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Histoire de la civilisation en Russie durant le règne de l'empereur Alexandre Ier, d'après des documents inédits.

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Il paraîtra bientôt une nouvelle édition de l'Histoire de la littérature russe de GALAKHOV. La partie concernant les Contes populaires serait revue par M. Alexandre VESELOVSKY; M. KIRPITCHNIKOV traiterait la partie relative aux légendes.

On vient de publier, à Saint-Pétersbourg, le premier volume d'une édition complète des œuvres du prince Pierre VIAZEMSKY; ce volume renferme des articles de critique sur Batiouchkov, Pouchkine, Joukovsky, Mme de Genlis, Talma et des lettres écrites de Paris en 1826 et en 1827.

SLAVES (MÉRIDIONAUX). M. DANICIC, ancien secrétaire de l'Académie d'Agram, prépare un grand Dictionnaire de la langue serbo-croate. M. Miklosich, déclare dans une lettre à l'auteur, que ce Dictionnaire sera « le meilleur que possèdent les langues slaves et pourra rivaliser avec le dictionnaire de Grimm. »

- L'Académie d'Agram a publié le dixième volume de la Collection des anciens écrivains croates (ou dalmates). Ce volume comprend les œuvrés du poète ragusain Fran Lukarevic Burina. Ce poète, contemporain de Gua rini, a traduit en serbo-croate (dialecte ragusain) le Pastor Fido et une tragédie d'Atamante (Athamante) dont l'original italien n'a pu être retrouvé.

La même Académie a fait paraître un recueil d'anciens textes (Starine). Ce recueil contient de nombreux documents inédits, notamment des traduc-' tions de textes en slavon, un récit de la bataille de Kosovo, d'après des traditions populaires serbes conservées jusqu'au début du xvIIIe siècle, deux voyages italiens (inédits) du'xvie siècle dans l'empire ottoman, etc.

ACADÉMIE DES INSCRIPTIONS ET BELLES-LETTRES

Séance du 4 avril 1879.

L'institut archéologique allemand informe par une lettre l'Académie qu'il doit célébrer, le 21 avril prochain, le 50° anniversaire de sa fondation.

M. Geffroy, directeur de l'Ecole française de Rome, adresse à l'Académie l'estampage d'une inscription latine provenant de Sicile.

M. Alexandre Bertrand fait une communication sur les cimetières mérovingiens de la Gaule. Depuis longtemps, M. Bertrand s'occupe de reconstituer, au moyen de l'archéologie, l'histoire de la Gaule et des pays voisins pendant les siècles antérieurs aux premiers monuments écrits de l'histoire de ces pays. L'examen des différences ou des ressemblances que présentent entre eux, suivant les cas, les armes ou autres objets préhistoriques trouvés en différentes contrées, lui a permis de reconnaître, dans une certaine mesure, quelles migrations de peuples ont eu lieu pendant ces siècles antérieurs à l'histoire écrite, et quels étaient, à un moment donné, les pays occupés par les peuples de chacune des diverses races européennes. Il a pu même tracer, d'après ces données, une carte ethnographique de l'Europe au Iv ou v siècle avant notre ère. Mais, comme on pourrait être tenté de concevoir des doutes sur la précision et la certitude des résultats obtenus par cette voie, M. Bertrand a voulu, avant de poursuivre ses recherches de ce côté, mettre sa méthode à l'épreuve en l'appliquant à une époque où l'on puisse contrôler les indications de l'archéologie par le témoignage des historiens; si, en essayant de refaire l'histoire de cette époque uniquement d'après le témoignage des monuments matériels qu'elle nous a laissés, on arrive précisément au même résultat que donne l'étude des sources écrites, ce sera une preuve que la méthode archéologique peut mener, en histoire, à des conclusions à la fois précises et sûres.

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Pour faire cette épreuve, M. Bertrand a choisi l'époque mérovingienne, du iv au Ix siècle de notre ère. On connaît avec précision, par les sources écrites, l'histoire de cette période; d'autre part, grâce à l'usage répandu alors parmi les barbares, d'enterrer chaque homme avec ses meilleures armes et ses plus beaux ornements, il nous est parvenu un grand nombre d'antiquités de cette époque. On connaît aujourd'hui sur tout le territoire de l'ancienne Gaule environ six cents cimetières mérovingiens; on en a découvert récemment encore un très-important à Jouy-le-Comte (Seine-et-Oise), et M. Bertrand met sous les yeux des membres de l'Académie des figures de quelques-uns des objets trouvés dans ce cimetière 1.

Or, si l'on examine par le détail les objets trouvés dans ces différents endroits, on y remarque un certain nombre de types caractéristiques qui se rencontrent chacun dans une région particulière. Ainsi le cimetière de Jouy-le-Comte et trente-quatre autres cimetières mérovingiens des régions septentrionales ont donné un même type de fibules ornées de joyaux, qui ne s'est trouvé nulle part dans le midi de la Gaule. Par contre, des boucles de ceinturons ou autres pièces ornées de figures représentant un sujet religieux, tel notamment que Daniel dans la fosse aux lions ou un homme en adoration, se sont trouvées exclusivement dans la région du sud-est, Suisse, Savoie, Franche-Comté, partie de la Bourgogne. Le sud-ouest, Rouergue et Languedoc notamment, a des verroteries cloisonnées qui ne se rencontrent ni dans le sud-est ni dans le nord. En groupant toutes ces données, M. Bertrand a dressé une carte de Gaule où il a teinté chaque région d'une couleur différente suivant les objets mérovingiens qui s'y sont trouvés. Cette carte présente quatre régions: la Bretagne Armorique, où l'on n'a pas trouvé d'objets mérovingiens, et qui, pour ce motif, a été laissée en blanc; la région au nord de la Loire et de la Franche-Comté, où se trouvent les fibules du type de Jouy-le-Comte, et aussi l'arme connue sous le nom de francisque; la région à l'est de la Saône et du Rhône, caractérisée par les symboles religieux (Daniel et l'adoration); la région au sud de la Loire et à l'ouest du Rhône, ou région des verroteries cloisonnées. Il est facile de reconnaître là les territoires occupés par trois peuples différents, qui avaient chacun son aristocratie militaire (dans les trois régions les tombes les plus riches contiennent toutes un grand nombre d'armes.) Deux de ces peuples n'habitaient pas seulement en Gaule: des objets semblables à ceux de la région du nord se retrouvent ailleurs, en Allemagne (par endroits aussi en Angleterre); les verroteries du Languedoc ont leurs analogues en Espagne; seule, la région sud-est est strictement bornée dans les limites de la Gaule, et ses types caractéristiques du Daniel et de l'adoration ne se retrouvent en aucun autre pays. L'Armorique, restée blanche sur la carte, est, d'après cela, la seule partie de la Gaule où aucun de ces peuples guerriers n'ait alors pénétré. Enfin, dans chacune des trois régions, on peut distinguer deux zones suivant la plus ou moins grande abondance des sépultures barbares qui s'y rencontrent; les parties où ces sépultures sont les plus nombreuses ont été marquées sur la carte d'une teinte plus foncée, et l'on peut admettre que cette teinte plus foncée représente, pour les territoires qui en sont marqués, une population barbare plus dense ou une occupation barbare plus longue. La teinte foncée occupe : dans la région nord, le territoire entre la Seine et le Rhin, et deux points isolés dans le Bessin et dans le Maine; dans la région sud-est, un territoire restreint en Savoie et autour du lac de Genève; dans la région sud-ouest, le Languedoc et le Rouergue (tandis qu'entre la Loire et la Garonne le nombre des cimetières mérovingiens est très-petit).

Eh bien, tous ces résultats se trouvent être en parfaite conformité avec les données de l'histoire écrite. Les trois peuples envahisseurs qui se sont partagé le territoire de la Gaule, sans pénétrer (on le savait déjà) en Armorique, ce sont les Francs, répandus à la fois dans la Gaule du nord et dans une partie de la Germanie, les Bourguignons ou Burgondes, qui ont laissé le nom de Bourgogne à une partie du royaume par eux fondé, les Visigoths, maîtres de l'Espagne et de l'Aquitaine. M. Bertrand a demandé à M. Longnon, l'auteur de la Géographie de la Gaule au VI° siècle à laquelle l'Académie a décerné l'année dernière le grand prix Gobert, de tracer sur sa carte archéologique de la Gaule mérovingienne les limites des trois royaumes franc, bourguignon et visigoth, d'après les historiens ces limites ont coincidé exactement avec celles des trois régions archéologiques. La division de chaque région en deux zones de population barbare inégalement dense ou inégalement persistante est également confirmée par l'histoire. On savait que les Francs, maîtres de toute la Gaule du Nord, n'avaient longtemps occupé par eux-mêmes que la région entre la Seine et le Rhin, mais qu'ils avaient en outre deux colonies isolées dans Pouest, l'une en Normandie, appelée la Saxonia, l'autre aux environs du Mans : ce sont les deux taches foncées de la carte de M. Bertrand, et l'archéologie peut même ici compléter l'histoire, car M. Longnon n'avait pu déterminer par les textes la po

1. Le mémoire de M. Bertrand porte pour titre : Les bijoux de Jouy-le-Comte et les cimetières merovingiens de la Gaule.

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REVUE CRITIQUE D'HISTOIRE ET DE LITTÉRATURE

sition précise de ces deux colonies, et la carte de M. Bertrand vient de la lui fournir. On savait également que les Bourguignons n'avaient d'abord occupé qu'un territoire restreint appelé Sapaudia (Savoie), et qu'ils s'étaient plus tard seulement étendus dans toute la région qui a formé leur royaume : il est facile de reconnaître la Sapaudia dans la zone foncée de la région qui correspond au royaume bourguignon. Enfin pour la région sud-ouest, M. Bertrand avait d'abord été porté à s'étonner du petit nombre des cimetières à verroteries cloisonnées trouvés entre la Garonne et la Loire, comparé au grand nombre de ces mêmes cimetières dans le Languedoc : mais c'est que le territoire entre Garonne et Loire n'a été occupé par les Visigoths qu'une quarantaine d'années environ (ils en ont été chassés par Clovis), tandis que la Septimanie ou Languedoc est restée longtemps annexée à leur royaume d'Espagne. M. Bertrand annonce en terminant que ce sujet sera traité plus amplement par M. Longnon, qui prépare un mémoire dans lequel il exposera tout ce que le classement archéologique des cimetières mérovingiens de la Gaule permet d'ajouter à notre connaissance de l'histoire et de la géographie mérovingiennes. Pour lui, il lui suffit d'avoir montré par cet exemple que la méthode archéologique est une méthode exacte, et qu'il n'est pas téméraire, pour les temps où les textes manquent, d'essayer d'écrire l'histoire avec le seul secours de l'archéologie.

M. Clermont-Ganneau fait une communication sur quelques inscriptions hébraïques provenant des ossuaires juifs du mont du scandale, au sud-est de Jérusalem. Une de ces inscriptions mentionne Salamsion, fille de Siméon le prêtre; ce nom de Salamsion est sans doute le même que celui de ZAAAMYIQ, qui était, d'après Josèphe, celui d'une des filles d'Hérode le Grand et de Marianne. M. Clermont-Ganneau y reconnaît un composé du radical qui signifie paix et du nom de la montagne sainte de Sion. D'autres inscriptions mentionnent un lehouda le scribe, fils d'Eleazar le scribe, un Siméon, fils de Jésus, etc. Quelques-unes sont accompagnées de signes dont la signification est inconnue et appelle une étude particulière. Cette communication sera continuée à l'une des prochaines séances.

M. Léon Renier présente deux ouvrages et accompagne cette double présentation de quelques observations:

1 Bulletin de correspondance hellénique, 3° année, no de janvier-février. M. Renier signale dans ce numéro un article de M. Foucart sur des inscriptions du cap Ténare qui témoignent de l'usage d'opérer l'affranchissement des esclaves sous la forme d'une donation de ces esclaves au dieu Poseidon (Neptune);

2o Trois inscriptions vauclusiennes recueillies et publiées par G.-T. CERQUAND (Avignon, in-8). L'une de ces inscriptions est ainsi conçue :

MERCVRIO

L; COE; SVRILLIO
SER; V; LIBER; S

Les deux premières lignes se lisent: Mercurio L. Coelius Surillio. La 3o 1. a été lue par M. Cerquand: sevir votum libenter solvit; il faut lire, dit M. Renier : servus vovit, liber solvit. Il s'agit d'un vœu fait par l'esclave pour le cas où il serait affranchi, et accompli par lui après son affranchissement. Le nom de Surillio est déjà connu par plusieurs textes, ainsi que le féminin Surilla; c'était un nom d'esclave. L'affranchi dont il s'agit ici avait pris, suivant l'usage, le praenomen et le gentilicium de son patron, et gardé son nom d'esclave pour cognomen.

M. Halévy continue sa lecture sur la langue ou prétendue langue akkadienne. Ouvrage déposé Fermat. Notice biographique, par M. Louis TAUPIAC. Extrait de la Biographie de Tarn-et-Garonne, 1r séríe. Montauban, 1878, in-8°.

Julien HAVET.

Note de M. Guyard.

M. Guyard nous prie d'insérer l'erratum suivant à son article sur « une particularité de l'accentuation française » paru dans les Mémoires de la Société de linguistique, t. IV, fasc. 1, page 32, 1. 31, au lieu de a-r', lisez ‘a-r’. Note 4, au lieu de le signe', lisez le signé.

ERRATUM: no 13, p. 243, ligne 18, lire au lieu de « commerçants », commen

çants.

Le Propriétaire-Gérant: ERNEST LEROUX.

Le Puy, imprimerie et lithographie Marchessou fils, boulevard St-Laurent, 23.

I

Jenaer Literaturzeitang, n° 13, 29 mars 1879: LENING, Geschichte des deutschen Kirchenrechts. Strasbourg, Trübner. 1878. (Sohm: l'ouvrage comprend deux volumes 1° le droit ecclésiastique en Gaule de Constantin à Clovis; 2° dans le royaume des Mérovingiens; ce dernier est le plus neuf; le système inauguré par Clovis peut se résumer ainsi : abolition de la puissance papale en Gaule, énergie des droits royaux sur l'église, et pourtant liberté intérieure assurée à la vie ecclésiastique; beaucoup de résultats originaux.) CUNO, Vorgeschichte Roms. Theil I. Die Celten. Leipzig, Teubner. 1878. (Unger de bons détails.) BOUTKOWSKI, Dictionnaire numismatique pour servir de guide aux amateurs, experts et acheteurs des médailles romaines impériales et grecques coloniales. Vol. I. Leipzig, Weigel. 1878. (Bahrfeldt: travail « énorme ».) KEKULÉ, Ueber die Entstehung der Götterideale der grieschischen Kunst. Stuttgart, Spemann. 1877. (Engelmann: petite dissertation trèsintéressante.) SCHILLBACH, Beitrag zur griechischen Gewichtskunde. Berlin, Reimer. 1877. (Engelmann: suite d'observations exactes sur les poids en Grèce et dans l'Asie-Mineure.) OSTHOFF et BRUGMAN, Morphologische Untersuchungen auf dem Gebiete der indogermanischen Sprachen. Theil I. Leipzig, Hirzel. 1878. (G. Meyer livre instructif au plus haut point « scepticisme sain, qui secoue les vieux dogmes, esprit résolu qui plaide en faveur d'une rigoureuse observation des lois de la phonétique ».) G. H. MUELLER, Emendationes et interpretationes Sophocleae. Berlin, Weidmann. 1878. (Wecklein corrections ou interprétations nouvelles de quarante-trois passages de Sophocle; beaucoup d'incertitudes, quelques bonnes choses qui excusent les mauvaises.) CORSSEN, De Posidonio Rhodio M. Tullii Ciceronis in libro I. Tusculanarum Disputationum et in Somnio Scipionis auctore. Bonn, Georg. 1878. (Schwenke: bon.) — RAMBEAU, Ueber die als echt nachweisbaren Assonanzen des Oxforder Textes der Chanson de Roland. Halle, Niemeyer. 1878. (Ottmann: contribution à la connaissance du vocalisme dans l'ancien français; bonne analyse des assonances du Roland.) Heinrich's von Freiberg Tristan, hrsg. v. BECHSTEIN. Leipzig, Brockhaus. 1877. (Paul: bon, observations de détail.)

L'Athenaeum belge, no 7, 1er avril 1879: Le mystère du Viel Testament,
publié avec introduction, notes et glossaire, par le baron James de
ROTSCHILD. Tome I. Paris, Firmin Didot. (Stecher: très-bon.) - Ma-
THIEU, L'ancien régime dans la province de Lorraine et le Barrois, d'a-
près des documents inédits. Paris, Hachette. K. von SCHLÖZER, Ge-
neral Graf Chasot, zur Geschichte Friedrichs des Grossen und seiner
Zeit. Berlin, Hertz. (Histoire intéressante d'un gentilhomme français
qui servit Frédéric II et devint gouverneur de Lubeck. Cp. Revue
Critique, 1878, no 43, art. 197, p. 270.)
270.) RIBOT, La psychologie
allemande contemporaine. Paris, Baillière. PEREZ, Etude de psy-
chologie élémentaire, les trois premières années de l'enfant. Paris,
Baillière. (Potvin bon.) Bulletin (TIBERGHIEN, La science de l'âme
dans les limites de l'observation. Bruxelles, Mayolez; GRAVRAND, De
Bruxelles à Venise). - Revues étrangères (Allgemeine Zeitung, RIEGEL,
les peintures murales à Anvers; Rivista Europea, CIPOLLA, L'éducation
scientifique dans les écoles primaires; Nineteenth Century, art. de GAL-
TON sur les faits « psychométriques »; Contemporary Review). Let-
tres d'Allemagne. (L'auteur de cette correspondance insiste sur « l'in-
fluence croissante du capital qui tend à faire des productions littéraires
un objet de spéculation ».)

-

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Un grand volume in 8o de plus de 800 pages avec 280 figures et 24 planches hors texte.

Prix, relié, fr. 18.

TABLE DES MATIÈRES

PRÉPARATION. Étendue de la préparation. Qualités et aptitudes nécessaires au voyageur. Notions scientifiques. Connaissances pratiques: instruments, méthodes, exercices. Photographie et dessin artistique. Dessin topographique. Connaissance des langues. Informations sur le pays. Equipement et matériel.

OBSERVATIONS ET RECHERCHES. Observations en général.

LE PAYS. Situation. Limites et étendue. Divisions. Configuration du pays (Topographie). Définition. Reconnaissances. Vérification et rectification des cartes existantes. Relèvements topographiques. Opérations relatives au lever de la route suivie. Opérations relatives au lever de la contrée explorée. Levés expédiés et levés à vue. Levés photographiques. Cartes d'emprunt. Profils. Vues. Panoramas. Description et terminologie. Géologie. Definitions. Géologie superficielle (changements modernes et récents, et phénomènes géologiques actuels). Changements de niveau, soulèvements et affaissements. Modification des côtes. Origine et formation des plaines, etc. Origine des bassins et autres dépressions. Accidents du sol et protuberances. Pentes et versants. Terrasses et plateaux. Montagnes. Glaciers actuels. Traces d'anciens glaciers. Volcans et phénomènes volca niques. Tremblements de terre. Vallées. Grottes et cavernes Températures profondes. Sources. Eaux courantes. Lacs et Lagunes. Résumé. Géologie profonde (constitution géologique et changements anciens) Préliminaires. Indices et renseignements. Itinéraire et marche générale. Données recueillir. Etude stratigraphique, Prise d'échantillons. Recueil de fossiles. Age relatif des roches. Synchronisme. Changements anciens. Résumé. -Sol. Définition et divers points de vue. Sol industriel. Valeur du sol. Richesses naturelles. Limites des études à entreprendre. Distinction entre richesses en réserve et richesses immédiatement exploitables. Débouchés et prix de revient; frais d'extraction et de transport. Groupe à étudier plus spécialement: Houille. Minerais et Métaux. Pierres précieuses. Guano. Bois. Produits divers. Données accessoires. Sol agricole. Définition du sol, du sous-sol, etc. Valeur du sol. Indices généraux. Etendue des terres arables. Classement. Carte agronomique. Terres disponibles. Débouchés et moyens de transport. Données accessoires. Terrains susceptibles d'être gagnés à la culture. Terres susceptibles d'être améliorées. Climat. Définition et cadre des observations. Température Pureté et diaphanéité de l'air. Humidité de l'atmosphère. Evaporation. Condensation et précipitations aqueuses. Tableaux, cartes et diagrammes. Climat rais Pression atmosphérique. Vent. Ozone. Electricité. Orages. Observations météorologiques Hydrologie. Définition et généralités. Bassins hydrographiques. Système_fluvial. Sources Cours d'eau. Eaux Souterraines. Eaux stagnantes. Lacs. Embouchures des fleuves. Courants côtiers Flore. Définition et limites. Aspect. Espèces caractéristiques. Zones et régions. Plantes utiles. Plantes préjudiciables. Modifications de la flore. Description et aperçu de la lore. Empreintes de plantes. Spécimens et collections Plantes vivantes. Graines. Herbiers et collections de fleurs et de fruits. Echantillons de bois, etc. - Faune. Definition et limites. Caractère général. Districts et stations. Animaux utiles. Animaux nuisibles. Modifications de la faune. Aperçus et descriptions de la faune. Collections zoologiques. Envois d'animaux vivants.

sonné.

et marées.

LES HABITANTS. Population. Chiffre total. Eléments constituants. Distribution. Densité. Statistique par classes et métiers. Statistique d'âge. Statistique d'état civil. Mouvement de l'état civil. Mouvement de la population. Races et types.

Le Puy, typ. et lith. Marchessou fils, boulevard Saint-Laurent, 23.

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