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33.-H. FISCHER. Briefwechsel zwischen Jacob Grimm und Friedrich David Graeter aus den Jahren 1810-1813, in-8°, Heilbronn, Henninger, 1877 (62 p.). Prix 1 m. 60 pf. 2 fr.)

Bien que le nombre des lettres de J. Grimm et de ses correspondants, publiées depuis quelques années dans diverses revues, atteigne déjà des proportions effrayantes, celles dont M. Fischer s'est fait l'éditeur n'en seront pas moins les bienvenues, et par l'intérêt tout particulier qu'elles offrent pour la connaissance de la vie et des travaux de J. Grimm, et par le soin qu'a apporté M. Fischer dans la rédaction du commentaire dont il les accompagne. Elles se rapportent à une période de la vie de J. Grimm,

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inexacts; nous renvoyons M. Ch. au volume de M. F. Stieve (Ursprung des 30 j. Krieges) qu'il ne paraît point connaître. - P. 113. L'Unité des Frères Bohêmes et l'utraquisme ne sont pas du tout la même chose. P. 116. Malgré les affirmations de Villermont, la descendance de Mansfeld n'est pas établie d'une façon absolument certaine. - P. 118. Mansfeld fit pendre le bourreau de Pilsen, parce qu'il était défendu à des gens pareils (unehrliche Leute) de prendre part à une lutte militaire. - P. 159. L'assertion d'après laquelle Elisabeth Stuart aurait poussé son mari au trône de Bohime est très-sujette à caution. P. 186. Le précepte: Hæreticis non servanda fides, était-il seulement un préjugé des protestants? On pourrait bien prouver le contraire par certains casuistes. - P. 197. L'envoyé de France à Vienne ne s'appelait pas Bangy mais Baugy. P. 209. Il est assez singulier que l'auteur, pour donner une idée de la tactique et de l'armement militaire de l'époque, suive l'ouvrage d'un chapelain bavarois, quand il pouvait consulter les travaux spéciaux de Heilmann et de Soden, ou mieux encore les ouvrages contemporains et illustrés de Wallhausen, etc. P. 254. On n'eut pas besoin d'étouffer la voix de Jessenius, recteur de l'Université de Prague, par un roulement de tambours. On lui avait coupé la langue avant l'exécution et non point après, comme le croit l'auteur. P. 275. Le colonel wurzbourgeois s'appelait Baur von Eyseneck et non Bauer von Eisenach. - P. 281. Le nom exact du commandant anglais de Heidelberg était Sir Horatio de Vere. P. 283. Obentraut alla plus loin que Brisach, jusqu'aux portes de Bâle. P. 305. En parlant de la bataille de Wimpfen, l'auteur aurait pu toucher un mot de la fameuse légende des 300 Pforzheimois. P. 307. Frédéric V ne renvoya nullement Mansfeld de son propre gré, mais sous la pression de son imbécile beau-père Jacques Ir. - P. 313. Toute la Bibliothèque Palatine n'est point revenue à Heidelberg. Le célèbre Codex de Manesse, p. ex., est encore à Paris, où Napoléon Ier le fit venir du Vatican. - P. 402. Le général danois Fuchs ne périt pas sur-le-champ à la bataille de Lutter; Tilly put encore s'entretenir avec le mourant après la victoire. - P. 412. Le harem de Mansfeld est une de ces inventions que les historiens ultramontains se transmettent scrupuleusement de génération en génération et qui n'a d'autre fondement qu'un fragment de chronique fort discutable et mal interprété dans l'Histoire de Hongrie d'Engel. P. 462. Ce n'est pas paisiblement que les habitants de Haguenau furent ramenés au catholicisme.-P. 487. Les Jésuites réussirent à convertir les hérétiques bohêmes, mais je ne saurais admettre que ce fut « en usant de douceur ». M. Ch. qui me fait l'honneur de citer mon travail sur la Destruction du protestantisme en Bohême, me permettra de le renvoyer aux textes précis qui y sont cités. T. II, p. 29. Quand l'auteur dit que « Gustave-Adolphe ne se proposait pas de défendre le protestantisme »>, je proposerai d'ajouter le mot seulement. Il est trop évident qu'il était de son intérêt politique de le faire, pour qu'on ait un motif de le nier. P. 57. Le comte de Schwarzenberg était réellement aux gages secrets de la cour impériale; ce n'était nullement une accusation gratuite. - P. 71. C'est une exagération de dire qu'en 1630

sur laquelle on avait le moins de détails jusqu'ici ; elles nous mettent au courant de ses relations, de ses travaux, de ses espérances, parfois aussi de ses déconvenues. Elles nous font plus aimer encore la nature droite et franche de ce grand savant, qui y ressort avec d'autant plus d'éclat que l'attitude toujours dissimulée et trop souvent louche de son correspondant Graeter lui sert, pour ainsi dire, de repoussoir. Car, si cette nouvelle publication ne fait qu'ajouter à l'excellente impression produite par le caractère de J. Grimm sur tous ceux qui le connaissent, elle vient, d'autre part, confirmer les appréciations défavorables que les rapports de Graeter avec ses collègues et ses méfiances constantes à l'égard de ceux mêmes qui lui étaient le plus dévoués avaient déjà, de son vivant, suscitées plus d'une fois même parmi ses amis. Enfin ces lettres contiennent de précieux renseignements sur l'état des études germaniques vers 1810, sur une foule d'ouvrages et de manuscrits importants.

Albert FECAMP.

« le parti catholique était tout-à-fait désorganisé »; le parti impérial, oui, mais non le parti catholique. - P. 87. Sur l'incendie de Magdebourg, dont les différentes explications auraient pu être un peu moins sommairement indiquées, M. Ch. aurait pu consulter, outre la Revue des questions historiques, la Revue historique, 1876, I. P. 88. Il est au moins douteux qu'en appelant Magdebourg, Magdebourg-la-Pucelle, les soldats aient songé à une statue particulière de la sainte Vierge ornant l'une des portes de la ville. P. 105. Les Suédois de la première armée de Gustave-Adolphe n'étaient nullement des mercenaires, mais des troupes nationales; c'est ce qui faisait en partie leur force. - P. 110. La locution si facilement mal comprise des canons de cuir devrait disparaître des récits d'histoire. P. 267. Quelques-uns des détails de l'assassinat des généraux de Wallenstein à Eger, ne sont pas absolument exacts, P. 269. Je ne voudrais point voir dire d'une manière aussi affirmative que Ferdinand II ne fut pour rien dans le meurtre de Wallenstein. - P. 378. Après avoir pris connaissance du dernier volume de M. Gindely, l'auteur rabattra sans doute un peu des magnifiques éloges (« le représentant de la justice que les âmes généreuses seules pratiquent ») qu'il accorde à Ferdinand II, sans doute en haine de la liberté à laquelle aspire une multitude aveugle! — P. 481. Un historien sérieux no cite point comme source les Mémoires de Pontis. — P. 515. Pourquoi subitement, au moment de la bataille de Marienthal (1645), faire un long exposé de la misère en Allemagne? Ce chapitre était nécessaire sans doute et l'auteur aurait dû même lui donner des développements bien plus considérables, mais il fallait le placer à la fin du livre, où il aurait fait bien plus d'effet. M. Ch. ne semble pas connaître le travail de Hanser (Deutschland nach dem dreissigjaehrigen Krieg, Heidelberg, 1862) où sont réunies des centaines de citations sur cette triste matière. P. 607. Il y a évidemment une erreur dans le nom de la ville bavaroise de Wilsbibourg. P. 625. Les villes libres impériales avaient eu voix délibérative aux diètes avant la paix de Westphalie. Çà et là l'orthographe des noms propres est fautive, bien que l'auteur ait mis un soin trop inconnu généralement aux historiens français, à éviter de pareilles erreurs. C'est ainsi qu'il faut lire, II, p. 390: Wittenweyer pour Wittenveiher. - P. 397, note, Barthold au lieu de Berthold. — P. 402, Schaffhouse au lieu de Schaffouse. Le colonel suédois Axel Lilia qui paraît II, do, est sans doute identique avec le colonel Axel Silje mentionné II, 461. — On dit Santa-Cruz et non Santa-Crux, d'Oysonville et non d'Oisonville, Phalsbourg et non Pfalzbourg.

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ACADÉMIE DES INSCRIPTIONS ET BELLES-LETTRES

Séance du 14 février 1879.

M. le Ministre de l'instruction publique transmet à l'Académie la liste des élèves de Ecole des chartes qui ont obtenu cette année, à la suite des épreuves de fin d'année, e diplôme d'archiviste paléographe. Ce sont, par ordre de mérite, MM. Thomas, Tardif. Fournier, Faucon, Valois, Emile Molinier, Bournon, Flourac; hors rang. à tre d'étranger, M. Kohler.

M. Geffroy, directeur de l'Ecole française de Rome, envoie à l'Académie des dessins de M. Wencker, représentant des objets de provenance, soit gauloise, soit samnite c'est une question à résoudre), qui ont été trouvés récemment entre Alfedena et Solmona, province d'Aquila (ci-devant Abruzze ultérieure seconde), et qui appartiennent aujourd'hui à M. Alexandre Castellani. M. Geffroy annonce, en outre, l'envoi prochain des trois estampages pris par M. Arthur Engel, reproduisant des inscriptions latines trouvées, il y a dix ou douze ans, auprès du Monte Testaccio.

M. Delisle lit une notice sur les manuscrits des commentaires de Beatus sur l'Apocalypse. L'occasion de la rédaction de cette notice est l'acquisition que vient de faire la Bibliothèque nationale d'un nouveau manuscrit de ces commentaires écrit en Espagne à la fin du xir siècle. On connaît aujourd'hui en tout dix manuscrits de l'ouvrage en question. Le plus ancien se trouve dans la bibliothèque de lord Ashburnham; il est du ix siècle. Parmi les plus curieux, il faut compter le ms. dit de Saint-Sever, du xi siècle, qui se trouve depuis longtemps à la Bibliothèque nationale. La nouvelle acquisition porte donc à deux le nombre des manuscrits de Beatas que possède la Bibliothèque nationale), et un manuscrit du xır siècle, qui fait partie de la collection Didot.

L'ouvrage de Beatus n'a été publié qu'une fois et d'une manière insuffisante Madrid, 1770). Ces divers manuscrits présentent entre eux une différence de texte assez importante, qui touche à la question de la date de la rédaction de l'ouvrage. On connaît, sans doute possible, le nom de l'auteur, Beatus; la date où il écrivait devrait être connue aussi, car lui-même a pris soin de la marquer explicitement; mais les différents manuscrits ne donnent pas la même indication. Beatus, écrivant au vir siècle, que le 6 âge du monde, suivant lui, devait finir l'an 838 de l'ère 'Espagne, c'est-à-dire l'an 800 de notre ère, et il donne le nombre des années qui le separaient encore de cette date. En calculant, d'après cette indication, le moment ou écrivait, on trouve, suivant les manuscrits, les années de notre ère 776, 784, 785, 56. Il est possible, pense M. Delisle, que les copistes, (ou l'auteur lui-mêm-), aient volontairement changé les chiffres, afin de mettre l'indication en rapport, non avec la date de la rédaction du livre, mais avec celle de l'exécution de chaque exemplaire. C'est par une préoccupation analogue que, dans plusieurs manuscrits, les copistes, écrivant après l'an 800, n'ont pas cru pouvoir reproduire textuellement la parase de l'auteur, finiet quoque sexta etas in era DCCCXXXVIII, et ont remplacé niet par finivit. Ce qu'il y a de plus intéressant à étudier dans les manuscrits de Beatus, ce sont les peintures qu'on y trouve d'ordinaire en grand nombre. Les scènes de l'Apocalypse sont un des sujets qui ont été le plus fréquemment traités dans Timagerie du moyen âge. Parmi les manuscrits où l'on trouve des suites entières de scènes de l'Apocalypse, M. Delisle signale deux groupes principaux : l'un, qui appartient l'Angleterre et à la France du nord, est représenté notamment par le ms. français 403 de la Bibliothèque nationale et par un ms. de la Bodléienne dont le fac-simile a publié pour le Roxburghe Club par M. Coxe; l'autre, spécialement espagnol, est formé par les manuscrits du commentaire de Beatus. Le ms. de Saint-Sever, de la Bibliotheque nationale, est orné de peintures très-remarquables. Il faut y signaler notamtent les encadrements d'entrelacs; ceux du frontispice sont visiblement imités de l'éture arabe coufique. Les figures sont empreintes d'un sentiment religieux élevé, et, a tout, le volume rappelle les plus beaux monuments de l'art carolingien .- Il est Curieux de comparer ce ms. de Saint-Sever avec le ms. Didot. Tous deux sont copiés sur un type commun, comme le prouve la ressemblance d'un grand nombre des peinres de l'un et de l'autre : mais le ms. Didot, exécuté un siècle plus tard, présente à a fois plus de correction dans certains détails du dessin (notamment l'architecture les costumes) et aussi plus de sécheresse et plus de vulgarité dans l'exécution M. Tissot, archiviste du canton de Neuchatel (Suisse), ayant adressé à l'Académie fac-simile d'une inscription en vieux français qui se lit sur une cloche, à Valangin, M. Gaston Paris, après avoir pendant la séance même pris connaissance de ce

On peut signaler, à titre de curiosité, dans le ms. de Saint-Sever, la présence, au f° 184, d'une de fantaisie qui n'a aucun rapport avec le texte. On voit deux hommes chauves qui se battent présence d'une femme et qui s'arrachent la barbe; à côté on lit ce vers :

Frontibus attritis barbas conscindere fas est.

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REVUE CRITIQUE D'HISTOIRE ET DE LITTÉRATURE

fac-simile, communique à l'Académie le texte de cette inscription. Le déchiffrement ne présente qu'une difficulté : elle consiste en ce que tous les signes d'abréviation, qui auraient dû être écrits au-dessus des lettres, ont été omis (soit dans l'original, soit dans le fac-simile), en sorte que beaucoup de mots sont tronqués et doivent être complétés par conjecture. L'inscription est en partie en vers mål rythmés et se lit ainsi :

De livres) poise CCCC.

Du mest(re) fu livree la(n) cora(n) M CCCC LXIII anee нs (c'est-à-dire Jésus).
Amen.

E(n) non) du Pere et du Fil

Et du vrai S. Espri(t)
Et de la virg(e) Marie
Por q(ui) je su establie,
Por tos les S. de paradi(s),
Su je fate cu(m) je vo di(s);
Madelene su nu(m)mee,
De relique(s) bie(n) ornee,
Et de se(n)te es(cri)pture,
De qui) ja fa ma ceinture,
Por est(re) plu(s) vigoroze.
Ja ai la voi(x) plus signoze,
Ja defa tote(s) fierte(s

De perole ici ap(res):

XPS (Christus) vin cit, xps regnat, xps i(m)p(er)al,

XPS ab omni malo nos defendat.

Amen.

Talis) pater, (ta)li(s) filius, tali(s) sp(iri)t(u)s Sanctus).
Laudate Deum omnes gentes.

Ce texte est intéressant au point de vue linguistique, parce que les spécimens des dialectes français de la Suisse au moyen âge sont rares. On peut y relever notamment les formes je su pour je sui, fate pour faite, fa, defa pour fais, défais, et peutêtre ja pour je (mais ce dernier mot peut aussi êre l'adverbe de temps jà, « déjà », « maintenant »).

M. Ferdinand Delaunay continue la lecture du mémoire de M. Th.-H. Martin sur les hypothèses astronomiques de Platon.

DA

Ouvrages déposés : H. d'Arbois de JUBAINVILLE, Le Dieu de la mort et les origines mythologiques de la race celtique (Troyes, in-8°); Cataloghi dei codici orientali di alcune biblioteche d'Italia stampati a spese del ministerio della publica istruzione (Firenze, 1878, in 8"); L'abbé CAZAURAN, Hommage à la ville de Condom Monographie de l'église Saint-Pierre de Condom, autrefois cathédrale, du cloître canonial, de la chapelle des évêques (Paris, V. Palmé, 1879, in 8o); REMBERG et SAGLIO, Dictionnaire des antiquités, 6° fascicule, CAECAS (Paris, Hachette, in-4°); L. DESCHAMPS DE PAS, Quelques monnaies inédites (Saint-Omer, brochure in 8, extr. de la 108 livraison du Bulletin de la Société des antiquaires de la Morinie). Musée de Besançon, catalogue des peintures, dessins et sculptures, par G. F. LANCRESSON, 6 éd. révue et complétée par Auguste CASTAN (Besançon, 1879, in-16); Supplémento á collecção dos tradatos, convenções, contratos e actos publicos celebrados entre a carôa de Portugal e as mais potencias desde 1640, coordenados pelo visconde DE BORGES DE CASTRO, e continuação por Julio Firmino Judice BIKER, t. IX-XIII (I-V du supplément); N. DE WAILLY, Récit du XIIIe siècle sur les translations faites en 1239 et en 1241 des saintes reliques de la Passion (extrait de la Bibliothèque de l'Ecole des Chartes).

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Présentés de la part des auteurs: par M. Jourdain Histoire religieuse du Sonnois Notice sur l'abbaye cistercienne de Perseigne par Gabriel FLEURY; - par M. Barbier de Meynard : CLERMONT-GANNEAU, Ossuaire juif de Joseph, épitaphe judéo-grecque de Jaffa, inscription de Xanthe en Syrie (extr. de la Revue archéologi que); par M. Defrémery: R. DEZEIMERIS, Pierre Trichet, ur. bibliophile bordelais au XVIII siècle (Bordeaux, in-8°); - par M. de Rozière: HERVIEU, Recherches sur les premiers états généraux et sur les assemblées représentatives dans la première moitié du xiv siècle.

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Julien HAVET.

Le Propriétaire-Gérant : ERNEST LEROUX.

Le Puy, imprimerie Marchessou jils, boulevard Saint-Laurent, 2 3.

Le symbole des apôtres dans Justin martyr. Max LENZ, Zwingle et le landgrave Philippe. -GASS, Le symbole des apôtres il y a deux cents ans et aujourd'hui. MOELLER, Revue critique des ouvrages relatifs à l'histoire du dogme publiés de 1875 à 1877 Histoire du dogme au moyen age.- Analectes: LÖWENFELD, Pour servir à l'histoire des archives pontificales au moyen âge. - HERTEL, Observations sur l'histoire de Colomban. - SCHULTZE, Documents pour l'histoire de la réforme en Allemagne. Appel de Baumgarten qui demande des lettres et documents relatifs à J. Sleidan. HARNACK, Pour servir à la statistique de l'Eglise grécoMélanges.

russe.

Analecta juris pontificii, 155 livraison, novembre-décembre 1878: Le vénérable Joseph Cottolengo. Décrets inédits de la S. Congrégation des évêques et réguliers (1839-1840). Table.

Rassegna Settimanale, no 58, 9 février 1879 L'Assemblea generale della Universita di Roma. MOLMENTI, L'abate Brandolini. Al. d'ANCONA, Ugo Foscolo giudicato da un alienista (à propos du livre de LOMBROSO, L'Uomo delinquente in rapporto all'antropologia, giurisprudenza e alle discipline carcerarie) et Di alcuni pretesi versi danteschi, postilla.CAYX, Gli Etruschi. (Réponse à une note de M. Pantanelli.) Livres Fatti principali della storia d'Italia dalla caduta del Regno Longobardico fino all'assunzione al trono del Re Umberto I pp. CAPPEL

LETTI.

Jenaer Literaturzeitung, no 6, 8 février 1879 KLEINERT, Einleitung zum Alten Testament. Berlin, Müller. (Nowack.) - Die neuere Literatur über Daniel Manin. ERRERA e FINZI, la vita e i tempi di Daniele Manin. Narrazione corredata dui documenti inediti depositati nel museo Correz dal generale Giorgio Manin. Venezia, Antonelli. 1872; ERRERA, Daniele Manin e Venezia. (1804-1853.) Firenze, Le Monnier. 1875; FULIN, Venezia e Daniele Manin, Venezia, Visentini; DE GIORGI, Venezia nel 1848 e 1849. Venezia; Documenti e scritti autentici lasciati da Daniele Manın gia pubblicati in francese e annotati da PLANAT de La FAYE. Venezia, Antonelli; MAINERI, Daniele. Manin e Giorgio Pallavicino, epistolario politico. (1855-1857.) Milano, Bortolotti. (Perlbach : très-long et remarquable article sur les publications de ces dernières années relatives au président de la république de Venise.) EUCKEN, Geschichte der philosophischen Terminologie. Leipzig, Veit. 1879. (Schuppe: bon travail.)- REBER, Die Ruinen Roms. Leipzig, Weigel. (Livraisons 1-5.) 1877-1878. (Engelmann: ouvrage très-important et très-soigné.) KRICHENBAUER, Die Irrfahrt des Odysseus als eine Umschiffung Afrika's erklärt. Berlin, Calvary. (Bender : étrange, discrédite la science philologique.) ABEL, Epistula de codice Ambrosiano Lithicorum quae Orphei nomine circumferuntur. Budapest, Franklin. (Ludwich: bon.)- HUEMER, De Sedulii poetae vita et Scriptis. Vienne, Hoelder. (Rossberg: très-bon.)-STOLL, Die Meister der griechischen Literatur. Leipzig, Teubner. (A recommander aux élèves.)

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