lettre fort touchante au Roi en faveur da pr. de Conti; fait dresser son testament, le signe, et meurt après s'ê

tre confessé, 407. Est enterré à S.Valery, 498. (Gourville.)- Causes de la rupture de Condé avec Mazarin, LIII, 35 et suiv. Se réconcilie assez froidement avec lui en présence de la Reine; ses paroles en cette occasion, 43. Donne à souper chez lui au cardinal: comment se passe ce repas, 44. Conclut son accommodement à de certaines conditions mises par écrit, et dont le cardinal et lui gardent copie, 65. Raisons qui lui font approuver le mariage de mad. de Pons avec le duc de Richelieu, 70. Il attaque au parlement les principaux chefs de la Fronde, comme coupables d'un assassinat tente sur sa personne, 74. Détails sur la manière dont il est arrêté au Palais-Royal et conduit au donjon de Vincennes, 91. Sa tranquillité, 92. La nouvelle de sa détention fait fuir La Moussaye, Bouillon et Turenne, 93. Enfance du pr. de Condé ; son éducation, son caractère, LIV, 170 et suiv. (Lenet. ) Son portrait, son caractère, LVIII, 59. It veut accommoder le parti de la cour et celui du parlement, 87. Comment il échappe au parti des frondeurs, 92. Gagné par Gramont et Le Tellier, il se décide à employer tous les moyens pour dissiper les factions, 96. Se charge de réduire les Parisiens, 97. Se saisit de Lagny, de Corbeil, de S.-Cloud, de S.-Denis et de Charenton, 98. Ecrit à Bouillon pour l'exhorter de revenir à S.-Germain; écrit, conjointement avec la Reine, aux colonels de l'armée d'Allemagne de ne plus obéir à Turenne, et de l'abandonner, 101. Fait attaquer Charenton, qu'il avoit abandonné, 102. Causes de sa mésintelligence avec Mazarin après le traité de Ruel, 115. Il refuse le commandement de l'armée des PaysBas; s'unit étroitement avec le pr. de Conti, le duc de Nemours, le duc de Candale et Turenne, 116. Comment il se brouille avec les frondeurs, 182. Est arrêté avec le pr. de Conti et le duc de Longueville, et conduit à Vincennes, 183. Est dé

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