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MM. Mancini, Messedaglia et Mariotti, chargés de préparer le programme du concours, indiquent dans leur rapport les points principaux qu'il faut traiter et les documents inédits que les concurrents pourront consulter dans certains dépôts publics d'Italie.

ACADÉMIE DES INSCRIPTIONS ET BELLES-LETTRES

Séance du 27 juin 1879.

M. Gaston Paris, au nom de la commission du concours annuel des antiquités de la France, annonce qu'aucun des ouvrages envoyés cette année au concours n'a paru mériter une médaille : la Commission à décerné seulement six mentions honorables aux auteurs des ouvrages suivants :

1. DELPECH, La bataille de Muret et la tactique de la cavalerie au xin siècle (avec supplément);

2. DE LENS, Facultés, collèges et professeurs de l'université d'Angers du xv® s. à la Révolution, t. 1;

3. HUCHER, Monuments de la famille de Bueil; L'émail de Geoffroi Plantagenet; 4. DE FLEURY, Notes additionnelles et rectificatives au Gallia Christiana (ms.); 5. GUILLOUARD, Recherches sur les colliberts;

6. ARBELLOT. La vérité sur la mort de Richard Coeur-de-Lion.

L'Académie procède à l'élection d'un membre libre en remplacement de M. de Lasteyrie, décédé. M. Frédéric Baudry est élu par vingt-deux voix contre dix-huit données à M. le comte Paul Riant et une à M. Charles Tissot (qui avait retiré sa candidature).

M. Geffroy, directeur de l'Ecole française de Rome, adresse par lettre de nouveaux détails sur la maison antique découverte près de la Farnésine. On a trouvé une quatrième chambre, avec une paroi peinte. A côté de médaillons avec des scènes de genre, une frise peu étendue présente des paysages avec temples et édicules comme ceux qu'on voit au Palatin dans l'une des chambres de la maison de Livie. Sur le mur extérieur M. Geffroy a aperçu un graffito à peine tiré de terre. M. Geffroy rend compte ensuite d'une excursion archéologique qu'il a faite, avec un membre de l'Ecole, à l'antique nécropole de Volci, à Canino et à Musignano. Il rectifie ce qu'il avait annoncé, d'après un simple ouï-dire, au sujet d'un cadavre entouré de pétrifications par l'effet de l'infiltration des eaux de la Fiora. Il n'y a rien là d'analogue aux cadavres moulés dans la cendre à Pompéi. Le cadavre de Volci, étendu sur la pierre funéraire, avec des armes, des vases, etc., a reçu pendant des siècles des gouttes d'eau chargée de calcaire: ce calcaire s'est étendu en une couche solide et mate qui a tout confondu, ossements, vases, etc. La matière pétrifiée semble être partout de même nature: seuls le crâne, les os des jambes et des pieds, la bouche d'un vase et quelques autres saillies analogues émergent de la masse. C'est une singularité, mais sans intérêt pour l'archéologie. - Le prince Torlonia, propriétaire d'une partie de la nécropole de Volci, y fait faire des fouilles sous la direction de M. Marcelliani. Ces fouilles ont amené la découverte de plusieurs objets importants. Le plus remarquable est un grand sarcophage étrusque, orné sur trois faces de basreliefs, et sur le couvercle, forme de toit, d'une statue grandiose en demi-relief qui représente un génie de la mort ou du sommeil, en vêtement flottant, aux vastes ailes déployées, la tête rejetée en arrière c'est un morceau de sculpture très intéressant. M. Torlonia se propose aussi de faire fouiller, s'il se peut, l'intérieur du célèbre tumulus de la Cucumella, qui est resté jusqu'ici inaccessible à tous les explo

rateurs.

M. Ernest Desjardins communique une note de M. Pélagaud, docteur ès lettres, annonçant une découverte importante pour la métrologie romaine, qui vient d'être faite en Italie. En réparant, pour le mettre en état de servir encore, un ancien aqueduc romain voisin de Bologne, l'ingénieur chargé des travaux, M. Zannoni, a trouvé, dans une partie qui avait déjà subi des réparations à une époque ancienne, des entailles tracées à la pointe sur les parois, à des intervalles réguliers. Sur l'une des

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REVUE CRITIQUE D'HISTOIRE ET DE LITTÉRATURE

parois du canal, ces entailles sont espacées de 0,295; sur l'autre paroi, de 0,413; les unes et les autres sont numérotées de dix en díx, en chiffres romains. La plus grande division répondait probablement à quelque unité de mesure locale (il y a encore aujourd'ui un pied bolonais de oo,38): 10 de ces grandes divisions équivalent à 14 des plus petites. Ces dernières sont sans doute des pieds romains; en effet, la paroi où on les trouve porte en un endroit une inscription ainsi conçue: I.C.X.M.P., que M. Pélagaud interprète : Incipit caput decem millium pedum. Le pied romain serait donc, d'après cela, de o",295. C'est moins que ce que l'on admet généralement; mais il faut remarquer, ajoute M. Pélagaud, qu'on a déjà constaté que le pied romain avait subi une légère diminution vers l'époque de Septime Sévère. Or les marques tracées sur les parois de l'aqueduc de Bologne peuvent bien être postérieures à cette époque.

M. Desjardins dit qu'il est établi que le pied romain était de o 2963, et qu'il faut s'en tenir à cette mesure. Elle donne pour le mille romain, de cinq mille pieds, 1481 50. et pour la lieue gallo-romaine d'un mille et demi, 2222 25, soit exactement la moitié de l'ancienne lieue de France, qui était de 4444" 50; aussi admeton généralement que l'ancienne lieue de France était la double lieue gallo-romaine, dont la mesure s'était exactement conservée à travers le moyen-âge. La même évaluation donne juste 75 milles romains au degré. Ces coïncidences remarquables disparaîtraient si l'on devait admettre que le pied romain eût été de o 295. M. Desjardins est disposé à croire que l'on se sera trompé en mesurant les pieds romains marqués sur l'aqueduc de Bologne. Il émet le vœu qu'on en prenne la mesure encore une fois, en mesurant, non un seul pied à la fois, ce qui prêterait facilement à des erreurs, mais un nombre considérable de pieds, pour en déduire ensuite la longueur du pied par le moyen d'une division arithmétique: il pense qu'en procédant ainsi on trouvera, là aussi, o 2963 et non om 295.

S'il

M. Paul Pierret commence la lecture d'un travail intitulé: Essai sur la mythologie égyptienne. Selon M. Pierret, cette mythologie n'est pas aussi obscure qu'on l'a dit souvent, et il est possible d'en débrouiller le chaos : c'est ce qu'a commencé de faire un répétiteur de l'Ecole pratique des hautes études, M. Grébaut, et ce que M. Pierret espère faire plus complètement encore. Pour cela il ne faut pas s'attacher aux noms des dieux et aux cultes locaux, car le même dieu ou le même symbole divin était adoré en divers lieux sous des noms différents. Il faut considérer la fonction de chaque figure divine, son rôle dans la symbolique mythologique. fallait en croire M. Pierret, le principe fondamental de la religion des Egyptiens aurait été le monothéisme. Leur polythéisme serait purement symbolique : les divers dieux ne seraient que des figures sous lesquelles les initiés à la doctrine, les prêtres représentaient les diverses manifestations du dieu suprême, primordial, unique. Au peuple seulement, au vulgaire, ces prêtres faisaient croire que ces symboles étaient des dieux véritables : et ils les entretenaient dans cette illusion, parce qu'en les tenant dans la superstition ils avaient mille prétextes de tirer d'eux de l'argent. Telle est la thèse soutenue par l'auteur du mémoire. - Dans un premier chapitre, M. Pierret réunit les passages qui lui paraissent prouver le monothéisme fondamental de la doctrine des prêtres égyptiens. If traite ensuite de la principale manifestation de la divinité et de la première figure divine du panthéon égyptien, le Soleil.

Ouvrage déposé: The sacred books of the East translated by various oriental scholars and edited by F. Max Müller. (Oxford, Clarendon Press, vol. I-III, in-8.)

Présenté de la part de l'auteur, par M. de Longpérier: La langue et le peuple des Mèdes, par Jules OPPERT (1 vol. in-8).

Julien HAVET.

1. M. Desjardins fait des réserves sur les deux premiers mots de cette lecture, qui lui paraissent contenir un pleonasme.

Le Propriétaire-Gérant: ERNEST LEROUX.

Le Puy, typ. et lith. Marchessou fils, boulevard Saint-Laurent, 23.

All

nis primo de finibus bonorum et malorum libro quaestiones. Berlin, Mayer u. Müller. 1878. (Combat quelques passages du texte et du commentaire de Madwig.) ERHLICH, Der Humor Shakspeare's. Wien, Manz. 1878. (L'auteur n'a pas une idée nette de l'« humor ».) weise's Sprüche, Thryms-Sagelied, Hymis-Sagelied und Loki's Wortstreit, vier eddische Gedichte des Thôr-Cyclus, übersetzt und erklärt von BERGMANN. Strassburg, Trübner. 1878. (Ce sont toujours les mêmes. défauts que l'auteur de l'article (Edzardi) a déjà blâmés; mais « il est inutile de discuter avec l'auteur sur sa critique de textes arbitraire, sur sa métrique bizarre, sur son opinion sur l'âge des diverses poésies de l'Edda, sur les détails de sa traduction; Bergmann lâche si bien les brides à son imagination qu'on peut rarement le suivre, d'autant plus qu'il ne renvoie pas aux passages où aux travaux sur lesquels il s'appuie. ») Finnbogasaga hins ramma, hrsg. von GERING. Halle, Buchh. des Waisenhauses. (Excellente édition, donnée par un élève de Maurer.) Quellen der byzantinischen Kunstgeschichte ausgezogen und übersetzt V. UNGER. I. Band. Wien, Braumüller. 1888.

Deutsche Rundschau, Band XIX; juin 1879: Karl HILLEBRAND, das Ende des Julikönigthums, nach meist ungedruckten oder jüngst veröffentlichten Quellen. (Article intéressant sur la fin du gouvernement de Juillet.) - ERDMANN (Benno), Zur Charakteristik der Philosophie der Gegenwart in Deutschland. DINGELSTEDT, Münchener Bilderbogen, das Ende des Anfangs. (Suite.) - GENÉE, Hanswurst und seine Verwandtschaft, zur Geschichte der komischen Theaterfigur, hauptsächlich in England und Deutschland. EHLERT, Musik und Geselligkeit. -HOMBERGER, Ernst Renan und die deutsche Cultur. (Réponse à M. Renan.) - Literarische Rundschau: KREYSSIG, Treitschke's deutsche Geschichte. LAMMERS, Colonial-Prospecte. RODENBERG, Zwei Necrologe. (Etienne et Wolff.) Rassegna Settimanale, no 75, 8 juin 1879 : Il 72° anniversario della nascita di Enrico W. Longfellow. (pov: avec une traduction d'Excelsior en vers italiens.) — Una nuova biografia di Garibaldi (par Alberto Mario, tient le milieu entre la polémique politique et la correspondance de journal). Bibliografia: ERRICO, Scritti due unediti di Ferdinando Galiani con un cenno della sua vita (il n'est pas suffisamment démontré que ces deux écrits soient de l'abbé Galiani).

>>

15 juin 1879, no 76: D'ANCONA, La corte di Roma nel secolo XVII secondo le relazioni degli ambasciatori veneti. (D'après l'ouvrage, le relazioni della corte di Roma lette al Senato dagli ambasciatori veneti nel secolo XVII, raccolte ed annotate da BAROZZI e BERCHET, Vol. I. Venezia, Naratovitch). Bibliografia: Giovanni de CASTRO, Milano e la republica cisalpína giusta le poesie, caricature ed altre testimonianze dei tempi. Milano, frat. Dumolard (de précieux renseignements sur Milan et la république cisalpine).

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L'Athenaeum belge, 15 juin 1879: Politische Correspondenz Friedrich's des Grossen. I. Berlin, Duncker (Banning: documents nombreux et importants). Trouvères belges, nouvelle série p. p. SCHELER. Louvain, Lefever Stecher seconde série). SCHOY, Histoire de l'influence italienne sur l'architecture dans les Pays-Bas (Wauters). SHIELDS, The inal philosophy as issuing from the harmony of science and religion. New York, Scribner. - Bulletin: (BABEAU : le village sous l'ancien régime. Paris, Didier). Les fouilles d'Olympie (De Ceuleneer).

LIBRAIRIE DE FIRMIN-DIDOT ET Cie

IMPRIMEURS DE L'INSTITUT, RUE JACOB, 56

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Collé (Charles). Journal et Mémoires sur les hommes de lettres, les ouvrages dramatiques et les événements mémorables du règne de Louis XV. Nouvelle édition augmentée de fragments inédits avec une introduction et des notes par M. Honoré Bonhomme. 3 vol. in-8, 18 fr. Dangeau (marquis de). Journal de 1684 à 1720, publié en entier pour la première fois, par MM. Eudore Soulié, L. Dussieux et de Chennevières, avec les additions inédites du duc de Saint-Simon, publiées par M. Feuillet de Conches. 19 vol. in-8. L'œuvre de Dangeau, publiée en entier pour la première fois, est le tableau le plus fidèle et le plas complet de l'histoire de la cour de Louis XIV et de la famille royale. C'est une mine de precitax renseignements de toutes espèces qu'on ne trouve que là. Les notes de Saint-Simon, si passionnées et si caractéristiques, complètent le tableau. L'œuvre de ces deux personnages forme un monument historique comme il n'en existe pour aucune période de notre histoire.

114 fr.

20 fr.

Fersen (le comte de) et la cour de France. Extraits des papiers du grand-maréchal de Suède, comte Jean Axel de Fersen, publiés par son petit-neveu le baron R. H. de Klinckowström, colonel suédois. 2 vol. in-8 avec un portrait de Fersen gravé en taille-douce et deux fac-simile de lettres autographes de Marie-Antoinette. Prix. Héroard. Journal sur les règnes de Henri IV et de Louis XIII, publié par MM. Eud. Soulié et Ed. de Barthélemy. 2 vol. in 8. 12 fr. Joseph (le roi). Mémoires et Correspondance politique et militaire, publiés, annotés et mis en ordre par A. du Casse, aide de camp du roi Jérôme. 3e édit. 10 vol. in-8. 45 fr. Luynes (duc de). Mémoires sur la cour de Louis XV (1735-1758). publiés par MM. L. Dussieux et Eud. Soulié. 17 vol. in-8.

102 fr. Ces Mémoires, écrits par Charles-Philippe d'Albert, duc de Luynes et de Chevreuse, pair de France, chevalier des ordres du roi, commencent à la fin de l'année 1735, au moment où la duchesse du Luynes vient d'être nommée dame d'honneur de la reine Marie Leczinska, et s'arrêtent au mois d'octobre 1758, quinze jours avant la mort de l'auteur.

Margis (Mathieu), avocat au parlement de Paris. Journal et Mémoires sur la régence et le règne de Louis XV (1615-1737), publiés par M. de Lescure. 4 vol. in-8. 24 fr. Marie-Antoinette, reine de France. Sa Correspondance avec Marie-Thérèse, accompagnée des rapports secrets adressés par le comte de Mercy - Argenteau à l'impératrice. Ouvrage publié par M. d'Arneth, directeur des Archives impériales de Vienne, et M. Geffroy, de l'Institut, professeur à la Faculté des lettres de Paris. 2e édit. 3 vol. in-8. 30 tr

Quelques centaines de lettres inédites de Marie-Thérèse à Mercy, accompagnant les rapports ser crets de cet ambassadeur, viennent donner ici un commentaire tout nouveau à chaque ligne des tres entre Marie-Antoinette et sa mère. C'est la pleine lumière sur la cour de Versailles, sur Louis XV! sur les périls qui entouraient la reine, sur sa conduite et ses pensées de chaque jour, sur les ince tudes et les pressentiments de Marie-Thérèse, et en même temps, par occasions fréquentes, sur grandes affaires d'alors, sur le partage de la Pologne, sur la rivalite de l'Autriche et de la Prusse, le caractère de l'impératrice, sur celui de Joseph II. La grande histoire côtoie sans cesse dans ces pages l'anecdote, les portraits individuels, l'étude morale et le détail le plus intime. Marie-Stuart, reine d'Ecosse. Lettres, instructions et mémoires, publiés sur les originaux, par le prince A. Labanoff. 8 vol. in-8. 55 fr. Le Supplément séparément, 1 vol. in-8. 15 fr. Napoléon 1er et Louis. Correspondance de Napoléon et de son frère Louis, roi de Hollande, publiée par M. Rocquain. 1 fort vol. in-8.

9 fr.

Ségur (comte Philippe de), général de division, membre de l'Académie française. Histoire et mémoires, période de 1789 à 1848. Ouvrage posthume. 8 vol. in-8.

35 fr

Vallet de Viriville. Procès de condamnation de Jeanne d'Arc dite la Pucelle d'Orléans, traduit du latin et publié intégralement pour la première fois en français d'après les documents manuscrits et originaux. 1 vol. in-8. 6 fr

Le Puy, imprimerie de Marchessou fils, boulevard Saint-Laurent, 23.

N° 28

Treizième année

12 Juillet 1879

REVUE CRITIQUE

D'HISTOIRE ET DE LITTÉRATURE

RECUEIL HEBDOMADAIRE PUblié sous la DIRECTION

DE MM. C. GRAUX, S. GUYARD, G. MONOD, G. PARIS

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ERNEST LEROUX, ÉDITEUR

LIBRAIRE DE LA SOCIÉTÉ ASIATIQUE

DE L'ÉCOLE DES LANGUES ORIENTALES VIVANTES, ETC.

28, RUE BONAPARTE, 28

Adresser les communications concernant la rédaction à M. A. CHUQUET (Au bureau de la Revue rue Bonaparte, 28).

ERNEST LEROUX, ÉDITEUR, RUE BONAPARTE, 28.

(Suite du Catalogue)

Thonnelier (J.). Catalogue de la Bibliothèque d'un Orientaliste, tom. I. in-8.

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4 »

- Kitâbi Kulsum Naneh ou le Livre des Dames de la Perse. 1845, in-12. - Voy. Vendidad Sadé. Thsien-Tseu-Wen. Le livre des mille mots, le plus ancien livre élémentaire des Chinois, publié en chinois, avec une double traduction et des notes, par Stan. Julien. 1854, in-8.

5 >>

Tissot. Sur les monuments mégalithiques et les populations blondes du Maroc, suivi de les Peuples blonds et les monuments mégalithiques dans l'Afrique septentrionale. Les Vandales en Afrique, par M. P. Broca. 1876, in-8, fig. et carte.

2 50

Tixier de Lachapelle (J. A.). Traité du genre, ou genre des mots de la langue française, indiqué: 1° par des règles générales sur les noms d'hommes et de femmes, les noms d'animaux, les mots de genre elliptique, les noms de géographie, les mots invariables, les mots composés et leur pluriel; 2° par le son de la voyelle ou de la consonne finale et suivant la désinence orthographique, comprenant les homonymes, l'historique des mots qui ont changé de genre, etc. Complément de toutes les grammaires. 1879, in-8.

- Le même, cartonné.

Tobler (T.). Voy. Société de l'Orient Latin.

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2 50

Topinard (P.). Etude sur Pierre Camper et l'angle facial dit de Camper. 1874, in-8.

I 25

- Note sur les métis d'Australiens et d'Européens. 1875, in-8.

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Etude sur la taille, considérée suivant l'âge, le sexe, l'individu, les milieux et les races. 1876, in-8.

2 >>

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