Giordano Bruno und Nicolaus von Cusa: eine philosophische Abhandlung

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J. Wittmann, 1847 - 254 Seiten
 

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Beliebte Passagen

Seite 56 - Et c'est ainsi que la dernière raison des choses doit être dans une substance nécessaire dans laquelle le détail des changements ne soit qu'éminemment, comme dans la source, et c'est ce que nous appelons Dieu.
Seite 56 - Ainsi, il faut que la raison suffisante, qui n'ait plus besoin d'une autre raison, soit hors de cette suite des choses contingentes, et se trouve dans une substance qui en soit la cause, ou qui soit un être nécessaire, portant la raison de son existence avec soi ; autrement on n'aurait pas encore une raison suffisante où l'on pût finir. Et cette dernière raison des choses est appelée Dieu.
Seite 56 - ... étant indifférente en elle-même au mouvement et au repos, et à un mouvement tel ou autre, on n'y saurait trouver la raison du mouvement, et encore moins d'un tel mouvement. Et quoique le présent mouvement...
Seite 25 - Si che è una sorte de verità, la quale è causa delle cose, e si trova sopra tutte le cose; un'altra sorte che si trova nelle cose ed è delle cose; ed è un'altra terza ed ultima, la quale è dopo le cose e dalle cose. La prima ha nome di causa, la seconda ha nome di cosa, la terza ha nome di cognizione.
Seite 5 - natura enim aut est Deus ipse, aut divina virtus in rebus ipsis manifesta
Seite 17 - Dei voluntas est super omnia, ideoque frustrari non potest neque per seipsam, neque per aliud. VII. Consequenter voluntas divina est non modo necessaria, sed etiam est ipsa necessitas, cuius oppositum non est impossibile modo, sed etiam ipsa impossibilitas.
Seite 202 - Philotheus Jordanus Brunus Nolanus magis laboratae theologiae doctor, purioris et innocuae sapientiae professor. In praecipuis Europae academiis notus, probatus et honorifice exceptus philosophus. Nullibi praeterquam apud 1 Op.
Seite 90 - Consideravi, quod terra ista non potest esse fixa, sed movetur ut aliae stellae. Quare super polis mundi revolvitur , ut ait Pythagoras , quasi semel in die et nocte , sed octava sphaera bis et sol parum minus quam bis in die et nocte. Item consideravi, quomodo alii poli debent imaginar! aeque distantes a polis mundi in aequatore, et super illis revolvitur octava sphaera in die et nocte...
Seite 216 - Cum fortis ille armatus, clavibus et ense, fraudibus et vi, astubus et violentia, hypocrisi et ferocitate, vulpes et leo, vicarius tyranni infernalis, superstitioso cultu et ignorantia...
Seite 76 - Elles sentent ce qui se passe hors d'elles, par ce qui se passe en elles, répondant aux choses de dehors; en vertu de l'harmonie que Dieu a préétablie par la plus belle et la plus admirable de toutes ses productions; qui fait que chaque substance simple en vertu de sa nature, est, pour ainsi dire, une concentration et un miroir vivant de tout l'univers suivant son point de vue.

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