Élémens de grammaire générale: appliqués a la langue françaiseDeterville, 1801 |
Andere Ausgaben - Alle anzeigen
Häufige Begriffe und Wortgruppen
adjectif adverbes aime auroit chose complémens complément du verbe conjonction conjugaison connoître consonne deux-points Dieu différence diphthongue dire doit DOMINIQUE RICARD écrit élémens elliptique employer énoncer énonciative étoit étre exprimer faudroit féminin forme forment genre Grammaire grammatical hémistiche idées indique jectif l'action l'adjectif l'adverbe l'article l'attribut l'autre l'E muet l'emploi l'énonciation l'esprit l'exemple suivant l'objet d'action l'orthographe l'un langue latin lettre logique loi d'ACCORD masculin membres ment mode modifie mots suivans nom de nombre nom substantif nombre singulier nombres CARDINAUX objet participe passé pensée période personne phrase composée place pluriel poëte point-virgule position pourroit pré précède premier préposition pronom prononce proposition incidente proposition principale proposition subordonnée qu'un seul qualité passive quatrain quelquefois raison règle d'ACCORD rime second verbe sens séparation seroit sert signes de ponctuation signification simple sition soleil sorte subordonnée suit sujet supin syllabe terminaison terminés théorie des chiffres thongue tion trouve verbe actif virgule Voici voyelle
Beliebte Passagen
Seite 501 - Les cieux instruisent la terre A révérer leur auteur : Tout ce que leur globe enserre Célèbre un Dieu créateur. Quel plus sublime cantique Que ce concert magnifique De tous les célestes corps ? Quelle grandeur infinie ! Quelle divine harmonie Résulte de leurs accords!
Seite 314 - Plutôt ce qu'ils ont fait que ce qu'ils ont été ; Parle-lui tous les jours des vertus de son père; Et quelquefois aussi parle-lui de sa mère. Mais qu'il ne songe plus, Céphise, à nous venger : Nous lui laissons un maître, il le doit ménager.
Seite 352 - L'armée en deuil est occupée à lui rendre les devoirs funèbres; et la renommée, qui se plaît à répandre dans l'univers les accidents extraordinaires, va remplir toute l'Europe du récit glorieux de la vie de ce prince et du triste regret de sa mort.
Seite 341 - Qu'est-ce là ? lui dit-il. - Rien. - Quoi ?rien ?- Peu de chose. - Mais encor ? - Le collier dont je suis attaché De ce que vous voyez est peut-être la cause. - Attaché ? dit le Loup : vous ne courez donc pas Où vous voulez ? - Pas toujours, mais qu'importé ? - Il importe si bien, que de tous vos repas Je ne veux en aucune sorte, Et ne voudrais pas même à ce prix un trésor.
Seite 44 - Son fils peut me ravir le jour que je lui laisse. Seigneur, tant de prudence entraîne trop de soin : Je ne sais point prévoir les malheurs de si loin. Je songe quelle était autrefois cette ville, Si superbe en remparts, en héros si fertile, Maîtresse de l'Asie; et je regarde enfin Quel fut le sort de Troie, et quel est son destin.
Seite 341 - Le loup déjà se forge une félicité Qui le fait pleurer de tendresse. Chemin faisant il vit le col du chien pelé. "Qu'est-ce là? lui dit-il. - Rien. - Quoi rien?
Seite 192 - J'y reconnais un maître à qui rien n'a coûté, Et qui dans vos déserts a semé la lumière, Ainsi que dans nos champs il sème la poussière. Toi qu'annonce l'aurore, admirable flambeau, Astre toujours le même, astre toujours nouveau, Par quel ordre, ô soleil ! viens-tu du sein de l'onde Nous rendre les rayons de ta clarté...
Seite 503 - MA foi, c'est fait de moi; car Isabeau M'a conjuré de lui faire un rondeau, Cela me met en une peine extrême. Quoi ! treize vers, huit en eau, cinq en ème ! Je lui ferais aussitôt un bateau.
Seite 504 - Ma foi, c'est fait. Si je pouvais encor de mon cerveau Tirer cinq vers, l'ouvrage serait beau. Mais cependant, je suis dedans l'onzième, Et si je crois que je fais le douzième. En voilà treize ajustés au niveau : Ma foi, c'est fait!
Seite 501 - Inventa du sonnet les rigoureuses lois ; Voulut qu'en deux quatrains de mesure pareille, La rime avec deux sons frappât huit fois l'oreille ; Et qu'ensuite six vers artistement rangés Fussent en deux tercets par le sens partagés. Surtout de ce poème il...