Mémoires d'outre-tombe, Band 3Penand frères, 1849 |
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... c'était mon enfance au milieu de ma famille , c'étaient les premiers vestiges de mon existence qui disparaissaient . Notre vie ressemble à ces bâtisses fragiles , étayées dans le ciel par des arcs - boutants : ils ne s'écroulent pas à ...
... c'était mon enfance au milieu de ma famille , c'étaient les premiers vestiges de mon existence qui disparaissaient . Notre vie ressemble à ces bâtisses fragiles , étayées dans le ciel par des arcs - boutants : ils ne s'écroulent pas à ...
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... C'était là que je dormais le 50 de septembre , à six heures du matin , lorsque je fus éveillé par un bruit confus de voix : j'ouvris les yeux , et j'aperçus les pèlerins qui regardaient vers la proue du vais- seau . Je demandai ce que c' ...
... C'était là que je dormais le 50 de septembre , à six heures du matin , lorsque je fus éveillé par un bruit confus de voix : j'ouvris les yeux , et j'aperçus les pèlerins qui regardaient vers la proue du vais- seau . Je demandai ce que c' ...
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... montrèrent de la main , au fond d'une ravine , quelque chose que je n'avais pas aperçu . Sans pouvoir dire ce que c'était , j'entrevoyais comme une espèce de sable en mouvement sur l'immobilité du MÉMOIRES D'OUTRE - TOMBE . 25.
... montrèrent de la main , au fond d'une ravine , quelque chose que je n'avais pas aperçu . Sans pouvoir dire ce que c'était , j'entrevoyais comme une espèce de sable en mouvement sur l'immobilité du MÉMOIRES D'OUTRE - TOMBE . 25.
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... c'était le Jourdain ... « Les Bethléémites se dépouillèrent et se plongèrent dans le Jourdain . Je n'osai les imiter , à cause de la fièvre qui me tourmentait toujours . » ITINÉRAIRE DE JULIEN . « Nous sommes arrivés au Jourdain à sept ...
... c'était le Jourdain ... « Les Bethléémites se dépouillèrent et se plongèrent dans le Jourdain . Je n'osai les imiter , à cause de la fièvre qui me tourmentait toujours . » ITINÉRAIRE DE JULIEN . « Nous sommes arrivés au Jourdain à sept ...
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... c'était . J'apercevais quelques cabanes de Mores , un ermitage musulman sur la pointe d'un cap avancé , des brebis paissant parmi des ruines , ruines si peu apparentes que je les distinguais à peine du sol qui les portait c'était ...
... c'était . J'apercevais quelques cabanes de Mores , un ermitage musulman sur la pointe d'un cap avancé , des brebis paissant parmi des ruines , ruines si peu apparentes que je les distinguais à peine du sol qui les portait c'était ...
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Seite 373 - LES Puissances alliées ayant proclamé que l'Empereur NAPOLÉON était le seul obstacle au rétablissement de la Paix en Europe , l'Empereur NAPOLÉON, fidèle à son serment, déclare qu'il renonce, pour lui et ses héritiers , aux Trônes de France et d'Italie , et qu'il n'est aucun sacrifice personnel, même celui de la vie, qu'il ne soit prêt à faire à l'intérêt de la France.
Seite 373 - Les puissances alliées ayant proclamé que l'empereur Napoléon était le seul obstacle au rétablissement de la paix en Europe, l'empereur Napoléon, fidèle à son serment, déclare qu'il renonce, pour lui et ses héritiers, aux trônes de France et d'Italie, et qu'il n'est aucun sacrifice personnel, même celui de la vie, qu'il ne soit prêt à faire à l'intérêt de la France.
Seite 118 - Che c.... ! comment at-on laissé entrer cette canaille ? Il fallait en balayer quatre ou cinq cents avec du canon, et le reste courrait encore.
Seite 41 - Je suis avec le plus profond respect, « Monseigneur, « De Votre Excellence, « Le très humble et très obéissant serviteur,
Seite 94 - La jeunesse est une chose charmante ; elle part au commencement de la vie couronnée de fleurs comme la flotte athénienne pour aller conquérir la Sicile et les délicieuses campagnes d'Enna.
Seite 50 - Bonaparte, loin de me soumettre, m'avaient révolté; j'avais pris une énergie nouvelle dans mes sentiments et dans les tempêtes. Je ne portais pas...
Seite 262 - Soldats, dit-il , voilà la bataille que vous avez «tant désirée. Désormais la victoire dépend de » vous ; elle nous est nécessaire , elle nous don» nera l'abondance , de bons quartiers d'hiver , et » un prompt retour dans la patrie! Conduisez-vous » comme à Austerlitz, à Friedland , à...
Seite 304 - ... et là par la foule, battues par ces flots d'hommes, elles succombèrent sans avoir été seulement remarquées. Dans cet épouvantable fracas d'un ouragan furieux, de coups de canon, du sifflement de la tempête, de celui des boulets, des explosions des obus, de vociférations, de gémissements, de jurements effroyables, cette foule désordonnée n'entendait pas les plaintes des victimes qu'elle engloutissait. Les plus heureux gagnèrent le pont, mais en surmontant des monceaux de blessés,...
Seite 366 - Révolution , tiré de l'obscurité et protégé l'autre contre la haine de la nation. » Le Sénat se fonde sur les articles de la constitution pour la renverser; il ne rougit pas de faire des reproches à l'empereur...