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quel il est qualifié écuyer, sieur de Renoncourt, et mourut à Saint-Quentin, le 13 décembre 1656. Il avait épousé, par contrat du 29 mars 1602, passé pardevant Bottée et Moillin, notaires au bailliage et gouvernement de Coucy, signé d'eux, et scellé le 19 mars 1603, damoiselle Marie de Jourdieu, fille de Philippe de Jourdieu, écuyer, sieur de Valserin, et de damoiselle Michelle Maigret. Leurs enfants furent:

1o. Eustache, seigneur de Renoncourt et de Guichaumont, gentilhomme de la maison du Roi, capitaine au régiment de Bourdonné, aide des camps et armées du Roi, premier capitaine et major au régiment de cavalerie de Sainte-Maure, chevalier de l'ordre du Roi. Il fut maintenu dans sa noblesse, par arrêt du conseil-d'état du Roi, du 28 novembre 1663, et par jugement de M. de Caumartin, intendant en Champagne, du mois de janvier 1670. Il avait épousé, par contrat du 31 août 1642, damoisellle Nicole de Marguenat, fille de Vincent de Marguenat, écuyer, seigneur de Guichaumont et de Rosières, et de demoiselle Nicole de la Ferté. Il avait pour enfants, en 1670:

a. François, volontaire au régiment de Tresville, cavalerie;

b. René;

c. Marie;

d. Nicole ;

2. Henri, qui épousa Marie du Pré, dont il eut?

a. Jean Henri;

b. Benigne ;

3°. Jacques III, dont l'article suit;

4°. Philippe, brigadier de la première compagnie des mousquetaires du Roi;

5o. François, cornette de la première compagnie de S. A. R.;

6°. Marguerite, veuve de Jacques le Jeune, écuyer, sieur de Dormicourt;

7°. Antoinette, femme d'Ambroise de Maupoint, écuyer, sieur de Harville;

8°. Jeanne

9°. Françoise,

non mariées en 1670.5 ezaq ub

V. Jacques de Trousset, He. du nom, écuyer, lieutenant au régiment de Bourdonné, fut tué au pres mier siége d'Arras, en 1640. It s'était établi au pays de Liége, et avait eu pour fils:

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VI. Jacques de Trousset, IV. du nom, marié avec Marguerite de Nicolaï, qui le rendit père de :

1o. Jacques V qui suit;

2o. Gilles, ecclésiastique, vivant en 1685.

VII. Jacques de Trousset, Ve. du nom, né le 13 février 1652, et baptisé en l'église paroissiale de Moy, au diocèse de Liége, épousa, le 2 juin 1683, Marie Martin, fille de Jacques Martin, de laquelle il eut entr'autres enfants, Jacques-François, qui suit:

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VIII. Jacques-François de Trousset, né le 5 octobre 1685, et baptisé en l'église paroissiale de Moy, au diocèse de Liége, eut pour parrain Gilles de Trousset son oncle, et pour marraine Elisabeth du Puis. Il épousa dame Anne-Servatie d'Orfort, dont il eut entr'autres enfants:

IX. Louis-Laurent de Trousset de Geneville, né le 31 octobre 1738, vivant en 1821; a été l'un des membres de la cour souveraine de justice de la ville et du pays de Liége, et l'un des conseillers du souverain dans sa chambre des finances, et est encore aujourd'hui l'un des conseillers de la cour supérieure de justice de la province de Liége, royaume des Pays-Bas. Il a épousé noble dame Anne-Jeanne-Hélène de Melotte, dont est issu:

X. Georges-Louis-François de Trousset, né le g novembre 1769, désigné avant la révolution au conseil privé du dernier prince-évêque de Liége; fut employé dans différentes missions, à Vienne, en 1793 et 1794. Isolé de toute fonctions pendant le règne de la terreur et de l'anarchie, il fut nommé pour les souverains alliés, lors de l'occupation de la Belgique par leurs armées,

membre de la commission centrale du gouvernement du pays de Liége; puis successivement, en 1814, l'un des députés à Paris, avec MM. les comtes de Geloës, de Mean et le baron de Stockhem, pour porter aux pieds des augustes monarques, réunis dans cette capitale, les hommages de leur pays et l'expression des vœux de ses habitants.

Armes: de sinople, au lion d'or, lampassé et armé de gueules.

ADDITIONS

ET CORRECTIONS

AUX QUATRE PREMIERS VOLUMES DU DICTIONNAIRE UNIVERSEL DE LA NOBLESSE.

TOME PREMIER.

PRÉFACE, p. vij, ligne 25, 1785, lisez 1782; p. 31, ligne 22 et 26, proposé, lisez préposé; ligne 24, supprimez le mot mais à la fin de cette ligne; ligne 32, au lieu de d'Eudes, lisez d'Eudes; ligne 33, au lieu de Ñ.... Compain, lisez Guillaume Compaing.

P. 41, article D'AROD, ligne 6, mort 1815, lisez mort en 1815.

P. 63, article AUTIÉ DE VILLEMONTÉE, ligne 10, en 1788, lisez en 1781.

P. 93, article BEAUFORT-MONTBOISSIER, ligne 4, à maison, lisez à la maison.

P. 109, article BOULET DE MARANVILLE, voici les véritables armoiries de cette famille : de gueules à trois croissants d'argent.

P. 132, article DE CALONNE DE COURTEBONNE, avantdernière ligne, après le mot Picardie, ajoutez : le marquis de Courtebonne de Thois est le chef actuel de cette maison. Il n'a que deux filles.

P. 161, article DU CLUZEL. Il semblerait, d'après la rédaction de cette notice, que la maison du Cluzel ne subsiste plus que dans la personne du comte du Cluzel,

ancien capitaine aux gardes françaises, aujourd'hui lieutenant-général et commandeur de Saint-Louis. C'est par erreur qu'on a omis, 1. le marquis du Cluzel, ancien officier au régiment du Roi, chevalier de Saint-Louis, dont le père, élevé à l'école des cadets gentilshorames de Metz, eut le poignet emporté par un biscayen au siège de Prague; l'oncle fut tué à Rosbac, et le grand-oncle Nicolás du Cluzel, mort le premier à la tête des grenadiers de Piémont, sur l'ouvrage couronné de Philisbourg; 2o. M. du Cluzel, de la branche des anciens seigneurs de Brouillard et de Sainte-Pare, ancien mousquetaire du Roi, les seuls qui restent de leur nom.

P. 168, article CORDOUE, ligne 3, au lieu d'ancienne extraction, lisez d'ancienne chevalerie.

P. 217, article LE DUCHAT, ligne 9, eut confiance, lisez fut confirmé.

P. 272, article GELLÉ DE SAINTE-MARIE, les étoiles sont d'argent, et non pas d'or.

P. 288, article GIRAUDY, renvoi (1) au bas de la page du Chêne, lisez du Chesne; renvoi (2) du Clusel, lisez de Cláusel.

P. 319, article LE GROS, lisez Espinant, partout où l'on a mis Epinant, erreur occasionee par la prononciation de ce nom.

P. 341, article GUI DU VAL. Gui est un nom de baptême, et DU VAL le nom de cette famille; ainsi cette notice, d'ailleurs incomplète, devrait être placée au t. II, p. 421. Les armoiries de cette famille sont de gueules, à la fasce vivrée d'or.

P. 368, dernière ligne, et p. 369, ligne 10, au lieu de Louis XV, lisez Louis XVI.

P. 375, entre Beauvilliers et Bédoyère, mettre Bec-deLièvre de Cany, (le marquis) a eu l'honneur d'être pré, senté à Sa Majesté et à la famille royale, en 1770. Bec-de· Liévre de Cany, (la marquise de ) a eu l'honneur d'être présentée au Roi et à la famille royale, le 30 juillet 1775, par madame la vicomtesse de Talaru, dame de madame Adélaïde,.....!

P. 532. Liste des COMTES DE LYON, entre la huitième et la neuvième ligne, ajoutez Tour-du-Pin Montauban (Louis de la) comte de Lyon en 1698, puis évêque de

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