Histoire de l'empereur NapoléonPerrotin, 1833 - 479 Seiten |
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... CHARLET . Tout pour le peuple français . Napoléon à son fils . a CHARLET . CHOMPSON PARIS . PERROTIN , RUE DES FILLES - SAINT - THOMAS , N ° 1 , PLACE DE LA BOURSE . 1833 . On parlera de sa gloire Sous le chaume bien long. HISTOIRE ...
... CHARLET . Tout pour le peuple français . Napoléon à son fils . a CHARLET . CHOMPSON PARIS . PERROTIN , RUE DES FILLES - SAINT - THOMAS , N ° 1 , PLACE DE LA BOURSE . 1833 . On parlera de sa gloire Sous le chaume bien long. HISTOIRE ...
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... peuple français . « Je << veux , a - t - il dit lui - même , que le titre de Français soit le << plus beau , le plus désirable et le plus respecté sur la terre . » Hélas ! nous ne nous parons plus que des lambeaux et des restes de la ...
... peuple français . « Je << veux , a - t - il dit lui - même , que le titre de Français soit le << plus beau , le plus désirable et le plus respecté sur la terre . » Hélas ! nous ne nous parons plus que des lambeaux et des restes de la ...
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... peuple et les soldats , plus sévère et plus réservé avec ses généraux et ses ministres . Il avait tantôt la parole haute et brève , tantôt la voix douce et caressante ; sa conversation variée abondait en observations fines , en traits ...
... peuple et les soldats , plus sévère et plus réservé avec ses généraux et ses ministres . Il avait tantôt la parole haute et brève , tantôt la voix douce et caressante ; sa conversation variée abondait en observations fines , en traits ...
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... peuple pour connaître par lui - même et ses vœux et ses besoins : « Car , disait - il , le peuple c'est ma famille . » Aussi la reconnaissance populaire ne lui a - t - elle jamais manqué ; et quand la fortune tourna contre lui , ce ne ...
... peuple pour connaître par lui - même et ses vœux et ses besoins : « Car , disait - il , le peuple c'est ma famille . » Aussi la reconnaissance populaire ne lui a - t - elle jamais manqué ; et quand la fortune tourna contre lui , ce ne ...
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... peuple . La défection de Paoli , qui reçut bientôt un appui par un débarquement de troupes britanniques , privait les Français et leurs partisans de tous moyens de défense : ils luttèrent quelque temps avec cou- rage ; mais , vaincus ...
... peuple . La défection de Paoli , qui reçut bientôt un appui par un débarquement de troupes britanniques , privait les Français et leurs partisans de tous moyens de défense : ils luttèrent quelque temps avec cou- rage ; mais , vaincus ...
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Seite 459 - Soldats, venez vous ranger sous les drapeaux de votre chef; son existence ne se compose que de la vôtre; ses droits ne sont que ceux du peuple et les vôtres; son intérêt, son honneur, sa gloire, ne sont autres que votre intérêt, votre honneur et votre gloire.
Seite 449 - Les puissances alliées ayant proclamé que l'empereur Napoléon était le seul obstacle au rétablissement de la paix en Europe, l'empereur Napoléon, fidèle à son serment, déclare qu'il renonce, pour lui et ses héritiers, aux trônes de France et d'Italie, et qu'il n'est aucun sacrifice personnel, même celui de la vie, qu'il ne soit prêt à faire à l'intérêt de la France.
Seite 369 - Russie est entraînée par la fatalité ; ses destins doivent s'accomplir. Nous croirait-elle donc dégénérés ? Ne serions-nous donc plus les soldats d'Austerlitz ? Elle nous place entre le déshonneur et la guerre : le choix ne saurait être douteux. Marchons donc en avant : passons le Niémen, portons la guerre sur son territoire. La seconde guerre de Pologne sera glorieuse aux armes françaises, comme la première.
Seite 458 - Soldats, dans mon exil j'ai entendu votre voix : je suis arrivé à travers tous les obstacles et tous les périls. Votre général, appelé au trône par le choix du peuple et élevé sur vos pavois, vous est rendu : venez le joindre.
Seite 458 - Nous n'avons pas été vaincus. Deux hommes sortis de nos rangs ont trahi nos lauriers, leur pays, leur prince, leur bienfaiteur. « Ceux que nous avons vus pendant vingt-cinq ans parcourir toute l'Europe pour nous susciter des ennemis, qui ont...
Seite 37 - Soldats, vous êtes nus, mal nourris; le gouvernement vous doit beaucoup, il ne peut rien vous donner. Votre patience, le courage que vous montrez au milieu de ces rochers, sont admirables; mais ils ne vous procurent aucune gloire; aucun éclat ne rejaillit sur vous. Je veux vous conduire dans les plus fertiles plaines du monde. De riches provinces, de grandes villes seront en votre pouvoir: vous y trouverez honneur, gloire et richesses. Soldats d'Italie, manqueriez-vous de courage ou de constance?
Seite 454 - Soldats de ma vieille garde, je vous fais mes adieux. Depuis vingt ans je vous ai trouvés constamment sur le chemin de l'honneur et de la gloire. Dans ces derniers temps, comme dans ceux de notre prospérité, vous n'avez cessé d'être des modèles de bravoure et de fidélité. Avec des hommes tels que vous, notre cause n'était pas perdue. Mais la guerre était interminable : c'eût été la guerre civile et la France n'en serait devenue que plus malheureuse. J'ai donc sacrifié tous mes intérêts...
Seite 219 - Cette armée qui, avec autant d'ostentation que d'imprudence, était venue se placer sur nos frontières, est anéantie. Mais qu'importe à l'Angleterre? son but est rempli. Nous ne sommes plus à Boulogne , et son subside ne sera ni plus ni moins grand.
Seite 472 - J'en appelle à l'histoire; elle dira qu'un ennemi, qui fit vingt ans la guerre au peuple anglais, vint librement dans son infortune chercher un asile sous ses lois: quelle plus éclatante preuve pouvait-il donner de son estime et de sa confiance? Mais que répondit-on en Angleterre à tant de magnanimité? On feignit de tendre une main hospitalière à cet ennemi, et quand il se fut livré de bonne foi, on l'immola.
Seite 458 - Nous n'avons pas été vaincus. Deux hommes sortis de nos rangs ont trahi nos lauriers, leur pays, leur prince, leur bienfaiteur. « Ceux que nous avons vus pendant vingt-cinq ans parcourir toute l'Europe pour nous susciter des ennemis, qui ont passé leur vie à combattre contre nous dans les rangs des armées étrangères en maudissant notre belle France, prétendraient-ils commander et enchaîner nos aigles, eux qui n'ont jamais pu en soutenir les regards?