Un aide de camp de Napoléon. 1813-1814-1815: Du Rhin à Fountainebleau

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Firmin-Didot, 1895 - 565 Seiten
 

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Seite 484 - Les puissances alliées ayant proclamé que l'empereur Napoléon était le seul obstacle au rétablissement de la paix en Europe, l'empereur Napoléon, fidèle à son serment, déclare qu'il renonce, pour lui et ses héritiers, aux trônes de France et d'Italie, et qu'il n'est aucun sacrifice personnel, même celui de la vie, qu'il ne soit prêt à faire à l'intérêt de la France.
Seite 474 - D'indignes Français, des émigrés, auxquels nous avions pardonné, ont arboré la cocarde blanche, et se sont joints à nos ennemis ! Les lâches ! ils recevront le prix de ce nouvel attentat ! Jurons de vaincre ou de mourir, et de faire respecter cette cocarde tricolore, qui, depuis vingt ans, nous trouve dans le chemin de la gloire et de l'honneur...
Seite 512 - Les puissances alliées ayant proclamé que » l'empereur était le seul obstacle au rétablisse»ment de la paix en Europe, l'empereur, fidèle à » son serment, déclare qu'il renonce pour lui et «ses enfants aux trônes de France et d'Italie, et » qu'il n'est aucun sacrifice, même celui de la vie, » qu'il ne soit prêt à faire aux intérêts de la
Seite 220 - Aujourd'hui c'est tout différent ; j'ai eu d'immenses avantages sur eux, et des avantages tels, qu'une carrière militaire de vingt années, et de quelque illustration , n'en présente pas de pareils.
Seite 168 - Le pourrais-je sans trahison ou sans lâcheté?... Hus êtes effrayés de la continuation de la guerre, et moi je le suis de dangers plus certains que vous ne voyez pas.
Seite 168 - ... avec tant de confiance; que, pour prix de tant d'efforts, de sang et de victoires, je laisse la France plus petite que je ne l'ai trouvée : jamais!
Seite 493 - En conséquence , je suis prêt à quitter, avec mes troupes , L'armée de l'empereur Napoléon , aux conditions suivantes, dont je vous demande la garantie par écrit :
Seite 220 - Je vous ai donné carte blanche pour « sauver Paris et éviter une bataille qui était la « dernière espérance de la nation : la bataille a eu « lieu ; la Providence a béni nos armes ; j'ai fait « trente à quarante mille prisonniers ; j'ai pris « deux cents pièces de canon , un grand nombre « de généraux , et détruit plusieurs armées sans « presque coup férir; j'ai entamé hier l'armée du « prince de Schwartzemberg, que j'espère détruire « avant qu'elle ait repassé nos frontières.
Seite 453 - cela ? Comment, vous ici, avec votre cavalerie ? Où « donc est l'ennemi ? — Aux portes de Paris, Sire. — Et « l'armée ? — Elle me suit. — Et qui garde la capitale ?
Seite 511 - ... Paris des paroles de conciliation et des promesses pour sa paix particulière. On se plaît à envisager la révolution nouvelle comme une grande transaction entre tous les intérêts français, dans laquelle il n'y aura de sacrifié qu'un seul intérêt , celui de Napoléon.

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