| 1736 - 874 Seiten
...difpolirions furprensntes pour la Poëlîe, & me propofa de me l'amener } à quoi je confentis. Il me l'alla chercher & je le vis revenir un moment après avec un jeune Ecolier qui me parut avoir feize àdix-feptans,d'affe7,mauvailè philionomie , mais d'un regard vif... | |
| Maximilien-Marie Harel - 1781 - 170 Seiten
...difpofitions furprenantes pour la Poëfîe, & me propofa de me l'amener; à quoi je confentis. II me l'alla chercher, & je le vis revenir un moment après avec un jeune écolier, qui nie parut avoir feize à dix - fept ans , d'aflez mauvaife phifionomie , mais d'un regard vif & éveillé... | |
| J. B. Maigrot - 1837 - 676 Seiten
...surprenantes pour la poésie , et 'me proposa de me l'amener , à quoi je consentis. 11 l'alla chercher, et je le vis revenir un moment après avec un jeune écolier qui me parut avoir seize à dix-sept ans , d'assez mauvaise physionomie , mais d'un regard vif et éveillé , et qui vint... | |
| Michel Ulysse Maynard - 1867 - 512 Seiten
...Voulez-vous le voir? » Ce à quoi Rousseau consentit. « 11 me l'alla chercher, ajoute Rousseau, et je le vis revenir un moment après avec un jeune écolier, qui me parut avoir seize à dix-sept ans, d'assez mauvaise physionomie, mais d'un regard vif et éveillé, et qui vint... | |
| Henri Beaune, Voltaire - 1867 - 356 Seiten
...surprenantes pour la poësie et me proposa de me l'amener, à quoi je consentis. Il me l'alla chercher, et je le vis revenir, un moment après, avec un jeune écolier qui me parut avoir seize ou dix-sept ans, d'assez mauvaise physionomie, mais d'un regard vif et éveillé et qui vint... | |
| Jean-Baptiste Rousseau - 1869 - 558 Seiten
...surprenantes pour la poésie et me proposa de me l'amener, à quoi je consentis. Il me l'alla chercher et je le vis revenir, un moment après, avec un jeune écolier qui me parut avoir seize ou dix-sept ans, d'assez mauvaise physionomie, mais d'un regard vif et éveillé, et qui vint... | |
| François Guizot - 1886 - 634 Seiten
...surprenantes pour la poésie et me proposa de l'amener; à quoi je consentis. Il me l'alla chercher, et je le vis revenir un moment après, avec un jeune écolier qui me parut avoir seize ou dix-sept ans, d'une mauvaise physionomie, mais d'un regard vif et éveillé et qui vint m'embrasser... | |
| François Guizot - 1876 - 624 Seiten
...surprenantes pour la poésie et me proposa de l'amener; à quoi je consentis. Il me l'alla chercher, et je le vis revenir un moment après, avec un jeune écolier qui me parut avoir seize ou dix-sept ans, d'une mauvaise physionomie, mais d'un regard vif et éveillé et qui vintm'embrasser... | |
| |