 En général, je ne désire qu'une paix solide et honorable, et elle ne peut être telle que sur les bases proposées à Francfort. Si les alliés eussent accepté vos propositions le 9 , il n'y aurait pas eu de bataille, je n'aurais pas couru les chances...  Napoléon et l'Europe, fragments historiques - Seite 258von Alexandre Doin - 1826 - 846 SeitenVollansicht - Über dieses Buch
 | Napoleon I (Frankreich, Kaiser) - 1823 - 466 Seiten
...fortune dans le moment OÙ Ib moindre insuccès perdait la France ; enfin je n'aurais pas connu te secret de leur faiblesse. Il est juste qu'en retour j'aie les avantages de* chances qui ont tourné pour moi. Je veux la paix, mais ce n'en serait pas une que celle qui imposerait... | |
 | Alexandre Lardier - 1829 - 596 Seiten
...n'aurais pas couru « les chances de la fortune « dans le moment où le. « moindre insuccès perdrait « la France ; enfin je n'aurais.. « pas connu le secret...tourné « pour moi. Je veux la paix, «, mais ce n'en serait.pas une « que celle qui imposerait « à la France des conditions « plus humiliantes que les... | |
 | Armand Francois [Allonville (comte d']), Alph. de Beauchamp, Alex Schubart - 1837 - 612 Seiten
...bataille; je n'aurais pas couru les chances t de la fortune dans le moment où le moindre in« succès perdait la France; enfin je n'aurais pas « connu le secret de leur faiblesse. Je veux la paix; « je suis prêt à laisser les ennemis rentrer traiic quiilement chez eux , s'ils... | |
 | comte Antoine Clair Thibaudeau - 1835 - 686 Seiten
...retour il eût les avantages des chances qui avaient tourné pour lui. 11 ! 54o EMPIRE. AN l8l 4voulait la paix, mais ce n'en serait pas une que celle qui...conditions plus humiliantes que les bases de Francfort. Sa position était certainement plus avantageuse qu'à l'époque où les alliés étaient dans cette... | |
 | Armand François Allonville (comte d') - 1837 - 634 Seiten
...bataille ; je n'aurais pas couru les chances • de la fortune dans le moment où le moindre in« mccï$ perdait la France; enfin je n'aurais pas « connu le secret de leur faiblesse. Je veux la paix; « je suis prêt à laisser les ennemis rentrer tran< quillement chez eux , s'ils... | |
 | Armand François ¬d' Allonville - 1837 - 614 Seiten
...bataille; je n'aurais pas couru les chances « de la fortune dans le moment où le moindre in« succès perdait la France; enfin je n'aurais pas « connu le secret de leur faiblesse. Je veux la paix ; « je suis prêt à laisser les ennemis rentrer trant quillement chez eux , s'ils... | |
 | Armand François Allonville (comte d') - 1837 - 604 Seiten
...bataille; je n'aurais pas couru les chances « de la fortune dans le moment où le moindre in« succès perdait la France; enfin je n'aurais pas « connu le secret de leur faiblesse. Je veux la paix; » je suis prêt à laisser les ennemis rentrer tran« quillement chez eux , s'ils... | |
 | Abel Hugo - 1838 - 984 Seiten
...9, il n'y aurait pas eu de bataille; je n'aurais pas couru les chances de la fortune dans le moment où le moindre insuccès perdait la France ; enfin , Je n'aurais pas connu le secret de Iru r faiblesse. Il est juste qu'en retour j'aie les avantages des chance» qui ont tourné pour moi.... | |
 | Armand François Allonville (comte d') - 1838 - 994 Seiten
...n'aurais pas couru les chances » de la fortune dans le moment où le moindre » insuccès perdrait la France; enfin je n'aurais » pas connu le secret de leur faiblesse. Je veux » la paix; je suis prêt à laisser les ennemis ren» trer tranquillement chez eux, s'ils... | |
 | Etienne-Léon baron de Lamothe-Langon - 1840 - 552 Seiten
...intention est » que vous ne signiez rien que par mon ordre , » parce que moi seul je connais ma position. Je » veux la paix, mais ce n'en serait pas une que...qui imposerait à la France des conditions » plus dures que celles de Francfort Je suis » prêt à cesser les hostilités et à laisser les enne» mis... | |
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