Souvenirs historiques des résidences royales de France: Palais de FontainebleauFirmin Didot frères et Cie, 1837 |
Im Buch
Ergebnisse 1-5 von 67
Seite 7
... Dieu et à sainct Denys . » > Au dixième siècle , un prince manifestait à la fois sa piété et son amour pour les lettres en chantant au lutrin ; aussi Foulques le Bon qui en avait l'habitude , apprenant que Louis d'Outremer en ...
... Dieu et à sainct Denys . » > Au dixième siècle , un prince manifestait à la fois sa piété et son amour pour les lettres en chantant au lutrin ; aussi Foulques le Bon qui en avait l'habitude , apprenant que Louis d'Outremer en ...
Seite 15
... Dieu , lorsqu'en route , le froid le saisit et détermina la paralysie dont il mourut . On l'inhuma dans l'abbaye « 1Quâdam autem nocte , cum ipse anxietate animi jam devic- tus esset , somnus irrepsit . Cui in somnis apparuit sanctus ...
... Dieu , lorsqu'en route , le froid le saisit et détermina la paralysie dont il mourut . On l'inhuma dans l'abbaye « 1Quâdam autem nocte , cum ipse anxietate animi jam devic- tus esset , somnus irrepsit . Cui in somnis apparuit sanctus ...
Seite 19
... Dieu de Nemours tout le pain qui resterait de sa table pendant les séjours de la cour à Fontainebleau . Le don n'était pas alors sans importance ; car le roi visitait sou- vent ce château , où l'attiraient la plus belle forêt des ...
... Dieu de Nemours tout le pain qui resterait de sa table pendant les séjours de la cour à Fontainebleau . Le don n'était pas alors sans importance ; car le roi visitait sou- vent ce château , où l'attiraient la plus belle forêt des ...
Seite 20
... Dieu de son heureux retour . a ' Quant les enfants aux Sarrazins braioient , dit Joinville , les femmes les escrioient et leur disoient : « Taisiez - vous , vezci le roi Richard ; » ce pour eulz faire taire ; et quant les che- vaus aus ...
... Dieu de son heureux retour . a ' Quant les enfants aux Sarrazins braioient , dit Joinville , les femmes les escrioient et leur disoient : « Taisiez - vous , vezci le roi Richard ; » ce pour eulz faire taire ; et quant les che- vaus aus ...
Seite 31
... dieu de Pon- toise , la mèson - dieu de Brinon , la mèson des aveugles de Paris , l'abbaie des cordeliers de Saint - Clou , que sa sœur , madame Isabiau , fonda par son otroy . » ( Joinville . ) 2 Hospitale pauperum infirmorum qui de ...
... dieu de Pon- toise , la mèson - dieu de Brinon , la mèson des aveugles de Paris , l'abbaie des cordeliers de Saint - Clou , que sa sœur , madame Isabiau , fonda par son otroy . » ( Joinville . ) 2 Hospitale pauperum infirmorum qui de ...
Andere Ausgaben - Alle anzeigen
Häufige Begriffe und Wortgruppen
Abel de Pujol ambassadeur Anne d'Autriche appartements avaient avoit beau belle bibliothèque Biron bleau Bourgogne c'était cabinet cardinal carrosse célèbre Chalais chambre chapelle Charles Charles IX chartre chasse château château de Fontainebleau chevaliers cœur comte conseil cour du Cheval-Blanc couronne d'Angleterre d'Espagne d'or dames dauphin Diane Dieu donna duc d'Orléans duc de Guise envoya estoient estoit étoient étoit fille fils Fontaine forêt François Ier galerie garde Henri Henri IV heures homme jardin jour l'église l'empereur Napoléon lettres Lorraine Louis XIV Louis-Philippe madame de Maintenon Madame de Motteville mademoiselle main maison maître Majesté maréchal mariage Marie de Médicis marquis Melun Mémoires ment mesme ministre monarque monseigneur Monsieur mort Navarre nebleau officiers palais de Fontainebleau pape parlement passa pavillon personne Philippe porte Primatice prince de Condé princesse reine mère Richelieu rois Rosny Rosso royaume saint Louis salle sieur sire Sully tableau tainebleau tion trône
Beliebte Passagen
Seite 622 - CAR TEL EST NOTRE PLAISIR : et afin que ce soit chose ferme et stable à toujours, nous avons fait mettre notre scel à cesdites présentes.
Seite 513 - Qu'ils reconnaîtront et garantiront la constitution que la nation française se donnera. Ils invitent, par conséquent, le sénat à désigner un gouvernement provisoire qui puisse pourvoir aux besoins de l'administration , et préparer la constitution qui conviendra au peuple français.
Seite 632 - On donnera tous les saufs-conduits nécessaires pour le libre voyage de SM l'empereur Napoléon, de l'impératrice, des princes et princesses , et de toutes les personnes de leur suite qui voudront les accompagner ou s'établir hors de France , ainsi que pour le passage de tous les équipages, chevaux et effets qui leur appartiennent. Les puissances alliées donneront en conséquence des officiers et quelques hommes d'escorte.
Seite 512 - Les armées des puissances alliées ont occupé la capitale de la France. Les souverains alliés accueillent le vœu de la nation française. « Ils déclarent : « Que si les conditions de la paix devaient renfermer de plus fortes garanties, lorsqu'il s'agissait d'enchaîner l'ambition...
Seite 512 - France, telle qu'elle a existé sous ses rois légitimes; ils peuvent même faire plus, parce qu'ils professent toujours le principe que, pour le bonheur de l'Europe, il faut que la France soit Grande et Forte.
Seite 346 - Dieu seul jeter ses espérances pour l'éternité, où il trouverait ses consolations. » A cette triste nouvelle, après avoir poussé deux ou trois grands cris, il se mit à genoux à mes pieds, -m'étant assis sur un des bancs de la galerie, il commença sa confession; mais l'ayant bien avancée il se leva deux fois et s'écriait au même instant.
Seite 635 - Majesté de l'autoriser à déclarer en son nom que les clauses du traité à la charge de la France seront fidèlement exécutées. Il a, en conséquence, l'honneur de le déclarer par la présente à Leurs Excellences.
Seite 539 - Généraux, officiers, sous-officiers et soldats de ma vieille garde, je vous fais mes adieux : depuis vingt ans je suis content de vous ; je vous ai toujours trouvés sur le chemin de la gloire. « Les puissances alliées ont armé toute l'Europe contre moi ; une partie de l'armée a trahi ses devoirs, et la France elle-même a voulu d'autres destinées.
Seite 532 - LES Puissances alliées ayant proclamé que l'Empereur NAPOLÉON était le seul obstacle au rétablissement de la Paix en Europe , l'Empereur NAPOLÉON, fidèle à son serment, déclare qu'il renonce, pour lui et ses héritiers , aux Trônes de France et d'Italie , et qu'il n'est aucun sacrifice personnel, même celui de la vie, qu'il ne soit prêt à faire à l'intérêt de la France.
Seite 458 - Soubise dit , la lanterne à la main : J'ai beau chercher , où diable est mon armée ? Elle était là pourtant hier matin. Me l'at-on prise , ou l'aurais-je égarée ? Ah ; je perds tout , je suis un étourdi ; Mais attendons au grand jour , à midi.