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les années 1496 à 1511.

Le tome premier du catalogue des manuscrits de la bibliothèque du Vatican, relatifs à l'histoire de Rome, a été publié par M, V. FORCELLO. On trouve dans le premier volume du Saggio di codice diplomatico formato sulle antiche scritture dell' archivio stato di Napoli, par M. C. Minieri Riccio des documents qui vont de 964 à 1243. — On a élevé à Capoue un monument au chancelier de Frédéric II, Pierre des Vignes; à cette occasion a paru un écrit de M. V. BIndi; Pietro della Vigna ed i grandi Capuani del regno di Federico II,

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Dans peu de jours on aura mis à découvert l'ancien temple de Romulus qui avait été converti en église des SS. Cosme et Damien. Les fresques magnifiques, découvertes près de la Farnesine, ont été déposées dans un local, situé près du temple d'Antonin et de Faustine; une des mieux conservées représente l'Education de Bacchus; elles seront placées, ainsi que tous les objets d'art retirés du Tibre, dans un nouveau musée, le Musée Tiberino, que l'on construit dans l'ancien jardin botanique à la Lungara.

Le 25 septembre a été célébré à Pompei le dix-huitième anniversaire séculaire de la destruction des villes de la Campanie ensevelics par le Vésuve l'an 79 de notre ère.

ACADÉMIE DES INSCRIPTIONS ET BELLES-LETTRES

Séance du 26 septembre 1879

L'Académie, ayant à choisir un lecteur pour la séance annuelle des cinq académies, qui doit avoir lieu le 25 octobre, désigne M. Le Blant. Il lira son mémoire sur le conte arabe de Cogia Hassan, rapproché d'une légende chrétienne du vi® siècle, rapportée par Jean Moschus.

M. Gaston Paris continue sa communication sur la phonétique des Serments de Strasbourg et sur celle de l'ancien français et du bas-latin en général. Il étudie aujourd'hui le sort de la pénultième brève dans les mots proparoxytons, lors du passage du latin aux langues romanes. Déjà dans le latin classique, les mots proparoxytons étaieni en moins grand nombre que les paroxytons. Dans les langues romanes, cette disproportion s'est beaucoup accentuée; dès l'époque du bas-latin, le plus grand nombre des proparoxytons ont été transformés en paroxytons. Cette transformation s'est faite de trois façons différentes ou la voyelle de la syllabe pénultième est tombée, ou elle s'est changée en consonne, ou l'accent s'est transporté de l'antépénultième sur la pénultième. Le premier cas (chute de la voyelle de la syllabe pénultième) est de beaucoup le plus fréquent. M. Paris l'étudie en premier lieu,

La chute de la voyelle pénultième atone a eu lieu dans tous les mots où elle a pu se faire sans produire un concours de consonnes qui rendît le mot difficile à prononcer. On l'observe tout d'abord dans les mots où cette voyelle est précédée d'une muette et suivie d'une ou d'une r elle se rencontre alors dès le latin classique : periclum, saeclum, hercle, dans Ennius opre pour opere, etc. Souvent, lors même qu'on écrivait la voyelle, on ne la prononçait pas, comme nous le voyons par les transcriptions grecques des mots latins, Pos pour Regulus, "Acxλov pour Asculum, etc. Dès le ive siècle, au plus tard, la chute de la pénultième dans cette position avait amené un autre phénomène, la transformation du t en c : au lieu de vetulus on disait veclus, au lieu de vitulus, viclus, etc, parce que le groupe de tl est difficile à prononcer. Ce second changement n'a pu se faire qu'après le premier : celui-ci (la chute de la voyelle) est donc ancien dans la langue, c'est bien un phénomène latin et non un phénomène roman.

(Le texte qui fournit les formes veclus, viclus, etc., est celui qui est connu sous le nom d'Appendix Probi. M. Paris donne à ce propos quelques détails sur ce texte, qui n'a pas été apprécié à sa juste valeur. C'est un recueil de locutions vicieuses corrigées, analogue aux «Ne dites pas... Dites... » de nos grammaires presque toutes les fautes qu'il corrige sont des manières de parler qui ont passé dans les langues romanes. Ce qui donne à ce texte une grande valeur, c'est qu'il est, pense M. Paris, plus ancien qu'on ne l'a cru jusqu'ici. Il voit la preuve de cette ancienneté dans un passage ainsi conçu : Vico capitis Africae, non vico caput Africae. On a corrigé

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REVUE CRITIQUE D'HISTOIRE ET DE LITTÉRATURE

à tort en vicecapitis et vicecaput. La vraie leçon est celle du ms., et l'explication en a été suggérée à M. Paris par feu C. de La Berge, et confirmée par M. L. Renier. Vico ou vicus capitis Africae est le nom d'une rue de Rome, où fut établie jusqu'à Constantin une école spéciale destinée à fournir des employés pour le palais impérial; un employé sorti de cette école s'appelait un caputafricensis. M. G. Paris croit pouvoir admettre que le traité dit appendix Probi, qui mentionne ce nom et ne mentionne aucun autre nom de rue ni de lieu, devait avoir été fait à l'usage de l'école du vicus capitis Africae, et, par conséquent, qu'il est au plus tard du temps de Constantin. Quant à la tournure vico caput pour vico capitis, critiquée par l'auteur de l'appendix, c'est le premier exemple d'un phénomène commun à toutes les langues romanes, comparées au latin classique: la substitution de l'accusatif aux cas obliques.)

Si la chute de la voyelle pénultième atone a eu lieu universellement et de bonne heure dans les mots où cette voyelle se trouvait entre une muette et une I et une r, il n'en pas été de même pour les mots où la chute de cette voyelle devait produire d'autres groupes de consonnes. Alors les choses se sont passés différemment dans les différentes langues romanes. L'italien souvent et l'espagnol assez souvent ont reculé devant la chute de la pénultième; par suite, ces deux langues ont conservé des proparoxytons, ou, comme on dit en italien, des mots sdruccioli (la plupart des sdruccioli qui existent aujourd'hui en italien sont, il est vrai, des mots savants, mais les savants n'ont pu leur donner cette forme que parce qu'il existait déjà des sdruccioli dans la langue populaire). En français et en provençal, au contraire, les proparoxytons ont fini par être tous éliminés : plus ou moins tardivement, il est vrai, car le provençal en a conservé quelques-uns longtemps et le français même quelque temps. Par exemple les mots où l'atone était suivie d'une n et précédée d'une autre consonne ont donné d'abord des proparoxytons provençaux et français : jovene de juvenem, antievene d'antefona pour antiphona, Estievené de Stephanum; ensuite les deux langues ont transformé ces mots en paroxytons chacune à sa façon jovene est devenu en provençal jove (suppression de la dernière syllabe), en français jeune 'suppression de la pénultième); antievene a fait en provençal antiève, en français antienne. Parfois le français a modifié un même mot de plusieurs manières différentes, qui tendaient toutes à le rendre paroxyton: ordene a donné les trois formes orne (d'où ornière), orde (d'où ordiere, synonyme d'ornière dans certains patois), et ordre, qui est resté. A l'exemple de jovene, antievene, ordene, ont été formés des mots savants tels qu'imagene (par formation populaire, imaginem aurait donné imain), pagene, virgene, angele, qui sont devenus depuis image, page, vierge, ange.

Dans les mots où la voyelle pénultième atone était précédée de deux consonnes et suivie d'une troisième, le provençal et le français se sont comportés très différemment. Le provençal, en ce cas, a commencé par conserver la pénultième et a eu ainsi des proparoxytons: pértega de pertica, portegue de porticus, fabregas de fabricas : plus tard il a transformé ces mots en paroxytons par un déplacement de l'accent, qui s'est porté de l'antépénultième sur la pénultième : pertéga, portégue, fabrégas. Le français, au contraire, a supprimé dans tous ces mots la voyelle de la pénultième, et avec elle une des consonnes qui auraient gêné la prononciation: perche, porche, forge.

Enfin, lorsqu'en latin la pénultième était suivie de deux consonnes, elle n'a pu tomber alors, dès le bas latin, il s'est produit un déplacement de l'accent, qui a passé de l'antépénultième à la pénultième : lat. palpébra, b.- lat. palpébra, franç. paupière; integrum, intégro, entier; colubra, colobra, couleuvre, etc.

Dans sa prochaine lecture, M. Paris parlera des proparoxytons qui sont devenus paroxytons par transformation de la voyelle pénultième en consonne.

M. Th. H. Martin continue la lecture de son mémoire sur les hypothèses astronomiques des philosophes grecs. Il expose les théories astronomiques et cosmographiques d'Eudoxe, et réfute les idées de certains critiques qui, supposant à Eudoxe plus de connaissances qu'il n'en pouvait avoir, lui ont prêté un système trop savant et trop rationnel pour son époque.

Ouvrages déposés: - E. CAILLEMER. Compilation anonyme sur la défense des places fortes, traduite pour la première fois du grec (Besançon 1872, extrait des Mémoires de la société d'émulation du Doubs, 1870-1871; -J. GIRARD. Le sentiment religieux en Grèce (nouvelle édition); Ch. NISARD, Guillaume du Tillot.

Julien HAVET.

Le Propriétaire Gérant: ERNEST LEROUX.

Le Puy, typ.-et lith. Marchessou fils, boulevard Saint-Laurent, 23.

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ζαντίνων. Venise, et Κρηπκὸν θεάτρον ἤ συλλογὴ ἀνεκδότων καὶ ἀγνώστων Spauάτwv. Venise. (W. W. très importante étude sur le moyen-âge grec, utile à l'historien et au philologue.) Lehrsii dissertatio de ironia, p. p. Friedländer, Königsberg, Dalkowski. HAGEN, Zur Geschichte der Philologie u. zur römischen Literatur. Berlin. Calvary. (Renferme les études suivantes : 1° le jurisconsulte et philologue P. Daniel d'Orléans; 2° Bongars, contribution à l'histoire de l'érudition du xvio au XVII siècle; 3° De aliquot anthologiae latinae carminibus et de tractatu aliquo Bernensi de philautia disputatio; 4° De Oribasii versione latina Bernensi commentatio.)- Altenglische Dichtungen des Ms. Harl. 2253, mit Grammatik u. Glossar. hrsg. V. BÖDDEKER. Berlin, Weidmann. 1878. (A recommander à tous les amis du vieil anglais.) TAUBERT, Daphne, das erste deutsche Operntextbuch. Torgau, Jacob, (Bon.) DAL, Norges Helgener. Christiania, Cammermeyer. (Vaste et excellent travail sur les saints nationaux de la Norvège, entre autres, S. Olaf.) KAMMER, Karl Lehrs. Berlin, Calvary. (Biographie de l'éminent philologue et appréciation de ses travaux.) ROSCHER, Hermes der Windgott. Leipzig, Teubner. 1878. (Un des meilleurs travaux sur la mythologie grecque dans ces derniers temps; Hermès serait le dieu du vent.) Geschichte des deutschen archäologischen Instituts 1829-1879. Berlin, Asher. (Histoire de l'Institut allemand de Rome depuis sa fondation jusqu'à nos jours; « puisse, lit-on dans la conclusion, puisse cet arbre être encore là dans cinquante ans, plus vigoureux qu'aujour d'hui, l'ornement du Capitole, l'honneur du 'nom allemand, l'objet du respect et de la reconnaissance de toutes les nations où vit l'idéal de l'antiquité classique! ») - BOUTKOWSKI, dictionnaire numismatique. Tome I, vol. 1. Leipzig, Weigel. (L'auteur devrait ne se borner qu'à la numismatique, trop d'erreurs historiques et autres.) — DEMMIN, Encyclopaedie der Schriftenkunde, Bilderkunde, Baukunst, u. s. übersetzt von MOTHES. (« Cette édition allemande du livre de Dimmin est un spécimen du demi-savoir, de la science superficielle, et, grâce au traducteur, du « mauvais genre ».)

Jenaer Literaturzeitung, no 38, 20 septembre 1879: Paludan-Müller, das Sichtbare und das Unsichtbare, deutsch von SCHUHMACHER. Gotha, Perthes. (Tollin.) - DEUSSEN, die Elemente der Metaphysik. Aachen, Mayer. (Pfleiderer: remarquable.) SIMONSFELD, Venetianische Studien. I. Das Chronicon Altinate. München, Ackermann. 1878. (Bernhardt bon) VANDERKINDERE, le siècle des Artevelde. Bruxelles, Lebégue (Philippson: excellent). FITA, Restos de la declinacion celtica y celtibérica en algunas lápidas españolas. Madrid, Maroto. 1878 et el Gerundense y la España primitiva. Madrid, Perojo; COSTA, Organisacion política, civil y religiosa de los Celtiberos. Madrid, Montoya. (Hübner : écrits qui méritent d'être connus.) HAUPT, die sumerischen Familiengesetze in Keilschrift, Transcription u. Uebersetzung. Leipzig, Hinrichs; LENORMANT, Etudes cunéiformes. Paris, Maisonneuve. (Hommel: le travail de M. Haupt est très important, et fait honneur à son auteur; c'est un excellent début dans une science difficile.) · GOEPFERT, Die Mundart des sächsischen Erzgebirges. Leipzig, Veit. 1878. (Winteler art. de huit colonnes sur un livre que le grammairien ne doit pas laisser inaperçu.)

Bibliographie. Programmes et dissertations des universités et gymnases d'Allemagne. ANGERMANN, Bemerkungen über die Abstammung der Pelasger vom sprachwissenschaftlichen Standpunkte aus. (Meissen,) BLOCK, Sextus Pompeius Magni Cnaei filius. (Leyde.) — BRENCker, Die Abtretung Vorpommerns an Schweden und die Entschädigung Brandenburg's, ein Beitrag zur Geschichte des westphälischen Friedens.

(Halle.) - DEUTICKE, Archilocho Pario quid in graecis litteris sit tribuendum. (Halle.) - FLATHE, Specimina eruditionis Afranae Georgio Fabricio rectore scripta e codice Bibliothecæ Gothanæ nr. 212 excudenda. (Meissen). FLEISCHER, Kritisches und Exegetisches zum bellum gallicum und bellum Hispaniae (Meissen). - GLOEL, De interpolatione Hippolyti fabulae Euripideae. (Halle.) - GRUMME, homerische Miscellen. (Gera.) - HAGEN, Ueber die altfranzösische Vorstufe des shakspeare'schen Lustspieles « Ende gut, alles gut. » (Halle.) (Halle.) HöнмE, Die positiven HÖHME, Berührungspunkte zwischen Kant und der evangelischen Theologie (Meissen). JORDAN, De pronominalium quae dicuntur interrogantium usu Homerico. (Halle.)- KETTNER, Beobachtungen über die Benutzung des Valerius Flaccus. (Pforta.) KÖHLER, Lettres françaises de Jean Calvin. (Meissen.) MILBERG, Meissen und die Albrechtsburg im J. 1745. (Meissen.) PETER, Ueber den Werth der historischen Schriftstellerei von König Juba II von Mauritanien. (Meissen.) - PLUESS, De Horatii carm. III, 25. (Pforta.)- REDSLOB, Symbolae criticae ad Plauti fabulas. (Weimar.) ROSCHER, zur griechischen Lautlehre. (Meissen.) SCHNELLE, Kritisches zum Panegyricus des Plinius. (Meissen.)- SCHUCHARDT, Riccaut de la Marlinière, ein Beitrag zur Erklärung von Lessing's Minna von Barnhelm. (Schleiz.) SCHULTZE, De Christianorum veterum rebus sepulcralibus commentatio historico-archaeologica. (Leipzig.) WACHTER, Der Einfluss der nationalen und clericalen Stellung Gislebert's von Mons auf seine Geschichtsschreibung. (Halle.) — WORNER, Ueber den Gebrauch der homerischen mit Präpositionen zusammengesetzten und mit dem Suffix to gebildeten Adjectiva. (Meissen.) - WUNDER, L.Annaeus Seneca quid de dis senserit exponitur. (Grimma.)

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Neues Archiv der Gesellschaft für altere deutsche Geschichtskunde. 4° vol. III liv. 1879. (Hanovre, chez Halm): BROSIEN, Wilhelm von Nangis. und Primat. DÜMMLER, Die handschriftliche Ueberlieferung der la teinischen Dichtungen aus der Zeit der Karolinger. III.- WAITZ, Handschriften in englischen und schottischen Bibliotheken. (Suite.)

Rassegna Stimanale, n° 90, 21 septembre 1879 MASI, L'ultimo amore di F. Lassalle. Bibliographia. BISSOLATI, II principio logico dell'ascetismo.

Rivista Europea, Rivista internazionale, fasc. II, vol. XV, 16 septembre 1879: RÓNDANI, I tre canti più famosi della Divina Commedia. Gli studi da Bertollotti sopra la familia Cenci. FERRARI, Un'episodio della Divina Commedia, Dante e Buonagiunta. BAFFI, Lettere e poesie inedite di Gabriele Rossetti. (Suite.) CASTAGNA, Il cavaliere Raffaele d'Ortensio, professore di eloquenza e letteratura italiana. - RICARDI, Litolatria, studi intorno alla scienza della religiosita. — Rassegna letteraria e bibliografica.

-

Revue critique russe, no 15, août 1879 L'Iliade d'Homère avec commentaires en russe par GOSPITEZ (Korch). - VAMBÉRY, La civilisation primitive des Tures-Tatares.- LOUTCHITSKY, Les assemblées provinciales en France sous Louis XVI (Bon essai). · Travaux des Sociétés savantes Slaves. (La Matica Morave.)

-

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N° 16. KUHN, L'origine des villes du Komenverfassung et du Synoikismos (Schwarz). FONTAINE, Le théâtre et la philosophie au XVIIe siècle. (Alexis Veselovsky. Cf. Revue critique, no 36, art. 173.) — E. et J. de GONCOURT, Portraits intimes. Le congrès archéologique de Tiflis.

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Le Puy, imprimerie et lithographie Marchessou fils, boulevard Saint-Laurent, 23.

N° 41

Treizième année

11 Octobre 1879

D'HISTOIRE ET DE LIT RATURE

RECUEIL HEBDOMADAIRE PUBLIÉ SOUS LA DI ECTION

DE MM. C. GRAUX, S. GUYARD, G. MONOD, G. PARIS

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ERNEST LEROUX, ÉDITEUR

LIBRAIRE DE LA SOCIÉTÉ ASIATIQUE

DE L'ÉCOLE DES LANGUES ORIENTALES VIVANTES, ETC.

28, RUE BONAPARTE, 28

Adresser les communications concernant la rédaction à M. A. CHUQUET (Au bureau de la Revue rue Bonaparte, 28).

ERNEST LEROUX, ÉDITEUR, RUE BONAPARTE, 28.

(Suite du Catalogue)

Sottisier de Nasr-Eddin-Hodja, Bouffon de Tamerlan, suivi d'autres facétics turques, traduits sur des manuscrits inédits par J. A. Decourdemanche. In-12 de luxe.

Urechia (V. A., député au parlement roumain). Opere complete.

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750

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7 50

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II. Teatru.

III. Conferinte si Discursuri.

La collection complète formera 10 volumes.

Vasconcellos-Abreu (G. de). Principios elementares da grammatica da lingua sâoskrita. Parte 1. Phonologia. In-8.

XXVI.

BIBLIOTHÈQUE ORIENTALE ELZÉVIRIENNE

5 »

Vikramorvaci, Ourvaci donnée pour prix de l'héroïsme. Drame sanscrit, traduit par Ph. Ed. Foucaux, professeur au collège de France. In-18 elzévir. 2 50 XXVII. Nagânanda, la joie des serpents. Drame bouddhique, traduit par M. Bergaigne, professeur à l'école des Hautes-Etudes. In-18 elzévir.

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BIBLIOTHÈQUE SLAVE ELZÉVIRIENNE

250

La mort d'Ivan le Terrible, drame du comte Tolstoy Traduit du russe par Courrière, mis en vers et adapté à la scène française par Demeny et Izambard. In-18 elzévir.

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