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TABLE

ALPHABÉTIQUE ET RAISONNÉE

DES MATIÈRES CONTENUES DANS CE VOLUME.

AISNE. Passage de l'Aisne par l'armée française à Béry-au-

Bac, 163.

ALBUFERA (le maréchal Suchet, duc d'), arrête les Espa-
gnols sur la ligne du Lobregat, 36.- Est appelé à rem-
placer le maréchal Augereau dans le commandement
de l'armée de Lyon, 180.

ALEXANDRE (l'empereur). Voyez RUSSIE.

ANGLETERRE. Déclaration du prince régent sur les intentions
pacifiques de l'Angleterre, 5.- Lord Castlereagh, son
ministre des affaires étrangères, se rend au quartier-

général des alliés, 40.-Fait signer le traité de Chaumont, 159.

ANGOULEME (le duc d'). Présence de ce prince dans le

midi, 127. Il arrive à Bordeaux, 184.

ANVERS. Les alliés s'approchent d'Anvers, 35.-Napoléon confie la défense de cette place au général Carnot, 46. -Les Anglais échouent dans leurs attaques, 178. ARCIS-SUR-AUBE. Rencontre et bataille d'Arcis, les 20 et 21 mars, 189.

Armées françaises. La grande armée, en se retirant d'Allemagne, prend ses cantonnements derrière le Rhin, 3.Situation et force des diverses armées françaises, 32. Revue des armées françaises encore employées au dehors, en Allemagne, en Espagne et en Italie, 32. -Ressources que les armées françaises offrent encore à Napoléon à l'époque de son abdication, 245.

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ARMÉES ENNEMIES. Force des armées ennemies employées à l'invasion de la France, 31. Armée angloespagnole, voyez Wellington. Armée autrichienne sur l'Adige, voyez Italie. ARMISTICE. Le prince Wentzel-Lichtenstein, aide-de-camp du prince Schwartzenberg, vient au hameau de Châtres proposer un armistice, 126.-Le village de Lusigny est fixé pour la négociation de l'armistice, 137. - Le général Flahaut est nommé commissaire de l'empereur pour cette négociation, 138.- Napoléon demande que la ligne de démarcation de l'armistice soit tirée d'Anvers sur Lyon, 139. Rupture des conférences de Lusigny. Le général Flahaut vient rejoindre l'empereur le 8 mars à Chavignon, 170.

-

ARTOIS (le comte d'). Voyage de ce prince en Suisse. Il

doit venir au quartier-général des alliés, 127.-Les paysans des environs de Saint-Thibaut croient le faire prisonnier, 205.-Napoléon apprend avec plaisir l'arrivée de ce prince à Paris, 263.

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ATHALIN, lieutenant-colonel du génie, adjoint au directeur du cabinet topographique, marque sur la carte, par des épingles, tous les lieux que les rapports du jour indiquent, 73. Reste jusqu'à la fin à Fontainebleau, 266. AUGEREAU (le maréchal). Voyez CASTIGLIONE (le duc de ). AUTRICHE (l'empereur d') entre en France, 15.- Est entraîné par les fuyards du côté de Dijon, tandis que les autres souverains marchent sur Paris, 206. — L'impératrice est autorisée à lui dépêcher le duc de Cadore pour le presser d'intervenir en faveur d'elle et de son fils, 236.

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BACLER-D'ALBE, directeur du cabinet topographique, marque sur la carte, par des épingles, tous les points que les rapports du jour indiquent, 73. -Est envoyé à Paris pour prendre la direction du dépôt de la guerre, 154. BAILLON, fourrier du palais, suit Napoléon à l'île d'Elbe, 260.

BARBÉ-MARBOIS (le comte) est commissaire du sénat pour

l'examen des pièces de la négociation de Francfort. 19. BASSANO (M. Maret, duc de), ministre des affaires étrangères, répond aux propositions apportées de Francfort par le baron Saint-Aignan, 8.-Il est rappelé au ministère de la secrétairerie d'état, 10.-Il rejoint Napoléon à Brienne, 82. - Son travail journalier avec Napoléon, 177. Sa belle conduite auprès de Napoléon à Fontainebleau, 262 et 266. (Voir dans le supplément

sa correspondance avec le duc de Vicence relativement

aux négociations de Châtillon.)

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BASTE (le contre-amiral) est tué à l'attaque de Brienne,

79.

BEAUSSET (le baron), préfet du palais, vient de Rambouillet à Fontainebleau, chargé de commissions de l'impératrice, 263.Suit l'impératrice à Vienne, 265. BELGIQUE. La Belgique est enlevée à la France, 92. BELLART (M.) convoque illégalement le conseil général de Paris, dont il est président, 229.

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BELLIARD (le général comte ) remplace le général Grouchy blessé à la bataille de Craonne, et commande la cavalerie, 166. Se présente à Napoléon à Fontainebleau, après la capitulation de Paris, 209. Reste à Fontainebleau jusqu'à la fin, 266. BELLUNE (le maréchal Victor, duc de ), se retire de Strasbourg par les Vosges, 20.-Et de Nancy sur Vitry-leFrançais, 71.-Combat à Brienne, 84. Reste chargé de la défense de la Seine pendant les affaires de Montmirail, 97. Recule jusqu'à Guignes, 109.-Combat à Nangis, et poursuit l'ennemi dans la direction de Montereau, 110. - Combat à Montereau, 113. — Sa querelle avec Napoléon à Surville, 116. Il est blessé à Craonne, 166.

-

BÉNÉVENT (M. de Talleyrand, prince de), est commissaire du sénat pour l'examen des pièces de la négociation de Francfort, 19. Il envoie, dit-on, M. de Vitrolle à M. le comte d'Artois, 205. - Reste à Paris pour en faire les honneurs aux alliés, 221. Assiste au conseil

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des alliés, ibid. -Est nommé président du gouvernement provisoire, 228.

BÉNIGSEN (le général russe). Son armée est retenue sur l'Elbe par nos garnisons, 37.

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BERG-OP-ZOOM. Surprise de cette place par les Anglais. Belle action du général Bizannet, 178.

BERCKHEIM (le général), écuyer de Napoléon, est mis à la tête de la levée en masse de l'Alsace, 42. BERNADOTTE, prince de Suède. L'armée qu'il commande s'avance sur la Hollande et la Belgique, 15. Elle passe le Wahal et la Meuse et s'approche d'Anvers, 35.Combat sous les murs d'Anvers, 45.-Nous enlève la Belgique, 92. Son avant-garde s'avance jusqu'à Soissons, 143. Reprend une seconde fois cette ville et sauve l'armée de Blücher, 156.—Protége la retraite de Blücher sur Laon, en livrant la bataille de Craonne, 163. -Se retire elle-même sur Laon, 166. — Bernadotte n'a franchi qu'à regret la limite du Rhin, 171. BERRY (le duc de). Arrivée de ce prince à Jersey, 127. BERTHIER (le maréchal). Voyez Neufchatel.

BERTRAND (le général comte), grand maréchal du palais, monte dans la voiture de Napoléon partant pour l'armée, 68. Interroge les gens du pays qu'on amène à Napoléon, 73. - Commande, à la bataille de Montmirail, l'attaque du village de Marchais, sur la gauche, 101. - Accompagne Napoléon à l'île d'Elbe, 260. BÉRY-AU-BAC. Napoléon y établit son quartier-général, et y passe l'Aisne le 5 mars, 163.

BEURNONVILLE (le comte de ), sénateur, est commissaire du sénat pour l'examen des pièces de la négociation de Francfort, 19.-Est commissaire extraordinaire de Napoléon pour les mesures de défense dans les provinces, 28.— Est nommé membre du gouvernement provisoire, 228.

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