Geschichte des allgemeinen Statsrechts und der Politik: seit dem sechzehnten Jahrhundert bis zur Gegenwart

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J. G. Cotta, 1864 - 667 Seiten
 

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Beliebte Passagen

Seite 340 - La loi est l'expression de la volonté générale. Tous les citoyens ont droit de concourir personnellement, ou par leurs représentants, à sa formation. Elle doit être la même pour tous, soit qu'elle protège, soit qu'elle punisse. Tous les citoyens étant égaux à ses yeux, sont également admissibles à toutes dignités, places et emplois publics, selon leur capacité et sans autre distinction que celle de leurs vertus et de leurs talents.
Seite 309 - Chacun de nous met en commun sa personne et toute sa puissance sous la suprême direction de la volonté générale; et nous recevons en corps chaque membre comme partie indivisible du tout.
Seite 181 - And thus the community may be said in this respect to be always the supreme power, but not as considered under any form of government, because this power of the people can never take place till the government be dissolved.
Seite 239 - Il se trouve que le souverain, bien loin d'être le maître absolu des peuples qui sont sous sa domination, n'en est lui-même que le premier domestique.
Seite 26 - République est un droit gouvernement de plusieurs mesnages et de ce qui leur est commun avec puissance souveraine.
Seite 8 - Cum enim summus pontifex eit caput in corpore mystico omnium fidelium Christi et a capite sit omnis motus et sensus in corpore vero, sie erit in proposito.
Seite 379 - Le Gouvernement provisoire de la République française s'engage à garantir l'existence de l'ouvrier par le travail; il s'engage à garantir du travail à tous les citoyens...
Seite 249 - Qui de legibus scripserunt, omnes, vel tanquam philosophi, vel tanquam jurisconsulti, argumentum illud tractaverunt. Atque philosophi proponunt multa, dictu pulchra, sed ab usu remota. Jurisconsulti autem...
Seite 269 - Pour l'intelligence des quatre premiers livres de cet ouvrage, il faut observer que ce que j'appelle la vertu dans la république est l'amour de la patrie, c'est-à-dire l'amour de l'égalité. Ce n'est point une vertu morale ni une vertu chrétienne, c'est la vertu politique...

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