Bulletin de la Société de géographie de Dunkerque, Band 4 |
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... ( suivant son idée ) N'avez - vous jamais reçu de boulet ? monsieur de Forbin ? FORBIN Mademoiselle , si j'avais reçu un boulet , je n'aurais probablement pas l'honneur de vous entretenir en ce moment ; je ne puis vous faire hommage que d ...
... ( suivant son idée ) N'avez - vous jamais reçu de boulet ? monsieur de Forbin ? FORBIN Mademoiselle , si j'avais reçu un boulet , je n'aurais probablement pas l'honneur de vous entretenir en ce moment ; je ne puis vous faire hommage que d ...
Seite 43
... suivant ) Et voir Jean Bart ; il doit avoir l'air féroce ! ( Elle entre dans la maison ) . FORBIN ( entrant à sa suite ) Et le carnaval de Dunkerque ! je doute qu'il éclipse celui de Venise ! Figurez - vous , mademoiselle , lorsque j'y ...
... suivant ) Et voir Jean Bart ; il doit avoir l'air féroce ! ( Elle entre dans la maison ) . FORBIN ( entrant à sa suite ) Et le carnaval de Dunkerque ! je doute qu'il éclipse celui de Venise ! Figurez - vous , mademoiselle , lorsque j'y ...
Seite 104
... ( suivant la foule ) Qui ne serait heureux de servir un prince si aimable ! Dans le remous de la foule qui suit le Roi , Pauline se sépare furtive- ment de sa mère et se rapproche de Jean Bart PAULINE ( timidement ) Monsieur ... Monsieur ...
... ( suivant la foule ) Qui ne serait heureux de servir un prince si aimable ! Dans le remous de la foule qui suit le Roi , Pauline se sépare furtive- ment de sa mère et se rapproche de Jean Bart PAULINE ( timidement ) Monsieur ... Monsieur ...
Seite 107
... suivant leur pente naturelle , elles devaient , par une route de plus en plus large , arriver à la mer , se balancer dans l'immensité , monter en vagues énormes ou dormir sous le ciel infini ... peut - être rencontrer et baiser votre ...
... suivant leur pente naturelle , elles devaient , par une route de plus en plus large , arriver à la mer , se balancer dans l'immensité , monter en vagues énormes ou dormir sous le ciel infini ... peut - être rencontrer et baiser votre ...
Seite 180
... tout à l'heure , mon devoir est facile ... hélas ! Il sort avec Lafrousse en suivant Jean Bart et Pauline . Marie reste seule et regarde par la fenêtre ; l'orage continue . SCÈNE VI MARIE ; puis JEAN BART et FRANÇOIS MARIE ― - 180.
... tout à l'heure , mon devoir est facile ... hélas ! Il sort avec Lafrousse en suivant Jean Bart et Pauline . Marie reste seule et regarde par la fenêtre ; l'orage continue . SCÈNE VI MARIE ; puis JEAN BART et FRANÇOIS MARIE ― - 180.
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Anglais avaient avez Bergues blancs BOESCH BOSQUET Bourbourg BOURGMESTRE Calais canal canal de Bergues canal de Furnes canons capitaine Charles chef cher Neveu chère Sœur chevalier CHIRURGIEN colonie commandant commerce comte comte d'Estrades comte de Flandre Confréries Constant Pieters Corbehem curé Dessalines docteur DODANTHUN Dominique Le Maire donner Drincham Dunkerque Dunkerquois Dunkirk échevins enfants êtes flamand Flandre Fockedey FORBIN François frégates frère Furnes général gouverneur Gravelines guerre habitants Henri Hollandais hommes j'ai Jean Bart Jérémie jour juin kerque Kingston KLAAS l'abbé l'amiral L'Amitié et Fraternité l'église L'INTENDANT l'Union Faulconnier LAFROUSSE Leduc LEMATTRE lettre licencié lieutenant Lille Loge Louis XIV Mademoiselle Magistrat maison MANCEL Mardyck MARIE marine maritime matelots médecine membres ment Messieurs mesure 0 Moëres Monsieur Bart mort municipal navires négociant nègres NICOLAS BART Nord officiers passer PAULINE pays père PONTCHARTRAIN port Port-au-Prince présent président prince reste RUYTER Saint-Domingue Saint-Omer sera seul SINOK Société tion vaisseau
Beliebte Passagen
Seite 310 - Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage, Ou comme celui-là qui conquit la Toison, Et puis est retourné, plein d'usage et raison, Vivre entre ses parents le reste de son âge...
Seite 322 - Mais elle était du monde où les plus belles choses Ont le pire destin, Et, rosé, elle a vécu ce que vivent les rosés, L'espace d'un matin.
Seite 317 - ... et nul homme , quelque supérieur qu'il soit, ne peut deviner ce qui se développe naturellement dans l'esprit de celui qui vit sur un autre sol et respire un autre air : on se trouvera donc bien en tout pays d'accueillir les pensées étrangères ; car , dans ce genre , l'hospitalité fait la fortune de celui qui reçoit.
Seite 310 - Cependant l'obscurité redouble : les nuages abaissés entrent sous l'ombrage des bois. La nue se déchire, et l'éclair trace un rapide losange de feu. Un vent impétueux, sorti du couchant, roule les nuages sur les nuages ; les forêts plient, le ciel s'ouvre coup sur coup, et à travers ses crevasses on aperçoit de nouveaux cieux et des campagnes ardentes. Quel affreux, quel magnifique spectacle 1 La foudre met le feu dans les bois ; l'incendie s'étend comme une chevelure de flammes; des colonnes...
Seite 482 - Aucun blanc, quelle que soit sa nation, ne mettra le pied sur ce territoire, à titre de maître ou de propriétaire et ne pourra à l'avenir y acquérir aucune propriété.
Seite 317 - Les nations doivent se servir de guide les unes aux autres, et toutes auraient tort de se priver des lumières qu'elles peuvent mutuellement se prêter.
Seite 318 - En observant les différences caractéristiques qui se trouvent entre les écrits des Italiens, des Anglais, des Allemands et des Français, j'ai cru pouvoir démontrer que les institutions politiques et religieuses avaient la plus grande part à ces diversités constantes.
Seite 513 - Sont reconnus Haïtiens, les blancs qui font partie de l'armée, ceux qui exercent des fonctions civiles; et ceux qui étaient admis dans la République à la publication de la Constitution du 27 Décembre...
Seite 314 - Pourquoi les rois de la terre se soulèvent-ils Et les princes se liguent-ils entre eux, Contre l'Eternel et contre son Christ?
Seite 315 - Que ma langue s'attache à mon palais, Si je ne me souviens de toi, Si je ne fais de Jérusalem Le principal sujet de ma joie!