Abbildungen der Seite
PDF
EPUB

les passions, les préjugés, la puissance, la philosophie; et le monde les tue. mais se convertit; c'est tout naturel.

» Et le christianisme, la morale la plus austère et la plus pure, les dogmes les plus incompréhensibles, l'autorité la plus inflexible, le christianisme s'établit sur les ruines des voluptés, des délices et des politiques païennes, à la voix des bateliers galiléens, Et c'est l'histoire.

Pas de miracles; soit. Et le monde changé de la sorte sans miracles, seulement par celle manière d'humanité et de nature de pêcheurs de poissons devenus pêcheurs d'hommes avec la mission de leur maître; sans miracles, sans acte divin de puissance et d'intervention visible. Vous le croirez ainsi.

enfin que toutes vos impossibilités amoncelées font précisément la gloire du christianisme? Entassez montagnes sur mon tagnes; soyez géans pour les mouvoir et les lancer contre la foi; je vous seconderai, je répéterai : oui, le christianisme est impossible; il ne doit pas régner.... Et il s'est propagé, et il a vaincu les esprits et les cœurs rebelles ; il a régné, il règne encore. Contre lui vous pourrez bien vous élever, atteindre les nues, vous y perdre ; vous n'atteindrez pas les cieux qui le couvrent et le protégent. Mais, prenez garde, dans les nues on trouve la foudre qui frappe et qui renverse.

. Faites la guerre encore. Déclarez le surnaturel chimère, le miracle folie, les mystères fanatisme ou sottise; marquez,

» Mais c'est pour moi le plus incohé-marquez nos fronts du fer de vos dédains rent prodige, miracle, le plus absurde et de vos savantes flétrissures; nos fronts mystère; le monde chrétien sans miracles; sont prêts comme nos cœurs; aussi bien le monde païen fait chrétien sans mira- il y a des cicatrices qui valent mieux cles, de par des pêcheurs de Galilée. qu'une couronne !... Saint Augustin avoit raison: cela seul suffit à la divinité de la foi, et prouve plus que les miracles.

Vous retranchez le miracle de l'établissement du christianisme, alors vous amoncelez sur vous l'impossible, l'inexplicable, le faux évident, le démenti donné à toutes les proportions de la nature et de l'humanité.

» Vous aimez mieux dévorer cette forêt d'invraisemblance. Soyez rationnels, logiques. Reportez-vous aux temps. aux lieux, aux hommes et aux choses d'alors. Vous direz avec un récent el courageux historien des Césars: Pour moi il est démontré que le christianisme ne pouvoit pas, ne devoit pas commencer.»

Admettez les miracles, tout s'explique; Dieu seul peut réaliser ce qui est impossible à l'homme; vous le voyez à froid et de sens rassis; il n'y a à la lettre de raisonnable, de rationnel, de logique, que les mystères, le surnaturel, les miracles, l'autorité souveraine dans la foi.

» Ici, je ne crains pas un démenti, dans cet immense auditoire, plus d'un front glorieux, marqué aussi par la science et le génie, plus d'un jeune cœur désigné d'avance à tous les triomphes de l'avenir, se sont présentés aux stigmates de la foi, les ont reçus, les portent et les porteront toujours devant les nations, pour mieux faire éclater à leurs regards, avec les divines splendeurs de la vérité, tous les bienfaits de la vertu. »

H.

[ocr errors]

NOUVELLES ECCLÉSIASTIQUES. ROME. Parmi les orateurs qui le Carême dans les différenprêchent tes églises de cette capitale, on rèmarque M. Louis Picard, chanoine de Rouen, qui prêche en français à Saint-Louis des Français tous les dimanches et fêtes.

M. le cardinal Macchi, légat de séjour à Paris comme nonce, Bologne, qui, dans le temps de son avoit connu particulièrement M. l'Archevêque, n'a pas été plus tôt instruit de Péroraison, —• Et ne voyez-vous pas sa mort qu'il a fait célébrer un ser

vice pour le prélat. Ce pieux tribut, payé de si loin à sa mémoire, honore à la fois et celui qui lui donne cette marque de souvenir, et celui qui en est l'objet.

PARIS.-M. l'évêque d'Alger est arrivé la semaine dernière à Paris avec M. l'abbé Suchet, son grandvicaire. Le prélat venoit présenter au gouvernement des réclamations sur divers points dans l'intérêt de son diocèse. Il paroît qu'il demandoit une augmentation de prêtres pour les besoins de la colonie. Il sollicitoit la conservation d'une chapelle à Constantine, chapelle que le génie militaire vouloit abattre. Nous apprenons que les représentations du prélat ont été favorablement accueillies. Son zèle, son désintéressement et sa charité ne pouvoient en effet que plaider fortement en sa faveur. On sait bien qu'il n'a en vue que le plus grand avantage de la religion et la prospérité d'une colonie où tout est à faire.

[ocr errors]

par

La seconde édition de la Vie de M. de Quelen, Archevêque de Paris, M. Henrion, vient d'être livrée au public (1). Il est dit sur le frontispice qu'elle a été revue, corrigée et considérablement augmentée. Cette annonce trop souvent trompeuse est ici d'une parfaite exactitude. La première édition n'avoit que 337 pages; celle-ci en a 577, sans compter une vingtaine de pages de l'Avertissement. L'auteur a recueilli un grand nombre de faits nouveaux, il en a rectifié d'autrés. Il a interrogé avec soin la famille, les amis, les coopérateurs de l'illustre prélat, et il en a obtenu des communications précieuses, tantôt des anecdotes authentiques, tantôt surtout des pièces, des lettres qui expliquent différens faits, et qui jettent un nouveau jour sur des circon

(1) Un volume in-8°. Prix: 6 fr. Au bureau de l'Ami de la Religion.

stances de la vie de M. l'Archevêque. M. Henrion n'a rien omis de ce qui se rattachoit à son sujet ; il a apporté à ce travail un zèle, une exactitude et une conscience trop rares aujourd'hui dans ceux même qui écrivent sur l'histoire. On ne lui reprochera ni exagérations ni détails minutieux. Sa Vie, aussi sûre que complète, donne une juste idée du caractère élevé de M. l'Archevêque, de ses vertus aimables, de sa douceur, de sa piété, de son tact, de l'esprit qui a dirigé son administration. On y cite des extraits de ses discours, de ses lettres, de son testament. Il y a là beaucoup de choses tout-à-fait nouvelles et intéressantes.

Nous reviendrons sur cette Vie, mais nous n'avons pas voulu différer de faire part de l'impression qu'elle a produite sur nous, et qui, nous le croyons, sera partagée par tous les bons esprits.

L'instruction pastorale et mandement de M. l'évêque de Verdun, pour le Carême, est une production fort remarquable et tout-à-fait à propos dans le temps actuel. Elle a pour but de réveiller dans les esprits et dans les cœurs les sentimens sans lesquels le sacerdoce ne peut exercer sur la société une action salutaire :

« A Dieu ne plaise que nous fassions à notre diocèse l'injure de croire, ou que nous induisions à penser que les ministres de la religion n'y rencontrent qu'op position et hostilité, et leur ministère qu'insouciance et que dédain. C'est au contraire pour nous une véritable consolation de reconnoître et de publier que, dans le plus grand nombre des paroisses, la personne du prêtre est honorée, et son ministère respecté. Nous pouvons même ajouter que, dans presque toutes, sa vie s'écouleroit tranquille, s'il n'étoit établi cher et pour planter, et si la conscience pour édifier et pour détruire, pour arralui permettoit de se montrer insensible à l'offense de Dieu et à la perte des ames.

présenter l'affliction et les besoins d'une paroisse privée des bienfaits du culte divin. Mais, souffrez que nous vous rappelions ici qu'il est bien rare qu'au milieu des désirs et des regrets, dont vous nous

Mais comme il n'est placé au milieu des fidèles que pour les sanctifier et les conduire à la patrie céleste, quel que soit l'attachement ou le respect qu'on lui témoigne, la violation de la loi sainte, l'abandon des devoirs du christianisme ré-faites connoître l'expression. nous troupandent l'amertume sur ses plus doux momens et sur ses plus chères occupations. Comprenez donc bien que dans les justes réclamations que nous vous adressons ici, ce n'est pas de l'homme qu'il s'agit, mais du prêtre, ni de ses qualités personnelles, mais du caractère dont il est revêtu, ni par conséquent de la déférence et des égards que peuvent mériter ses talens ou ses vertus, mais des sentimens et de la conduite que prescrit à votre foi la divine mission qu'il remplit au milieu de vous, mais du respect et de l'af. fection que les vrais chrétiens doivent à celui qui est, selon l'expression de l'apôtre; l'homme de Dicu auprès des fidèles, et l'homme des fidèles aupres de Dieu. »

vions celle de vos alarmes et de vos besoins personnels. C'est l'intérêt de la jeunesse et de l'enfance, nous dites vous, qui vous amènent auprès de nous; vous craignez que, privées du guide indulgent et sage qui les dirigeoit dans le sentier de la vertu, elles ne s'éloignent bientôt, et qu'entraînées par les mauvais exemples, elles ne démentent les heureuses espérances qu'avoient fait concevoir leur innocence et leur sagesse. Ce sont, nous diles-vous encore, les instances de vos épouses ou de vos mères qui vous ont déterminés à venir solliciter l'envoi ou la conservation d'un pasteur. Son absence, d'ailleurs, répand la tristesse et le deuil sur les plus belles solennités; et trop souvent le libertinage s'en autorise pour troubler la paix des familles et déshonorer le pays par des excès. Justes alarmes sans doute, bien légitimes motifs d'afflic tion et de crainte pour des administrateurs sages et des magistrats éclairés et amis du bon ordre, et que nous parta. geons bien sincèrement !

Ces derniers mots indiquent la division du sujet que traite le prélat. Il compare les prêtres à ceux qui sont appelés hommes de Dieu dans l'Ecriture, à Moïse, à Samuel, à Elie, et montre les rapports qu'ils ont par leurs fonctions avec ces saints personnages. Ces comparaisons et ces rapports ne sont point arbitraires et Mais enfin, les pasteurs ne sont-ils donc sont fondés sur les paroles même et envoyés que vers la jeunesse et l'enfance? les promesses du Sauveur. M. l'évê- L'âge mûr et la vieillesse n'ont-ils rien à que rappelle briévement ces paroles, demander à leur ministère? Si la piété et demande si le prêtre qui vient de vos épouses et de vos mères gémit si exercer le ministère dans une pa-amèrement de leur absence, si les nuages roisse y est reçu comme l'homme de qui obscurcissent l'esprit de l'homme, Dieu, et si sa voix est écoutée comme quand la lumière de la foi n'y pénètre celle de Dieu. Ici le prélat cite un plus, les orages qui grondent dans un fait qui se reproduit assez souvent : cœur bouleversé par les passions, ne font-ils pas sentir à leurs époux et à leurs fils le besoin de sa présence? Comme cet officier dont il est parlé au livre des Actes, ne rencontrez-vous pas dans le livre de la loi des passages difficiles, dont le ministre sacré peut seul vous donner l'explication? Hélas! peut-être seroit il obligé de vous ramener aux premiers élémens de la doctrine chrétienne, presque entiè

Il est vrai que, lorsque les pertes multipliées nous contraignent de prolonger la viduité d'une paroisse, ou d'enlever à à une foible population un pasteur que réclame un peuple nombreux devenu orphelin et comme déshérité de tous les avantages spirituels, vous venez, quelquefois de bien loin, et avec un accent qui ya toujours droit à notre cœur, nous re

rement effacés de votre mémoire? Etesvous si bien affermis dans les sentiers de la justice, que la main charitable d'un Ananie ne soit pas nécessaire à votre foiblesse, pour diriger vos pas, ou pour vous relever de vos chutes? Cette manne céleste que le prêtre distribue à la table eucharistique, aussi bien que celle qui tombe de la chaire évangélique, n'est-elle pas destinée à nourrir votre ame, et quel que soit votre âge ou votre condition, à vous faire croître pour le salut? Nous voici maintenant devant vous, pour entendre ce que le Seigneur vous a ordonné de nous faire connoître, disoient à saint Pierre le centurion Corneille et les personnes qui l'environnoient. Voilà les dispositions de foi et de docilité qui doivent vous animer, lorsqu'un prêtre arrive au milieu de vous pour travailler à votre sanctification! Voilà la seule, réception qui* poisse réjouir un cœur sacerdotal: voilà l'esprit et les sentimens avec lesquels

vous devez recevoir l'homme de Dieu.
N'a-t-on pas
lieu de s'étonner de
l'indifférence et de l'apathie avec
lesquelles des portions trop consi-
dérables du troupeau accueillent
les pasteurs qu'on leur envoie, sur-
tout quand on compare cette froi-
deur avec le zèle et la ferveur que
rencontrent les courageux mission-
naires appelés à prêcher l'Evangile
dans des régions lointaines?

siastiques, les séminaires et les religieuses. Il leur permet seulement l'usage du lait et du beurre à la collation. Il recommande instamment l'œuvre de la Propagation de la Foi, et se félicite que par le zèle des curés le nombre des décuries ait presque doublé.

Dans un avis qui suit le mandement, M. l'évêque annonce qu'il a obtenu du Saint-Siége que les fêtes de l'Annonciation, de la Présentation de Notre-Seigneur au teinple, de la Conception et de la Nativité de la sainte Vierge seront à l'avenir célébrées les dimanches qui les suivront, et qu'à la préface de la Conception on diroit: Et te in immaculatá....

M. l'évêque de Digne a fait le 14 son entrée solennelle dans sa ville episcopale. Un pavillon bien décoré avoit été construit à l'endroit où le prélat devoit descendre pour revêtir les habits pontificaux. Plus de 100 prêtres, réunis de tous les points du diocèse, y attendoient leur nouveau chef, et une foule considérable se pressoit à l'entour, en habits de fète.

A son arrivée, M. Sibour a été complimenté par M. le curé de Digne. La procession s'est ensuite mise en marche, en traversant des rues ornées de tentures, d'arcs-de-triomLa seconde partie de l'instruction phe et de guirlandes de buis. A la pastorale considère les prêtres comme porte de la cathédrale, M. l'évêque a les hommes des fidèles auprès de été de nouveau harangué par M. le Dieu; en effet, dit-elle, ils sont mé- grand-vicaire Bondil; puis, il est diateurs, sacrificateurs et réconcilia- Inonté en chaire, et a exprimé aux teurs. Le prélat explique dans quel fideles avec beaucoup de bonheur, sens le prêtre peut être appelé iné- combien il étoit pénétré d'un tel acdiateur. Nous regrettons de ne pou-cueil. Conduit de là processionnellevoir citer ce qu'il dit de touchant et d'élevé sur le ministère du prêtre considéré comme sacrificateur et réconciliateur. Rien n'est plus propre à concilier aux pasteurs le respect et la confiance de leurs ouailles.

Le prélat déclare qu'il excepte de la permission de faire gras les ecclé

ment à son palais, le prélat y étoit attendu par M. le maire de Digne et ses adjoints; le premier magistrat lui a adressé un discours plein de

convenance.

L'octave annuellement célébrée dans l'église de Saint-Théodore, à

[ocr errors]

Marseille, en expiation du vol sacrilége de 1830, a commencé le dimanche 15 de ce mois. M. l'évêque a célébré la messe et donné la communion à un très-grand nombre de fidèles. A l'office de l'après-midi, l'affluence s'est trouvée telle, que la procession qui faisoit le tour entier de l'église rentroit déjà dans le sanctuaire avant que le prélat officiant eût pris le saint Sacrement pour se mettre en marche.

étre le but de sa continuelle sollicitude, que ses ouailles s'aiment les uns les autres; et lors même qu'il exerceroit ses fonctions, sans oublier les devoirs qu'elles lui imposent, ni sortir des limites qu'elles lui tracent, s'il ne remplit pas cette mission, s'il n'atteint pas ce but, il n'est point un vrai pasteur.

les cu

Voilà sans doute une décision bien sévère. Quoi! si un curé ne réussit pas à maintenir la paix dans sa paroisse, c'est nécessairement sa faute! Le matin, M. l'évêque avoit consa-11 est responsable des passions et des cré un magnifique ciboire offert à préventions de ses paroissiens! C'est l'église de Saint-Théodore en coin-lui qui a tort s'ils ne l'écoutent pas, mémoration du sacrilege. Ce vase, s'ils sont sourds à ses remontrances! travaillé tout entier au marteau par Et comment voulez-vous que l'habile auteur de la vierge d'argent, rés aient tant d'empire sur les ouailM. Chanuel, porte sur sa base trois les, quand vous faites tout ce que écussons en relief. L'un représente la vous pouvez pour leur ô er toute façade de l'église Saint-Théodore et influence, quand vous les dénigrez le voleur fuyant avec le saint ci- à plaisir, quand vous les accusez boire, tandis que la foudre du ciel à faux, quand vous les tournez en éclate sur sa tète; le second of- ridicule? Etrange préoccupation des fre l'autel où le sacrilége fut com- ennemis du clergé; ils font tout ce mis; le troisième, la procession qui est en eux pour rendre son miexpiatoire. La coupe, ornée d'épis de nistère inefficace, et ils lui reprochent blé, de pampres et de grappes de raisin du plus beau travail, porte trois têtes en pleine saillie, et qui semblent à peine tenir au inétal par leur extrémité; elles représentent Notre-Seigneur, la Vierge et saint Théodore. On ne peut se faire une idée de l'admirable beauté de dessin qui caractérisent ces têtes, ni de la perfection des détails.

(Gazette du Midi.)

ensuite cette inefficacité même.

L'article du Glaneur a donné lieu

à Quelques Réflexions d'un électeur campagnard, ami de la religion et de l'ordre. L'auteur se plaint avec raison des attaques continuelles de la presse contre le clergé. Un curé, dans sa paroisse, a nécessairement contre lui ceux qui ne pratiquent pas la religion, les libertins, les impies. Ces gens-là, échauffés par les mauvais journaux, sont toujours disposés à Le Glaneur du Haut-Rhin contenoit crier contre leur curé, et à trouver dans son numéro du 2 février, des dans ses inoindres démarches un précalomnies contre des ecclésiastiques texte à des plaintes et même à des du pays. Il accusoit des curés de dé-accusations. Ce n'est pas chez eux sordres graves qui avoient eu lieu qu'il faut s'attendre à trouver de l'imdans les élections municipales ; il les partialité. On connoît le mauvais estraitoit de perturbateurs. Il se posoit prit qui règne dans plusieurs camcette question: Quand il y a des di-pagnes, et le penchant de plusieurs visions entre des habitans d'une commune, le tort est-il toujours du côté du curé? et il répondoit hardiment: Oui, car telle est sa mission, tel doit

inaires à contrarier et à vexer leur curé. L'auteur des Quelques Réflexions en cite des exemples en Alsace, et chaque province en fourniroit.

« ZurückWeiter »