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tirer l'ennemi à sa suite en Lorraine, et prend position à Doulevent entre Saint-Dizier et Bar-sur-Aube, 212.— Revient sur Paris par la route de Troyes; mais il est trop tard: il descend à Fontainebleau, 224.-Veut tenter une surprise sur Paris, 367.—Se laisse persuader d'abdiquer, 372. Change d'idée et parle de se retirer sur la Loire, 383.-Veut ensuite se retirer en Italie, et demande qu'on l'y suive, 387.—Enfin, vaincu par la défection qui l'entoure, il signe une seconde rédaction de son abdication, 389.-Après une nuit pénible, il se résigne à signer la ratification du traité, 397.-Il reste encore huit jours à Fontainebleau, vivant en simple particulier, 400.- Son départ pour l'Ile-d'Elbe. Allocution à sa garde, 405. (Voir, au supplément de la première partie, sa correspondance avec le duc de Vicence pendant la négociation de Châtillon.)

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NÉGOCIATION. Propositions de Francfort apportées à Paris par M. le baron de Saint-Aignan, 5. — Réponse du duc de Bassano, 8. - Continuation de cette négociation par le duc de Vicence, 10. Communication des pièces aux commissaires du sénat et du corps législatif, 18.– Moniteur supprimé contenant ces pièces, 49. Lord Castlereagh se rend au quartier-genéral des alliés, 41. -Le duc de Vicence se met en route également pour s'y rendre, 41. (Voir au supplément les instructions que Napoléon lui donne par sa lettre du 4 janvier.)— Le duc de Vicence ne peut parvenir au quartier-général des alliés. Après avoir été retenu à Lunéville, il se rend à Châtillon, lieu qui lui est indiqué pour la tenue du congrès, 86. (Voir dans le supplément les lettres du duc de Vicence au prince de Metternich, les réponses

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de ce prince, et les lettres écrites de Paris, par M. de La Besnardière, qui appartiennent à cette époque de la négociation. Le congrès se réunit le 4 février. Noms des plénipotentiaires. Nouvelles instructions et pleins pouvoirs envoyés au duc de Vicence après la bataille de Brienne, 104.-Les alliés demandent que la France rentre dans ses anciennes limites, 109.-Opposition de Napoléon il veut qu'on envoie cette demande à Paris pour avoir l'avis motivé et séparé de chacun des membres du conseil privé, 113.-Victorieux à Champaubert, Napoléon fait recommander au duc de Vicence de prendre une attitude moins humiliée, 117.-Victorieux au combat de Nangis, il écrit directement à l'empereur d'Autriche, et suspend les pouvoirs indéfinis du duc de Vicence, 129. - Les alliés lui font demander un armistice, 143. Négociation de l'armistice à Lusigny. (Voyez ARMISTICE.) — Le 1er mars les alliés resserrent leur alliance par le traité de Chaumont, 177.—La condition des anciennes limites devient l'ultimatum des alliés. Rumigny vient chercher les derniers ordres de Napoléon à cet égard, 185. Les plénipotentiaires des alliés n'ayant plus d'inquiétude pour Blücher, renferment le duc de Vicence dans un délai de trois jours pour signer le projet proposé, 204. Le congrès se sépare: le duc de Vicence quitte Châtillon le 20 mars et vient rejoindre Napoléon à Saint-Dizier, 213. (Voir au supplément la correspondance du duc de Vicence avec M. de Metternich, avec Napoléon et avec le duc de Bassano, relativement à la négociation de Châtillon.) Démarche directe de Napoléon auprès de l'empereur d'Autriche, par M. de Weissemberg, 226. Le duc de

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Vicence est envoyé auprès de l'empereur Alexandre sous les murs de Paris, 233. - Il n'avait pas encore été entendu que la cause de son maître était déjà perdue, 362. Pour décider les souverains alliés en faveur de la régente et de son fils, le duc de Vicence vient proposer à Napoléon d'abdiquer, 369. - Napoléon s'étant laissé persuader d'abdiquer, envoie le duc de Vicence, le duc de Tarente et le prince de la Moscowa pour négocier à Paris le traité qui doit décider du sort de la famille impériale, 373.-L'impératrice Marie-Louise est autorisée à dépêcher le duc de Cadore à l'empereur d'Autriche pour le prier d'intervenir, 374.-La défection du duc de Raguse achève de décider les souverains pour l'exclusion entière de la famille impériale, 380.Le duc de Vicence revient à Fontainebleau demander une abdication pure et simple. Résistance de Napoléon. -Le traité est signé à Paris le 11 avril, mais Napoléon se refuse à le ratifier, 393.- Enfin, après une nuit pénible, Napoléon ratifie le traité, 397. — Texte du traité du 11 avril, et pièces accessoires, 408.

NESLE, près Château-Thierry. Napoléon y établit son quartier-général le 12 février, 119.

NEUFCHATEL (le maréchal Berthier, prince de), quitte Pa

ris pour se rendre à l'armée, 47. Rend compte à Napoléon de la situation de l'armée à Châlons, 85.

Après l'abdication de Fontainebleau, il eonserve le commandement de l'armée, et va prendre les ordres du gouvernement provisoire à Paris, 400. NEY (le maréchal). Voyez Moscowa (le prince de la). Nogent-sur-SeinE. Napoléon y établit son quartier général le 7 février, 107. - Le général Bourmont reste chargé

de la défense de cette ville pendant l'excursion sur Montmirail, 114.—Napoléon revient à Nogent le 20 février, 140.

ORLEANS. Les bagages et le grand parc de l'armée sont dirigés sur Orléans, 356. L'impératrice Marie-Louise arrive à Orléans, 394.

OUDINOT (le maréchal). Voyez REGGIO (le duc de).

PAJOL (le général comte) enlève le pont de Montereau,

131.

PAPE (le) retourne à Rome, 39.

PARIS. Serment des chefs de la garde nationale parisienne au moment où Napoléon quitte la capitale pour se rendre à l'armée, 48.-Paris, menacé par la première marche de Blücher, est sauvé à Montmirail, 113.Menacé une seconde fois par la marche du prince Schwartzenberg, qui s'avance vers Provins, est sauvé à Nangis et à Montereau, 125. Menacé ensuite par le retour de Blücher sur Meaux, est sauvé par l'excursion de Napoléon au-delà de la Marne et de l'Aisne, 160.— Menacé une quatrième fois par le prince Schwartzenberg, qui s'avance encore au-delà de la Seine, est sauvé par la contre - marche qui ramène Napoléon de Reims sur Plancy, 198.-Paris est menacé plus que jamais après la bataille d'Arcis par les forces réunies de Schwartzenberg et de Blücher, qui s'..ancent ne formant plus qu'une seule armée, 218.—Et cette fois Napoléon accourt trop tard, 222.-Bataille et capitulation de Paris, 231. Le conseil - général de la Seine déclare ie vœu de Paris est en faveur des Bourbons, 367.

que

Na

poléon veut tenter une marche de Fontainebleau sur Paris, 367 et 370.

La plupart des chefs de l'armée

reviennent à Paris, 384.

PARR (le comte), aide de camp du prince de Schwartzenberg, se présente aux avant-postes français, 128. PAYSANS FRANÇAIS. Résistance et petite guerre qu'ils font aux soldats de l'ennemi, 42, 43, 179 et 363.

PETIT (le général), de la garde impériale. Napoléon, en quittant Fontainebleau, embrasse en lui toute la garde, 406.

PEYRUSSE (le chevalier), payeur de la couronne, suit Napoléon à l'île d'Elbe, 399.

PINEY ( le village de ), près Troyes. Napoléon y établit son quartier général le 2 février, 103.

PIRÉ (le général) fait une excursion sur Chaumont, 216. -Répand l'alarme depuis Troyes jusqu'à Vesoul, ibid. -Fait prisonniers plusieurs personnages importants, 226.

PITHIVIERS. Est occupé par les alliés, 386.

PLANCY-SUR-L'AUBE. Napoléon y établit son quartier-général le 19 mars, 205.

PLESSIS-Ô-LE-COMTE (le château du), commune de LongChamps, entre Vitry et Saint-Dizier. Napoléon y établit son quartier général le 22 mars, 213.

PROCLAMATION des alliés, du 1er décembre 1812, 11; de Lowach, le 21 décembre, 16; de l'empereur Alexandre, du généralissime Schwartzenberg, du général Wude, du général Bubna', etc., 42.

PRUSSE (le roi de) entre en France, 15.

-(les armées de). Voyez BLUCHER.

PYRÉNÉES (armée des). Voyez DALMATIE (le duc de).

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