Précis de l'histoire moderneL. Colas, 1827 - 247 Seiten |
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... états qui se sont formés par la réunion successive des fiefs tendent ensuite à engloutir les pe- tits états , soit par la conquête , soit par des mariages . Les républiques sont absorbées par les monarchies , les états électifs par les ...
... états qui se sont formés par la réunion successive des fiefs tendent ensuite à engloutir les pe- tits états , soit par la conquête , soit par des mariages . Les républiques sont absorbées par les monarchies , les états électifs par les ...
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... état qui tend à faire un corps avant de se lier aux états voisins . Les premiers essais du système d'équilibre datent de la fin de cette période . Les peuples déjà civilisés au moyen âge doivent être assujétis par ceux qui ont conservé ...
... état qui tend à faire un corps avant de se lier aux états voisins . Les premiers essais du système d'équilibre datent de la fin de cette période . Les peuples déjà civilisés au moyen âge doivent être assujétis par ceux qui ont conservé ...
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... états entre eux.- La répu- blique européenne n'a plus cette unité d'impulsion que la religion lui donna à l'époque ... états autant que leurs relations politiques : l'Angleterre avec l'Écosse et la France ; l'Aragon avec la Castille et l ...
... états entre eux.- La répu- blique européenne n'a plus cette unité d'impulsion que la religion lui donna à l'époque ... états autant que leurs relations politiques : l'Angleterre avec l'Écosse et la France ; l'Aragon avec la Castille et l ...
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... états slaves en contact avec les états scandinaves , auxquels ils étaient jusque là étrangers . Au commencement de cette période , les souverains réunissent dans leurs mains toutes les forces nationales , et présentent aux peuples le ...
... états slaves en contact avec les états scandinaves , auxquels ils étaient jusque là étrangers . Au commencement de cette période , les souverains réunissent dans leurs mains toutes les forces nationales , et présentent aux peuples le ...
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... états du Nord tient peu à celui des états du midi , si ce n'est par l'ancienne alliance de la Suède avec la France . II . 1715-1789 , Cinquième áge du système d'équilibre . L'élévation des royaumes nouveaux de Prusse et de Sardaigne ...
... états du Nord tient peu à celui des états du midi , si ce n'est par l'ancienne alliance de la Suède avec la France . II . 1715-1789 , Cinquième áge du système d'équilibre . L'élévation des royaumes nouveaux de Prusse et de Sardaigne ...
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alliés Anglais Angleterre armée armes avaient barbares bataille Bourbon Bretagne c'était Calvinistes Catholiques cent Charlemagne Charles VII Charles-Quint chef colonies commença comte Condé conquête croisade Danemark déclara duc de Bourgogne duc de Guise Édouard enfans ennemis Espagnols états évêques féodales Ferdinand fils Flandre force François Ier Frédéric frère Gaule Gaulois germanique gouvernement guerre Guise Henri IV Henri VIII Hollande Hongrie ibid impériale Jean jeune l'Allemagne l'Angleterre l'armée l'Autriche l'église l'électeur l'Empereur l'Empire l'Espagne l'Europe l'Italie Ligue Livonie Lombards Lorraine Louis XIV mains maison de Hanovre midi Milanais mille hommes mort Naples Navarre Neustrie noblesse Nord Normandie paix pape passer Pays-Bas père peuple Philippe politique Pologne premier prince Protestans provinces Provinces-Unies Prusse puissance Réforme règne reine reste révolution Richelieu rois Romains Rome royale royaume ruine Russie s'était saint Saxe Saxons seigneurs soldats Soliman succession Suède Suisses traité traité de Westphalie trône troupes Turcs Venise victoire voulait xvie siècle
Beliebte Passagen
Seite 183 - Je veux vaincre ou mourir avec vous.,.. Gardez bien vos rangs , je vous prie , et si vous perdez vos enseignes , cornettes ou guidons , ne perdez point de vue mon panache blanc , vous le trouverez toujours au chemin de l'honneur et de la victoire (Péréfixe).
Seite 132 - Or, suivit ce prince, je vous veux montrer combien la religion que je tiens est plus douce que celle de quoi vous faites profession. La vôtre vous a conseillé de me tuer, sans m'ouïr, n'ayant reçu de moi aucune offense; et la mienne me commande que je vous pardonne, tout convaincu que vous êtes de m'avoir voulu homicider sans raison. Allez-vous-en, retirez-vous; que je ne vous voie plus ici; et, si vous êtes sage, prenez dorénavant en vos entreprises des conseillers plus gens de bien que ceux-là.
Seite 168 - L'échafaud demeuré solitaire, on enleva le corps: il était déjà enfermé dans le cercueil; Cromwell voulut le voir, le considéra attentivement, et soulevant de ses mains la tête comme pour s'assurer qu'elle était bien séparée du tronc, «C'était là un corps bien constitué, dit-il, et qui promettait une longue vie.
Seite 192 - Isabelle furent dans une singulière surprise de le voir revenir au bout de sept mois avec des Américains d'Hispaniola, des raretés du pays, et surtout de l'or qu'il leur présenta. Le roi et la reine le firent asseoir et couvrir comme un grand d'Espagne, le nommèrent grand-amiral et vice-roi du Nouveau-Monde.
Seite 145 - C'est grand'pitié quand le valet chasse le maître. Au reste, mon âme est à Dieu, mon cœur est à mon roi, et mon corps est entre les mains des méchants : qu'on en fasse ce qu'on voudra.
Seite 48 - Othon, premier du nom, roi de Germanie, le prince le plus puissant et le plus ambitieux de l'époque. Cette alliance mécontenta vivement les seigneurs, qui avaient une grande aversion pour l'influence teutonique. Le représentant de cette opinion nationale, et l'homme le plus puissant entre la Seine et la Loire, était Hugues, comte de Paris, auquel on donnait le surnom de Grand, à cause de ses immenses domaines.
Seite 154 - Sully), voilà les deux mamelles dont la France est alimentée, les vraies mines et trésors du Pérou. Le commerce et les arts, moins protégés par Sully, furent cependant en honneur; les étoffes d'or et d'argent enrichissent Lyon et la France. Henri établit des manufactures de tapisseries de haute...
Seite 188 - ... embarras ; il fut contraint de s'arrêter à cause que la rue est fort étroite, par les boutiques qui sont bâties contre la muraille du cimetière des Saints-Innocents.
Seite 138 - ... terreur et d'appréhension des grands désordres qui s'alloient lors commettre; et pour y obvier, envoyasmes soudainement et en toute diligence un gentilhomme vers M. de Guise, pour luy dire et expressément commander de nostre part qu'il se...
Seite 149 - de pitié en moy, car je meurs en homme de bien. « Mais j'ai pitié de vous, de vous veoir servir contre « vostre prince et vostre patrie, et vostre ser