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humblement dans la crainte du jugement dernier.

X SIÈCLE.- En 998, une bulle de Grégoire V excommunie Robert, successeur de Hugues Capet, coupable d'avoir épousé sans dispense Berthe sa cousine. Robert épuisa tous les moyens pour fléchir le pape: ce fut inutilement; il fut obligé de céder et de répudier Berthe en 999.

XI SIÈCLE. - Le onzième siècle nous offre plusieurs bulles remarquables, qui sont autant de monuments des efforts continuels des papes pour établir leur suprématie sur celle des rois.

En 1058, une bulle de Nicolas II relève les Normands établis en Italie des excommunications lancées contre eux par ses prédécesseurs, et leur assure la possession de la Pouille et de la Calabre.

En 1075, bulle de Grégoire VII qui défend aux prélats nouvellement élus de recevoir l'investiture des princes séculiers. C'est cette bulle qui fut l'origine de la fameuse querelle des investitures.

En 1095, deux bulles du pape Urbain, dont l'une excommunie Philippe Ier, pour avoir répudié sa feinme Berthe, afin d'épouser Bertrade, femme du comte d'Anjou, excommunication qui ne fut levée qu'en 1104 par le pape Pascal. Par l'autre bulle, donnée, comme la première, au concile de Clermont, Urbain II publia la première croisade, promettant indulgence plénière à quiconque se dévouerait à la délivrance de la terre sainte.

XII SIÈCLE. 1er février 1120, bulle du pape Calixte II, par laquelle il accorde à l'église de Vienne en France la primatie sur sept provinces.

1141.-Bulle d'Innocent II, qui met en interdit le royaume de France, au sujet de l'élection d'un archevêque de Bourges.

XIII SIÈCLE. 1200.-Bulle d'Innocent III, par laquelle le royaume de France est de nouveau mis en interdit, à cause du divorce de Philippe-Auguste avec la reine Ineburge.

Par une bulle datée de 1246, Innocent IV publie une croisade contre

Frédéric II d'Allemagne, qui chasse le pape d'Italie et le force à se réfugier en France, asile ordinaire des papes persécutés.

Pendant le long séjour qu'il fit à Lyon, ce pape avait jugé à propos de restreindre les priviléges des ordres mendiants. Non-seulement Alexandre IV, son successeur, les leur rendit avec usure par une bulle du 22 décembre 1254, mais il prit chaudement leur défense contre l'université de Paris; et, par une autre bulle de 1256, il condamna le livre de Guillaume de Saint-Amour, intitulé des Périls des derniers temps, dans lequel ces priviléges étaient attaqués.

En 1263, bulle de Urbain IV, qui met le roi de Naples, Mainfroi, au ban de la chrétienté. Charles, comte d'Anjou, chargé par le pape de mettre la bulle à exécution, s'empare du royaume de Naples, et en reçoit l'investiture solennelle par une bulle de Clément IV, du 26 février 1265.

En 1266, autre bulle de Clément, par laquelle il décide que la disposition de tous les bénéfices appartient au pape; de manière qu'il a non-seulement le pouvoir de les conférer lorsqu'ils deviennent vacants, mais encore celui de les assurer à qui bon lui semble, avant qu'ils viennent à vaquer. C'est ce qu'on appelle Réserves expec tatives. Ce fut en partie pour réprimer une prétention aussi exorbitante que saint Louis donna sa Pragmatique sanction.

Bulles particulières accordées par les papes à saint Louis. — Le véritable caractère de saint Louis a été longtemps mal compris dans l'histoire; on ne connaissait guère que le saint Louis de Joinville; et encore aujourd'hui, on le représente trop souvent tel qu'il nous apparaît dans son naif historien; on est trop porté à ne voir en lui qu'une âme pieuse et timorée dans tout ce qui touche à la religion et à la conscience. Mais quand on examine de plus près les faits de son règne et le caractère de ses actes, on est frappé de sa conduite ferme et soutenue,

surtout sur un point où quelque faiblesse eût pu paraître excusable de la part d'un homme qui passa pour un saint au milieu même de la ferveur religieuse de son siècle. Il a déployé dans ses rapports avec le saint-siége une fermeté sans roideur et sans emportement, qui sut contenir et même réprimer au besoin les prétentions exagérées des papes. Ce qu'il y a surtout de remarquable dans cette politique, c'est une modération, une loyauté qui cédait dans les limites du droit et de l'équité, mais sans jamais reculer au delà; et cependant cette loyauté pourrait être qualifiée d'habile, en présence des résultats qu'elle obtint. L'influence personnelle de saint Louis sur les papes fut immense, et on n'en saurait établir de preuve plus évidente que celle qui ressort de la simple nomenclature des bulles particulières qui conféraient à saint Louis des priviléges qu'on peut dire personnels, puisque tous sont accordés à lui-même, à son épouse, à ses successeurs, à ses gens, à ses chapelles, ou aux terres de son domaine. Quelque nombreuses que soient ces bulles, leur nombre seul est trop significatif pour que nous ne les rapportions pas toutes.

1236, 13 novembre, bulle de Grégoire IX, qui défend à qui que ce soit de lancer sentence d'interdit sur les chapelles du roi, sans une permission spéciale du saint-siége.

1243, 5 décembre, bulle d'Innocent IV, qui permet à saint Louis de se choisir un de ses chapelains pour confesseur, et à ce confesseur d'absoudre le roi de tous crimes et de toutes excommunications, excepté de celles qui seraient fulminées par le saint-siége, ou pour des crimes si énormes que l'absolution dût en être réservée au pouvoir pontifical.

-14 décembre, bulle qui accorde à saint Louis que fui et ses chapelains, clercs, jurés et officiers, ne pourront encourir l'excommunication majeure, ni même l'interdit, en fréquentant des excommuniés.

15 décembre, bulle qui défend de `fulminer excommunication ou interdit

sur les terres du roi ou de ses succes

seurs.

Alexandre IV, successeur d'Innocent, occupé à soutenir la guerre que son prédécesseur avait déclarée à Mainfroi, fils de Frédéric II, et craignant que saint Louis ne se prononçât contre lui, se montra prodigue de bulles favorables pour se le concilier.

1254, 15 avril, bulle qui permet à saint Louis de prendre pour confesseur tel prêtre régulier ou séculier qui lui conviendra.

-25 avril, bulle qui défend d'excommunier ou d'interdire saint Louis, la reine son épouse, et leurs successeurs.

Autre bulle de la même date qui accorde cent jours d'indulgence à saint Louis et à la reine son épouse, chaque fois qu'ils entendront le sermon.

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22 septembre, bulle qui donne à saint Louis et à sa maison le privilége de ne pouvoir être excommuniés en fréquentant des criminels obstinés dans leurs erreurs.

-1er octobre, bulle qui renouvelle la défense contenue dans la bulle de Grégoire IX, du 14 décembre 1243.

10 octobre, bulle qui déclare que saint Louis ni ses successeurs ne pourront encourir sentence d'excommunication pour avoir fréquenté les excommuniés.

-4 décembre, bulle qui permet au roi de se faire accompagner par les jacobins et les cordeliers de sa suite, dans quelque couvent que ce puisse être.

1255, 20 octobre, bulle par laquelle le pape, à la prière de saint Louis, accorde aux sergents et officiers de ce prince la permission de se confesser aux frères prêcheurs et mineurs qui seront auprès du roi.

1256, 20 avril, bulle qui permet aux religieux qui seront au service de saint Louis de célébrer l'office divin suivant l'usage de sa chapelle.

1257, 11 avril, bulle qui déclare que les aumônes que saint Louis fera aux pauvres lui tiendront lieu des restitutions qu'il croyait être obligé de faire pour lui et les rois ses prédécesseurs. 13 avril, bulle qui statue sur le même objet que la précédente, avec

cette clause nouvelle que le roi pourra disposer des restitutions en faveur des églises.

1258, 22 février, bulle qui permet à saint Louis d'entrer avec une compagnie honnête et décente dans l'abbaye de la princesse Isabelle sa sœur. Même faveur est accordée à la princesse fille du roi, qui peut y demeurer avec cinq autres femmes modestes et sages.

1259, 2 janvier, bulle qui renouvelle les dispositions contenues dans celle du 22 avril 1256.

12 janvier, bulle qui déclare que saint Louis ne sera point excommunié pour tenir prisonniers les clercs coupables de meurtre, de vol et d'autres crimes de cette nature.

Autre bulle de la même date, portant que les excommunications ou interdits conçus en termes généraux ne s'étendent ni au roi ni à ses successeurs, à moins qu'il n'en soit fait mention expresse.

20 mars, bulle qui accorde au confesseur que saint Louis pouvait se choisir, la permission de donner à ce prince des pénitences pour son absolution.

- 31 mars, bulle qui défend à tous archevêques et autres prélats de fulminer aucune sentence d'excommunication ou d'interdit sur les terres de saint Louis sans un ordre spécial du saint-siége.

Urbain IV, successeur d'Alexandre IV, ne resta pas en arrière de ses prédécesseurs, et accorda à saint Louis plusieurs bulles assez importantes.

1261, 21 novembre, bulle qui donne à saint Louis et à la reine son épouse un an et quarante jours d'indulgence toutes les fois qu'ils assisteront à la dédicace d'une église, et en leur faveur étend cette grâce à tous les autres auditeurs.

5 décembre, bulle qui confirme les priviléges accordés à saint Louis par le saint-siége.

21 décembre bulle qui confirme celle d'Alexandre IV, du 25 avril 1254. Même date, bulle adressée à l'abbé de Saint-Denis, auquel le pape ordonne d'excommunier ceux qui troubleraient

le roi dans la jouissance des priviléges que le saint-siége lui a accordés.

Clément IV, successeur d'Urbain, donna aussi quelques bulles à saint Louis.

1265, 20 avril, bulle qui renouvelle celle d'Alexandre IV, du 12 janvier 1259, et ajoute que les sentences d'excommunication n'auront pas lieu contre ceux qui les auraient encourues en exécutant les ordres du roi.

29 avril, bulle qui permet au confesseur de saint Louis de l'absoudre de tous cas, de le relever de tous vœux, hormis de celui du voyage d'outre-mer.

1er mai, bulle qui renouvelle celle du 21 décembre 1261.

Autre bulle de la même date, confirmant les priviléges et indulgences accordés à saint Louis, mais déclarant que les bulles qui portent défense d'excommunier le roi et de mettre l'interdit sur ses terres ne doivent s'entendre que par rapport au seul domaine du roi, et non pas relativement au royaume de France.

4 mai, bulle portant que les clercs de la maison du roi ne pourront être contraints d'accepter les commissions dont le pape où les légats les voudraient charger.

1266, 13 mars, bulle renouvelant celle du 15 décembre 1243, qui défend d'interdire les terres du roi.

En 1282, deux bulles du pape Martin IV, l'une du 7 mai, contre les habitants de Palerme, à cause des Vêpres siciliennes; l'autre du 18 novembre, contre Pierre d'Aragon, instigateur de ce massacre, à la faveur duquel il s'était emparé du royaume de Sicile.

Nous arrivons à la fameuse bulle Clericis laicos, donnée, en 1296, par le pape Boniface VIII, et qui fut la première cause des querelles de ce pape avec Philippe le Bel. Mais, l'année suivante, sur les représentations de Pierre Barbet, archevêque de Reims, Boniface VIII remédia au scandale de cette bulle, par une autre qui l'expliquait.

1297, 2 août, bulle qui proclame la canonisation de saint Louis. Cette bulle de Boniface est regardée comme un chef-d'œuvre du genre.

Le même pape, choisi par les rois de France et d'Angleterre, Philippe le Bel et Édouard Ier, pour arbitre de leurs querelles, rendit, le 28 juin 1298, son jugement en plein consistoire, devant une grande foule, que l'éclat de cette cause avait attirée au Vatican. Le 30 juin, ce jugement fut expédié en forme de bulle. C'est cette bulle qui, suivant une version contestée et que nous croyons contestable, aurait provoqué en France une telle indignation, que le comte d'Artois l'aurait arrachée des mains du prélat chargé de la lire et mise en pièces.

XIVe siècle. 1301, 5 décembre. La bulle Ausculta fili, par laquelle s'ouvre le quatorzième siècle, non moins célèbre que la bulle Clericis laicos, continua ce que celle-ci avait commencé. Philippe le Bel répondit à Boniface VIII en faisant brûler la bulle à Paris, et publier cette exécution à son de trompe par toute la ville, le dimanche 11 février 1302. Le pape convoqua un concile qui se tint à Rome la même année, et d'où sortit la fameuse décrétale Unam sanctam. Philippe le Bel, de son côté, assembla les états généraux, qui rejetèrent, avec des termes de mépris, les prétentions de cette bulle, que Benoît XI, successeur de Boniface VIII, se hâta de révoquer.

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La bulle Unam sanctam fut rapportée plus solennellement par deux bulles de Clément V, datées du 1er février 1307.- Par une autre bulle du 20 du même mois, ce pape révoqua les commendes, et, par une bulle du mois d'août 1308, il convoqua à Vienne un concile général, où fut publiée la suppression des Templiers.

1317, bulle de Jean XXII, par laqueile Toulouse est érigée en archevêché.

1399, bulle de Boniface IX, qui établit les annates sur les bénéfices et les prélatures.

xve siècle. — 1408, 14 mai, bulle de

Benoît XIII, adressée au roi de France, Charles VI. Cette bulle parut si offensante que le maréchal de Boucicaut reçut du roi l'ordre d'arrêter Benoît, qui était alors dans Avignon, et qui se hâta d'aller chercher un asile en Catalogne.

1460, 18 janvier, bulle de Pie II, dite Execrabilis, qui proscrivait, sous les peines les plus sévères, les appels aux futurs conciles, ce qui n'empêcha pas Dauvet, procureur général au parlement de Paris, d'appeler de cette même bulle au futur concile général par ordre de Charles VII. Les expressions dont le pape s'était servi en parlant de la pragmatique sanction furent le motif et l'objet de cet appel. Mais l'année suivante, le même pape fut assez adroit pour obtenir de Louis XI l'abrogation de la pragmatique sanction, malgré le parlement et l'université de Paris, qui protestèrent hautement contre la surprise faite au roi en cette occasion.

En 1487, bulle d'Innocent VII qui défend, sous peine d'excommunication, la lecture des fameuses thèses de Jean Pic de la Mirandole. C'est ce pape qui introduisit dans ses bulles les clauses motus proprii et motu proprio, qui n'ont jamais été admises en France.

En 1498, bulle d'Alexandre VI qui prononce la dissolution du mariage de Louis XII avec la reine Jeanne. César Borgia, fils du pape, qui vint apporter cette bulle au roi de France, reçut en récompense le duché de Valentinois.

XVIe siècle. - 1509, 2 mars, bulle de Jules II, portant ratification de la ligue de Cambrai.

1512,21 juillet, bulle du même pape, par laquelle il excommunie le roi de France, met son royaume en interdit, et délie ses sujets du serment de fidélité.

1520, 15 juin, bulle de Léon X contre les doctrines de Luther. C'est la bulle connue sous le nom de Exsurge Domine. On sait de quelle manière elle fut reçue à Wittemberg. Par une seconde bulle du 3 janvier

1521, Léon X frappa d'anathème Luther et ses partisans. Par un décret du 15 avril 1521, la faculté de théologie de Paris joignit son anathème à celui du pape.

1572,8 novembre, deux bulles du pape Grégoire XIII, dont l'une absout Henri de Navarre, depuis Henri IV, à l'occasion de sa conversion forcée au catholicisme, après la SaintBarthélemy, et l'autre lui accorde les dispenses nécessaires pour son mariage avec Marguerite de Valois, sœur de Charles IX, et sa parente au troisième degré (*).

1582, 14 février, bulle du même pape, ordonnant l'adoption dans tous les États chrétiens du nouveau calendrier dressé par Louis Lilio, médecin véronais, et qui prit le nom de calendrier Grégorien.

1585, 9 septembre, bulle de Sixte V contre le roi de Navarre et le prince de Condé, chefs du parti calviniste en France, qui, malgré leur première abjuration, étaient retournés a la religion réformée. Les termes de cette bulle provoquèrent d'énergiques remontrances du parlement au roi. De leur côté, les deux princes excommuniés répondirent par une protestation qu'ils trouvèrent moyen de faire afficher aux portes mêmes du Vatican.

En 1591, Grégoire XIV, qui, sous l'influence de l'Espagne, s'était déclaré hautement pour la ligue contre Henri IV, envoya en France un nonce chargé d'une bulle monitoire contre le parti du roi. Les évêques de France, assemblés à Chartres, donnèrent, le 20 septembre, un mandement dans lequel ils déclarèrent les bulles du pape Grégoire XIV nulles dans le fond et dans la forme, injustes, données à la sollicitation des ennemis de la France, et incapables de lier ni les

(*) « Ces deux bulles assez importantes ne sont cependant imprimées nulle part, et paraissent mème n'avoir jamais été connues textuellement. Elles se trouvent au cabinet des chartes de la bibliothèque royale. » A. TEULET, Dictionnaire de la conversation, art. BULLES.

évêques ni les autres catholiques francais.

1598, 17 septembre, bulle d'absolution accordée à Henri IV par le pape Clément VIII, pour sa dernière et définitive abjuration.

Autre bulle de la même année, portant évocation à Rome des différends qui s'étaient élevés entre les dominicains et les jésuites sur les matières de la grâce. Cette bulle donna lieu aux célèbres congrégations ou conférences dites de Auxiliis, dans lesquelles Henri IV, récemment réconcilié avec les jésuites, poursuivait sur un terrain neutre sa lutte contre l'Espagne en se déclarant pour les jésuites, dont le cardinal du Perron soutint chaudement la cause contre les dominicains, soutenus non moins vivement par l'Espagne.

XVIIe siècle.-1611, 8 mars, bulle de Paul V qui approuve l'établissement de la célèbre congrégation de l'Oratoire de France, et nomme au généralat le cardinal Pierre de Bérulle.

1622, 5 septembre, bulle de Grégoire V qui, à la prière de Louis XIII, érige le siége de Paris en métropole, et nomme Jean-François de Gondi premier archevêque de cette ville.

1645, 4 décembre, bulle d'Innocent X portant défense aux cardinaux de sortir des États de l'Église sans permission, et ordre à ceux qui en étaient sortis de revenir dans les six mois. Le parlement de Paris déclara cette bulle nulle et abusive. Le cardinal Mazarin défendit d'envoyer de l'argent à Rome, et le pape fut obligé de céder.

1653, 30 mai, bulle dite Cum occasione contre les cinq fameuses propositions de Jansénius. Cette bulle fut publiée après plus de deux ans d'examen du livre de l'évêque d'Ypres, et quarante-cinq à cinquante congrégations tenues devant le pape ou les cardinaux réunis en commission. C'était un jésuite nommé Cornet qui avait prétendu réduire le livre de Jansénius aux cinq propositions condamnées par la bulle de 1653. Mais alors

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