Histoire de la campagne de 1814, et de la restauration de la monarchie française: Avec des pièces justificatives, Band 2Le Normant, 1815 - 644 Seiten |
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... heures l'aspect des colonnes d'attaque et la canonnade annoncèrent aux habitans qu'ils étoient assiégés , l ... heure les flammes se propagèrent avec tant de furie , que les trains ne purent avancer assez près pour battre en brèche ...
... heures l'aspect des colonnes d'attaque et la canonnade annoncèrent aux habitans qu'ils étoient assiégés , l ... heure les flammes se propagèrent avec tant de furie , que les trains ne purent avancer assez près pour battre en brèche ...
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... heures , afin d'épargner la ville ; le général autrichien manifesta en même temps , de la part de l'empereur François , le plus vif désir d'un prompt rapprochement . Napoléon promit qu'il n'entreroit à Troyes qu'à midi ; mais à peine l ...
... heures , afin d'épargner la ville ; le général autrichien manifesta en même temps , de la part de l'empereur François , le plus vif désir d'un prompt rapprochement . Napoléon promit qu'il n'entreroit à Troyes qu'à midi ; mais à peine l ...
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... heures : ses yeux respiroient la vengeance . Il étoit encore à cheval lorsqu'apercevant un commissaire de police en costume , il lui adresse ces paroles menaçantes : « Il y a ici cinq personnes qui » ont pris la croix de Saint - Louis ...
... heures : ses yeux respiroient la vengeance . Il étoit encore à cheval lorsqu'apercevant un commissaire de police en costume , il lui adresse ces paroles menaçantes : « Il y a ici cinq personnes qui » ont pris la croix de Saint - Louis ...
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... heure , comme je » viens d'en donner l'ordre pour Gouault . >> >> Il étoit onze heures , et cet infortuné sor- toit de l'Hôtel - de - Ville , escorté par des gen- darmes , portant atta ché à son dos et à sa poitrine , un écriteau en ...
... heure , comme je » viens d'en donner l'ordre pour Gouault . >> >> Il étoit onze heures , et cet infortuné sor- toit de l'Hôtel - de - Ville , escorté par des gen- darmes , portant atta ché à son dos et à sa poitrine , un écriteau en ...
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... heures au pillage et à la fureur brutale du soldat . Le général Lon- champ , trois colonels , douze à quinze cents hommes mettent bas les armes , et toute l'artil- lerie tombe au pouvoir des vainqueurs . Mais les Russes , qui déja se ...
... heures au pillage et à la fureur brutale du soldat . Le général Lon- champ , trois colonels , douze à quinze cents hommes mettent bas les armes , et toute l'artil- lerie tombe au pouvoir des vainqueurs . Mais les Russes , qui déja se ...
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