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tion, il s'est trouvé deux fois dépassé, Au, jourd'hui, par suite de deux nouveaux décès, un seul cardinal français se trouveroit chargé de représenter les intérêts du pays an conclave.

Il est inutile de mettre ici de nouveau sous vos yeux, les motifs de haute nécessité et de haute convenance qui doivent | engager la France à continuer de tenir dans le sacré collège le rang qui lui appartient. Ces motifs, à la fois religieux et politiques, ont déjà été appréciés par vous; soil lorsque vous avez voté des fonds, par suite de la promotion du vénérable M. de Cheverus, soit lorsque vous avez ouvert, | au budget de l'exercice présent, le traitement du nouveau cardinal qui pourroit être éventuellement nommé. Il suffisoit d'ailleurs qu'il y eût un droit à exercer par la France, pour qu'elle ne dût pas y

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L'intention du gouvernement et des chambres a été remplie Mgr l'évêque d'Arras vient d'être promu au cardinalat; son traitement comme tel est assuré; mais il reste maintenant à pourvoir aux dépeuses, qu'entralne inévitablement la promotion à cette haute dignité, 33 12

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cette somme est à peine suffisante; c'est encore un fait qui a été reconnu par la commission de 1836, qui a dû se montrer d'autant plus sévère dans ses investi, gations, qu'il s'agissoit de rétablir une dét pense supprimée en principe après la rét volution de 1830. On comprend que dans un temps où les grandes fortunes sont rares, surtout parmi les membres du clergé, où les traitemens des évêques sont souvent si disproportionnés avec les besoins réels, et partout si éloignés des anciennes dotations attachées aux siéges! il seroit impossible de laisser de pareilles dépenses à la charge des titulaires. Il n'est peut-être pas un prélat aujourd'hui qui fût en état de les supporter; et s'en tron vât-il quelques uns, il faudroit alors fairé de la dignité dont il s'agit le partage exi clusif du plus riche, sans s'informer s'il seroit le plus méritant, système aussi contraire à nos mœurs qu'il le seroit sou vent à l'intérêt public.

L'église Saint-Séverin, qui n'est pas la moins remarquable des anciennes églises de la capitale, et qui a le mérite d'avoir une architecture

...Ces dépenses, ne sont point arbitrai- du même style sans mélange d'or nemens modernes, vient de recevoir res: il ne dépend pas du nouveau cardi, pal de les restreindre à son gré, elles le reste de l'édifice. Cette église n'aun embellissement en rapport avec sont fixées par d'anciens usages, qui ne voit pas de portail; la porte principrennent point leur source dans les pré pale étoit sur le côté et donnoit sur lèvemens que faisoit autrefois, le Saint-la rue Saint-Séverin. A la place but Siége sur les bénéfices vacans, sous le li- auroit dû être le portail, il n'y avoit tre d'annales ou autres droits onéreux dont le royaame s'est pour jamais af- ruelle étroite. Depuis quelques ans qu'une petite porte donnant sur uné franchin elles ont pour objet, ainsi que la nées, on a démoli plusieurs maisons, commission chargée de faire le rapport sur déblayé le terrain et pratiqué une le projet de loi relatif à l'installation du petite place en avant de l'église cardinal de Cheverus vous a déclaré s'en mais cela mêine ne pouvoit que faire être assurée, des frais fixes de chancelle- remarquer davantage l'absence d'un rie, de missions diverses, de voyages, de portail. C'est alors qu'on a songé séjour, de présens et d'aumônes, Les car y transférer le portail de l'église de dinaux romains y sont assujétis comme Saint-Pierre-aux-Boeufs, dans la ceux des autres nations. Cité, église abattue il y a deux ans - • L'allocation nécessaire pour ces dépen, pour ouvrir lá rue d'Arcole. Ce por ses avoit été réglée, par un décret impérial tail est dans le genre gothique. On con du 7 ventôse an xix, à 45,000 fr.; il est serva les pierres, et le tout a été ap. úlabli que, bien_loin d'off ir da superflu,pliqué aux murs de l'avant de l'église

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Saint-Séverin.Ce portail ainsi arrange á été découvert le 9 décembre; il complète l'église. On y a ajouté deux tourelles surmontées de niches et un fronton qui représente la sainte Vierge tenant Notre-Seigneur. Il a fallu remplacer quelques pierres et rosaces trop usées, mais on a conservé le style de ce petit monument. Quelques ornemens gothiques ont été ajoutés. Les battans de la porte en bois, qui est sculptée, offrent le buste en bois de saint Pierre. Tout cela a été restaurée avec goût. Il reste deux petites colonnes à adapter à ce portail qui en a quatre ou cinq de chaque côté. Il faudra pratiquer un perron pour conduire à la porte, paver et daller les alentours. Il est question de rue dans la Cité, ce qui feroit dé molir le reste de l'ancienne église de la Madeleine. A ce sujet, on nous fait remarquer qu'il y a à cette église une petite porte gothique donnant sur la rue de la Licorne, et qui mériteroit d'être conservée. On pourroit l'appliquer à quelque issue latérale d'une de nos anciennes églises. Ce morceau, dans une rue étroite, a échappé jusqu'ici, à ce qu'il paroît, à l'attention des amateurs.

percer une autre

Le Courrier du Pas-de-Calais du 2 février, donne de nouveaux détails sur la réception de M. le cardinal de Latour d'Auvergne à Arras. Après avoir parlé des instances qui lui ont été faites à Paris pour accepter le siége de la capitale, et des refus persévérans de Son Eminence, il peint l'empressement de la population pour célébrer le retour du vénérable évêque, et les manifestations de joie qui éclatèrent de toutes parts le 30 jan vier. Nous ne prendrous dans le ré cit du Courrier que la fin de cette journée, ayant donné le commenceînent dans notre dernier numéro :

• Le soir, à six heures, un feu de joie s'allumoit sur la Grande-Place. Ailleurs,

on voyoit de brillantes illuminations, d'in génieux emblêmes. La façade de la cathe drale portoit pour transparent le buste de Son Eminence; au-dessus, deux anges dé ployoient une banderole où se lisoit celle devise: Hommage à Son Eminence le car dinal. Une arcade en verres de couleur entouroit chaque portique; il y avoit aussi des colonnes éclairées de même; enfin, la croix qui surmonte l'édifice projetoit au loin pareille illumina: tion. A l'institution des Sœurs de Charité, le transparent représentoit les armes de Latour-d'Auvergne; au grand séminaire,

à l'extrémité d'un dôme étincelant de

nuances diverses, apparoissoit le portrait voyoient les attributs du prince de l'Ede Monseigneur; à l'hôpital Saint-Jean se glie. Le transparent qui décoroit le petit séminaire avoit pour inscription : Le ciel de Sainte-Agnès et celle des dames du nous l'a rendu. La maison des orphelines Saint-Sacrement se distinguoient aussi par de brillantes illuminations et des de vises ingénieuses. N'oublions pas de mentionner le brillant transparent que la compagnie d'artillerie avoit élevé au fond de la cour de l'évêché; le buste de Mgr au milieu du cadre, à l'un et l'autre coin un artilleur, kod ang i

* A huit heures, le prélat, escorté par la compagnie de canonniers, s'est rendu à l'hôtel de ville pour mettre le feu à la première pièce du bouquet d'artifice que les artilleurs avoient fait préparer sur la Petite Place: tout à parfaitement réussi. Au milieu d'une gerbe de feux étincelans de mille couleurs, l'œil distinguoit ces mots simples et touchans : A notre aumônier.

Un quart d'heure après, Son Eminence retournoit au palais épiscopal, toujours escortée par les canonniers, et toujours aux cris répétés de vive le cardinal

Pendant toute la soirée, la foule n'a cessé de circuler dans les rues et sur les places; on remarquoit beaucoup d'étrangers; des ecclésiastiques étoient venus pour assister à la rentrée de Mgr dans son diocèse, de quinze et vingt lieues de loin.

» Son Eminence a remis, le jour de son 110 fr. Les autres villes qui ont le arrivée à Arras, à M. le président du bu-plus donné soat Montréal, 400 fr.; reau de bienfaisance, une somme de Quillan, 283 fr.; Chalabre, 243 fr.; 600 fr. pour être distribuée aux pauvres Pezens, 175 fr.; Sijean, 166 fr., etc. de la ville.. On remarque que beaucoup de villages ont contribué. Sur 356 paMadame Yglesias, dame d'hon-roisses dont le diocèse est composé, neur de l'épouse de don Carlos, étoit il n'y en a guère qu'une centaine qui dernièrement très-inalade à Bour-ne soient pas portées sur l'état des ges; elle a reçu, le mercredi 29 jan-recettes. vier, les sacremens de l'Eglise, en présence de la famille royale et de toute la maison, et à cette occa#sion le roi et la reine ont donné le plus touchant exemple de piété.

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L'aumônier de la reine étoit allé á la cathédrale prendre le saint viatique. A son retour, le roi et la reine le recurent à genoux à la porte de leur hôtel; ils assistèrent à la pieuse cérémonie, qui eut lieu dans les appartemens de madame Yglesias, et lorsque le prêtre reporta les saintes espèces, le roi, la reine, le prince des Asturies les accompagnèrent à la cathédrale à pied, confondus dans la foule des fidèles..

Toutes les personnes qui se sont trouvées sur le passage des princes ont été édifiées et emnues de cet hommage rendu par eux à la religion.

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1

Les recettes faites dans le diocèse de Carcassonne pour l'œuvre de la Propagation de la Foi pendant l'année 1839, se sont élevées à 15,716 f. 50 c., sur quoi il faut déduire 457 fr. 70 c. pour frais de port et de correspondance et diverses impressions. Le reste est de 15,258 fr. 80 c. Sur cette somme, les trois paroisses de Carcassonne ont donné 2,813 fr.; le grand séminaire, 304 fr., et le petit, 340 fr. Le college de Montolieu a fourni 354 fr.; les trois paroisses de Castelnaudary ont produit 1,465 fr.; les deux paroisses de Limoux, 500 fr.; les trois paroisses de Narbonne, 1,293 fr.; le petit séminaire de cette ville, 158 fr., et le couvent de Notre-Dame,

P

M. l'évêque de Carcassonne se fé“ licite de l'accroissement de l'œuvre dans son diocèse, et exhorte les fidèles à ne pas laisser refroidir leur zèle pour un objet si intéressant.

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Une maison de charité est établie depuis douze ans à Parcé en Anjou. Elle a été établie par des reli gieuses hospitalières du Sacré-Cœur pour instruire les enfans, recueillig les infirmes, soulager les malades, et procurer du travail aux pauvres, Les Sœurs ont élevé une fabrique de toile, à laquelle elles travaillent elles-mêmes. Il y a quelques années, un violent incendie consuma leur filature; elles ne se découragèrent pas, et sollicitèrent de la charité des secours qui les missent en état de réparer leurs pertes ou plutôt celles des pauvres, qui trouvoient dans leur établissement un refuge et une subsistance assurés. Les autorités du lieu leur donnèrent les certificats les plus honorables. Le ministre de l'intérieur recommanda leur œuvre. La reine leur envoya un secours de 200 fr.; de plus, plusieurs évêques ont autorisé la Sœur Marie Huguet à recueillir des dons pour sa maison. Nous avons vu des lettres de MM. les évêques de Nantes, d'Orléans, de Beauvais, de Soissons et de plusieurs grands-vicaires. M. l'évêque de Nantes paroit faire un cas tout particu lier de la Soeur, et fait des vœux pour le succès de son entreprise. La inaison de Parcé est rebâtie; elle a huit lits pour les infirmes, secours précieux dans une campagne écar

tée. Tout est gratuit dans cette mai- gieux de l'ordre de Prémontré, chrson, et les Sœurs n'aspirent qu'à ponnoine titulaire de la cathédrale, it voir y assister mieux les pauvres. ancien vicaire-général.

Né en 1763, M. Correur comDans la nuit du 21 au 22 janvier, mença ses études au collège d'Ades voleurs ont pénétré dans l'église miens, et les termina à Paris, où de Vauciennes, près Crépy, diocèse il obtint le prix d'lionneur au grand de Beauvais; ils ont arraché quel- concours. Ce rare et brillant succès ques galons faux à une chape d'or-ne l'éblouit point. Accueilli avec emnement tout neuf, enlevé quelques nappes et quelques surplis; de là ils sont allés au tabernacle et au tronc, dont ils ont forcé les serrures, ont enlevé le saint ciboire, qu'ils ont cru être d'argent, ont cherché en vain le calice et la patène, et se sont transportés à l'église de Largny, diocèse de Soissons, à une lieue environ de Vauciennes.

La porte de la sacristie de Largny a résisté à leurs efforts; il n'en a pas été ainsi des portes du tabernacle ́et du tronc, l'argent, le saint ciboire, l'ostensoir, tout a été emporté. On est à la recherche des malfaiteurs, que l'on croit être les mêmes que ceux qui ont devasté l'église de CuiseLainotte.

pressement dans l'ordre de Prémontré, il y professoit la rhétorique et remplissoit en même temps les fonctions de secrétaire du général, lorsque la révolution vint bouleverser toutes les existences. Il en fut une des premières victimes. Prêtre fidèle, il fut obligé de se cacher long-temps pour se soustraire à la persécution. Découvert enfin dans une retraite inconnue jusqu'alors, où il se trouvoit avec le vénérable cuté de Warlois, ils furent tous deux trainés en prison, et y restèréut près de trois années. Sous le consulat, M. Correur devint l'un des chefs d'un pensionnat qui acquit alors une grande célébrité par la haute capacité des maîtres, et forma des élèves dont s'honore la ville d'Amiens. En 1821 il devint chanoine de la cathédrale, et fut nommé peu de temps après vicaire-général du diocèse. Mais modeste, n'aiıñant point à paroître, il se tint consiamment dans la retraite, partageant son temps entre les études et la piété dane On peut regretter qu'un ecclésiastíChaque dimanche, un bon nom- que de ce mérite ne se soit pas trouvé bre d'Italiens se réunissent dans des positions où il eût pu renglise du Calvaire, à Marseille, pour dre à l'Eglise des services importans, assister à des instructions qui leur Des personnes qui l'ont bien connu sont faites dans leur langue. Le di- attestent qu'il étoit digne des plus manche 26 janvier, M. l'évêque s'est hautes places, et donnent à sa mnérendu au milieu d'eux pour admi-noire d'honorables regrets. nistrer la confirmation à des enfans des deux sexes et à plusieurs vieillards. Le prélat a adressé à son auditoire une allocution en italien.

Il n'y a pas eu de profanation sur les saintes hosties à Vauciennes; le curé de Vez, chargé de la succursale de Vauciennes, n'étant pas dans l'usage d'y laisser le saint Sacrement, surtout à cause de l'humidité de l'église, qui est dans un marais.

M. Mercier, curé de Sauviat, a été traduit, le 26 août dernier, devant le tribunal correctionnel de Limoges, par le sieur Manaranche, instituteur, de pour l'avoir injurié et diffamé pula per- bliquement en chaire. Manaranché, sonne de M. Correur, ancien reli-malgré la recommandation' du con

Le diocèse d'Amiens

faire une grande perte dent

seil municipal, de l'adjoint et autres habitans de Sauviat, a provisoirement été suspendu de ses fone tions; Manaranche attribue sa sus pension aux menées du curé. De vant le tribunal, M. Mercier sou tient que Manaranche, avant d'ètre admis à justifier les faits de diffamation, devoit préalablement obtenir Fautorisation du conseil d'état. Les premiers juges ayant accueilli cette exception, Manaranche a interjeté appel de leur jugement. L'affaire est venue aux audiences de la cour royale de Limoges des 28 et 29 janvier. La cour, adoptant les motifs des premiers juges, a confirmé leur sen

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En 1835, le gouvernement belge espéroit pouvoir faire face à la depense nécessaire pour les réparations de l'église des SS. Michiel et Gudule, au moyen d'un subside spécial de 160,000 fr.; il a été déçu dans ses prévisions, car la dépense totale a été évaluée à 420,000 fr.

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façades de l'une des tours, des deux
portails et de tout le vaisseau de l'é
glisa; que les dépense's faites au 3b
mars de la même année s'élevoient
à 260,216 fr. 02 ch, sur laquelle
sommeil avoit été payé celle de
214,140 fr. 32 e, et que quant aux
sommes encore nécessaires pour con-
tinuer les restaurations, la nature
des travaux à exécuter en rendoit
toute évaluation, même approxima
tive, impossible, d'autant plus qu'en
général on avoit trouvé l'état du bâ-
timent beaucoup plus mauvais qu'on
le
de
auroit pu penser avant com
mencer les travaux, de telle sorte que
pendant long temps encore il deyra
être accordé des subsides.

** 53

Nous empruntons à un journal protestant les détails suivans sur les pasteurs de Genève; on y verra de nouvelles preuves de leur profonde indifférence sur les questions qui tiennent le plus à l'essence de la révélation i ‚nette #55. sold bola erra La nvénérable Compagnie des pasə teurs, prévenant avec sagesse les plaintes qui alloient s'élever de la presse, vient de s'occuper d'un fait fort gravego cold

1

La fabrique ne peut intervenir dans la dépense, les subsides réunis de la ville et de la province, qui les accordent depuis 1836, ne sont que de 17,000 fr. par an, somme émi M. Chastel, récemment nommé prənemment trop foible pour pouvoir fesseur d'histoire ecclésiastique, s'est vu entretenir les travaux sans un fort accusé d'avoir, dans son enseignement ¡ subside de la part du gouvernement. porté atteinte à la croyance aux mira Voici, d'après les devis, la réparticles. Trahissant ; dès le commencement tion des fonds jugés nécessaires pour de son cours, une tendance au moins lesdits travaux : incertaine et douteuse, il a fini par s'ex Toiture, charpente et vitraux, fr. primer sans réserve et par nier le mires cle de la conversion de saint Paul. 195. Réparation des deux tours,"

Idem du portail et du chœur,
Idem des deux façades de l'église,
Dépenses imprévues,

liv el é musí 9 Total

52,000

200,000

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fr. 420,000

·Malgré une opposition dont la vivat cité même déceloit l'embarras et la foiblesse, les rapports ont été pris en cont 101sidération à une immense majorité. Mais, chose Ctrange! M. Chastel n'a donné aucune explication au sein de la Compa gnie, se bornant à offrir des conversal tions particulières, dont chacun peut ap. précier la valeur en cas pareil. Pour le contraindre à s'expliquer, Pauroit fallu préalablement sortir de l'indécision qui

A ces renseignemens, il a été joint un rapport de la fabrique de l'église, daté du 9 juin 1838. Il en résulte que les travaux qui restoient encore à faire à la fin de ladite année, consistoient dans la réparation de deux

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