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(1) Le mois de nivôse an XIV n'eut que 10 jours; conformément au sénatus-consulte du 21 fructidor an XIII, le lendemain du 10 de
ce mois fut le 1er janvier 1806.

Messidor

Juin

Thermidor.

Juillet.

Fructidor.

Août.

Nombre de jours

complémentaires.

CALES (G. M.), avocat de Toulouse, représenta le département de la HauteGaronne à l'Assemblée législative et à la Convention, qui l'envoya, en 1793, près l'armée des Ardennes. Membre du Conseil des Cinq-Cents jusqu'en 1798, il fut envoyé à la chambre des représentants, en 1815. Mais comme il avait voté la mort de Louis XVI sans appel et sans sursis, la loi d'amnistie de 1816 le força de s'exiler en Suisse.

nom de Gui de Bourgogne. Il était archevêque de Vienne depuis 1088, lorsque Gélase II, chassé de Rome, vint mourir à Cluny. Gui de Bourgogne fut élu aussitôt par les cardinaux qui avaient suivi le pape exilé. C'était en 1119. Le nouveau pape essaya de s'entendre avec l'empereur Henri V, qui avait été couronné par l'antipape Maurice Bourdin, dit Grégoire VIII. Un concile fut convoqué à Reims à cet effet; mais ce ne fut qu'en 1122, à la diète de Wurtzbourg, que l'accord fut conclu, et que finit la longue que

CALETES, ou Caleti, peuplade celtique, dont le territoire était borné au N. par l'Océan, au S. par les Velo-relle des investitures, qui troublait decasses, au N. E. par les Ambiani, et au S. O. par les Lexovii. Juliobona, aujourd'hui Lillebonne, en était la capitale.

CALIGNON (Soffrey de ), né à SaintJean-de-Voiron, près de Grenoble, en 1550, fut d'abord secrétaire de Lesdiguières, puis chancelier de Navarre, sous Henri IV, qui l'employa souvent dans les négociations les plus difficiles. Il travailla avec de Thou à l'édit de Nantes. «< Soffrey Calignon, dit le « Journal de Henri IV, excellent en « tout, mourut protestant à cinquante« six ans et quelques mois, à Paris, « au mois de septembre, en 1606.» On a de lui: Journal des guerres faites par François de Bonne, duc de Lesdiguières, depuis l'an 1585 jusqu'en 1597, manuscrit in-folio conservé à la bibliothèque royale; le Mépris des Dames, satire imprimée dans la Bibliothèque de Duverdière. On a attribué à Calignon l'Histoire des choses remarquables et admirables advenues en ce royaume de France, ès années dernières 1587, 1588, 1589, par S. C.; 1590, in-4°.

CALIXTE II appartenait par sa naissance à l'une des plus illustres familles féodales du moyen âge. Fils de Guillaume Tête hardie, comte de Bourgogne, il était parent de l'empereur, du roi de France, de celui d'Angleterre; enfin, il était oncle d'Adélaïde de Savoie, femme de Louis le Gros. Il était né vers le milieu du onzième siècle, dans la petite ville de Quingey; et, avant son élection, il portait le

puis cinquante ans le monde chrétien. L'empereur conserva le droit de faire faire les élections en sa présence, et d'investir l'élu des régales par le sceptre; le pape eut pour sa prérogative l'investiture par la crosse et l'anneau. Tous les domaines confisqués sur l'Église devaient être restitués; et les deux parties s'étant promis une solennelle réconciliation, l'empereur communia des mains de l'évêque d'Ostie, et celui-ci, représentant de la papauté, lui donna le baiser de paix. Des l'année 1123, Calixte était entré à Rome, et y avait rétabli la véritable autorité pontificale, entreprise où il avait été efficacement secondé par les Normands de la Pouille. Ce n'était point assez d'avoir chassé Bourdin de Rome; laisser dans le sein de l'Église tous ceux qu'y avait introduits l'antipape, c'eût été une grossière faute de politique. Calixte tint un concile général, le neuvième œcuménique dont l'histoire fasse mention, et le premier de Latran; et là furent annulées toutes les ordinations faites par Bourdin, avec défenses à l'antipape d'usurper désormais les biens de l'Eglise, sous peine d'anathème. Dans le même concile, le pape fit décréter qu'on enverrait des secours aux chrétiens d'Asie; et lui-même il paya la rançon du roi de Jérusalem, Baudouin II, et fit la plus grande partie des frais de l'armement de la flotte vénitienne qui alla porter des secours à ce monarque. Après avoir terminé quelques différends avec Roger, roi de Sicile, Calixte s'occupa de rétablir la

paix dans les États de l'Église; il détruisit la puissance que s'étaient arrogée, à la faveur des troubles, quelques vassaux du saint-siége, et délivra le peuple de leur tyrannie; il institua une police plus régulière dans Rome, y répara ou construisit un certain nombre de monuments, et mourut à la fin de l'année 1124, universellement regretté, surtout des Romains qu'avaient charmés son affabilité et la douceur de son caractère. On trouve un certain nombre de sermons et d'autres opuscules du pape Calixte II dans divers recueils religieux.

CALIXTE III, qui fut élu pape le 8 avril 1455, et qui mourut le 6 août 1458, était encore un Français. Il se nommait Alphonse Borgia, et était né à Valence. On dit qu'il avait extrêmement à cœur les intérêts de la religion; et ses tentatives de croisade sont une preuve au moins de sa bonne volonté. On lui reproche, peut-être sans fondement, d'avoir aimé trop l'argent, et d'avoir laissé à sa mort un héritage trop peu apostolique. On peut aussi lui reprocher son aveugle prédilection pour son neveu, Lenzuoli, lequel prit le nom de Borgia, et, plus tard, scandalisa l'univers sous le nom d'Alexandre VI. C'est à Calixte III que cet infâme dut le commencement de sa haute fortune politique. Mais Calixte a bien mérité de notre pays par un grand acte de justice que réclamait en vain la conscience du monde chrétien, et qu'il osa accomplir. Le 14 juillet 1456, Calixte fit prononcer, par une commission ecclésiastique, la réhabilitation de Jeanne d'Arc. Il fut déclaré, par un arrêt solennel, que Jeanne était morte martyre pour la défense de sa religion, de sa patrie et de son roi. Calixte eût bien voulu la canoniser; mais son courage n'alla pas jusque-là : qu'avait d'ailleurs besoin l'héroïque victime d'une canonisation pour être à jamais dans sa patrie l'objet d'un culte religieux et d'une sainte admiration?

CALLAC, seigneurie de Bretagne, à 28 kilomètres de Guimgamp, érigée en baronnie en 1644. Ce lieu fait aujour

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CALLAMARD (Charles-Antoine) sculpteur, né à Paris, fut élève de Pajou et obtint, en 1797, le premier grand prix de sculpture sur le sujet d'Ulysse enlevant à Philoctete les flèches d'Hercule. Il envoya de Rome à l'exposition, en 1810, une statue de marbre représentant l'Innocence réchauffant un serpent. Une jeune fille, assise sur un rocher, enveloppe dans sa draperie et réchauffe sur son sein un serpent engourdi. L'expression de tristesse qu'elle éprouve en voyant la douleur de cet animal est très-belle; l'exécution des pieds et des mains est pleine de délicatesse. Sa statue en marbre, représentant Hyacinthe blessé, mit, en 1812, le sceau à sa réputation. Cette belle figure, dont les formes sont si élégantes et si pures, a été mise, par quelques personnes, en parallèle avec ce que l'antiquité a produit de plus parfait. Ces deux statues sont au musée du Louvre, galerie d'Angoulême. La mort qui frappa Callamard, vers 1821, lorsque, jeune encore, il allait donner à son talent tout l'essor dont il était susceptible, a privé la France d'un grand sculpteur. Callamard a sculpté à l'attique de l'arc du Carrousel, les armes d'Italie, soutenues par la force et par la sagesse.

CALLARD DE la Duquerie (JeanBaptiste), professeur de médecine à l'université de Caen, et membre de l'académie de cette ville, où il mourut en 1718, à l'âge de 88 ans, a laissé : Lexicon medicum etymologicum, sive tria etymologiarum millia quas in scholis publicis medicinæ alumnos ita postulantes edocuit; Caen, 1673, in-12: cet ouvrage, fort estimé, a été réimprimé plusieurs fois, et la dernière édition contient onze mille étymologies; Catalogus plantarum in locis paludosis, pratensibus, maritimis, arenosis et sylvestribus propè Cadomum in Nortmannia nascentium; Paris, 1714: ce petit livre est rare et peu connu.

CALLAS, petite ville de l'ancienne Provence, aujourd'hui département du Var, à 8 kilomètres de Draguignan,

donna, en 1536, un grand exemple de patriotisme. Charles-Quint traversait les Alpes, et François Ier n'avait point d'armée à lui opposer; le gouverneur de la Provence résolut de le repousser par d'autres moyens, et de le forcer à se retirer, en faisant un désert devant lui. Il ordonna, en conséquence, aux habitants de se retirer dans des lieux sûrs, et de brûler et dévaster tout ce qu'ils ne pourraient pas emporter. Les habitants de Callas donnèrent l'exemple du dévouement et mirent eux-mêmes le feu à leurs maisons, et, de proche en proche, toutes les villes, bourgs et villages de la Provence les imitèrent. La population de Callas est aujourd'hui de 2,268 habi

tants.

CALLE (la), Ville de l'Algérie, dans la province de Bone, sur le bord de la mer, à 60 kil. à l'ouest de Bone. Cette ville, cédée à la France par le traité du Bastion de France (voyez CONCESSIONS) en 1694, était d'une grande importance sous le rapport commercial. La garnison française qui y était établie, veillait, avec celle du bastion, sur les navires qui se livraient à la pêche du corail. (Voyez ce mot.) Cette ville a été brulée, en 1827, par les troupes du dey d'Alger.

CALLET (Antoine-François), peintre d'histoire, né à Paris, en 1741, fut reçu à l'Académie en 1780. Dans l'histoire de la peinture française, il se place à côté de Suvée, de Brenet, de le Barbier, de Vincent et de Peyron, c'est-à-dire, parmi les artistes de cette école dont Vien est le représentant le plus célèbre, et qui, en retirant l'art de la fausse voie où Boucher l'entraînait, préparèrent l'époque de David. Callet dessinait assez correctement, mais composait lourdement son coloris n'est pas faux, mais il n'a aucune qualité supérieure. Tels sont, au reste, les caractères de l'école à laquelle il appartenait. Cependant, quelque faibles que soient les oeuvres de ces artistes, comparées à celles de David, de Gros et de Gérard, on les trouvera remarquables à côté de celles de Lancret, de Watteau et de Loutherbourg. C'est en

effet une gloire pour Callet et ceux que nous avons cités avec lui, d'avoir vu le mal et essayé de bien faire. Les principales productions de Callet sont: Curtius se dévouant pour sa patrie; Vénus blessée par Diomède; l'Automné et les Saturnales; Achille trainant le corps d'Hector autour de Troie; la France sauvée, allégorie sur le vaisseau de l'État, sauvé, suivant Callet, au 18 brumaire; la bataille de Marengo; l'entrée du premier consul à Lyon, le mariage de Napoléon et de MarieLouise; le traité de Presbourg; Érigone; un Ganymede; une allegorie sur la naissance du roi de Rome; ia reddition d'Ulm (1812), à Versailles; l'entrée de Napoléon à Varsovie; Achille à la cour de Nicomede; enfin les portraits de Louis XVIII et du comte d'Artois. Callet est mort en 1823 (*).

un

CALLET (Jean-François), savant mathématicien, né à Versailles en 1744, vint s'établir à Paris en 1768, et y forma, pour l'école du génie, grand nombre d'élèves distingués. Il remporta, en 1779, le prix proposé par la société des arts de Genève sur les échappements. Il termina, en 1783, son édition des Tables de Gardiner, in-8", où l'on trouve les logarithmes des nombres jusqu'à 102,950. Il fut nommé professeur d'hydrographie à Vannes, en 1788, et, peu de temps après, à Dunkerque. Revenu ensuite à Paris, il fut professeur des ingénieurs-géographes au dépôt de la guerre pendant environ quatre ans. Il publia, en 1795, la nouvelle édition stéréotype des Tables de logarithmes, considerablement augmentée (jusqu'à 108,000), avec des tables de logarithmes des sinus pour la division décimale du cercle, et présenta à l'Institut, vers la fin de 1797, l'idée d'un nouveau télégraphe et d'une langue télégraphique dont les signes s'adaptaient, par une combinaison mathématique, à douze mille mots français dont il proposait

(*) Callet a peint en outre au Luxembourg un plafond représentant le lever de l'aurore. C'est par erreur que les biographes disent que cet artiste remporta en 1759 le premier grand prix de peinture.

de faire un dictionnaire. Ce savant mourut à Paris en 1799.

CALLETOT (Guillaume), chantre à déchant de la chapelle de Charles V, vers 1364. « Ce chantre, dit M. Fétis, était un de ceux qui, dans la chapelle du roi, improvisaient l'espèce de contrepoint simple qu'on appelait chant sur le livre. C'est ce qu'indique son titre de chantre à déchant. Les appointements de Calletot, ainsi que ceux de ses collègues, étaient de quatre sous par jour.»>

CALLIAN, petite ville de l'ancienne Provence, aujourd'hui département du Var, à vingt-neuf kilomètres de Draguignan, fut réduite en cendres, en 1391, par Raymond de Turenne, et rebâtie sur une éminence où se trouvait un hameau fortifié, qui, avec d'autres forts, avait servi à la défense de l'ancienne ville. La population de Callian est aujourd'hui de deux mille deux cents habitants. On y voit des restes d'antiquités romaines. CALLIERES (Fr. de), fils de Jacques de Callières, naquit en 1645 à Thorigny, ville de la basse Normandie, signa comme ministre plénipotentiaire, en 1698, le traité de Ryswick, puis devint secrétaire du roi, et remplaça Quinault à l'Académie française en 1683. On a de lui entre autres ouvrages: Des mots à la mode. 1692, in-12; Traité du bon et du mauvais usage de s'exprimer, et des façons de parler bourgeoises. 1693, in-12; De la manière de négocier avec les souverains. 1716, in-12; Histoire poétique de la guerre nouvellement déclarée entre les anciens et les modernes. Paris, 1688, in-12; Panégyrique historique du roi Louis XIV. París, 1688, in-4°. François de Callières mourut

en 1717.

CALLIÈRES (Jacques de), maréchal de bataille des armées du roi, avait publié plusieurs ouvrages, entre autres, une Histoire de Jacques de Matignon, maréchal de France, et de ce qui s'est passé depuis la mort de François 1er (1547) jusqu'à celle de ce maréchal (1597). Paris, in-fol., 1661.

CALLIETTE (L.-P.), curé de Grécourt, près de Ham, département de la Somme, mourut vers la fin du dixhuitième siècle. Il a publié : Histoire de la vie, du martyre et des miracles de saint Quentin. Saint-Quentin, 1767, in-12; et des Mémoires pour servir à l'histoire ecclésiastique, civile et militaire de la province de Vermandois. Cambrai, 1771-72, 3 vol. in-4°. CALLIGRAPHES. Ce mot, formé des deux mots grecs, xaλós, beau, et Ypápw, j'écris, désignait jadis les personnes chargées de déchiffrer et de mettre au net les notes tachygraphiques recueillies dans les assemblées publiques. On donna aussi plus tard ce nom aux copistes du moyen âge. Les calligraphes des livres ainsi que ceux des chancelleries cherchèrent de bonne heure à embellir leur écriture. L'usage du cinabre leur était venu des Romains, qui s'en servaient pour les rubriques (voyez ce mot) de leurs livres, et ils l'employaient pour orner leurs manuscrits, soit en marquant de traits rouges les premières lettres des périodes et des paragraphes, soit en traçant entièrement ces lettres avec de l'encre rouge. Ce fut en Grèce que l'on commença à changer les lettres rouges en lettres d'or et d'argent. Les rois francs adoptèrent également dans leurs manuscrits ce luxe, qui sous les Carlovingiens, prit de très-grands développements, et dont les différentes bibliothèques de l'Europe, et en particulier la bibliothèque royale de Paris, conservent plusieurs échantillons remarquables. Nous citerons entre autres, dans ce dernier dépôt, la fameuse Bible dite de Charles le Chauve.

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Ces travaux faisaient habituellement l'occupation des moines, ainsi que le prouvent les suscriptions d'un assez grand nombre de manuscrits. Mais les calligraphes de France, tant réguliers que séculiers, n'ont que rarement mis leurs noms à leurs ouvrages. Les copistes du précieux Codex evangeliorum, qui était jadis à Saint-Denis, et qui doit être maintenant à Saint-Emmeran de Ratisbonne, étaient deux re

T. IV. 2° Livraison. (DICT. ENCYCL., ETC.)

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