Histoire de France, Band 2L. Hauman, 1834 |
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... côté à la dynastie mérovingienne , de l'autre à la maison la plus illustre de la Gaule ro- maine ( 1 ) . Quoi qu'il en soit , je croirais aisément , d'après les fréquens mariages des familles ostra- siennes et aquitaniques ( 2 ) , que ...
... côté à la dynastie mérovingienne , de l'autre à la maison la plus illustre de la Gaule ro- maine ( 1 ) . Quoi qu'il en soit , je croirais aisément , d'après les fréquens mariages des familles ostra- siennes et aquitaniques ( 2 ) , que ...
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... côté du Midi qu'il dut avoir - ( 1 ) Selon Paul Diacre ( 1. VI ) , les Sarrasins perdirent trois cent soixante - quinze mille hommes . Isidore de Béjà a raconté cette guerre vingt - deux ans après la bataille , dans un latin barbare ...
... côté du Midi qu'il dut avoir - ( 1 ) Selon Paul Diacre ( 1. VI ) , les Sarrasins perdirent trois cent soixante - quinze mille hommes . Isidore de Béjà a raconté cette guerre vingt - deux ans après la bataille , dans un latin barbare ...
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... côté de l'Est . « Après que le pays se fut reposé de guerres pendant deux ans , le roi Pépin envoya des députés à Guaifer , prince d'A- quitaine , pour lui demander de rendre aux égli- ses de son royaume les biens qu'elles possédaient ...
... côté de l'Est . « Après que le pays se fut reposé de guerres pendant deux ans , le roi Pépin envoya des députés à Guaifer , prince d'A- quitaine , pour lui demander de rendre aux égli- ses de son royaume les biens qu'elles possédaient ...
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... côté des Pyré- nées . Ainsi deux nations restaient debout dans cet affaissement commun de l'Occident , faibles , mais les moins faibles de toutes , les Aquitains et les Francs d'Ostrasie . Ces derniers devaient vaincre ; plus unis que ...
... côté des Pyré- nées . Ainsi deux nations restaient debout dans cet affaissement commun de l'Occident , faibles , mais les moins faibles de toutes , les Aquitains et les Francs d'Ostrasie . Ces derniers devaient vaincre ; plus unis que ...
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... côté oriental , tout allait bien , les Francs étaient soutenus par les Goths ; mais à l'Occident , les Basques , vieux soldats d'Hunald et de Guaifer , les rois de Navarre et des Asturies , qui voyaient Charlemagne prendre possession du ...
... côté oriental , tout allait bien , les Francs étaient soutenus par les Goths ; mais à l'Occident , les Basques , vieux soldats d'Hunald et de Guaifer , les rois de Navarre et des Asturies , qui voyaient Charlemagne prendre possession du ...
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Acta SS Allemands Annal Aquitains Autun avaient barbares Basques Bernard Bertin Bourgogne Bretagne breton C'était Cagots Capet Carlovingiens cent Champagne Charlemagne Charles Charles Martel Charles-le-Chauve château chevaux chose chrétiens Chronic comte comte de Flandre concile conquête croisade d'Anjou Dieu Dralet Eginh églises enfans Eudes évêques femme féodalité fille fils Flandre fleuves forêts François Ier frère Frodoard Gascons Gaule génie Germanie Glaber Grecs guerre Guibert Guillaume Hincmar Hist hommes Hugues Hugues Capet ibid Jérusalem l'Angleterre l'Aquitaine l'église l'Empereur l'Empire l'évêque langue Languedoc Loire long-temps Lorraine Lothaire Louis Lyon Metz Meuse midi mille Millin monde Mont-Perdu montagnes mort moyen-âge Neustrie Nithard nord Normands Northmans pape passer pauvre pays Pépin père peuple plaines Poitou prêtres prince provinces Pyrénées quæ quod race Reims reste Rhin Rhône Robert rois romain Rome royaume saint Sarrasins Saxons seigneurs semble serfs siècle terre tour trouve Troyes
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Seite 293 - Italie, vingt centres de science et d'art; il n'en a qu'un, un de vie sociale. L'Angleterre est un empire, l'Allemagne un pays, une race ; la France est une personne.
Seite 146 - Louis et du parti franc se brisèrent, en 945, contre le petit duché de Normandie. Le roi, vaincu en bataille rangée, fut pris avec seize de ses comtes, et enfermé dans la tour de Rouen, d'où il ne sortit que pour être livré aux chefs du parti national, qui l'emprisonnèrent à Laon.
Seite 173 - XIV; fort, arsenal et bagne, canons et vaisseaux, armée et millions, la force de la France entassée au bout de la France : tout cela dans un port serré , où l'on étouffe entre deux montagnes chargées d'immenses constructions. Quand vous parcourez ce port, c'est comme si vous passiez dans une petite barque entre deux vaisseaux de haut bord; il semble que ces lourdes masses vont venir à vous et que vous allez être pris entre elles. L'impression générale est grande, mais pénible. C'est un...
Seite 294 - Les nations peuvent se classer comme les animaux. La jouissance commune d'un grand nombre de parties, la solidarité de ces parties entre elles, la réciprocité de fonctions qu'elles exercent l'une à l'égard de l'autre , c'est là la supériorité sociale. C'est celle de la France, le pays du monde où la nationalité , où la personnalité nationale , se rapproche le plus de la personnalité individuelle.
Seite 96 - Pro Deo amur et pro Christian poblo et nostro commun salvament, d'ist di in avant, in quant Deus savir et podir me dunat, si salvarai eo cist meon fradre Karlo et in...
Seite 212 - Calais, les préparatifs et les circonstances d'un passage de mer conduisent gnuiuellemtot l'esprit à l'idée d'un changement ; mais ici, sans passer une ville,. une barrière, ou même une muraille, on entre dans un nouveau monde. Des pauvres et misérables routes de la Catalogne, vous passez tout d'un coup sur une noble chaussée, faite avec toute la solidité et la magnificence qui distinguent les grands chemins de France : au lieu de ravines, il ya des ponts bien bâtis, et d'un pays s;m\ ;ige,...
Seite 96 - Karlo et in adiudha et in cadhuna cosa, si cum om per dreit son fradra salvar dist, in o quid il mi altresi fazet; et ab Ludher nul. plaid numquam prindrai, qui meon vol cist meon fradre Karle in damno sit.
Seite 175 - L'homme est dur sur cette côte. Fils maudit de la création, vrai Caïn, pourquoi pardonnerait-il à Abel? La nature ne lui pardonne pas. La vague l'épargne-t-elle quand, dans les terribles nuits de l'hiver, il va par les écueils attirer le varech flottant qui doit engraisser son champ stérile, et que si souvent le flot apporte l'herbe et emporte l'homme ? L'épargne-t-elle...
Seite 154 - L'identité nationale est le fondement sur lequel repose, depuis tant de siècles, l'unité de dynastie. Un singulier pressentiment de cette longue succession de rois paraît avoir saisi l'esprit du peuple à r avènement de la troisième race.
Seite 180 - Partout de grandes landes, tristement parées de bruyères rosés et de diverses plantes jaunes ; ailleurs, ce sont des campagnes blanches de sarrasin. Cette neige d'été, ces couleurs sans éclat et comme flétries d'avance, affligent l'œil plus qu'elles ne le récréent, comme cette couronne de paille et de fleurs dont se pare la folle d'Hamlet.