| Charles-Louis de Secondat de Montesquieu - 1788 - 602 Seiten
...et l'aller chercher dans leurs craintes on leurs espérances. En effet , rien n'est plus consolant pour les hommes, qu'un lieu où. ils trouvent la divinité...n'ont pas de maisons eux-mêmes. C'est ce qui fit que Gengiskan marqua un si grand mépris pour les mosquées (i). Ce prince (i) interrogea les Mahométans... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1788 - 606 Seiten
...l'adorer et l'aller chercher dans leurs craintes ou leurs espérances. En effet, rien n'est plus consolant pour les hommes, qu'un lieu où ils trouvent la divinité...n'ont pas de maisons eux-mêmes. C'est ce qui fit que Gengiskan marqua un si grand mépris pour les mosquées (i). Ce prince (z) interrogea les Mahométans... | |
| 1797 - 164 Seiten
...sein de leurs plus douces habitudes de tous les maux qu'ils ont soufferts. Rien n'est plus consolant pour les hommes qu'un lieu où ils trouvent la divinité...présente , et où tous ensemble ils font parler leur misère et leur foiblesse. Aussi l'univers est le premier temple de la divinité ; sa sagesse , sa... | |
| Jean Chas - 1801 - 316 Seiten
...l'aller chercher dans leurs « craintes ou leurs espérances. En effet , rien n'est « plus consolant pour les hommes qu'un lieu où ils « trouvent la...présente, et où, tous « ensemble , ils font parler leur faiblesse et leur « misère. Toutes les fois qu'un génie malfaisant, « dit Z,aleucus, entraîne... | |
| Catholic Church. Pope (1800-1823 : Pius VII). - 1802 - 206 Seiten
...ou leurs espérances. En effet » i» rien n'est plus consolant pour les hommes , qu'un lieu où *i ils trouvent la Divinité plus présente , et où tous ensemble » ils font parler leurs faiblesses et leurs misères (i). » D'autre part , une religion ne pouvant subsister sans ministres... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1803 - 478 Seiten
...des Indes : celles-ci ont un enfer et un paradis; an lieu que la religion des Siutos n'en a point. plus présente , et où tous ensemble ils font parler leur foiblesse et leur misere. Mais cette idée si naturelle ne fient qu'aux peuples qui cultivent les terres ; et on ne verra... | |
| France - 1813 - 1258 Seiten
...l'aller chercher " dans leurs craintes ou leurs espérances. En effet, rien n'est " plus consolant pour les hommes, qu'un lieu où ils trouvent la "...plus présente, et où tous ensemble ils font parler leurs " faiblesses et leur misères." (Esprit desLois, liv.\iiv,chap.3.) D'autre part une religion... | |
| France - 1813 - 1244 Seiten
...craintes on leurs cspéraures. En effet, rien n'est " plus consolant pour les hommes, qu'un lieu ou ils trouvent la •" divinité plus présente, et où tous ensemble ils font parler leurs •' faiblesses et leur misères." (Esprit des Lois, ln\\\\ ,i/:>i/i. ,.') D'antre part une religion... | |
| Charles-Louis de Secondat baron de Montesquieu - 1816 - 270 Seiten
...n'en » point. plus présente , et où tous ensemble ils font parler leur foiblesse et leur misere. Mais cette idée si naturelle ne vient qu'aux peuples...n'ont pas de maisons eux-mêmes. C'est ce qui fit que Gengiskan marqua un si grand mépris pour les mosquées (i). Ce prince (2) interrogea les mahométans;... | |
| France - 1816 - 1254 Seiten
...l'adorer, et l'aller chercher dans leurs craintes ou leurs espérances. En effet, rien n'est plus consolant pour les hommes, qu'un lieu où ils trouvent la divinité...plus présente, et où tous ensemble ils font parler leurs " faiblesses et leur misères." (Esprit des Lois, liv.Tlxv,c/uip.3.) D'autre part une religion... | |
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