Histoire générale de la Chine, ou annales de cet empire: 9

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P. D. Pierres, 1779 - 658 Seiten
 

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Seite 620 - THE NEW YORK PUBLIC LIBRARY REFERENCE DEPARTMENT Thit book is under no...
Seite 593 - Kl , sa mère , se donnait de grands mouvements pour engager le ministre Taï-ping à faire renoncer Chun-ti au trône en sa faveur. Ne pouvant le gagner, il fit des tentatives pour le perdre. Mais les grands prirent le parti du ministre , et le justifièrent. Taï-ping, néanmoins, las de se voir exposé journellement aux ressorts que l'intrigue faisait jouer, prit le parti de la retraite à la deuxième lune de l'an i36o.
Seite 292 - Jin-tsong, avec celte différence que dans le nombre des ministres qui rendirent le règne de ce dernier malheureux, on en compte cependant quelques-uns qui ne furent pas sans mérite, au lieu que Li-tsong n'en eut aucun , et que...
Seite 435 - ... parts dans la Chine, pour la jonction des rivières et le transport des marchandises; les académies et les collèges qu'il fonda en grand nombre; les soins qu'il donna aux progrès de l'agriculture, de l'astronomie et des mathématiques ; les grands hommes en tout genre qu'il attira à sa cour , et la multitude des livres étrangers qu'il fit traduire en mongou , les manufactures qu'il encouragea , les ports qu'il ouvrit aux étrangers et la liberté du trafic qu'il leur accorda ; les vaisseaux...
Seite 121 - Us se maintinrent si long-tems, à l'attention qu'ils eut-eiit d'agir toujours suivant les circonstances, et de se déclarer à propos pour ou contre les Song, les Léao et les Kin; ils ne faisaient point difficulté de se dire tributaires des uns ou des autres, pourvu qu'il y allât de leur intérêt. Cette politique leur réussit, et ils ne se perdirent que lorsqu'ils s'en écartèrent, en...
Seite 233 - Si vous voulez qué je sois votre kan, êtes-vous résolus de m'obéir en tout, de venir quand je vous appellerai, d'aller où je voudrai vous envoyer, et de mettre à mort ceux que je vous ordonnerai de faire mourir ? Après qu'ils eurent répondu oui, il proclama lui-même sa puissance souveraine, en disant : Désormais ma simple parole me servira de glaive.
Seite 205 - Au commencement de l'an jsSS , la cour impériale fut obligée d'envoyer traiter d'accommodement avec les Mongous ; mais depuis cette époque il n'y eut plus de paix dans les pays situés entre le Hoang-ho et le Hohai-ho.
Seite 155 - Kiang-chin fe fervant des flèches que les ennemis lançoient , les faifoit couper en quatre , & que les ayant armées avec des deniers de cuivre , il les mettoit dans un cylindre ou tube de bois , d'où il les faifoit partir fur les ennemis comme des baies fartent d'un moufquet.
Seite 32 - ... de quoi il étoit prêt à venir le trouver. Ouang-han , donnant dans le piège qu'on lui tendoit...
Seite 477 - H ne régna donc qu'environ quatre ans. « Mais, suivant l'usage » assez constamment suivi d'attribuer à un empereur défunt » l'année entière dans laquelle il meurt, l'année i3n est cen» sée appartenir en entier à son règne.

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