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milieu du plus profond silence, l'éloge funèbre de M. le marquis de Sémonville, enlevé à la chambre en avril 1839. L'impression de ce discours est ordonnée à l'unanimité. Le marquis d'Audiffret fait chargée de l'examen du projet de loi re-, un rapport au nom de la commission latif à la répartition des sommes versées par le gouvernement d'Haïti en exécution du traité du 12 février 1839. La commission propose un amendement tendant à faire acquitter par le trésor, et comme avance envers le gouvernement d'Haïti, s'il se trouvoit en retard, le montant des caisse des dépôts. La discussion de ce procertificats de liquidation délivrés par la jet est fixée à mardi.

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au tirage de la classe de 1838 dans l'arrondissement de la Tour-du-Pin (Isère), sollicite l'intervention de la chambre conformément à la loi. Un long débat pour être exempté du service militaire, s'engage. Des orateurs repoussent le renvoi au ministre de la guerre proposé par le comité. D'autres l'appuient, Le comte Dejean réclame une loi sur la matière en discussion. Les fils d'étrangers, dit-il, ue peuvent être déclarés français qu'à 21 ans, et cependant la loi de la conscrip tion atteint les jeunes gens à 20 ans. Le général Schneider, ministre de la guerre, annonce que très-prochainement il apportera un projet de loi sur cette question qu'il a soumise au conseil d'état. La› chambre adopte les conclusions du comité.

On écrit de Stockholm l'ouverque ure de la diète a eu lieu le 25 janvier. Le -oi a adressé aux états un long discours, qui n'offre que peu d'intérêt en ce qui La chambre s'occupe de pétitions. « Le ouche à la politique générale. Ce docu- sieur Grosjean, fils et petit-fils d'étranment est une sorte d'adieu du roi Chargers non naturalisés, appelé néanmoins es-Jean XIV à ses peuples, et le rappel des événemens qui ont eu lieu au moment de son élévation à la royauté, et qui e sont succédé depuis 30 années. Le roi yant à parler de l'empereur, ne le désigne que sous le nom de l'homme célèbre de l'époque, qui pesoit alors sur la Suède de tout le poids de sa grandeur et de sa ouissance, et vouloit lui imposer l'obligation le déclarer la guerre à la Grande Bretagne. Il dit en terminant: Ne sortez jamais des bornes que la nature et plus encore ses révolutions matérielles, ont posées pour vous. Rentrez dans vos limites, si vous êtes forcés de les dépasser, après avoir rejeté les injures sur les agresseurs, Insulaires sur les neuf dixièmes du territoire des deux royaumes, nous ne tenons au continent européen que par une région presque stérile. Notre position trace notre politique. Sillonner toutes les mers avec nos vaisseaux et désirer la paix du monde, voilà notre vocation! »

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La chambre s'occupe encore de péti-, tions qui nous paroissent avoir peu d'importance.

CHAMBRE DES DÉPUTÉS.
(Présidence de M. Sauzet.)
Séance du 7 février.

Le président monte au fauteuil à deux heures et demie. M. Chapuys de Montlaville dépose sur le bureau une pétition d'un grand nombre de gardes nationaux de Louhans, Cuisery et Jouvançon, pour la réforme électorale.

A gauche Approuvé !

On reprend la discussion sur la proposition de M. Gauguier. M. Charamaule

présente un amendement ainsi conçu

cercle des incompatibilités, autrement, d'adopter l'amendement de M. Chara maule, avec, sans doute, quelques sousamendemens.

Le garde des sceaux voit la proposition de M. Gauguier abandonnée par tout le monde; mais à sa place arrivent d'autres prétentions non moins dangereuses. Les uns veulent que les fonctions militaires. judiciaires, administratives soient incom

A partir de la prochaine législature, l'incompatibilité, resultant du premier paragraphe de l'art. 65 de la loi du 19 avril 1851, sera étendue aux premiers présidens et procureurs - généraux de cours royales, aux présidens et procureurs du roi des tribunaux de première instance, à tons les membres des tribunaux de première instance composés de trois juges seulement, aux chefs de divi-patibles avec la députation; d'autres desion et de bureau des divers ministères, aux lieutenans-généraux et maréchauxde-camp commandant les divisions et les départemens, aux colonels en activité de service, aux ingénieurs en chef des départemens, aux recteurs des académies et aux personnes recevant un traitement de la liste civile ou des princes.

mandent que les députés reçoivent un traitement; d'autres encore exigent d'au tres modifications. Tout ceci conduit à la dissolution de la chambre; car avec la loi de 1831 amendée, il faudra nécessairement de nouvelles élections, qui seroient une calamité. La commission a reconcu qu'il y avoit quelque chose à faire. M. Teste est de l'avis qu'un jour il y aura quelque chose à faire.

M. de Tocqueville trouve la situation actuelle de la chambre fort déplorable; il n'y a point dans la chambre de majorité,

sions communes. Néanmoins, M. de Toc queville reculeroit devant une dissolution qui tourmenteroit le pays sans détruire le mal. L'orateur repousse la proposition de M. Gauguier, et voudroit seulement qu'on se bornât à interdire aux fonctionnaires publics toute chance d'avancement pendant la durée de leur mandat légisÎatif.

M. Dozon vote contre la proposition de M. Gauguier. M. de Tracy, laissant de côté les fonctionnaires députés, parle long-temps de l'influence illégale, dit-il, que le gouvernement exerce dans les élections, et termine en demandant le ren-point de doctrines, pas même de pasvoi à la commission des amendemens que doit faire naître la proposition. Hier, M. Berville, tout en votant contre la proposition. sollicitoit la suppression du cens d'éligibilité. M. Dubois (de la Loire Inférieure) ne veut pas recommencer les plaidoyers en faveur des fonctionnaires. Pendant 10 ans, ajoute-t-il, il a fait partie de l'opposition, et maintenant il lui | plaît de prêter l'appui d'une faible conviction à un gouvernement foible; mais si demain un gouvernement plus fort tenoit les rênes de l'état..... (On rit.) Les interruptions ne me font rien, continue M. Dubois; les députés fonction naires qui ont long temps siégé avec l'op-jeter partout l'inquiétude, qu'il garde sa position, peuvent sans honte prêter leur appui à ceux qui ont accepté une tâche devant laquelle des courages plus intrépides ont reculé. Je déclare leur prêter mon appui avec sincérité. »

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M, MAUGUIN, Jusqu'à nouvel ordre! M. DUBOIS. Il est des interruptions auxquelles je ne daignerai pas répondre. M. MAUGUIN. Est-ce à moi que cela s'adresse? Je n'ai voulu que répéter ce que vous avez dit; c'est que vous seriez ministériel jusqu'à ce qu'il arrivât un pouvoir plus fort, que vous appelez de

tous vos vœux.

M. Odilon-Barrot parle d'étendre le

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M. Dupin trouve mauvais qu'on ait dit à la tribune qu'il y avoit quelque chose à faire, sans indiquer ce qu'il y avoit à faire. Si le gouvernement pense qu'il y a quelque chose à faire, et que le moment n'est pas opportun, il faut, pour ne point

pensée jusqu'à meilleur temps. Dans les débats qui ont eu lieu, M. Dupin n'a vu qu'une chose, la question de la réforme électorale qui arrivoit par un coin.

M. Tesle proteste contre le sens donné à ses paroles par M. Dupin. Il a dit qu'il n'y avoit rien à faire pour la proposition de M. Gauguier, rien à faire quant aux propositions qui s'y rattachent, rien à faire non plus pour la réforme électorale.

M. Gauguier monte à la tribune. L'assemblée déjà fort agitée, paroît plus agi tée encore..... M. Ganguier a été garde d'honneur, officier de dragons.....

Un membre: Nous ne sommes pas ici, pour écouter des états de service.

M. Gauguier répond au président, qui lui observe qu'il n'est pas dans la question, qu'il proteste contre l'abus que le président fait de son pouvoir. (A l'ordre!)

LE PRÉSIDENT. L'orateur vient de se servir d'une expression qui pourroit motiver contre lui une mesure sévère; la chambre comprendra pourquoi je me borne à lui dire qu'il vient de s'écarter des formes parlementaires, du respect dû à la chambre, et du respect dû à l'autorité du président, qui n'est que la représentation de l'autorité de la chambre.

partir de France, il avoit écrit au ministro de la guerre pour lui demander un congé. Lorsqu'il est rentré en France, le délai de quinze jours prescrit pour la prestation du serment étoit expiré. Malgré ses réclamations, M. de Choiseul n'a pu être réintégré dans son grade. La commission propose le renvoi de la pétition au ministre de la guerre.

Une longue et vive discussion s'engage. MM. Charpentier et Dupin demandent l'ordre du jour. M. de Schauenburg dit qu'on ne peut pas traiter avec rigueur un homme de cœur. M. de Mornay veut qu'on respecte la décision ministérielle. M. Dupin revient à la charge pour de mander que la loi de 1830 soit exécutée.

M. de Lamartine ne pense pas, comme MM. de Mornay et Dupin, que le pétitionnaire et ceux qui appuient la pétition aient l'intention de faire violence à

Après quelques mots encore de M. Gauguier, quelques mots aussi de M. Charamaule en faveur de son amendement, la chambre ferme, à l'unanimité, la discussion, et la proposition, ainsi que les amendemens, sont écartés par 198 bou-la loi et aux ministres, Ici on ne s'occupe les noires contre 174 boules blanches.

Séunce du 8.

M. Ganneron, l'un des vice-présidens, monte au fauteuil à deux heures et demie. Le ministre des finances présente un projet de loi tendant à proroger jusqu'au 1 janvier 1852 le monopole du tabac, qui, n'ayant été prorogé que pour cinq ans par la loi du 12 février 1835, doil expirer le 1 janvier 1842. On voit dans l'exposé des motifs que l'impôt sur le tabac a produit, en 1816, un peu plus de 33 millions; en 1823, 41 millions 500 mille francs; en 1828, 46 millions 300 mille francs; en 1834, 50 millions 800 mille francs. Enfin, en 1839, le produit net a été de 64 millions 500 mille francs, et tout annonce, dit le ministre, qu'on ne tardera pas à atteindre le chiffre de 70 millions.

La chambre s'occupe de pétitions et passe à l'ordre du jour sur plusieurs pétitions dénuées d'intérêt.

M. Carl, rapporteur, dit que le mar quis de Choiseul-Beaupré, ancien maréchal-de-camp, réclame contre l'application qui fui a été faite de la loi du 30 août 1850, portant que tout officier qui n'auroit pas prêté serment au nouVeau gouvernement seroit considéré comme démissionnaire. Après les journées de juillet, M. de Choiseul a accom, pagné le roi Charles X à Rambouillet, à Cherbourg, puis en Angleterre. Avant de

que d'une question d'appréciation, de sentiment public. Un officier-général d'un nom illustre qui a servi avec gloire dans les campagnes d'Espagne, d'Allemagne, et qui, en 1814, a été un des défenseus les plus obstinés du territoire à Mayence, étoit aux fatales journées de juillet..... (Grande agitation.)

Voix de la gauche. Fatales! fatales! A' qui pensez vous que les journées de juil let ont été fatales?

Plusieurs voix. Une collision entre des Français est toujours funeste.

M. BERGER et autres membres. A l'ordre !

M. de Lamartine s'étonne de l'interprétation qu'on vient de donner à ses paroles, et les explique de manière à sa?' tisfaire M. Berger et les autres députés. qui viennent de l'interrompre. Cet officier-géneral, continue M. de Lamartine, se trouvoit pendant les journées de juillet à Rambouillet, à la tête de son corps., Charles X le fit appeler et lui dit : « Je vous nomme mon aide-de-camp; allezvous-en à Londres, voyez lord Wellington, voyez les ministres, tâchez d'obtenir un asile pour moi et pour ma famille fugitive. » Il n'y avoit pas à délibérer en ce moment pour un officier loyal, un vieux serviteur de la monarchie. Il partit. Mais arrivé à Vire, il écrivit au duc de Praslin, son allié, pour le prier de porter au ministre de la guerre une lettre dans laquelle

il reconnoissoit le nouveau gouvernement. M. de Choiseul, retenu à l'étranger plus de temps qu'il ne pensoit, ne put se présenter au serment que lorsque le strict délai étoit expiré. M. de Lamartine, qui ne croit point qu'on doive. dans cette circonstance, maintenir la rigueur de la loi, rapporte que se trouvant à Turin au moment où l'on apprit la mort de Napoléon, lui et quelques autres Français se préoccupèrent vivement de la situation du général Bertrand, qui avoit suivi Bonaparte à l'île d'Elbe et à Sainte-Hélène. M. de Latour-du-Pin, alors ambassadeur à Turin, leur dit : « Rassurez-vous, j'ai ici une lettre de Louis XVIII qui m'autorise à écrire au général Bertrand qu'il peut revenir en France; qu'il y trouvera non- | seulement une amnistie complète, mais encore le rappel de tous ses traitemens pendant le temps qu'il a passé en exil. Voilà comment Louis XVIII comprenoit les fautes de fidélité.

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Le ministre de la guerre dit que l'administration de la guerre ayant appliqué la loi, il ne voit pas ce qu'il y auroit à faire dans l'état actuel des choses.

Une foule de membres de la gauche et des centres demandent l'ordre du jour.

M. de Mornay appuie l'ordre du jour. M. de Marmier parle pour le renvoi au ministre de la guerre. Il est des cas où la chambre, en lui renvoyant une demande, dit M. de Marmier, indique qu'il y a.... Une voix Qu'il y a quelque chose à faire ! (On rit.)

M. DE MARMIER. Il y a des circonstances de telle nature qu'elles puissent échap.

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ché moi-même, et profondément, des observations qu'a présentées l'honorable M. de Lamartine; mais toutes les fois qu'on engage la chambre à prononcer le renvoi d'une pétition au ministre, on a un but; on doit se demander ce que fera, ce que pourra faire le ministre. Je ne connois rien qui puisse faire dégénérer les renvois en un véritable non-sens comme le seroit, par exemple, le renvoi que l'on propose avec la certitude qu'il n'y a rien de possible.

La discussion continue avec vivacité. On entend encore MM. Dupin, Renouard et Teste pour l'ordre du jour qui est de nouveau combattu par M. de Lamartine.

La chambre passe à l'ordre du jour. Le ministre de la guerre présente un projet de loi pour accorder une pension viagère de 2,000 fr. à la veuve du colonel Combes, tué devant Constantine, le 15 octobre 1837. Dans cette pension sera confondue celle de 750 fr. dont jouit madame Combes. MM. Ardaillon et autres députés retirent leur proposition qui avoit en vue le projet actuel.

Le Gérant, Adrien Le Clere..

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tre de la loi... (Bruit.)

LE GARDE DES SCEAUX. Je ne viens pas contester tout ce qu'il peut y avoir d'intéressant et de recommandable dans la position du pétitionnaire. J'ai été tou

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Tout ce que la nature et la religion ont de plus admirable, de plus touchant, de plus propre à pénétrer l'ame des grandeurs et des bontés de Dieu, est décrit dans cet ouvrage, et mis à la portée de toutes les classes de lecteurs.

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sieurs détails sur la vie de saint Augustin. Le début seul nous semble devoir prévenir en faveur de l'ouvrage :

: Non, mon cher Eudoxe (c'est le jeune néophyte qui écrit à son ami), il n'est pas possible de te peindre les délicieuses émotions que j'ai ressenties en bite enfin aujourd'hui. Je l'ai vu, je l'ai abordant cette terre d'Afrique, que j'haembrassé cet homme admirable, cet Augustin que nul ne peut voir sans aimer la vertu, ou du moins sans y croire. C'est

Au milieu de tant d'ouvrages plus ou moins bizarres qui provoquent les justes rigueurs de la critique, elle est heureuse d'en rencontrer qui, par lenaturel du style et la justesse de la pensée, rappellent cette époque de la littérature, qui fat celle de la raison et du bon goût. On savoit alors étre élégant sans être guindé, solide et profond sans être obscur et bour-près de lui que je vais maintenant étudier soufflé. La pensée se produisoit revêtue de ces grâces simples et naturelles, qui plaisent à l'esprit sans le fatiguer jamais. L'auteur du Voyage à Hippone a étudié ces ex-parer au baptême, que j'appelle de tous cellens modèles. On voit qu'il s'est formé à leur école. Un style pur et facile, des idées justes et vraies, un emploi judicieux des divers matériaux qui pouvoient entrer dans son livre, en rendent la lecture aussi agréable qu'instructive. Voici le plan de l'ouvrage.

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On suppose qu'un jeune habitant des Gaules, récemment converti au christianisme, va chercher auprès de saint Augustin les enseignemens dont il a besoin pour se préparer au baptème; et dans les lettres qu'il écrit à un ami, il lui fait part des leçons et des exemples qu'il reçoit d'Augustin. L'auteur a ainsi trouvé moyen d'exposer, d'après le saint docteur, les preuves fondamentales de la religion, et les principales vérités qu'elle propose à notre croyance. Les instructions sont entremêlées de divers incidens ménagés avec art, et de pluL'Ami de la Religion. Tome CIV.

les secrets d'une religion que tu as su me faire aimer, et qui me devient encore plus chère, à mesure que j'apprends à la mieux connoître. C'est lui qui va, me pré

mes voeux, et où il me tarde d'aller puiser le principe d'une vie toute céleste. -Oh! quels momens délicieux la providans mon bonheur, cher Eudoxe ; je redence me prépare! Tu seras de moitié cueillerai pour toi jusqu'aux moindres circonstances de mon séjour auprès du saint évêque d'Hippone; rien n'est indifférent quand il s'agit d'un homme tel qu'Augustin.

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