Les invasions germaniques en FranceHachette, 1871 - 142 Seiten |
Im Buch
Ergebnisse 1-5 von 19
Seite 12
... Enfin l'aristocratie gallo - romaine , parcourant tous les degrés de la honte , descendit bien souvent au rang de courtisans des chefs barbares , et ces pa- triciens délicats et raffinés , offrant avec empressement à leurs terribles ...
... Enfin l'aristocratie gallo - romaine , parcourant tous les degrés de la honte , descendit bien souvent au rang de courtisans des chefs barbares , et ces pa- triciens délicats et raffinés , offrant avec empressement à leurs terribles ...
Seite 24
... Enfin , un grand événe- ment triompha de ces longues résistances . Une formidable invasion des Alamans et des Suèves res- tés en Germanie menaça la domination franque . Le Rhin fut franchi . Clovis , accouru pour barrer le passage aux ...
... Enfin , un grand événe- ment triompha de ces longues résistances . Une formidable invasion des Alamans et des Suèves res- tés en Germanie menaça la domination franque . Le Rhin fut franchi . Clovis , accouru pour barrer le passage aux ...
Seite 31
... enfin , en nombre formidable , l'assiéger en 885 . L'empire de Charlemagne avait alors pour maître nominal l'incapable Charles le Gros . Son autorité précaire et son caractère indolent lui interdisaient tout sérieux effort . Retiré dans ...
... enfin , en nombre formidable , l'assiéger en 885 . L'empire de Charlemagne avait alors pour maître nominal l'incapable Charles le Gros . Son autorité précaire et son caractère indolent lui interdisaient tout sérieux effort . Retiré dans ...
Seite 32
... enfin un personnage assez étrange , mélange singulier du moine et du soldat , l'abbé Ebbles , neveu de l'évêque Gozlin , homme aussi intelligent que brave , mais à qui l'amour des combats et même du pillage , sans compter les plaisirs ...
... enfin un personnage assez étrange , mélange singulier du moine et du soldat , l'abbé Ebbles , neveu de l'évêque Gozlin , homme aussi intelligent que brave , mais à qui l'amour des combats et même du pillage , sans compter les plaisirs ...
Seite 35
... Enfin , en octobre parut Charles le Gros . Les Parisiens crurent qu'il allait écraser leurs ennemis ; l'inepte empereur se contenta d'acheter le départ des Normands au prix de sept cents livres d'argent , et en leur abandonnant le ...
... Enfin , en octobre parut Charles le Gros . Les Parisiens crurent qu'il allait écraser leurs ennemis ; l'inepte empereur se contenta d'acheter le départ des Normands au prix de sept cents livres d'argent , et en leur abandonnant le ...
Andere Ausgaben - Alle anzeigen
Häufige Begriffe und Wortgruppen
Aétius allemande alliés Anglais armées coalisées assiégea attaque Attila Autrichiens avaient barbares bataille de Craonne Belgique Blücher Bourgogne Bouvines Burgondes CAMPAGNE DE 1793 capitale cavalerie champ de bataille Champaubert Charles-Quint chef Clovis combat comte confédérés conquête corps défense désastre devait duché Dumouriez ennemis eût forces forteresses fran François Ier frontière de fer garnisons Gaule général germanique guerre haute vallée Hugues l'Abbé invasions Jean de Werth l'Allemagne l'Alsace l'armée de Silésie l'Autriche l'em l'empereur l'empire l'ennemi l'invasion laisser Landau Landrecies Laon ligne Lorraine lutte mandes maréchal Marmont Marne mée ment Metz Meuse mille hommes Montmirail Moselle Napo Napoléon nation Nord Normands Otton Otton de Brunswick paix Pays-Bas pendant Philippe-Auguste places fortes politique pont populations possession prince prisonniers provinces Prusse rallia rempart résistance retraite Rhin romaine royaume Russes Sacken Sambre Sarrelouis Schwartzenberg siége Silésie Soissons soldats terrible territoire tion Trèves troupes vallée de l'Oise Vauchamps victoire Wisigoths
Beliebte Passagen
Seite 104 - Aujourd'hui c'est tout différent ; j'ai eu d'immenses avantages sur eux, et des avantages tels, qu'une carrière militaire de vingt années, et de quelque illustration, n'en présente pas de pareils. Je suis prêt à cesser les hostilités et à laisser les ennemis rentrer tranquilles chez eux, s'ils signent les préliminaires basés sur les propositions de Francfort.
Seite 119 - Rois légitimes; ils peuvent même faire plus, parce qu'ils professent toujours le principe que, pour le bonheur de l'Europe, il faut que la France soit grande et forte; Qu'ils reconnaîtront et garantiront la Constitution que la Nation française se donnera.
Seite 76 - Goethe, arrivèrent, mais ils semblaient n'apporter que l'amitié. Et ils l'apportèrent en effet, car ils avaient tous l'âme exaltée. Ils plantaient avec allégresse les joyeux arbres de liberté, promettant à chacun son droit, à chacun son gouvernement national. -Les jeunes gens, les vieillards se félicitaient, et les danses joyeuses commencèrent autour des nouveaux étendards...
Seite 111 - Celles que vous avez sous les yeux , reprit Napoléon , et pas d'autres. — Mais alors, comment Votre Majesté ne songe-t-elle pas à soulever la nation? — Chimères...
Seite 104 - Je vous ai donné carte blanche pour « sauver Paris et éviter une bataille qui était la « dernière espérance de la nation : la bataille a eu « lieu ; la Providence a béni nos armes ; j'ai fait « trente à quarante mille prisonniers ; j'ai pris « deux cents pièces de canon , un grand nombre « de généraux , et détruit plusieurs...
Seite 46 - Quand les barfcs l'ouïrent parler, si commencèrent a pleurer de pitié et lui dirent : — Sire, pour Dieu merci, nous ne voulons roi sinon vous! Or, chevauchez hardiment contre vos ennemis, et nous sommes tous appareillés...
Seite 76 - ... lorsqu'on entendit parler du droit commun à tous les hommes, de la liberté qui exalte les âmes, et du bien si doux de l'égalité?
Seite 76 - C'était la ville éternelle chantée par un Virgile, et un Virgile qui n'était pas Romain. Ce titre, Paris ne le voulut pas longtemps, et le poète est obligé d'ajouter presque aussitôt : « Mais le ciel s'obscurcit; une race corrompue, indigne d'accomplir le bien, combattit pour s'assurer la domination; ils s'égorgèrent entre eux, ils opprimèrent leurs voisins, leurs nouveaux frères, et nous envoyèrent la multitude égoïste. » Voilà Paris révolutionnaire; les déclamations de la démagogie...
Seite 76 - ... et de la précieuse égalité ? Alors chacun espéra vivre de sa propre vie ; elle sembla se briser, la chaîne sous laquelle tant de nations se voyaient asservies, et que l'égoïsme et l'oisiveté tenaient dans leurs mains. Dans...
Seite 46 - S'il ya nul de vous qui pense mauvaiseté et tricherie, s'était écrié le roi, qu'il ne s'approche mie! — Tous les barons s'approchèrent avec si grand'presse, qu'ils ne purent tous advenir jusqu'au hanap (jusqu'à la coupe) du roi.