 | Louis de Rouvroy duc de Saint-Simon - 1830 - 506 Seiten
...chercher dans son visage fort allongé, changé , et qui disait encore beaucoup moins que lorsqu'il élait parti de France. Il était fort courbé, rapetissé,...éloigné de sa poitrine, les pieds tout droits, qui se louchaient, et qui se coupaient en marchant, quoiqu'il marchât vite et les genoux à plus d'un pied... | |
 | Jean-Charles-Léonard Simonde Sismondi - 1843 - 620 Seiten
...encore beaucoup moins que » lorsqu'il étoit parti de France ; il étoit fort courbé, rape» tissé, le menton en avant, fort éloigné de sa poitrine ; les » pieds tout droits, qui se touchoient, et qui se coupoient en » marchant, quoiqu'il marchât vite, et les genoux à plus d'un... | |
 | Louis de Rouvroy duc de Saint-Simon - 1840 - 576 Seiten
...d'Anjou, qu'il me fallut chercher dans son visage fort allongé, changé, et qui disait encore beaucoup moins que lorsqu'il était parti de France. Il était fort courbé, rapetissé, le meutton en avant, fort éloigné de sa poitrine, les pied* tout droits, qui se touchaient, et qui se... | |
 | Jean-Charles-Léonard Simonde Sismondi - 1842 - 592 Seiten
...changé, et qui disoit encore « beaucoup moins que lorsqu'il étoit parti de « France ; il étoit fort courbé, rapetissé, le « menton en avant, fort...de sa poitrine ; « les pieds tout droits , qui se touchoient, et qui « se coupoient en marchant, quoiqu'il marchât « vite, et les genoux à plus d'un... | |
 | Jean-Charles-Léonard Simonde de Sismondi - 1842 - 592 Seiten
...allongé, changé, et qui disoit encore « beaucoup moins que lorsqu'il étoit parti de «France; il étoit fort courbé, rapetissé, le « menton en avant, fort...de sa poitrine ; « les pieds tout droits , qui se touchoient, et qui « se coupoient en marchant, quoiqu'il marchât « vite, et les genoux à plus d'un... | |
 | Louis de Rouvroy duc de Saint-Simon - 1853 - 582 Seiten
...d'Anjou, qu'il me fallut chercher dans son visage fort allongé, changé, et qui disait encore beaucoup moins que lorsqu'il était parti de France. Il était fort courbé, rapetissé, le menaton en avant, fort éloigné de sa poitrine, les pieds tout droits, qui se touchaient, et qui se... | |
 | Alphonse Jobez - 1865 - 592 Seiten
...d'Anjou, qu'il lui fallait chercher dans son visage fort allongé, changé, et qui disait encore beaucoup moins que lorsqu'il était parti de France. Il était...poitrine, les pieds tout droits, qui se touchaient et qui se coupaient en marchant,.... et les genoux à plus d'un pied l'un de l'autre. » Philippe V s'exprima... | |
 | Paul de Saint-Victor - 1872 - 538 Seiten
...d'Anjou, qu'il me fallut chercher dans son « visage fort allongé, changé, et qui disait beaucoup « moins que lorsqu'il était parti de France. Il était...rapetissé, le menton en avant fort « éloigné de la poitrine, les pieds tout droits qui se « touchaient et qui se coupaient en marchant, quoi« qu'il... | |
 | Louis de Rouvroy duc de Saint-Simon - 1874 - 468 Seiten
...allongé, changé, et qui disoit encore beaucoup moins que lorsqu'il étoit parti de Frfince. Il étoit fort courbé, rapetissé, le menton en avant, fort éloigné de sa poitrine, les pieds tous droits, qui se touchoient, et se coupoient en marchant, quoique il marchât vite et les genoux... | |
 | Louis de Rouvroy (duc de Saint-Simon.) - 1874 - 470 Seiten
...allongé, changé, et qui disoit encore beaucoup moins que lorsqu'il étoit parti de France. Il étoit fort courbé, rapetissé, le menton en avant, fort éloigné de sa poitrine, les pieds tous droits, qui se touchoient, et se coupoient en marchant, quoique il marchât vite et les genoux... | |
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... encore beaucoup moins que lorsqu'il était parti de France. Il était fort courbé, rapetissé, le menton en avant, fort éloigné de sa poitrine, les pieds tout droits, qui se touchaient, et se coupaient en marchant, quoiqu'il marchât vite et les... 
