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pas; qui puisent, dans les souvenirs de
famille, dans un reste de leurs premières
habitudes, dans les goûts, l'esprit même
de leur époque, quelques paroles, que la
religion accepte comme une foible espé-
rance de leur retour à la vérité, mais qui
sont loin d'être le bien lui-même ?.
Le prélat termine ainsi :

des variations de l'erreur, il paroissoit avoir renoncé pour tomber dans une léthargique indifférence qui s'allie à l'athéisme; où l'une et l'autre ne négligent aucun moyen de se propager, s'efforcent d'inonder de leurs productions nos villes, nos campagnes, nos hameaux, les disséminent sous des titres mensongers, afin même de surprendre et tromper une sage défiance. D

A la fin, le prélat résume ainsi les diverses considérations qu'il avoit présentées :

« Pour nous, en réclamant l'assistance de votre pieux souvenir devant Dieu, nous mettons chaque jour à ses pieds la peine que nous sentons d'être, depuis long-temps, éloigné de vous, et les voeux que nous ne cessons de former pour le Il y a dans l'Eglise une puissance clergé et les fidèles de notre diocèse. d'enseigner, de régir en ce qui concerne Dans toutes nos prières, vous êtes pré- la religion. L'llomme-Dieu qui l'a instisens à notre mémoire, et nous voyons, tuée la maintient à l'abri de faillir. De avec la plus vive joie, approcher l'épo- cette prérogative en découlent d'autres que où il nous sera donné de vous re-qui servent de caractère pour la distinjoindre, et d'être de nouveau au milieu guer; savoir, qu'elle ne peut s'écarter d'une de vous. invariable unité déchoir de sa pureté pri· Nous n'avons pas appris, sans en bé-mitive, de l'intégrité apostolique. De plus, nir mille fois le Père des miséricordes, lc | désignée long-temps d'avance par l'esprit rétablissement de notre petit séminaire, ' divin pour être le bercail du salut dans -le zèle généreux avec lequel le clergé y á l'univers, elle y étend son empire, s'y concouru, et la part que bon nombre de montre sous l'éclat des prodiges. Telle familles chrétiennes ont voulu prendre à est l'Eglise romaine. Quelle est donc l'obli cette œuvre, la meilleure de toutes, car gation de ceux qui sont en rébellion contre rien n'égale pour nous l'importance et le elle, qui en restent éloignés ? Qu'ont-ils succès de cette sainte entreprise, puis-¦ à produire à leur appui? Qu'ont ils à qu'elle touche aux intérêts les plus pré-nous opposer? Il leur seroit facile de s'écieux de la religion, aux espérances les plus chères du ministère pastoral. Cet acte de providence a cicatrisé la plaie la plus profonde, la plus saignante de notre ame, et nous ne pouvons nous empêcher d'en rendre içi publiquement grâces à Dieu, en suppliant chacun de vous d'accepter ce qui lui revient dans la distribution de notre reconnoissance. »

M. l'évèque de Tulle expose dans son mandement les caractères de l'Eglise :

« Ce sujet si important par lui-même l'est plus spécialement en ces temps per vers où l'incrédulité exerce davantage ses funestes influences, où l'esprit hétérodoxe affiche une ardeur de prosélytisme à la quelle, après avoir parcouru le cercle

clairer. Une vive lumière les frapperoit, s'ils n'y tenoient les yeux fermés. Pussent être guéries tant de plaies faites à l'Eglise en la déchirant! Pussent tous nos frères errans revenir à elle ! Mais il est écrit qu'il doit y avoir des hérésies, des schismes. L'Eglise est militante sur la terre. »

M. l'évêque de Marseille, dans le mandement qu'il vient de donner pour le Carême, n'a pu détourner sa pensée de la perte douloureuse qu'il vient de faire, et il offre à ses diocésains le grand exemple d'une vie si pure et d'une fin si édifiante :

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Le prélat se montre aussi fort touché des témoignages de respect et de reconnoissance qui ont été rendus au vénérable défunt par un peuple nombreux, et il espère que tous les fois la messe pour leur ancien évêprêtres du diocèse diront plusieurs que qui, lui-même, s'étoit fait une loi, qu'il a transmise à son successeur, de dire trois fois la messe pour chaque prêtre du diocèse qui mouroit.

M. l'évêque de Joppé, coadjuteur de Nancy, se félicite de l'accueil qu'il a reçu dans le diocèse :

sur laquelle il' alloit mourir! quel spec-¡ la mort de ce père si tendre et si bon.» tacle digne des anges et des hommes it leur cût offert! quelle dernière prédica tion il leur eût fait entendre du hant de cette chaire où sa parole expirante et son silence accompagné de prière, avoient une puissance également irrésistible! Il étoit déchirant de voir ce vieillard plein de jours, cet homme si bon, si attentif à tout ce qui intéressoit les autres, aux prises lui même avec une maladie aiguë qui alloit l'enlever pour jamais à notre tendresse filiale et à la vénération universelle; mais combien étoient édifians les sentimens qu'il manifestoit! Toujours en possession de la plénitude de sa raison et observant une continuelle vigilance sur tous les mouvemens de son cœur, il a Grâces immortelles soient rendues se reprochoit jusqu'à l'adhésion à la pen-au Dieu de toute bonté, dont tant d'ames sée d'un foible soulagement comme un ferventes ont imploré avec nous le secours acle que sa résignation devoit désavoner, et la protection, la tranquillité la plus La souffrance, en agissant sur son corps, parfaite règne parmi nous. Dans les difn'altéroit pas un moment la paix et la séférentes paroisses que nous avons visitées, rénité de son ame, n'eu interrompoit pas nous n'avons eu que des consolations à les pieuses occupations : il prioit presque recueillir. Partout, un vif sentiment de sans cesse, et s'il parloit à ceux qui l'en- foi a réuni autour de notre personne les vironnoient, c'étoit pour les remercier populations entières; pasteurs et fidèles, avec bonté de leurs soins ou pour en ré-grands et petits, tous sembloiɛnt n'avoir clamer des secours spirituels, ou pour les qu'un cœur et qu'une ame, tous les rangs entretenir des choses de Dieu et du désir se sont confondus et ont rivalisé de zèle qu'il avoit de s'unir à lui, ou pour appeler pour nous prodiguer, dans ces véritables sur eux les bénédictions que les anciens fêtes de famille, les plus touchans témoipatriarches faisoient descendre sur leurs gnages de leur dévoûment, de leur conenfans. Ce fut à la fois un moment de fiance et de leur affection. Partout, nous consolation et de larmes que celui où, avons vu des mères chrétiennes venir, prosterné auprès de son lit avec les mem- nombreuses et empressées, tenant leurs bres de notre famille et les personnes de petits enfans dans leurs bras, solliciter notre maison, nous le priâmes de nous comme une faveur, et recevoir de nos bénir encore une fois, et où élevant sur mains, avec actions de grâce, une bénénous sa main défaillante, il nous bénit. diction qu'elles regardoient comme un nous et les nôtres, el dans notre personne gage de sécurité pour elles-mêmes et de nos ouailles, qu'il aima tant et pour les- bonheur pour les tendres objets de leur quelles il nous avoit légué son amour. Il sollicitude paternelle. Notre divin Maître avoit eu pour nous, dans le cours de sa aimoit les petits enfans: il ne permettoit maladie comme dans celui de sa vie, les pas qu'on les éloignât de sa personne paroles les plus affectueuses; mais en adorable, il les embrassoit, il les bénisnous bénissant, il exprima ses sentimens soit avec bonté: héritier de ses sentipour nous d'une manière si attendris-mens, nous serons toujours heureux de sante, que notre cœur se fendoit à la l'imiter dans l'expression de sa tendresse. pensée que nous allions être séparé par » De tels spectacles, vraiment dignes

des premiers siècles de l'Eglise, font hon neur à votre foi aussi ont-ils fait couler de nos yeux des larmes d'attendrissement. Notre cœur s'est dilaté, nous aimions à voir dans ces démonstrations de respect et de sympathie, le gage assuré des succès de notre ministère. Cette espérance, nous la nourrissons avec délices, comme un doux encouragement dans les travaux et les efforts de notre zèle; elle se réalisera, nous n'en doutons point. Plus vous nous verrez de près, plus vous apprendrez à nous connoître ; el plus vous nous connoîtrez, plus vous serez convaincus que votre bonheur est l'objet de nos plus ardens désirs. Notre conduite, constamment réglée sur les principes d'une inaltérable charité, montrera clairement à tous la pureté de nos vues. ▾

Le prélat expose quels sont ses principes et ses sentimens; pour commencer à s'acquitter de son ministère, il adresse aux fidèles des réflexions, des conseils et des exhortations pleines de sagesse et de charité sur leurs intérêts spirituels et leurs devoirs de chrétiens.

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occupations ordinaires de la vie, les tra vaux des champs sont continués; les villes et les campagnes se rendent égale ment coupables de la violation de la loi de Dieu.

D

» Ah! nous vous le disons en rougis. sant, nos frères séparés de l'unité sont plus fidèles observateurs de cette loi sainte, que nous, qui sommes les enfaus de la véritable Eglise ; et des nations entières qui vivent dans l'bérésie, respectent le jour du Seigneur de maniere à couvrir de honte les peuples catholiques.

» Est-il surprenant après cela que så justice irritée punisse son peuple, qu'il ordonne aux fléaux vengeurs de ravager les campagnes, et qu'il défende aux nuées de répandre sur la terre une pluie féconde?

Et n'avons-nous pas à redouter de plus terribles vengeances de la colère da Seigneur outragé? Avons nous onblié les châtimens qu'il a infligés à notré patrie à une époque qui n'est pas encore bien loin de nous? Si, par un miracle die la miséricorde divine, que nous n'osions plus espérer, nos temples nous furent rendus, s'il nous est permis de célébrer nos sainLe nouvel évêque d'Aire exhortetes solennités, ah! soyons fidèles à les principalement à sanctifier le jour du Seigneur :

« Que faut-il penser de tant de chrétiens qui profanent le jour du Sei gneur, dont les moins coupables le consument dans une molle oisiveté, tandis que d'autres se livrent sans scrupule à leurs travaux ordinaires, ou, plus criminels encore, le consacrent à des parties de plaisir, à des assemblées profanes, à l'habitude du crime?

» N'est-ce pas, en effet, le dimanche que les réunions dangereuses sont plus fréquentées, que l'on entretient avec plus d'ardeur des liaisons criminelles, que les uns s'adonnent avec plus de facilité aux excès de la débauche, et les autres à l'étalage d'un luxe scandaleux ? Les temples du Seigneur sont déserts, les voies de Sion se livrent à la douleur, parce que les solennités saintes sont abandonnées; les

sanctifier avec une religieuse ferveur, afin que le Seigneur ne soit pas en quelque sorte forcé de se repentir de sa clémence et de rétracter ses bienfaits. »

Le prélat en permettant l'usage du gras en certains jours en excepte les ecclésiastiques et les commu

nautés.

MM. les grands-vicaires capitulaires de Reims prenuent occasion des malheurs des temps pour recommander la charité:

« L'état affreux de misère, à laquelle la cherté des vivres et le manque d'ouvrage ont réduit depuis long-temps la classe indigente, nous fait un devoir, au commencement de cette sainte quaran taine, de rappeler à votre souvenir et de réveiller dans vos cœurs le grand précepte de la charité, par lequel notre di

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l'ancien forum d'Auguste. C'est ce couvent dont une partie tomba le 27 juillet de l'année dernière et tua sept religieuses. Sa Sainteté, qui avoit déjà consolé les religieuses par ses bienfaits, visita les travaux de réparation qu'elle avoit ordonnés et qui viennent d'être terminés.

M. le duc de Lucques a fait, le mercredi 4, visite au Saint-Père au Vatican.

Par un bref du 21 février, le SaintPère a nommé M. l'archevêque de Bordeaux un des prélats de sa maison et évêque assistant au trône.

vin Aégislateur a voulu faire de tous les cœurs un seul cœur, et de tons les hommes une société d'amis et de frères loujours prêts à voler au secours les uns des autres. Nous ne l'ignorons pas, vous don nez beaucoup, et nous aimons à rendre justice à votre charité : donnez encore davantage, et proportionnez vos largesses aux besoins toujours croissans de vos frères. Que de pauvres, que de malheureux viennent de toutes parts altrister nos regards! Pressés par la faim, tremblans de froid, le visage exténué, le corps décharné, ils remplissent nos rues, nos places publiques, et assiégent les portes de nos églises : et que seroit-ce si nous pourions exposer à vos yeux les maux secrets qui vous sont cachés? Quelle honte pour PARIS.- -Ne pouvant indiquer tous la religion et en même temps pour une les prédicateurs dans les différentes ville appelée autrefois la ville sainte, paroisses de la capitale, nous en nompour une ville opulente? N'auroit elle nerons du moins quelques-uns. A pas assez de richesses, si elles étoient Saint-Sulpice, M. l'abbé Larroque, bien ménagées, pour nourrir tous les ha aumônier des Invalides, et M. l'abbé bitans renfermés dans son enceinte? A la de Valette, aumônier du collège, vue de ce pitoyable et déchirant specta-d'Henri IV, se sont partagé la stacle, qui ne sentiroit ses entrailles émues, tion. M. l'abbé Dufètre, grandet ne s'écrieroit avec Jésus-Christ: Misevicaire de Tours, prêche à Saintdonne en Thomas - d'Aquin, et outre des conférences à Bonne-Nouvelle. M. l'abbé Hilaire Aubert, grand-vicaire de Sens, prêche la station à Saint-Vincent-de-Paul; M. l'abbé Humphry à Saint Germin-l'Auxerrois, M. l'abbé Lefèvre à Saint-Germain-des-Prés, M. l'abbé Marcellin, de Montauban, à SaintEustache, etc. A Saint-Louis-d'Antin, M. l'abbé Noblet donne deux sermons par semaine, M. le curé deux homélies, et M. l'abbé Moigno deux conférences. Dans presquetoutes les paroisses, outre les sermons, il y a des conférences le soir.. A Saint-Laurent, M. l'abbé Cassan de Floyrac prêche tous les dimanches.

reor super turbam; j'ai pitié de cette mul

titude affamée? »

MM. les grands-vicaires insistent sur le précepte de l'aumône, et répondent aux objections de l'égoïsme et de la cupidité.

NOUVELL::3 ECCLÉSIASTIQUES.

ROME.

- Le mercredi des Cendres, le Saint-Père a béni et imposé les cendres dans la chapelle du Vatican. Sa Sainteté assista ensuite à la messe chantée par M. le cardinal Castracane, grand pénitencier. Après l'évangile, un discours fut prononcé par le Père Lo Jacono, procureur-général des Théatins.

Le 28 février, Sa Sainteté, après avoir adoré le saint Sacrement exposé pour les Quarante-Heures, dans l'église de Saint-Laurent in Damaso, visita le couvent des Dominicaines, á

Outre les 450 fr. que nous avions reçus de M. l'évêque de Châlons, pour les prêtres espagnols réfugiés en France, il nous a été envoyé différentes sommes pour le même objet;

au mois de décembre, d'un ecclé-¡ du séminaire. La porte de cet établissement étoit décorée d'un arc de triomphe en mousse, où étoient figurées les armoiries et la devise du prélat avec cette inscription: Marentibus orphanis Deus dat alterum po

trem.

siastique du diocèse de Meaux, 100 fr., et de mademoiselle de Menardot, 25 fr.; au mois de février, d'un anonyme d'Evreux, 50 fr.; de M. l'abbé Margiren, 50 fr; de plusieurs anonymes de Chateaudun, 37 fr. C'est en tout 262 fr. sur lesquels 20 fr. ont Le prélat a été reçu par le supérieur été remis à un prêtre espagnol arrivé et les directeurs, à la tête de leurs récemment à Paris, M. Gomès. Le élèves en surplis. L'une des notabilireste a été adressé à M. l'abbé Gi-tés de la ville s'étoit empressée de metgnoux, grand-vicaire de Bordeaux.tre une calèche à sa disposition; le pré

lat ayant changé de voiture, est allé Une nouvelle, heureusement sans immédiatement faire les visites d'étifondement, dit le Moniteur Parisien, quette à M. le premier président, à avoit alarmé les amis des arts; on M. le préfet, et à M. le général comavoit répandu le buit que l'église mandant le département. Cependant de Saint-Julien-le-Pauvre alloit être les cloches de toutes les paroisses de détruite par suite des travaux qu'on la ville annonçoient l'heureuse arrifait à l'Hôtel-Dieu. Nous pouvons vée du premier pasteur du diocèse, donner l'assurance que cet édifice et les curés, croix et bannière en n'est nullement menacé. Depuis long-tête, et chantant des hymnes d'allétemps la commission des nonumens historiques l'avoit signalé à l'intérêt Saint-Serge, d'où devoit partir la l'intérêtresse, se dirigeoient vers l'église de l'administration, et le ministre de procession. A neuf heures un quart l'intérieur et le préfet de la Seine le prélat étoit de retour; et, après avoient prescrit les mesures nécesavoir revêtu ses habits poutificaux, saires pour en assurer la conservation. précédé du chapitre, il fit son entrée Le 11, à huit heures du soir, dans le sanctuaire de l'église SaintM. Paysant, évêque d'Angers, arriva Serge par l'une des portes latérales à Durtal, et descendit au presbytère, du grand séminaire. Là se trouaccompagné de M. l'abbé Régnier, voient réunis près de 600 ecclésiastiqui est resté constamment auprès de ques, accourus des points les plus lui depuis la cérémonie du sacre. Le éloignés du diocèse; on remarquoit lendemain, dès cinq heures du ma- près d'eux les bons Frères des Ecoles tin, le prélat étoit en voiture, et à chrétiennes. A neuf heures et demie, huit heures vingt minutes, il faisoit le signal de la procession ayant été son entrée à Angers, escorté par la donné, cette pieuse masse de fidèles cavalerie de la garde nationale, qui se mit lentement en marche vers la s'étoit portée à sa rencontre bien aucathédrale ; et à mesure que le prélat delà des limites prescrites, et par la avançoit, grands et petits, pauvres et brigade de la gendarmerie à cheval. riches, femmes, enfans, vieillards, Arrivé sur le quai Bernardière, le se prosternoient avec respect et reprélat a rencontré un piquet du 30 cueillement sous la main du pontife, de ligne et un piquet de gardes nasans cesse étendue pour appeler sur tionaux échelonnés depuis la rue toutes ces têtes inclinées les bénédicBuffon jusqu'à la principale porte du tions du Très-Haut. grand séminaire. Les tambours ont battu aux champs, et les troupes ont présenté les armes au moment où le nouvel évêque entroit dans la cour!

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A la place des Halles, les troupes, composant la garnison, étoient rangées en bataille, commandées par M. le colonel, entouré de son état

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