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doit venir au quartier-général des alliés, 127.-Les paysans des environs de Saint-Thibaut croient le faire prisonnier, 205.-Napoléon apprend avec plaisir l'arrivée de ce prince à Paris, 263.

ATHALIN, lieutenant-colonel du génie, adjoint au directeur du cabinet topographique, marque sur la carte, par des épingles, tous les lieux que les rapports du jour indiquent, 73. Reste jusqu'à la fin à Fontainebleau, 266. AUGEREAU (le maréchal). Voyez CASTIGLIONE (le duc de). AUTRICHE (l'empereur d') entre en France, 15.— Est entraîné par les fuyards du côté de Dijon, tandis que les autres souverains marchent sur Paris, 206. - L'impératrice est autorisée à lui dépêcher le duc de Cadore pour le presser d'intervenir en faveur d'elle et de son fils, 236.

BACLER-D'ALBE, directeur du cabinet topographique, mar

que sur la carte, par des épingles, tous les points que les rapports du jour indiquent, 73.-Est envoyé à Paris pour prendre la direction du dépôt de la guerre, 154. BAILLON, fourrier du palais, suit Napoléon à l'île d'Elbe, 260.

BARBÉ-MARBOIS (le comte) est commissaire du sénat pour

l'examen des pièces de la négociation de Francfort, 19. BASSANO (M. Maret, duc de), ministre des affaires étrangères, répond aux propositions apportées de Francfort par le baron Saint-Aignan, 8.-Il est rappelé au ministère de la secrétairerie d'état, 10.Il rejoint Napoléon à Brienne, 82. Son travail journalier avec Napoléon, 177. Sa belle conduite auprès de Napoléon à Fontainebleau, 262 et 266. (Voir dans le supplément

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sa correspondance avec le duc de Vicence relativement aux négociations de Châtillon.)

BASTE (le contre-amiral) est tué à l'attaque de Brienne, 79.

BEAUSSET (le baron), préfet du palais, vient de Rambouillet à Fontainebleau, chargé de commissions de l'impératrice, 263. Suit l'impératrice à Vienne, 265.

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BELGIQUE. La Belgique est enlevée à la France, 92. BELLART (M.) convoque illégalement le conseil général de Paris, dont il est président, 229.

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BELLIARD (le général comte) remplace le général Grouchy blessé à la bataille de Craonne, et commande la cavalerie, 166. Se présente à Napoléon à Fontainebleau, après la capitulation de Paris, 209. Reste à Fontainebleau jusqu'à la fin, 266. BELLUNE (le maréchal Victor, duc de), se retire de Strasbourg par les Vosges, 20.-Et de Nancy sur Vitry-leFrançais, 71.-Combat à Brienne, 84. Reste chargé de la défense de la Seine pendant les affaires de Montmirail, 97. Recule jusqu'à Guignes, 109.-Combat à Nangis, et poursuit l'ennemi dans la direction de Montereau, 110. Combat à Montereau, 113. — Sa querelle avec Napoléon à Surville, 116. Il est blessé à Craonne, 166. BÉNÉVENT (M. de Talleyrand, prince de), est commissaire du sénat pour l'examen des pièces de la négociation de Francfort, 19. Il envoie, dit-on, M. de Vitrolle à M. le comte d'Artois, 205. - Reste à Paris pour en faire les honneurs aux alliés, 221. Assiste au conseil des alliés, ibid.-Est nommé président du gouvernement provisoire, 228.

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BÉNIGSEN (le général russe). Son armée est retenue sur l'Elbe par nos garnisons, 37.

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BERG-OP-ZOOM. Surprise de cette place par les Anglais. — Belle action du général Bizannet, 178.

BERCKHEIM (le général), écuyer de Napoléon, est mis à la tête de la levée en masse de l'Alsace, 42. BERNADOTTE, prince de Suède. L'armée qu'il commande s'avance sur la Hollande et la Belgique, 15. — Elle passe le Wahal et la Meuse et s'approche d'Anvers, 35.Combat sous les murs d'Anvers, 45.-Nous enlève la Belgique, 92. Son avant-garde s'avance jusqu'à Soissons, 143. Reprend une seconde fois cette ville et sauve l'armée de Blücher, 156.—Protége la retraite de Blücher sur Laon, en livrant la bataille de Craonne, 163. Se retire elle-même sur Laon, 166. — Bernadotte n'a franchi qu'à regret la limite du Rhin, 171.

BERRY (le duc de). Arrivée de ce prince à Jersey, 127. BERTHIER (le maréchal). Voyez Neufchatel.

BERTRAND (le général comte), grand maréchal du palais, monte dans la voiture de Napoléon partant pour l'armée, 68. Interroge les gens du pays qu'on amène à Napoléon, 73.-Commande, à la bataille de Montmirail, l'attaque du village de Marchais, sur la gauche, 101.Accompagne Napoléon à l'île d'Elbe, 260. BÉRY-AU-BAC. Napoléon y établit son quartier-général, et y passe l'Aisne le 5 mars, 163.

Beurnonville (le comte de ), sénateur, est commissaire du sénat pour l'examen des pièces de la négociation de Francfort, 19.-Est commissaire extraordinaire de Napoléon pour les mesures de défense dans les provinces, 28.Est nommé membre du gouvernement provisoire, 228.

BEZU-SAINT-GERMAIN, village entre Château-Thierry et Napoléon y établit son quartier - général

Soissons.

le 3 mars, 155.

BIZANNET (le général), commandant de Berg-op-Zoom. Belle action de ce brave, 178.

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BLUCHER (le général prussien). L'armée qu'il commande passe le Rhin à Manheim, 15. -S'avance sur la Lorraine, 26. Arrive devant Metz et Nancy, 43. —Traverse la Marne à Saint-Dizier, et se dirige sur Brienne, 70. -Est coupée en deux parties par l'arrivée de Napoléon à Saint-Dizier, 75. — Blücher manque d'être pris au combat de Brienne, 78.—Il fait sa retraite sur l'armée autrichienne, vers Bar, 80. - Revient avec elle sur Brienne et y livre bataille, 82. - De Brienne, Blücher se porte sur Châlons, et de là descend la Marne vers Paris, 92. -Son avant-garde est arrivée à La Fertésous-Jouarre, 98. Le combat de Champaubert la sépare de Blücher, resté du côté de Châlons, 100. La bataille de Montmirail rejette les corps d'Yorck et de Sacken sur Château-Thierry, 101.-Le combat de Château-Thierry achève de les séparer de leur général en chef Blücher, et les force de se jeter dans Soissons, 102.

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- De son côté, Blücher, ayant reçu des renforts, s'est reporté en avant; il est prêt d'arriver sur Montmirail, 105. —Battu à Vauchamps, il manque encore une fois d'être fait prisonnier, 106. — Napoléon retrouve Blücher et ses troupes sur la Seine à Méry.- Blücher y est blessé, 125, 142 et 144.— Il se retire de Méry pour marcher sur Paris, 145. Atteint par Napoléon, qui s'est remis à sa poursuite, il lui échappe en passant la Marne et se retirant sur Soissons, 152. Les Russes le sauvent en

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- lui ouvrant les portes de cette ville, 155.-Napoléon le poursuit au delà de l'Aisne, 158.-Blücher, après avoir fait sa jonction avec l'armée du prince de Suède, se retrouve plus fort que jamais, 171.-Après le combat de Laon il reprend l'offensive, 173. — Il pousse des partis jusqu'à Compiègne, 182. Rappelé par Schwartzenberg sur Épernay et Châlons, il fait sa jonction avec la grande armée autrichienne, 197.-Il détache Wintzingerode à la poursuite de Napoléon du côté de SaintDizier, 198.-S'étant, de sa personne, avancé vers Paris, il prend Saint-Denis et les hauteurs de Montmartre, 210. BOISSY-D'ANGLAS (le sénateur comte) est nommé par Napoléon commissaire extraordinaire pour les mesures de défense, 28.

BONAPARTE. Voyez NAPOLÉON.

BORDEAUX. Événements de Bordeaux; les Anglais y sont 1ventrés, 183.

BOURBON (la maison de). Conversation de Napoléon avec un

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aide-de-camp du prince Schwartzenberg, sur les projets qu'on suppose aux alliés, en faveur de cette maison, 127. -L'Angleterre a entrepris sérieusement la restauration de la maison de Bourbon, 135. — Démarches des royalistes de Troyes auprès de l'empereur Alexandre, 136. Les succès des alliés donnent de la consistance aux projets des royalistes, 181. — Louis XVIII est proclamé à Bordeaux, 184. — Les généraux alliés, en entrant dans Paris, donnent pour exemple à suivre la conduite de Bordeaux et de Lyon, qui viennent de reconnaître les Bourbons, 220.-M. de Nesselrode fait mettre en liberté les individus détenus pour leur attachement à leurs souverains légitimes, 224. Soins que se donnent à

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