Soleysel, Le parfait maréchal; Paris, 1664, in-4°. Bourgelat, Éléments d'Hippiatrique, ou nouveaux principes sur la connaissance des chevaux ; Lyon, 1781-83, 3 vol. in-8°. Flandrin, Mémoire sur la possibilité d'améliorer les chevaux en France; Paris, 1790, in-8°. OEuvres complètes de Thirouz, sur l'équitation, les Haras, la connaissance du cheval, son éducation pour tous les services, sa nourriture, etc.; Versailles, an XII, 2 vol. in-4°. Huzard fils, Des haras domestiques en France; Paris, 1829, in-8°. Le duc de Guiche, Observations sur l'améliora*ion des races de chevaux en France; Paris, 1830, in-8°. Le marquis de Drée, De la régénération de l'espèce chevaline en France; 1830, in-8°. Mathieu de Dombasle, De la production des chevaux en France, dans les Annales de Roville, VI vraison. Le comte de la Roche-Aymon, De la cavalerie, etc.; Paris, 1838, 3 vol. in-8°. A. Demoussy, Traité complet des Haras; Tulle, 1834, in-8°. Ol. Chuteau, Pratique de l'élève des chevaux et de l'entraînement des chevaux de course; Paris, 1834. in-8°. J. Girard, Traité d'anatomie vétérinairs, 2o édit. 1819; Paris, 2 vol. in-8°. De Gasparin, Manuel de l'art vétérinaire. l'usage des officiers de cavalerie, des agriculteurs, etc.; Genève, 1817, in-8°. Bourgelat, Éléments de l'art vétérinaire ;-8° ed. avec notes de M. J. B. Huzard; Paris, 1832, in-8°. Grognier, Precis d'un cours d'hygiène vétérinaire: Paris, 1833, in-8°. — Précis d'un cours de zoologie véterinaire; Paris, 1833, in-8°. Maison rustique du dix-neuvième siècle, t. II. CHEVAL-VAPEUR. (Technologie.) Avani l'invention de la machine à vapeur, les ma. chines des manufactures anglaises étaient, presque partout, mises en mouvement par des manéges que des chevaux faisaient tourner. Quand les avantages de la vapeur furent connus, elle fut le seul moteur qu'on voulût employer là où on ne pouvait pas disposer de la puissance d'un cours d'eau; et la machine de Watt remplaça bientôt tous les manéges qui existaient lors de son invention. Les industriels qui l'adoptèrent imposèrent naturellement aux mécaniciens auxquels ils s'adressèrent la condition expresse que les machines qu'ils leur livreraient effectuassent le même travail que le nombre de chevaux attelés simultanément aux manéges qu'elles devaient remplacer. La puissance du cheval, ainsi prise pour quantité de comparaison dans ces transactions, servit d'unité dans l'évaluation de la force des moteurs; son usage passa en France avec les machines à vapeur lorsqu'elles y furent apportées, et son emploi devint bientôt général. Rien n'est cependant plus variable dans que la puissance du cheval. Watt, qui, ses calculs, considérait la force des gros chevaux d'Angleterre, craignant d'ailleurs de rester au-dessous des conditions que lui imposaient les manufacturiers qui s'adressaient à lui, lui a donné une valeur équivalente à la quantité d'action qu'il faut dépenser pour élever 75 kilogrammes à une hauteur d'un mètre en une seconde. C'est une valeur bien supérieure à la puissance de ces animaux. C'est cependant celle que l'usage a adoptée. Il est d'ailleurs bien entendu que le cheval-vapeur a une durée d'action incessante et continue, tandis que les chevaux ne peuvent travailler que pendant un petit nombre d'heures chaque jour. Le cheval-vapeur n'est donc qu'un che val fictif; c'est une quantité de convention. Malheureusement il n'a pas été légalisé par la loi comme les autres unités; aussi est-il souvent une source de procès. CHARLES RENIER. CHAMP DE MARS et CHAMP DE MAI. col. CHAMPIGNONS, par M. Ad. Brongniard, 171 172 185 186 ... 187 248 Mellet. CÉTACÉS, par M. Bory de Saint-Vincent. ib. CHANCELIER, par M. Émile Boucher. CHANGE, par M. Emile Boucher.. - 402 404 412 420 422 426 429 434 CEUTA. 266 CHANT, par le même. ib. CHANTERELLE, par le même.. 436 CHANTILLY, par M. Léon Renier.... ib. 437 CHAOS, par M. Bory de Saint-Vincent. 282 ib. - (Mécanique ), par M. Charles CHAINETIER, par MM. Lenormand et |