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mencer l'évacuation, il faut stipuler des routes militaires pour la communication des troupes, 122-123.—(7 novembre.) Recommandation formelle au maréchal Soult de ne pas évacuer les pays de la rive droite de la Vistule avant que les dernières conventions avec la Prusse soient signées, et qu'il en ait reçu l'ordre exprès de l'Empereur, 143.

pour eux plus qu'une prévention contre eux,» 200. - (12 avril 1808.) . II

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faut avoir soin d'éviter toute réaction en parlant de la Révolution. Aucun homme ne pouvait s'y opposer. Le blâme n'appartient ni à ceux qui ont péri, ni à ceux qui ont survécu. Il n'était pas de force individuelle capable de changer les éléments et de prévenir les événements qui naissaient de la nature des choses et des circonstances, 489-490. REYNIER, général de division, 267, 270.

(26 février 1808.) Plaintes à faire au général Reynier de ce que, dans la capitulation accordée par lui en occupant Reggio, il n'a pas fait mention du roi de Naples et a accordé aux ennemis des conditions trop favorables; autre reproche de ce qu'il parlemente trop fréquemment avec les Anglais, 380, 381. ROEDERER, 101. Jugement de Napoléon sur Ræderer, 323, 381. ROMANA (Marquis DE LA), général, commandant la division espagnole du corps du maréchal Bernadotte. (19 janvier 1808.) Demande de renseignements sur l'esprit de ces troupes et sur leur attachement au prince de la Paix ou au prince des Asturies, 258. — (29 mars.) Recommandation de leur dérober le plus longtemps possible la connaissance des événements de Madrid, 455. (13 avril.) Ordre à Bernadotte de disperser dans les îles danoises les troupes espagnoles de la Romana et de les surveiller; ce qu'il faut dire à ce général des événements.de Portugal et d'Espagne, 495-496.

ROME (Cour de). Négociateurs envoyés par le Saint-Siége et non admis par l'Empereur. V. BAYANE, LITTA. (25 septembre 1807.) Ordre de diriger la division Duhesme sur Bologne et sur An

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cone, pour occuper le duché d'Urbino, les provinces de Macerata, Fermo, Spoletto, 48. (3 octobre.) Le général Lemarois prendra le commandement des troupes du Pape dans ces provinces, placera son quartier général à Ancône, et sera prêt à s'emparer, au premier avis, de l'administration provisoire de ces pays, 64. (19 octobre.) Ordre à ce général de diriger des colonnes mobiles sur les frontières du royaume de Naples, 164. (21 octobre.) Lemarois réunira les troupes du Pape à Ancône, et les emploiera à réprimer par la force toute résistance, 107. (22 octobre.) Il ménagera la cour de Rome si elle cède, ou s'emparera de ses provinces adriatiques si elle résiste, 111.

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(23 novembre.) Ordre au prince Eugène de laisser subsister le gouvernement du Pape à Ancône. Lemarois, en qualité de gouverneur, doit seulement avoir le commandement militaire et la police, 177. — (28 décembre.) Plaintes contre la cour de Rome à mettre dans les considérants du décret pour le rejet de la bulle relative au diocèse de Plaisance, 223. - (10 janvier 1808.) Instructions au prince Eugène pour l'occupation de Rome troupes à tirer de la Toscane et d'Ancône et placées sous le commandement de Miollis pour marcher sur Rome; le roi de Naples appuiera ce mouvement par l'envoi d'une colonne à Terracine, 235. Ordres à donner à Miollis pour cette opération; il doit s'emparer du château SaintAnge, déclarer qu'il a mission d'occuper Rome pour arrêter les brigands napolitains et les agents anglais; ne pas se mêler du gouvernement; prendre le titre de Commandant en chef des troupes qui sont dans les Etats de l'Eglise, 235236. Instructions au roi de Naples pour la réunion à Terracine d'une colonne de 3,000 hommes qui devra rejoindre le général Miollis à Rome, 235. (22 janvier.) Napoléon calcule la marche des troupes et le jour où elles arriveront à Rome; il en fait prévenir Alquier deux jours seulement avant leur arrivée, 262. Le titre de Miollis est changé; il doit prendre celui de Commandant de la division d'observation de l'Adriatique. Ce qu'il doit faire à Rome, 263. Note à remet

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tre à la cour de Rome pour expliquer l'arrivée des troupes françaises; griefs à énumérer refuge donné aux brigands napolitains, aux sujets rebelles du roi de Naples, aux agents de la reine Caroline et de l'Angleterre; cardinaux napolitains encouragés dans leur rébellion; faiblesse du gouvernement du Pape, 263. Instructions pour Alquier l'Empereur veut ne rien ôter au Pape, mais le faire agir dans son système; la conduite du Pape décidera du sort de ses États temporels, 264. Instructions secrètes l'intention de l'Empereur est d'habituer le peuple et les troupes françaises à vivre ensemble, afin que, le cas arrivant, la cour de Rome ait cessé insensiblement d'exister comme puissance temporelle», 264. — Conduite qu'Alquier doit tenir à Rome et envers le Pape. L'Empereur désire laisser les choses in statu quo, mais il est décidé à faire un éclat à la première publication que le Pape se permettra ; il cassera la donation de Charlemagne et réunira les Etats de l'Eglise au royaume d'Italie, 264. (23 janvier.) Eugène chargé de donner à Miollis l'ordre de se concerter avec Alquier, de prendre le commandement des troupes papales, d'arrêter les brigands réfugiés à Rome, d'empêcher toute publication du gouvernement, d'interdire toute communication de Rome avec la Sicile et la Sardaigne, 265. (7 février.) L'Empereur explique au prince Eugène dans quel sens Miollis doit se concerter avec Alquier; il en est entièrement indépendant pour les affaires militaires; le château Saint-Ange doit être occupé; les agents de l'Angleterre et du roi Ferdinand doivent être arrêtés; les cardinaux napolitains envoyés à Naples de gré ou de force; toute insurrection doit être sévèrement punie; enfin, si Miollis avait évacué Rome ou le château Saint-Ange, il doit y rentrer, 312. (12 février.) L'Empereur reçoit la nouvelle de l'entrée des troupes à Rome; il écrit au prince Eugène d'ordonner à Miollis de s'emparer de la police, de bien traiter les troupes du Pape, d'en prendre le commandement, et d'envoyer à Naples les cardinaux et les Napolitains rebelles au roi Joseph, 325. — (17 février.) Ordres à transmettre à Miollis

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pour que ce général s'empare du commandement de Rome et des provinces de l'Etat pontifical autres que celles d'Ancône, de Camerino, d'Urbino, de Macerata, déjà occupées par le général Lemarois. Miollis aura sous ses ordres toutes les troupes des Apennins à la Méditerranée jusqu'à Cività-Vecchia. Il correspondra avec le vice-roi. Il devra annoncer secrètement l'arrivée probable et prochaine de l'Empereur à Rome, 336-337. (11 mars.) Ordre au général Miollis de s'opposer à ce que le Pape établisse de nouveaux impôts; s'il persiste dans cette intention, le menacer de convoquer les Etats provinciaux auxquels on dénoncera l'usage fait des finances romaines, qui ne servent qu'à organiser et entretenir la révolte; et les Etats n'accorderont aucune nouvelle contribution tant que le Pape se trouvera

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en rébellion temporelle contre l'Empereur, 410. (14 mars.) L'ordre de s'opposer à l'établissement de tout nouvel impôt est rappelé. Conduite que doit tenir le chargé d'affaires laissé à Rome rester impassible au milieu des intrigues et seconder le général Miollis, 416.

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- (16 mars.) Le refus du Pape de reconnaître Joseph Napoléon comme roi de Naples est un des principaux griefs de l'Empereur contre la cour de Rome, 421. (20 mars.) Ordre au général Miollis de s'emparer du gouvernement temporel » sous le titre de Général commandant les troupes dans les Etats de Rome; de renvoyer à Ancône toutes les troupes du Pape; de ne plus faire assister les troupes françaises aux cérémonies religieuses; d'agir sur l'esprit du peuple par des publications ; de mettre notamment dans un ordre du jour que les prêtres ne doivent, pas plus que les femmes, commander à des soldats; de se moquer des représentations du chargé d'affaires d'Espagne, 428. Rappel de l'ordre de n'avoir à souffrir aucun nouvel impôt à Rome, 428. (23 mars.) Mesures et préparatifs indiqués au vice-roi pour la transformation administrative des quatre Légations, à réunir au royaume d'Italie après le carême passé; bruit de cette prochaine réunion à faire courir dans le public pour intimider la résistance de la cour de Rome, 433. (1er avril.) Rup

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ture des relations diplomatiques. Le
cardinal Caprara cesse d'être reconnu
comme légat en France. Ordre aux em-
ployés de la légation de quitter la France
avant trois jours. Le cardinal reçoit cette
signification dans une note qui lui est
remise le 3 avril; double texte de cette
note. La cause principale de la rupture,
c'est le refus du Pape d'entrer dans une
ligue défensive et offensive contre les
ennemis de l'Empire. L'Empereur an-
nonce qu'il compte s'emparer de la
souveraineté temporelle du Pape; c'est
ce qu'il fera en déplorant de voir l'im-
prudence, l'obstination, l'aveuglement
détruire l'ouvrage du génie, de la poli-
tique et des lumières». Mais la perte de
la souveraineté temporelle n'entraînera
aucune diminution de l'autorité spiri-
tuelle du Pape, qui sera « évêque de
Rome et chef de l'Eglise comme l'ont
été ses prédécesseurs pendant les huit
premiers siècles et sous Charlemagne..
Paroles irritées contre l'abus que le
Pape peut faire de son autorite spiri-
tuelle dans les circonstances présentes,
463-465. - (2 avril.) Ordre à Cham-
pagny d'envoyer, à Rome, au chargé
d'affaires de France, copie de la note
remise au cardinal Caprara. Ultimatum
à présenter le Pape consent-il à entrer
dans une ligue offensive et défensive
avec les royaumes d'Italie et de Naples
contre les ennemis communs de la Pé-
ninsule? Si le Pape adhère à la propo-
sition, ordre au chargé d'affaires de le
signifier au plus tôt au vice-roi; si le
Pape n'y adhère pas, le chargé d'affaires
demandera ses passe-ports et quittera
Rome, mais le 20 avril seulement,
c'est-à-dire le carême passé, 468.
(6 avril.) Il est impossible de perdre
plus bêtement ces Etats temporels que le
génie et la politique de tant de papes
avaient formés, ⚫ 478.

RUGEN (Ile de). Remise par capitulation aux Français, 36.

RULHIÈRE. (2 avril 1808.) Quel est l'auteur de l'Histoire de l'anarchie de Pologne, Rulhière ou le Père Maubert? Question à faire examiner par la 3o classe de l'Institut, 468-469. RUSSES (Escadre et troupes). (6 septembre 1807.) Ordre au prince Eugène de bien traiter sur la terre ferme de Venise les troupes russes quittant Cattaro

et Corfou, 11; si elles débarquent à Naples, les diriger sur Bologne, 12.

(14 septembre.) Le vice-roi leur fera avancer les fonds nécessaires; prendra des mesures pour que le pavillon russe ne soit pas insulté par les Anglais dans les ports italiens, 26; accueillera avec distinction, à Milan, les officiers supérieurs russes; avertira des affaires de Copenhague l'escadre russe, qui de Ténédos se rend à Cadix, pour la prémunir contre une surprise des Anglais, 27. Ordre de bien recevoir les vaisseaux russes dans les ports de Hollande, 28. (30 septembre.) Napoléon reproche au vice-roi d'avoir exagéré ses prévenances envers les officiers russes, 59. Fournitures faites aux troupes et navires russes, 68, 75, etc. Prisonniers russes rendus, armés de fusils français, 80, 88, etc.

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(7 novembre.) L'escadre russe a passé le 19 octobre devant Cadix; l'Empereur envoie à la recherche de Siniavine pour l'avertir de ne pas entrer dans la Manche, 145. Il est faché

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SAINTE-MAURE, une des îles Ioniennes. Ordre de l'occuper et de la fortifier, 71. SALICETI, ministre de l'intérieur et de la police du royaume de Naples. Peut être mis dans la confidence de l'expédition de Sicile, 268, 315. Jugement de Napoléon sur ce personnage: Saliceti est de ceux qui réussissent toujours, 381. SARDAIGNE. (5 septembre 1807.) L'intention de l'Empereur est de s'en rendre maître sur-le-champ», 9. (28 décembre.) Ordre au prince Eugène et au roi de Naples de mettre embargo sur les bâtiments venant de Sardaigne, 225. - (12 janvier 1808.) Ordre au consul français de quitter la Sardaigne, si ce gouvernement ne veut pas faire cause commune avec le continent; la Sardaigne n'est plus qu'une colonie anglaise, 244, 246. (13 mars.) Recommandation de bien traiter à Rome l'ancien roi de Sardaigne (Charles-Emmanuel IV), qui a véritablement renoncé aux affaires, 415. SALINES DE L'EST (Compagnie des). Observations faites en conseil des finances sur

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que cet amiral n'ait pas voulu relâcher à Cadix, ou on était en mesure de le secourir, 146. - (23 novembre.) Avis au général Savary, à Saint-Pétersbourg, que les troupes russes cantonnées à Padoue se mettent en marche pour traverser les Etats autrichiens, 175. (7 décembre.) Avis de légers différents avec le commandant des troupes russes à Padoue, qui attend des ordres de Saint-Pétersbourg pour partir, 188. (23 décembre.) L'Empereur fait demander par Andréossy au prince Kourakine, à Vienne, un ordre pour que les forces navales russes à Corfou se réunissent aux siennes, 211. – (20 janvier 1808.) Le général Nazimof refuse de laisser passer ses troupes en revue, à Padoue et à Trévise, 275. (9 février.) Ordre au vice-roi de laisser les troupes russes libres de partir, de ne plus leur donner d'argent et de tenir compte de toutes les dépenses qui ont été faites pour elles, 310. V. ALEXANDRE, CORFOU, EUGÈNE NAPOLÉON, JOSEPH NAPOLÉON, SAVARY, etc.

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la constitution de cette compagnie, 299-300. Rapport demandé, 306. SAVARY, général, aide de camp de l'Empereur, en mission en Russie. (4 septembre 1807.) Ordre de lui ouvrir un crédit, 7. (15 septembre.) Plaintes à porter au sujet de libelles que les Russes font courir à Elbing, 30. (28 septembre.) Nouvelles de l'île de Rügen, du Portugal. Les modes demandées par les belles Russes vont lui être expédiées; l'Empereur en fera luimême le choix; 54. Il est chargé de remettre deux lettres à l'impératrice de Russie, 54. (6 octobre.) Savary a eu tort de trouver mauvaise la conduite du général Rapp envers les Prussiens, (14 octobre.) Il est blàmé d'avoir répondu trop vivement à Champagny lui recommandant l'économie. Ce qu'il doit dire de la conduite de Guilleminot en Valachie, des prisonniers russes que l'on a désarmés en France, 87-88; ne point s'avancer pour les affaires de Turquie, 89. (30 octobre.) Nouvelles. Attente de Tolstoï. Espoir d'une rupture prochaine entre l'Angleterre et

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les États-Unis d'Amérique, 125-126.

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(1er novembre.) Ordre à Champagny d'envoyer à Savary, pour le communiquer à Alexandre, le traité fait avec le Danemark, 131. L'Empereur lui annonce diverses gracieusetés qu'il vient de faire à Alexandre promesse de bien accueillir dans les ports de France les cadets de Russie; présent de 50,000 fusils des manufactures françaises; autre présent d'un hôtel le plus élégamment arrangé, pour l'ambassade russe à Paris, 132. L'Empereur donne à Savary un aperçu des affaires sur lesquelles Alexandre doit prendre un parti: la guerre à déclarer à l'Angleterre; la Suède et l'Autriche à décider contre l'Angleterre; quant à la Porte, la question est réservée par l'Empereur jusqu'au moment où Alexandre lui aura donné quelques gages de plus. Caulaincourt va être envoyé comme ambassadeur en Russie, 132-133. (7 novembre.) L'Empereur instruit Savary du prochain départ de Caulaincourt, lui écrit la conversation qu'il a eue avec Tolstoi, et lui donne différentes nouvelles, 145-147. (23 novembre.) Savary doit revenir à Paris après avoir mis au fait Caulaincourt, 175-176. (7 décembre.) Il est rappelé, 188. Blâmé de trop de vivacité à l'égard de Champagny, 188.- (20 février 1808.) Envoyé à Orléans pour presser le départ des troupes pour l'Espagne, 351.

(13 avril.) Chargé d'une mission auprès du grand-duc de Berg, 487, 497. SAVONE (Port de). Ce port est le plus commode pour correspondre avec le Pô et le Piémont il est au défaut des Alpes et des Apennins; derrière, pas de montagnes; à côté, la belle rade de Vado, 141.

SAXE (Frédéric-Auguste, roi de). (1er septembre 1807.) L'Empereur se plaint de la conduite de l'envoyé de Saxe à Constantinople, 1. (23 septembre.) Aucun pays appartenant à la Saxe n'a dû être réuni au royaume de Westphalie, 44. (22 octobre.) Le roi de Saxe est un homme de sens, " 111. (27 octobre.) Instructions à Bourgoing pour la conduite à tenir à l'égard de ce prince, qui doit être reçu par les troupes françaises avec le plus grand éclat, 121-122. (16 décembre.)

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L'Empereur espère qu'il sera satisfait des décisions prises relativement aux biens de Pologne. Compliment au sujet de l'accueil fait au Roi à Varsovie. L'évacuation du duché de Varsovie par les troupes françaises laissée à l'appréciation du Roi, 191. (4 janvier 1808.) Davout approuvé pour sa conduite à l'égard de ce prince, que l'Empereur a en grande estime, 228. SCILLA. Au pouvoir des Anglais, 17, 94, 267, 269, 279. Importance que Napoléon attache à ce que le roi Joseph s'en empare, 314, 315. Scilla pris, 390. Doit être fortifié, 457. SÉMINAIRE. V. CLERGÉ. SELIM (Sultan), 113. V. MUSTAFA, PORTE OTTOMANE.

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SEPT ILES. (12 octobre 1807.) Projet de décret d'organisation: un gouverneur général investi de toute l'autorité militaire et de l'autorité civile et diplomatique; un commissaire près le sénat des Sept Iles avec l'autorité des anciens préfets coloniaux; un payeur; un commandant de marine. Le gouvernement des Sept Iles sera tout entier dans les mains du ministère de la guerre. Ne rien innover dans l'administration intérieure, 81. (28 janvier 1808.) Ordre au général Donzelot de prendre le gouvernement général des Sept Iles, 284. V. BERTHIER (César), Corfor. SERMENT politique. (30 janvier 1808.) Le serment prêté au roi Jérôme des par conseillers d'Etat entraînerait leur exclusion du Conseil, 297. (12 mars.) Les Français ne peuvent prêter serment à un prince étranger sans cesser d'être Français; décision à signifier aux rois de Naples, de Hollande et de Westphalie, 413.

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SERURIER, premier secrétaire de la légation française en Hollande, 8. Il lui est demandé un mémoire sur les prétendus amis de l'Angleterre qui entourent, ditle roi de Hollande, 14. SERVAN, général, prévenu d'avoir abusé de papiers d'Etat pour son ouvrage intitulé: Campagnes des Français en Italie depuis Henri IV jusqu'en 1806; mesures prescrites à cette occasion, 165. SICILE (Expédition de). (12 décembre 1807.) Ordre pour la réunion des forces navales dans la Méditerranée, 189-191. (24 janvier 1808.) Avis au roi

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