Les invasions germaniques en FranceHachette, 1871 - 142 Seiten |
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... alliés doutaient si peu de la victoire qu'ils se partagèrent par avance le butin . L'empereur Otton , devenu suzerain de la France , prenait pour lui les fertiles campagnes de la Beauce , les villes d'Orléans et de Chartres ; le comte ...
... alliés doutaient si peu de la victoire qu'ils se partagèrent par avance le butin . L'empereur Otton , devenu suzerain de la France , prenait pour lui les fertiles campagnes de la Beauce , les villes d'Orléans et de Chartres ; le comte ...
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... alliés , mais en 1536 , l'invasion des États du duc de Savoie par les troupes françaises fut le signal de la guerre . Elle eut d'abord pour théâtre le Piémont , dont l'armée de François Ier avait occupé les principales forteresses ...
... alliés , mais en 1536 , l'invasion des États du duc de Savoie par les troupes françaises fut le signal de la guerre . Elle eut d'abord pour théâtre le Piémont , dont l'armée de François Ier avait occupé les principales forteresses ...
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... Empire , dans le but d'abaisser la formidable puissance de la maison d'Au- triche . Alliés naturels de la cour de Vienne , les Es- pagnols se trouvèrent en lutte avec nous , et leurs possessions de l'Artois et des Pays - Bas étaient une.
... Empire , dans le but d'abaisser la formidable puissance de la maison d'Au- triche . Alliés naturels de la cour de Vienne , les Es- pagnols se trouvèrent en lutte avec nous , et leurs possessions de l'Artois et des Pays - Bas étaient une.
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... alliés de la France , donna à l'ennemi des forces importantes disponibles pour une invasion . Richelieu surpris n'eut pas le temps de pourvoir à la sûreté de la frontière , et , au mois de juillet 1636 , une armée impériale se jetait ...
... alliés de la France , donna à l'ennemi des forces importantes disponibles pour une invasion . Richelieu surpris n'eut pas le temps de pourvoir à la sûreté de la frontière , et , au mois de juillet 1636 , une armée impériale se jetait ...
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... alliés devaient pénétrer sur notre territoire , en passant par le duché de Luxem- bourg . La place forte de Luxembourg que Louis XIV avait dû , bien malgré lui , rendre au traité de Ryswick , est une des clés de la France ; par elle on ...
... alliés devaient pénétrer sur notre territoire , en passant par le duché de Luxem- bourg . La place forte de Luxembourg que Louis XIV avait dû , bien malgré lui , rendre au traité de Ryswick , est une des clés de la France ; par elle on ...
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Seite 104 - Aujourd'hui c'est tout différent ; j'ai eu d'immenses avantages sur eux, et des avantages tels, qu'une carrière militaire de vingt années, et de quelque illustration, n'en présente pas de pareils. Je suis prêt à cesser les hostilités et à laisser les ennemis rentrer tranquilles chez eux, s'ils signent les préliminaires basés sur les propositions de Francfort.
Seite 119 - Rois légitimes; ils peuvent même faire plus, parce qu'ils professent toujours le principe que, pour le bonheur de l'Europe, il faut que la France soit grande et forte; Qu'ils reconnaîtront et garantiront la Constitution que la Nation française se donnera.
Seite 76 - Goethe, arrivèrent, mais ils semblaient n'apporter que l'amitié. Et ils l'apportèrent en effet, car ils avaient tous l'âme exaltée. Ils plantaient avec allégresse les joyeux arbres de liberté, promettant à chacun son droit, à chacun son gouvernement national. -Les jeunes gens, les vieillards se félicitaient, et les danses joyeuses commencèrent autour des nouveaux étendards...
Seite 111 - Celles que vous avez sous les yeux , reprit Napoléon , et pas d'autres. — Mais alors, comment Votre Majesté ne songe-t-elle pas à soulever la nation? — Chimères...
Seite 104 - Je vous ai donné carte blanche pour « sauver Paris et éviter une bataille qui était la « dernière espérance de la nation : la bataille a eu « lieu ; la Providence a béni nos armes ; j'ai fait « trente à quarante mille prisonniers ; j'ai pris « deux cents pièces de canon , un grand nombre « de généraux , et détruit plusieurs...
Seite 46 - Quand les barfcs l'ouïrent parler, si commencèrent a pleurer de pitié et lui dirent : — Sire, pour Dieu merci, nous ne voulons roi sinon vous! Or, chevauchez hardiment contre vos ennemis, et nous sommes tous appareillés...
Seite 76 - ... lorsqu'on entendit parler du droit commun à tous les hommes, de la liberté qui exalte les âmes, et du bien si doux de l'égalité?
Seite 76 - C'était la ville éternelle chantée par un Virgile, et un Virgile qui n'était pas Romain. Ce titre, Paris ne le voulut pas longtemps, et le poète est obligé d'ajouter presque aussitôt : « Mais le ciel s'obscurcit; une race corrompue, indigne d'accomplir le bien, combattit pour s'assurer la domination; ils s'égorgèrent entre eux, ils opprimèrent leurs voisins, leurs nouveaux frères, et nous envoyèrent la multitude égoïste. » Voilà Paris révolutionnaire; les déclamations de la démagogie...
Seite 76 - ... et de la précieuse égalité ? Alors chacun espéra vivre de sa propre vie ; elle sembla se briser, la chaîne sous laquelle tant de nations se voyaient asservies, et que l'égoïsme et l'oisiveté tenaient dans leurs mains. Dans...
Seite 46 - S'il ya nul de vous qui pense mauvaiseté et tricherie, s'était écrié le roi, qu'il ne s'approche mie! — Tous les barons s'approchèrent avec si grand'presse, qu'ils ne purent tous advenir jusqu'au hanap (jusqu'à la coupe) du roi.