Les invasions germaniques en FranceHachette, 1871 - 142 Seiten |
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... retraite . Quoi qu'il en soit , Attila , un instant découragé par cet échec , recula jusqu'en Champagne , dans ces plaines immenses , où il comptait déployer à s'aise son innombrable cavalerie , et qui semblent des- tinées à être le ...
... retraite . Quoi qu'il en soit , Attila , un instant découragé par cet échec , recula jusqu'en Champagne , dans ces plaines immenses , où il comptait déployer à s'aise son innombrable cavalerie , et qui semblent des- tinées à être le ...
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... retraite . Il se vengea sur le duc de Lorraine , René de Vaudemont , l'allié de la France et de l'Empire , et le chassa de ses États . Il satisfaisait ainsi ses ressentiments et acqué- rait une précieuse conquête . La Lorraine divisait ...
... retraite . Il se vengea sur le duc de Lorraine , René de Vaudemont , l'allié de la France et de l'Empire , et le chassa de ses États . Il satisfaisait ainsi ses ressentiments et acqué- rait une précieuse conquête . La Lorraine divisait ...
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... retraite fut décidée . Charles - Quint , entré en France le 25 juillet 1536 , repassait le Var le 23 septembre . Mais la guerre prit sur nos frontières de l'Est des proportions plus sérieuses . Pendant l'attaque de l'em- pereur sur le ...
... retraite fut décidée . Charles - Quint , entré en France le 25 juillet 1536 , repassait le Var le 23 septembre . Mais la guerre prit sur nos frontières de l'Est des proportions plus sérieuses . Pendant l'attaque de l'em- pereur sur le ...
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... retraite ( 1590 ) . On ne peut compter comme un troisième siége les mouvements de l'armée d'Henri IV autour de Paris en 1594 , lorsque son parti triomphait dans presque toute la France , et qu'en dépit de la garnison espa- gnole les ...
... retraite ( 1590 ) . On ne peut compter comme un troisième siége les mouvements de l'armée d'Henri IV autour de Paris en 1594 , lorsque son parti triomphait dans presque toute la France , et qu'en dépit de la garnison espa- gnole les ...
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... sentit pas assez en forces pour tenter le siége de Paris . Quarante - deux mille hommes , chiffre considérable pour ce temps , avaient été massés sur l'Oise par l'infatigable activité de Richelieu . Jean de Werth opéra sa retraite ,
... sentit pas assez en forces pour tenter le siége de Paris . Quarante - deux mille hommes , chiffre considérable pour ce temps , avaient été massés sur l'Oise par l'infatigable activité de Richelieu . Jean de Werth opéra sa retraite ,
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Seite 104 - Aujourd'hui c'est tout différent ; j'ai eu d'immenses avantages sur eux, et des avantages tels, qu'une carrière militaire de vingt années, et de quelque illustration, n'en présente pas de pareils. Je suis prêt à cesser les hostilités et à laisser les ennemis rentrer tranquilles chez eux, s'ils signent les préliminaires basés sur les propositions de Francfort.
Seite 119 - Rois légitimes; ils peuvent même faire plus, parce qu'ils professent toujours le principe que, pour le bonheur de l'Europe, il faut que la France soit grande et forte; Qu'ils reconnaîtront et garantiront la Constitution que la Nation française se donnera.
Seite 76 - Goethe, arrivèrent, mais ils semblaient n'apporter que l'amitié. Et ils l'apportèrent en effet, car ils avaient tous l'âme exaltée. Ils plantaient avec allégresse les joyeux arbres de liberté, promettant à chacun son droit, à chacun son gouvernement national. -Les jeunes gens, les vieillards se félicitaient, et les danses joyeuses commencèrent autour des nouveaux étendards...
Seite 111 - Celles que vous avez sous les yeux , reprit Napoléon , et pas d'autres. — Mais alors, comment Votre Majesté ne songe-t-elle pas à soulever la nation? — Chimères...
Seite 104 - Je vous ai donné carte blanche pour « sauver Paris et éviter une bataille qui était la « dernière espérance de la nation : la bataille a eu « lieu ; la Providence a béni nos armes ; j'ai fait « trente à quarante mille prisonniers ; j'ai pris « deux cents pièces de canon , un grand nombre « de généraux , et détruit plusieurs...
Seite 46 - Quand les barfcs l'ouïrent parler, si commencèrent a pleurer de pitié et lui dirent : — Sire, pour Dieu merci, nous ne voulons roi sinon vous! Or, chevauchez hardiment contre vos ennemis, et nous sommes tous appareillés...
Seite 76 - ... lorsqu'on entendit parler du droit commun à tous les hommes, de la liberté qui exalte les âmes, et du bien si doux de l'égalité?
Seite 76 - C'était la ville éternelle chantée par un Virgile, et un Virgile qui n'était pas Romain. Ce titre, Paris ne le voulut pas longtemps, et le poète est obligé d'ajouter presque aussitôt : « Mais le ciel s'obscurcit; une race corrompue, indigne d'accomplir le bien, combattit pour s'assurer la domination; ils s'égorgèrent entre eux, ils opprimèrent leurs voisins, leurs nouveaux frères, et nous envoyèrent la multitude égoïste. » Voilà Paris révolutionnaire; les déclamations de la démagogie...
Seite 76 - ... et de la précieuse égalité ? Alors chacun espéra vivre de sa propre vie ; elle sembla se briser, la chaîne sous laquelle tant de nations se voyaient asservies, et que l'égoïsme et l'oisiveté tenaient dans leurs mains. Dans...
Seite 46 - S'il ya nul de vous qui pense mauvaiseté et tricherie, s'était écrié le roi, qu'il ne s'approche mie! — Tous les barons s'approchèrent avec si grand'presse, qu'ils ne purent tous advenir jusqu'au hanap (jusqu'à la coupe) du roi.