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Le comte de Poudenas, pour M. le marquis de Dunes

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et pour M. le marquis de Roquépine.

Du Bouzet, pour M. de Guichené.

Le baron d'Esparbès, pour lui et pour M. de Berrac. La Fourcade.

Héron de Malausane.

Mélet, marquis de Bonas, pour lui et pour M. de Mélet de Saint-Orens, baron de Las.

Lissalde de Casteron.

Du Pleix de Cadignan.

Du Puy du Busca, pour lui et M. du Puy du Molé. Fabars, pour lui et pour mademoiselle du Pleix de Cadignan.

De la Devèze de Charrin.

Redon d'Auriole.

Le Sage.

Le chevalier de Polignac, pour lui et pour chacune

de ses deux sœurs.

Le chevalier de Mazelière.

Copin de la Garde.

Le comte de Mélignan, pour M. de Mélignan-Caillavère. Le baron de Castillon, seigneur de Parron,

De Vigier.

De Caubeyres, pour lui et pour son père.

Du Bernet, pour lui et pour M. le vicomte de Juillac. De Lafite de Francescas.

Le chevalier de Basignan de Grenelle.

Le comte Dorlan de Polignac, pour lui et pour

M. de Ravignan.

Le chevalier du Pin.

Daux de l'Escout.

De Roquevert.

De Coucy.
D'Estrac.

Faulong du Bosq.

De Vigier, pour lui et pour madame de Bigos.

Galard de Lusanet.

Le chevalier de Cambon.

Le baron de Gélas.

Le comte de Cugnac.

Antoine de Castillon.

Le chevalier Joseph de Castillon.

Le chevalier du Mirail.

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Le chevalier de Galard-Terraude-Bonot.

Peyrecave de la Marque.

Le chevalier de Laverny de Lassale

madame de Chaseron.

Ducos de la Hite-Saint-Barthélemy.

Le chevalier de Saint-Germe.

Du Bernet de Courrejot.

Lassambelle de Camin.
La Mothe, père.

La Mothe, fils.
Ducause.

De Goyon de la Herrouse.

De Lartigue.
De Lartigue.

De Labat.

De Perricot.

De Lasserre.
Du Bartas.

Lesage de Moras.

De Moncade.

De Civrac.

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De Cambon de Larroque.

De la Grange.

Larroche-Lauriac.

, pour

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Goyon-d'Arzac, commissaire - rédacteur et secrétaire de l'ordre.

DE COQUET, barons de la Roche de Guimps; famille originaire de Guienne, dont l'ancienneté remonte à noble Pierre Coquet, écuyer, qui testa le 7 février 1558.

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Une branche de cette famille est établie à Agen, depuis environ deux siècles. Elle a donné des magistrats au parlement de Bordeaux, un grand maître d'hôtel d'Henri IV, des officiers supérieurs aux armées, des chevaliers de Saint-Louis, etc., etc.

Armes D'azur, au chevron d'or, accompagné en pointe d'un coq du même, crêté et barbé de gueules; au chef cousu de gueules, chargé de deux étoiles d'argent.

DE CORTADE; famille noble, originaire de Gascogne, au pays d'Astarac, où elle possédait la seigneurie de Lartigue, dès l'an 1130, tems auquel Raymond, Sanche et Bertrand de Cortade, frères, donnèrent à l'église d'Auch la dîme de cette seigneurie; l'acte de donation est conservé dans les archives de cette église.

De cette souche descendait Pochon de Cortade, qui, en 1490, était receveur pour le Roi au pays d'Astarac, charge très-considérable dans ces tems reculés, où les baillis et sénéchaux faisaient seuls la recette du domaine des Rois.

Pochon de Cortade eut pour fils Jacques de Cortade, qui eut pour fils Antoine de Cortade, lequel se trouve qualifié de messire, dans le testament de très-puissant seigneur Bertrand d'Armantieu de Béarn - Béon, en l'année 1537.

Noble Jacques de Cortade, son petit-fils, paraît dans un acte du 18 septembre 1612, où il traite pour les droits de damoiselle Marie de Verdier, femme de messire Dominique de Cortade, son fils, au sujet d'un certain domaine, situé au terroir de Durban.

Ce Dominique de Cortade, Ier, du nom, écuyer, épousa ladite Marie de Verdier, le 14 février 1610, comme il paraît par l'acte de célébration dudit jour.

Le 16 mai 1612, naquit Dominique de Cortade, II. du nom, comme il résulte de son extrait baptistaire, où il est dit fils de M. Dominique de Cortade et de damoiselle Marie de Verdier. Il épousa, le 24 mars 1640, damoiselle Jeanne de Busquet.

Le 8 octobre 1641, naquit Dominique de Cortade, IIIe. du nom, qui eut pour fils Dominique-François de Cortade, lequel fut marié, en premières noces, avec damoiselle Marguerite d'Autrave, de laquelle il n'eut

point d'enfants; et en secondes noces, avec damoiselle Jeanne de Lacoste, de laquelle il eut François-Chris->› tophe de Cortade, lieutenant principal en la sénéchaus sée des Quatre-Vallées, qui fut marié avec damoiselle Elisabeth de Loubet, alliée avec la maison de la Barthe, des anciens souverains des Quatre-Vallées, duquel mariage est né Jean-François de Cortade, marié, en 1771, avec damoiselle Françoise d'Affier. De ce mariage est issu Jean-François-Christophe de Cortade.

Armes: Ecartelé, aux i et 4 d'azur; au lion d'or accompagné de trois étoiles du même; aux 2 et 3 de gueules; au besant d'argent.

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DE COURTADE; famille noble de Gascogne, de laquelle, depuis deux cents ans, sont sortis plusieurs militaires qui ont servi honorablement, et parmi lesquels on distingue particulièrement François de Courtade, aide des camps et armées de Louis XIII, qui, en récompense de ses services, reçut des lettres de noblesse de ce prince, le 4 mars 1643. Il s'était trouvé à toutes les actions qui avaient eu lieu en Lorraine et en Allemagne; aux siéges de Dôle, de Corbie, Fontarabie, Coni, Turin, Tortone et autres, où il se comporta avec la plus grande distinction. Subséquemment à l'obtention de ces lettrespatentes, il se trouva au siége de Roses, en 1645, et au combat de Crémone en 1648, où il eut le bras cassé d'une mousquetade; il était alors capitaine au régiment de Navailles (1). Jean de Courtade, son fils, créé maréchal des camps et armées du Roi, à la promotion du 8 mars 1718, mort au mois de mars 1721, s'était trouvé à dix batailles, sept combats et quinze siéges, ainsi qu'à plusieurs autres actions de guerre (2).

Louis de Courtade, après avoir servi long-tems dans le régiment de Toulouse, où il eut un bras cassé au siége de Namur, en 1692, fut nommé gouverneur du fort des Bains et de la ville d'Arles, en Roussillon; cette honorable retraite ne fut pas la seule récompense

(1) Voyez la Gazette de France, des 31 mai 1645, et 15 juillet 1648.

(2) Voyez le tome IV du Dictionnaire historique et biographique des Généraux français.

de ses services; Louis XIV le reçut lui-même chevalier de Saint-Louis, lors de la création de cet ordre, au Faois d'avril 1693.

De cette famille sont issus des magistrats qui ont occupé des charges dans les cours souveraines de Pau et de Bordeaux. D'autres, enfin, ont servi d'une manière distinguée dans la maison du Roi, dans des régiments, plus particulièrement dans la cavalerie, avec les grades de capitaines et d'officiers supérieurs, jusqu'à l'époque de la révolution, ainsi que dans l'émigration; la plupart ont été décorés de l'ordre royal et militaire de SaintLouis.

:

Armes D'azur, au chevron d'argent, accompagné en chef de deux croissants du même.

CRÉTIEN DE NEUFVILLE, en Normandie; famille des plus anciennes de cette province, où elle est connue depuis Gui Crétien, chevalier, ou Guiard, comme le nomme la Roque, qui épousa Marie de Clerc, et fut père de Guy Crétien, pourvu de la charge de maître des requêtes ordinaire de l'hôtel du Roi, au lieu de Raoul de Pruelles, par lettres de l'an 1383. Il fut nommé maître ordinaire en la chambre des comptes de Paris, le 22 février 1385, et comparut à l'échiquier de Normandie, tenu à Rouen, en 1400. Il avait pour frère, Jean Crétien, chevalier, époux de Jeanne de Harcourt, fille naturelle de Jean VI, comte de Harcourt, et père, 1o. de Robert Crétien, chevalier, seigneur du Bacquet et de Launny en 1454; 2°. de Jean Crétien, licencié èzlois, desquels il est fait mention dans les échiquiers tenus à Rouen en 1463, 1464, 1469 et 1474. L'auteur des Généalogies des Maitres des Requêtes (pp. 57, 58), croit Gui Crétien, frère ou neveu de Gervais Crétien, chanoine de Bayeux, et médecin du roi Charles V lequel fonda le college de Bayeux à Paris, l'an 1370.

Cette famille est représentée de nos jours par:

Pierre-François Cretien de Neufville, qui, entré d'abord dans les gendarmes de la garde ordinaire du Roi, est passé dans différents corps; a été fait chevalier de Saint-Louis, nommé correspondant de la Société royale et centrale d'Agriculture du département de la Seine, et, lors de l'établissement des préfectures, nommé conseiller de la

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