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Page 132, note 2, on lit qu'en 1796 les manuscrits de la Sorbonne furent portés à la Bibliothèque nationale, où on les réunit au fonds qui provenait du Cardinal de Richelieu. Il y a là une confusion peu justifiable, qui tient à la précipitation avec laquelle cette note a été rédigée. D'après les termes de M. F., on pourrait croire que le fonds qui provenait du cardinal de Richelieu se trouvait à la Bibliothèque nationale antérieurement à 1796, et qu'il y fut rejoint à cette époque par les manuscrits de la Sorbonne. Or, on sait que les manuscrits de la collection Richelieu, à part quelques débris qui entrèrent à la Bibliothèque royale par d'autres voies, furent réunis en masse à ce grand établissement à l'époque indiquée plus haut; ce qui est exact et ce que M. F. a dû vouloir dire, c'est qu'en 1796, lors de l'entrée des manuscrits de Sorbonne à la bibliothèque de la rue Richelieu, on fondit dans une seule série dite fonds de la Sorbonne, l'ancien fonds de Sorbonne et le fonds provenant du cardinal Richelieu . Page 259, note 2, il est dit qu'on doit à Pétis de la Croix l'histoire de Tamerlan, celle de Gengiskan (Genghizcan), etc. Mais ces deux histoires ont pour auteurs deux écrivains différents : la première, qui n'est qu'une traduction du persan, est due à François Pétis, deuxième du nom, la seconde, à son père, François Pétis, premier du nom. C'est une compilation extraite de diverses sources orientatales et occidentales.

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Page 220, dans la liste des fameux curieux des ouvrages magnifiques figure un M. de la Saldière, rue du Gros-Chenet. Sur cette mention M. F. fait la note suivante : « Ne serait-ce pas, comme nous l'avons dit << dans la Comédie de La Bruyère, le bibliophile Guyon de Sardière qui pouvait alors commencer sa riche collection? Si ce n'est lui, nous ne << savons qui c'est. » Comme nous l'avons fait remarquer ici même, à deux reprises 2, et comme nous nous flattons de l'avoir démontré, Guyon de Sardière ne peut être le même que ce M. de la Saldière, qui ne nous est connu que par ce seul mot de Nicolas de Blégny. Il n'est pas non plus l'original qui a posé à son insu devant La Bruyère. C'est là une hypothèse que nous croyons avoir réfutée à fond, pour nous servir des termes mêmes de M. F., dans une lettre adressée à Sainte-Beuve. (Nouveaux lundis, t. X, p. 435.) Au mois de juin 1691, époque qui vit paraître la sixième édition des Caractères, où figure pour la première fois le portrait du bibliomane, Jean-Baptiste-Denis Guyon n'avait pas encore dix-sept ans. Comment donc pourrait-on admettre que cet adolescent, probablement encore enfermé dans quelque collège, ou tout au moins suivant les exercices de quelque académie, où il se préparait à la carrière des armes, qu'il embrassa plus tard, ait été assez connu pour que La Bruyère ait songé à lui en traçant le portrait ou la charge du biblio

1. Cf. Léopold Delisle, Le cabinet des manuscrits de la Bibliothèque nationale, t. II, Imprimerie nationale, 1874, grand in-4o, p. 207; Cf. ibidem, p. 205. 2. Revue critique, t. I de 1868, p. 141, 142; t. II de 1873, p. 332-334.

mane? En vérité, M. Fournier fait ici trop bon marché de toutes les vraisemblances, et il se montre par trop rebelle aux preuves qui vont à l'encontre de ses opinions. Le 10 avril 1692, Jean-Baptiste Guyon, chevalier, seigneur de Sardière, était encore mineur, comme le constate un acte que nous avons cité et où il figure, assisté de son tuteur. Comment croire qu'un an plus tôt, ce mineur possédait une collection déjà célèbre, alors surtout que rien dans ce que l'on sait de la vie de ses père et mère, dont il n'était d'ailleurs que le second fils et un des trois héritiers, ne permet de supposer que ce cabinet lui fùt venu par héritage? N'oublions pas que sa mère était encore vivante à cette époque et longtemps après. Je persiste donc à m'en tenir à l'interprétation que nous. fournissent les Clés des Caractères, en indiquant comme l'original du portrait tracé par La Bruyère, le conseiller Morel '.

Une dernière observation avant de clore cette longue note: Je doute fort de l'exactitude du rapprochement quc M. F. fait dans son introduction (p. vi, vii) entre nos guides modernes et les nomenclatores des Romains « qui leur nom le disait vous faisoient la liste, vous dressoient de mémoire « la nomenclature » nom par nom de toutes les personnes de distinction qui passoient, et vous animoient ainsi la rue ou la place, dont ils vous montroient les monuments. De cette façon ils n'expliquoient pas seulement le tableau, ils y mettaient les personnages. » Il y a là, je le crains, un peu trop de fantaisie; telle n'est pas l'idée que l'on se fait habituellement des nomenclatores, d'après les auteurs classiques.

C. DEFRÉMERY.

ACADÉMIE DES INSCRIPTIONS ET BELLES-LETTRES

Séance du 9 mai 1879.

M. de Wailly lit une Notice sur un livre d'heures donné par l'impératrice MarieLouise à la duchesse de Montebello. Le livre dont il est question a été exécuté probablement vers l'an 1500, car il contient une table des jours où devait tomber Pâques en chacune des années de 1500 à 1520. Il est imprimé sur vélin; il est orné de dix-sept grandes miniatures qui occupent chacune une page, et en outre à toutes les pages d'une large bordure de miniatures sur deux des marges, la marge inférieure et la marge latérale extérieure: le texte n'occupe pas le tiers de la surface totale des pages. Ces miniatures ont été exécutées en appliquant à la main les couleurs sur des gravures en noir imprimées avec le texte du livre. C'est un procédé qui a été souvent pratiqué à cette époque. La Bibliothèque nationale possède un livre d'heures où se trouvent les mêmes planches que dans celui dont parle M. de Wailly, et ces planches ont été également coloriées par un enlumineur. Mais il y a une grande différence entre la manière dont ce travail a été exécuté dans l'un et l'autre livre. Dans l'exemplaire de la Bibliothèque nationale, comme en général dans tous les imprimés enluminés jusqu'ici connus, le travail d'application des couleurs a été fait par des ouvriers peu intelligents et peu consciencieux qui coloriaient les gravures à la hâte et au hasard, de manière à les gâter plus qu'à les orner; aussi les amateurs préfèrent

1.f. le Journal des savants, août 1876, p. 525.

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REVUE CRITIQUE D'HISTOIRE ET DE LITTÉRATURE

ils aujourd'hui, entre les exemplaires d'un même livre, ceux où les planches sont restées en noir à ceux où elles ont été enluminées. Dans le volume qui provient de Marie-Louise, au contraire, on a de véritables miniatures, exécutées avec un art consommé et en tout comparables aux belles miniatures des mss. du xv siècle. Le soin qu'y a apporté l'artiste chargé de les peindre se remarque notamment dans la manière dont il a traité les bordures du bas et du côté de chaque page. Ces bordures, qui sont restées en noir dans l'exemplaire de la Bibliothèque nationale, ont été ici peintes avec autant de perfection que les grandes planches. En outre, quand une même gravure a été répétée dans la bordure de plusieurs pages différentes, le miniaturiste s'est astreint å varier chaque fois les couleurs, de manière que le volume entier ne contient pas deux pages semblables. Ce livre magnifique est donc unique en son genre, et il ne paraît y avoir rien de comparable parmi les livres imprimés connus jusqu'à ce jour. On n'a aucun indice certain sur la personne pour qui a dû être exécuté ce volume. Toutefois une conjecture se présenté avec quelque vraisemblance. Sur une des gardes du livre a été collé anciennement un portrait gravé de Marguerite de Lorraine, veuve de René de France, duc d'Alençon, qui mourut religieuse de l'ordre de Sainte-Claire, au monastère d'Argentan. Les gardes ne présentent d'ailleurs aucune mention de don ou d'achat, aucune signature d'un des anciens possesseurs, rien qui indique que le livre ait été jamais aliéné. Il semble donc avoir toujours été conservé dans la même famille, jusqu'au jour où il a été donné à la duchesse de Montebello par l'impératrice Marie-Louise. Ór, Marie-Louise était, comme Marguerite, de la famille de Lorraine : c'est donc sans doute à cette famille qu'appartenait le livre. Il avait été exécuté, pense M. de Wailly, pour Marguerite de Lorraine : celle-ci l'a possédé sans doute toute sa vie, et ensuite il a passé à sa famille; c'est ainsi qu'il est arrivé jusqu'à Marie-Louise.

M. Bréal annonce, de la part de M. C. Casati, archiviste paléographe, juge à Lille, que M. Casati possède un estampage de l'inscription étrusqne de Corneto-Tarquinia dont une photographie a été envoyée il y a quelque temps à l'académie par M. le directeur de l'Ecole française de Rome. Cet estampage permet de lire, mieux que dans la photographie, la première ligne de l'inscription: M. Casati y a reconnu une série de noms propres. Toute l'inscription, du reste, contient beaucoup de noms propres et semble être une généalogie. M. Casati a aussi des copies de trois autres inscriptions de même provenance, qu'il a en partie déchiffrées. Il tient ces documents divers à la disposition des membres de l'Académie qui voudraient les étudier.

Ouvrages déposés : F. LENORMANT, Études cunéiformes, 4° fascicule (extrait du Journal asiatique); -F. LENORMANT, Lettres assyriologiques, seconde série, études accadiennes, t. III, 1 livraison (Paris, in-4°); Am.-H. SIMONIN, Psychologie humaine histoire de la psychologie; les trois grandes unités morales de l'humanité; examen critique des doctrines du matérialisme (Malthus, Darwin, Comte, Helmholtz, etc.) Paris, 1 vol. in-12).

Présentés: - par M. Wallon: Poëmes bretons du moyen âge publiés et traduits d'après l'incunable unique de la Bibliothèque nationale, avec un glossaireindex, par le vicomte HERSART DE LA VILLEMARQUÉ (Paris, in-8°); -par M. G. Perrot: 1 Em. GEBHART, Les origines de la renaissance en Italie; 2° Eug. MüNTZ, Les arts à la cour des papes pendant le xve et le xvI° siècle, recueil de documents inédits tirés des archives et des bibliothèques romaines, t. II; par M. Delisle : 1o DE VALROGER, Les Celtes, la Gaule celtique, étude critique; 2° HOUDON, Les imprimeurs lillois, bibliographie des impressions lilloises 1595-1700; 3° DECOMBE, Notice sur la patère d'or découverte à Ravenne en 1774; 4° Célestin PORT, Notes et notices angevines; par M. Le Blant: Talmud de Jérusalem, traduit par Moïse SCHWAB, t. III; par M. Heuzey: HOMOLLE, Rapport sur les fouilles de Délos (extrait des Monuments grecs publiés par l'association pour l'encouragement des études grecques en France); par M. de Rozière : 1o VAESEN, La juridiction commerciale à Lyon sous l'ancien régime, étude sur la conservation des privilèges royaux des foires de Lyon; 2° la collection des ouvrages divers de M. Vito LA MANTIA, sur l'histoire du droit sicilien, les statuts de Rome au moyen âge, etc.

Julien HAVEt.

Le Propriétaire Gérant: ERNEST LEROUX.

Le Puy, imprimerie et lithographie Marchessou fils, boulevard St-Laurent, 3.

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que promet M. Henrici.) JEITTELES, Altdeutsche Predigten aus dem Benedictinerstifte St. Paul in Kärnten herausg. Innsbruck, Wagner. 1878. (BECH constitution du texte très-arbitraire, commentaire trop souvent erroné.) Bibliothek älterer Schriftwerke der deutschen Schweiz und ihres Grenzgebietes, herausg. von. BACHTOLD und VETTER: Bd. I: Die Stretlinger Chronik, herausg. von BACHTOLD, in-8°. Frauenfeld, Huber. 1877; Bd. II: Niklaus Manuel, herausg. von BACHTOLD, ibid., 1878. (VETTER: Deux bonnes publications.) BERGHAUS, Sprachschatz der Sassen; Wörterbuch der plattdeutschen Sprache in den hauptsächlichsten ihrer Mundarten, in-8°. Brandenburg, Müller. Livraisons 1 à 4. (LÜBBEN: monstruosité scientifique.) - Teuerdank herausg. von GÖDEKE, (Deutsche Dichtungen des XVI Jahrhunderts, Bd. 10), in-8°. Leipzig, Brockhaus. 1878. (PETERS: peu utile aux savants.) Jenaer Literaturzeitung, no 16, 19 avril 1879 F. u. P. BÖHRINGER, Aurelius Augustinus, Bischof von Hippo. Hälfte II. Stuttgart, Meyer u. Zeller. 1878. (Egli: bon travail). THANER, Untersuchungen und Mittheilungen zur Quellenkunde des kanonischen Rechts. I. Die nachpseudo-Isidor'sche Sammlung des Cod. 322 von Montecassino. Wien, Gerold. 1878. (Maassen : bon). - HÜBBE-SCHLEIDEN, Ethiopien, Studien über West-Afrika mit einer neu entworfenen Special-Karte. Hamburg, Friederichsen. (Kirchhoff: renferme d'ingénieux aperçus, comment fautil s'ouvrir la route de l'Afrique centrale, traitement que l'on doit faire aux nègres, etc., livre très digne d'attention, l'auteur est un Allemand de Hambourg qui a dirigé deux ans une maison de commerce au Gabon, réflexions peu favorables à la colonisation française). - HüFFER, diplomatische Verhandlungen aus der Zeit der französischen Revolution. II. Der Rastatter Congress und die zweite Coalition. Theil I. Bonn, Marcus. 1878. (Long article de Philippson, professeur à Bruxelles; l'ouvrage de Huffer a une haute valeur scientifique; nombreux documents inédits). GÜLDENPENNING U. IFLAND, der Kaiser Theodosius der Grosse, ein Beitrag zur römischen Kaisergeschichte. Halle, Niemeyer. 1878. (Schiller: travail très-louable). Apollonii Dyscoli quae supersunt, recensuerunt apparatum criticum, commentarium, indices adjecerunt SCHNEIDER et UHLIG. Vol. I. fasc. I: Apollonii scripta minora a Schneidero edita continens. (Grammatici graeci recogniti et apparatu critico instructi. I, 1) Leipzig, Teubner. 1878. (Ludwich: excellente édition, de fort bon augure pour la suite de l'entreprise confiée à Schneider et Uhlig ; renferme les écrits d'Apollonius sur les pronoms, les adverbes et les conjonctions; nouvelle collation du manuscrit de Paris 2548; améliorations considérables du texte).- SCHIMBERG, Analecta Aristarchea, dissertatio inauguralis philologica. Greifswald, Kunike. Leipzig, Teubner. 1878. (Ludwich: travail manqué.) - STRODTMANN, Dichterprofile, Literaturbilder aus dem neunzehnten Jahrhundert. Band I, II. Stuttgart, Abenheim (Brenning recueil agréable d'essais littéraires sur Geibel, Hamerling, Hoffmann de Fallersleben, Freiligrath, Herwegh, Dingelstedt, Hebbel, Lingg, Auerbach et Spielhagen). Die historischen Volkslieder vom Ende des dreissigjährigen Krieges 1648 bis zum Beginn des siebenjährigen 1756, aus fliegenden Blättern, handschriftlichen Quellen und dem Volksmunde gesammelt von Freiherrn von DITFURTH. Heilbronn, Henninger. 1877. (Schottmüller: précieux recueil.)- Korrespondenzblatt des Vereines für siebenbürgische Landeskunde, redigirt von ZIMMERMANN. Jahrgang I. Hermannstadt, Closius. (Nouvelle et bonne publication.)

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No 17, 26 avril 1879: Vaitâna Sûtra, the Ritual of the Atharvaveda, edited with critical notes and indices by R. GARBE. (Sanscrit Text Society. London, Trübner; Vaitâna Sûtra, das Ritual des Atharvaveda,

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aus dem Sanscrit übersetzt und mit Anmerkungen versehen von R. GRABE. Strassburg, Trübner. 1878. (Hillebrandt bonne édition et non moins bonne traduction de ce texte sanscrit, œuvre difficile menée habilement à bonne fin.) BARTHOLOMAE, das altiranische Verbum in Formenlehre und Syntax dargestellt. München, Ackermann. 1878. (Geiger importante contribution à la connaissance de la grammaire iranienne; travail « soigné et réfléchi. ») - ZANGEMEISTER, Bericht über die im Auftrage der Kirchenväter-Commission unternommene Durchforschung der Bibliothek Englands. Wien, Gerold. 1877. (Ludwig: abondants et exacts renseignements sur les manuscrits des Pères de l'Eglise dans les bibliothèques anglaises; sera accueilli avec autant de faveur et de reconnaissance que les travaux de Reifferscheid (manuscrits des « Patres latini» dans les bibliothèques italiennes) et de Halm (bibliothèques suisses); quelques lacunes en ce qui concerne les bibliothèques privées.) T. Maccii Plauti Comœdiæ, recensuit RITSCHELIUS, tomi I, fasciculus 2: Epidicus, recensuit GOETZ. Leipzig, Teubner. 1878.(Dziatzko: excellente édition, mise en œuvre soignée et circonspecte de la littérature de Plaute; heureux talent conjectural, beaucoup de tact dans les questions contestées.) Friedrich Spe, Trutz-Nachtigal, herausgegeben von BALKE. (Deutsche Dichter des 17 Jahrhunderts, mit Einleitung und Anmerkungen hrsg. von GöDEKE u. TITTMANN.) Leipzig, Brockhaus. (Seuffert la première bonne édition critique de Spe; introduction complète.)

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N° 18, 3 mai 1879: E. CURTIUS, Griechische Geschichte, Band I : bis zum Beginne der Perserkriege. Berlin, Weidmann. (Zurborg: 5° édition de cet excellent ouvrage, toujours tenu au courant des plus récentes découvertes.) E. CURTIUS, Zwei Gicbelgruppen aus'Tanagra. Berlin, Dümmler. (Engelmann; Etude intéressante.)-GITLBAUER, Die Ueberreste griechischer Tachygraphie im Codex Vaticanus Graecus 1809. 1o fasc. Wien, Gerold. 1878. Homeri Ilias, cum potiore lectionis varietate edidit NAUCK. Pars posterior (Homerica carmina). Berlin, Weidmann. (Ludwich: l'édition d'Homère de Nauck est terminée avec ce volume; beaucoup de réserves faites à la méthode de l'éditeur.)

ZINGERLE, Kleine philologische Abhandlungen. Innsbruck, Wagner. 1877. (Baehrens; le critique ne s'occupe que du premier des essais contenus dans l'ouvrage, sur l'authenticité des Halieutiques attribués à Ovide.) BIRT, De Halieuticis Ovidio poetae falso adscriptis. Berlin, Weidmann. 1878. (Baehrens même sujet que plus haut; Baehrens pense qu'Ovide a composé les Halieutica.)

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Rivista Europea, Rivista internazionale: Vol XII, fase III, 1er avril : VITO LA MANTIA, Origini e vicende degli Statuti di Roma. MOSCHETTINI, Vita di Giulio Cesare Vanini. - MALMIGNATI, Le lettere e le muse italiane nel secolo XVI. DE STEFANI, Dell'emigrazione dal circondario della garfognana in provincia di Massa. COPPI, Le università italiane nel medio evo, cenni storici. -- GAROLLO, Teoderico re dei Goti e degl' Italiani. Rassegna letteraria e bibliografica: Olanda; Francia. (Il est à regretter que cette revue des livres nouveaux parus en France soit ordinairement incomplète ou ne s'occupe que d'ouvrages insignifiants). Italia, Libri entre autres MENGHINI, Ercole nei canti di Pindaro, saggio sul valore e sullà proprietà del mito nella poesia pindarica. Milano, Briola. (Art. défavorable.)- Sui principali storici piemontesi e particolarmente sugli storiografi della R. Casa di Savoia, memorie storiche, letterarie e bibliografiche del barone CLARETTA.

Le Puy, typ. et lith. Marchessou fils, boulevard Saint-Laurent, 3.

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