Les invasions germaniques en FranceHachette, 1871 - 142 Seiten |
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... arriva le premier à sa ma- turité parmi toutes les langues néo - latines , et donna au douzième siècle une brillante littérature , lors- qu'aucune autre langue de l'occident de l'Europe n'était encore fixée . Au contraire , à mesure que ...
... arriva le premier à sa ma- turité parmi toutes les langues néo - latines , et donna au douzième siècle une brillante littérature , lors- qu'aucune autre langue de l'occident de l'Europe n'était encore fixée . Au contraire , à mesure que ...
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... arriva enfin le 19 septembre , en même temps que les Prus- siens débouchaient de Grand - Pré et gravissaient les hauteurs en face de l'armée française . Kellermann , faute d'avoir bien compris les ordres de Dumouriez , entassa ses ...
... arriva enfin le 19 septembre , en même temps que les Prus- siens débouchaient de Grand - Pré et gravissaient les hauteurs en face de l'armée française . Kellermann , faute d'avoir bien compris les ordres de Dumouriez , entassa ses ...
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... arriva le 25 janvier , les faibles corps avec lesquels ses ma- réchaux avaient essayé vainement de garder la frontière du Rhin , tournée presqu'aussitôt par l'in- vasion de la grande armée coalisée en Suisse et sur la Saône . Il trouva ...
... arriva le 25 janvier , les faibles corps avec lesquels ses ma- réchaux avaient essayé vainement de garder la frontière du Rhin , tournée presqu'aussitôt par l'in- vasion de la grande armée coalisée en Suisse et sur la Saône . Il trouva ...
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... arriva trop tard et il fut obligé d'accepter le désastreux combat de la Rothière ( 1er février ) . Avec trente - deux mille hom- mes Napoléon y tint tète à cent soixante - dix mille hommes dont cent mille furent engagés contre lui dans ...
... arriva trop tard et il fut obligé d'accepter le désastreux combat de la Rothière ( 1er février ) . Avec trente - deux mille hom- mes Napoléon y tint tète à cent soixante - dix mille hommes dont cent mille furent engagés contre lui dans ...
Seite 116
... arriva trop tard : alors , par un suprême effort , il tenta d'amuser les alliés par des propositions de paix , tandis que son armée se concentrait à Fontainebleau , De là , il voulait s'élancer sur Paris et accabler dans la ville même ...
... arriva trop tard : alors , par un suprême effort , il tenta d'amuser les alliés par des propositions de paix , tandis que son armée se concentrait à Fontainebleau , De là , il voulait s'élancer sur Paris et accabler dans la ville même ...
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Seite 104 - Aujourd'hui c'est tout différent ; j'ai eu d'immenses avantages sur eux, et des avantages tels, qu'une carrière militaire de vingt années, et de quelque illustration, n'en présente pas de pareils. Je suis prêt à cesser les hostilités et à laisser les ennemis rentrer tranquilles chez eux, s'ils signent les préliminaires basés sur les propositions de Francfort.
Seite 119 - Rois légitimes; ils peuvent même faire plus, parce qu'ils professent toujours le principe que, pour le bonheur de l'Europe, il faut que la France soit grande et forte; Qu'ils reconnaîtront et garantiront la Constitution que la Nation française se donnera.
Seite 76 - Goethe, arrivèrent, mais ils semblaient n'apporter que l'amitié. Et ils l'apportèrent en effet, car ils avaient tous l'âme exaltée. Ils plantaient avec allégresse les joyeux arbres de liberté, promettant à chacun son droit, à chacun son gouvernement national. -Les jeunes gens, les vieillards se félicitaient, et les danses joyeuses commencèrent autour des nouveaux étendards...
Seite 111 - Celles que vous avez sous les yeux , reprit Napoléon , et pas d'autres. — Mais alors, comment Votre Majesté ne songe-t-elle pas à soulever la nation? — Chimères...
Seite 104 - Je vous ai donné carte blanche pour « sauver Paris et éviter une bataille qui était la « dernière espérance de la nation : la bataille a eu « lieu ; la Providence a béni nos armes ; j'ai fait « trente à quarante mille prisonniers ; j'ai pris « deux cents pièces de canon , un grand nombre « de généraux , et détruit plusieurs...
Seite 46 - Quand les barfcs l'ouïrent parler, si commencèrent a pleurer de pitié et lui dirent : — Sire, pour Dieu merci, nous ne voulons roi sinon vous! Or, chevauchez hardiment contre vos ennemis, et nous sommes tous appareillés...
Seite 76 - ... lorsqu'on entendit parler du droit commun à tous les hommes, de la liberté qui exalte les âmes, et du bien si doux de l'égalité?
Seite 76 - C'était la ville éternelle chantée par un Virgile, et un Virgile qui n'était pas Romain. Ce titre, Paris ne le voulut pas longtemps, et le poète est obligé d'ajouter presque aussitôt : « Mais le ciel s'obscurcit; une race corrompue, indigne d'accomplir le bien, combattit pour s'assurer la domination; ils s'égorgèrent entre eux, ils opprimèrent leurs voisins, leurs nouveaux frères, et nous envoyèrent la multitude égoïste. » Voilà Paris révolutionnaire; les déclamations de la démagogie...
Seite 76 - ... et de la précieuse égalité ? Alors chacun espéra vivre de sa propre vie ; elle sembla se briser, la chaîne sous laquelle tant de nations se voyaient asservies, et que l'égoïsme et l'oisiveté tenaient dans leurs mains. Dans...
Seite 46 - S'il ya nul de vous qui pense mauvaiseté et tricherie, s'était écrié le roi, qu'il ne s'approche mie! — Tous les barons s'approchèrent avec si grand'presse, qu'ils ne purent tous advenir jusqu'au hanap (jusqu'à la coupe) du roi.